Cœur de cible
Membre du Secret Service, Bill Tree doit protéger le président des États-Unis en enquêtant sur les maniaques dont le passe-temps consiste à envoyer des lettres de menaces. Un jour, abusé par l’apparente candeur d’un de ces détraqués, il réagit mal. Son équipier est tué, lui-même grièvement blessé. Suite à ce traumatisme, Bill démissionne et se retire dans sa ville natale du Nebraska, Falls City, où sa sœur Kath s’occupe de lui. Honteux de ce qu’il a vécu, il refuse de quitter sa chambre se contentant d’observer les gens de sa fenêtre. Un jour enfin, il accompagne en patrouille le vieux shérif Pat Kunkel, qu’il admire depuis son enfance. Lorsqu’un tireur non identifié abat une enseignante et le proviseur du lycée, Bill accepte de participer à l’enquête car Joan, la femme dont il est amoureux depuis l’adolescence, a été blessée par le tueur. Parmi les premiers indices, une trace de chaussure, mais n’est-ce pas un leurre laissé par l’assassin ? Doit-on soupçonner l’antisémite brutal qui haïssait le proviseur ou bien l’ex-mari de Joan, ce colosse qui menace tous ceux qui s’approchent d’elle ? Bill hésite. Auteur de plusieurs thrillers solidement charpentés (Terreur noire) David Wiltse a choisi cette fois le décor d’une bourgade rurale où chacun se connaît et se supporte. Bien menée, cette enquête apparemment sans surprise en réserve pourtant une de taille avec un étonnant final. –Claude Mesplède
James Bond 007 – Mission particulière
Le SPECTRE, organisation que James Bond a cru démanteler autrefois en tuant son chef, un certain Blofeld, renaît brusquement de ses cendres. A sa tête, un nouveau Blofeld – double, fantôme, ou successeur du premier ? La mission particulière assignée à James Bond est de le débusquer et de le mettre hors d’état de nuire. L’agent 007 devra affronter successivement des pirates de l’air, des fourmis géantes et venimeuses, un diabolique circuit automobile, et surtout l’étrange Markus Bismaquer, mégalomane, amateur d’art et fabriquant de glace au parfum très spécial…
James Bond 007 – Permis renouvelé
Faire sauter les principales centrales nucléaires des États-Unis et d’Europe pour prouver que l’énergie nucléaire est dangereuse peut sembler un paradoxe simpliste. Pourtant cet argument spécieux provient de l’esprit du génial savant Anton Murik. Cette théorie aurait pu rester une hypothèse scientifique d’une désarmante logique si Murik n’était en contact avec le terroriste international Franco. En Écosse, dans la forteresse de Murik, les deux déments mettent au point les derniers détails de leur sinistre projet lorsque se présente 007…
Mensonge mortel
Après seize ans de mariage, Ann et Ted Waring sont sur le point de divorcer. Une nuit volée, brûlante, inattendue, les fait pourtant vaciller. Pour Ann, il ne s’agit que d’un instant d’égarement, Ted lui y voit la promesse d’une réconciliation. Si Ann le veut, s’il peut la convaincre… Pour se ménager leur soutien, Ted emmène leurs deux filles en week-end de chasse. Ali, dix ans, plutôt conciliante et douce, ne rêve que de retrouvailles. Julia, en pleine révolte adolescente, méfiante, dure, secrète, nourrit une haine féroce contre son père. Si ses parents divorcent, c’est à cause de lui et de lui seul… Le dimanche soir, Ted ramène les filles. Et tout bascule. Une violente dispute. Un coup de fusil. Ann est tuée sur le coup… Ali, dans la cuisine, n’a rien vu. Ted jure que c’est un accident. Julia, elle, affirme que son père a assassiné sa mère… Qui ment ? Qui protège qui ? Pour cacher quel sordide secret? Mais Ann est morte. Il y a forcément un coupable…Après seize ans de mariage, Ann et Ted Waring sont sur le point de divorcer. Une nuit volée, brûlante, inattendue, les fait pourtant vaciller. Pour Ann, il ne s’agit que d’un instant d’égarement, Ted lui y voit la promesse d’une réconciliation. Si Ann le veut, s’il peut la convaincre…
Le jardin des disparus
Dans le jardin de Penelope se dressent les silhouettes empaillées des animaux qu’autrefois elle a aimés.Pour elle, c’est une façon de conserver à ses côtés ses chers compagnons. Pour son époux, c’est une manie un peu ridicule, qu’il tolère tant bien que mal. Jusqu’au jour où les rancoeurs conjugales remontent à la surface et font d’un paisible jardin un piège mortel… Le Jardin des disparus est la première des neuf nouvelles réunies dans ce volume, qui se clôt sur une terrifiante vengeance mutuelle entre époux, dernière touche d’un recueil en forme de tableau de moeurs – et particulièrement de moeurs matrimoniales où la noirceur n’a d’égale que la subtilité. Comme toujours, Patricia Highsmith étudie jusqu’au vertige, d’une plume à la fois tendre et mordante, les éternels conflits de la psychologie humaine.
Cruelles, morbides, parfois terrifiantes, ces nouvelles ne nous laissent jamais intacts. Comme un coureur de 100 mètres, Patricia Highsmith démarre en flèche et ne ralentit plus….
San-Antonio – J’ai peur des mouches
Moi, vous me connaissez ? Je n’ai jamais eu peur de rien ! J’ai entendu siffler pas mal de balles à mes oreilles… Il m’est même arrivé de ne pas les entendre passer pour la bonne raison que je les avais interceptées au vol… Je me suis bagarré avec des types plus colosses que celui de l’île de Rhodes, j’ai pris des gnons… sans jamais connaître le sentiment de la peur. On m’a fait le coup de la baignoire, celui de la scie à métaux sur le tibia, les allumettes enflammées sous les ongles, la cigarette écrasée sur la joue, et toujours sans m’arracher un cri ni un mot. C’est à peine si je perdais le sourire.
Et pourtant… aujourd’hui, J’AI PEUR DES MOUCHES… Ces minuscules diptères me terrorisent, car dans la contrée où je suis, elles véhiculent la mort… la plus atroce des morts. Paru en 1957 n°SA27
Un homme
Un homme, grec : Alekos Panagoulis, qui tenta de tuer en 1968 Papadopoulos, chef de la junte militaire au pouvoir depuis plus d’un an, et fut torturé, condamné à mort, puis gracié contre son gré après cinq ans de prison. Elu député après la chute des colonels, il s’acharnera à prouver les liens du ministre de la Défense avec les dictateurs. Mort en 1976, à trente-huit ans, dans un très mystérieux accident de voiture… Une femme, italienne : Oriana Fallaci, écrivain, reporter, de réputation mondiale, qui vécut les trois dernières années de Panagoulis à ses côtés. Un livre, succès international : roman-vérité, roman policier, lettre d’amour déchirante et rageuse, qui révèle le destin exemplaire et tragique d’un poète terroriste, militant de l’impossible.
Que ma terre demeure
Pays de Cornouaille, Finistère. Restée veuve après tout juste trois années de mariage, Anna reprend à son nom la ferme de Menez Glaz avec l’aide de son beau-père, Tad Kermorvan, figure emblématique du village, dont le travail de la terre perpétue respectueusement celui de ses ancêtres. Anna doit se battre au quotidien contre la jalousie perfide d’une belle-soeur aigrie et vénale, contre un passé nébuleux qui la taraude et contre la solitude. Mais elle doit également se battre contre l’appétit croissant de certains pour sa propriété. Ainsi, Armand Salaun, éleveur de porcs, à l’affût de nouvelles terres pour épandre son lisier. Il ne cache ni ses tristes projets ni ses folles ambitions. Et tant pis si la terre devient de plus en plus sale puisque cynisme et rendements sont les maîtres mots de ce nouveau modèle agricole?
Dans les jardins de mon père
Dans les jardins de mon père, les lilas sont fleuris…. Cette ritournelle nostalgique au parfum suranné, n’évoque-t-elle pas, le bonheur d’une vie paisible auprès de ceux qu’on aime? Ce que tout enfant serait en droit d’attendre pour affronter ensuite son destin…. Le bonheur? A cinq ans, Nicole Avril doit lui dire adieu. A cause de ce mal qui déforme son visage, son « joubi » dont elle inverse les syllabes, pour en faire un bijou. Les hôpitaux, l’atroce odeur d’éther, la peur, le froid du réveil en salle de réanimation : tristes souvenirs d’enfance! Mais il y a cette complicité, entre le père et la fille; la tendresse de la mère; la passion des livres…. Univers chaleureux qui lui permettra de refermer ses plaies. De s’émerveiller d’être vivante, de se découvrir belle, enfin! A l’aube de sa vie de femme, pourtant, un autre drame l’attend….
Les amants du n’importe quoi
Tristan la regardait dormir, et bien qu’elle ne pût l’entendre, il lui dit à l’oreille qu’il l’aimait sans trop savoir ce que cela voulait dire. Sans savoir qu’il venait de tomber dans un piège définitif, le piège de l’attendrissement, et qu’il était ridicule, d’un ridicule sans rémission. Attendrissement, tromperies, jalousie, attente, méchanceté, dépendance, espérance, peur de l’abandon, inquiétude, prise de pouvoir sur l’autre et mise à mort… C’est tout ce » n’importe quoi » auquel les élans du cœur nous poussent. C’est aussi l’histoire d’Amélie, qui aime Tristan, qui aime toutes les femmes.
Voici le spectacle à la fois évanescent et cruel de tout ce que la passion tisse de promesses intenables, d’instabilité sentimentale et d’impossible rupture.
L’histoire ici contée est celle, très simple, d’une jeune provinciale qui, montée à Paris, se refusa au roi Louis XV… et de ce qui s’ensuivit.
Pascal Lainé, dans un style d’une grande densité et d’une élégance toute musicale, tisse les rapports de deux êtres pris dans une histoire qui les emporte d’une province soumise au rythme lent de la vie la plus simple au Paris des intrigues de la Du Barry et de M. de Choiseul.
Prénom Zoé (n° 12) – Dilemme amoureux
Claire est-elle sur le point de séduire Aaron, qui est toujours amoureux de Zoé ? Zoé qui doit faire front, malgré l’opération de Benjamin, l’attitude de Lara, le rejet de Lucas, et sans le soutien de ses deux meilleures copines, Nina et Aisha. La nouvelle année commence sous de bien mauvais auspices, mais pour toute la bande, c’est peut-être l’occasion d’un nouveau départ. Car les épreuves permettent parfois de resserrer les liens que l’on croyait définitivement brisés.
Prénom Zoé (n° 10) – Le grand saut
Nina est soulagée. Si Aisha passait du temps avec Benjamin, c’était pour l’aider à chercher sur Internet des renseignements concernant une opération qui pourrait lui rendre la vue. Etrangement, cette bonne nouvelle provoque chez elle une réelle angoisse : lorsque Benjamin la verra, l’aimera-t-il toujours ? Le reste de la bande n’est au courant de rien… pour l’instant. Car c’est bien connu, sur Chatham Island, un secret ne le reste jamais très longtemps. Et Zoé va d’ailleurs en faire l’amère expérience.
Prénom Zoé (n° 09) – L’intruse
A l’occasion de Thanksgiving, une fête typiquement familiale, le père de Zoé décide d’inviter sa fille cachée, Lara, au dîner. Zoé n’est pas sûre de l’apprécier, d’autant plus que les parents lui proposent d’habiter le studio au-dessus du garage. ©Electre 2021
Le bouchot
En Charente-Maritime, un bouchot est un pieu fiché dans la vase et sur lequel s’agglutinent les moules. Telle est Teresa, enlisée dans le malheur mais tenant bon pour sauver les siens. Zino, son fils, qui dessine des squelettes, sa fille, Océan, qui s’enivre de l’air salé, Nono et Zia, vieux musiciens italiens éternellement amoureux. Monsieur le Juge les a abandonnés. Leur maison s’enfonce dans les marais . Mais Teresa l’amoureuse renait sans cesse. Son art de vivre : être heureux malgré tout et la musique est plus forte que le manque d’amour, le voisin teigneux, la ville mesquine.
Rembrandt
Et cette saloperie de marteau qui claque et qui cloque depuis dix ans dons ma tête!… Le commissaire-priseur est monté sur l’estrade pour gueuler : En ce vingt-huitième jour de juillet 1658 s’ouvre la vente des biens du peintre Rembrandt le failli ! » (…) » Rembrandt l’arrogant, l’amoureux du faste et de la gloire, l’homme du combat de l’ombre et de la lumière. Cette image est vraie, vraie comme est vrai un visage vu de face dont on ignore le profil. Les profils de Rembrandt ne contredisent pas l’image commune, ils la compliquent. Ils portent les marques profondes des coups terribles que lui a infligés le destin, et que dire de son dos où l’on découvrira, plantées jusqu’à la garde, les dagues sournoises de ceux qui l’ont trahi.
La chair de la robe
A mes yeux d’enfant, ma superbe marraine, Madeleine Vionnet, qui fut la plus grande créatrice de la Haute Couture de l’avant-guerre, ainsi que ma mère, son intime collaboratrice, étaient des sortes de fées. Toutefois, quelles fées laborieuses ! Ces femmes acharnées, qui n’avaient guère de temps pour une autre existence – l’enfant que je fus en a souffert, avant de pouvoir admirer -, se vouaient à un labeur exigeant et sans relâche, mais qui était leur joie et faisait leur orgueil. Elles savaient qu’en fabriquant l’élégance, elles humanisaient la civilisation.Les mains de Vionnet, les mains de Maman ! C’est pour ces mains-là, créatrices incessantes de frivolité – et avec quoi lutte-t-on le mieux contre la mort, sinon avec la frivolité poussée à son extrême ? -, que je raconte ce que fut l’esprit de la Haute Couture.
Aujourd’hui, à travers Yves Saint Laurent, Christian Lacroix, Jean-Louis Scherrer, Pierre Cardin […], cet esprit continue de régner à Paris. Il doit bien y avoir une raison pour que se perpétue chez nous, en dépit de tout, aussi souveraine et indéracinable, cette passion de l’élégance ?La réponse, nous la connaissons : cette « folie » s’appelle amour. L’amour de la vie.M.C.
Les bouffons de Dieu
Quatrième de couverture
Le pape français Grégoire XVII a reçu une terrible révélation : la fin du monde est proche, et l’heure du Second Avènement est arrivée. Il voudrait l’annoncer dans une encyclique. Grégoire XVII est-il un mystique, un fou ou un fanatique avide de puissance ? La Curie, devant les dangers d’une telle proclamation, le contraint à abdiquer et l’expédie dans un monastère. La crise internationale se précise et le pape, sorti de son exil, cherche désespérément à prévenir l’holocauste. Trop tard, d’autres forces sont à l’oeuvre… Ce roman, dont le thème audacieux est développé avec une rare maîtrise, tire sa force dramatique de l’actualité de l’apocalypse et aussi de l’habileté avec laquelle Morris West déroule l’intrigue policière, campe toute une série de personnages extraordinairement vrais – hauts fonctionnaires et truands, trafiquants et fanatiques – et fait vivre cette histoire d’amour, de foi et d’espoir. Tous les livres de Morris West : L’Avocat du diable, Les Souliers de saint Pierre, La Salamandre, etc., sont des best-sellers, traduits dans le monde entier.
Lady boss
Robe informe, chaussures plates, lunettes épaisses et perruque démodée… Pour son premier jour de travail aux Studios Panther, Lucky Santangelo s’est parfaitement grimée ! Qui pourrait reconnaître en cette étrange Mlle Luce, la très belle, très riche et très célèbre « Lady Boss », enfant gâtée, veuve d’un armateur milliardaire et épouse de Lenny Golden, la star montante d’Hollywood ? Lucky s’est mis en tête d’offrir à Lenny les studios où il travaille. Le vieil Abe Panther est prêt à vendre. A une seule condition : que l’audacieuse Lucky aille voir de près ce que cache la baisse de qualité des films produits par les studios. Six semaines au coeur du piège, pourquoi pas ? Tout est possible à Hollywood, pour le meilleur et pour le pire…
Les rescapés du cœur
Denise vit seule avec son fils Kyle, un enfant à la sensibilité exacerbée qui souffre de graves problèmes de communication. Sans amertume ni regrets, elle lui consacre sa vie et lui sacrifie ses rêves. jusqu’au jour où Denise rencontre Taylor. Entre elle et ce pompier bénévole, qui l’a sauvée après un accident de voiture, commence une belle histoire d’amour. D’autant que Taylor s’attache au jeune Kyle, qui le considère très vite comme un père. Mais soudain tout se complique : sans explication, Taylor refuse de s’engager, s’enferme dans le silence. Quels démons le hantent qu’il ne parvient pas à affronter ? Décidée à découvrir son secret, Denise veut croire qu’elle peut lui apprendre à aimer.
Comme ton père
En 1860, un jeune couple protestant, David-Frédéric et Emma, décide de partir prêcher les évangiles en Afrique australe. Plus d’un siècle plus tard, Paul, un lointain descendant des missionnaires, s’embarque à son tour pour Masitise, dans une Afrique du Sud où l’apartheid s’éteint doucement. C’est le même paysage que ses ancêtres ont longtemps contemplé : des grottes, creusées dans le roc, et au loin, des montagnes rougeâtres et de hauts plateaux verdoyants, dont les couleurs se mêlent le soir d’une façon magique. Mais Paul, venu de France, cherche plus qu’un simple dépaysement. Son fils Giuseppe doit venir le rejoindre, dans sa demeure de pierre. Pour ces deux êtres, qui n’ont jamais vieilli ensemble, un long chemin est à venir. Que se diront-ils ? Comment se parleront-ils ? Dans ce très beau roman, où les personnages prennent la plume chacun son tour pour raconter ses odyssées et livrer ses impressions quotidiennes, c’est tout un siècle d’Histoire qui défile sous nos yeux. Paul, Emma et Giuseppe nous livrent de belles tranches de vie intime, au fur et à mesure qu’ils se cherchent par l’écriture, avant de se rencontrer et d’apprendre à se connaître. –Ariane Singer
Ida
Il y avait un bébé qui venait de naître et qui s’appelait Ida. Sa mère l’avait retenu de ses mains pour empêcher Ida de naître mais le moment venu Ida était venue. Et avec Ida était venue sa jumelle, et c’est comme ça qu’elle était là, Ida-Ida. » Ida est sûrement un des plus beaux livres deux femmes qui soient. Chacune disant à l’autre les mots qui sont en elles, Gertrude Stein et Ida, une seule femme, répétée à l’infini pour faire d’un être anonyme un personnage de légende.
Le colocataire
Après avoir fui une colocation désastreuse, Holly trouve refuge auprès de son ami Josh qui partage son logement avec une BCBG au bord de la crise de nerfs et un fondu d’informatique beau comme un dieu. Ce mystérieux colocataire nommé Addison ne quitte presque jamais son écran d’ordinateur, et pour nouer une relation avec lui, Holly devra traverser des situations toutes plus rocambolesques et loufoques les unes que les autres… Une comédie enlevée et irrésistible, à l’image de son héroïne, attachante et imprévisible !
Le sens de la nuit
« Depuis des années, la fin du jour condamnait Marge à une petite mort. Quand le soleil sombrait, elle se rendait compte combien son existence était vague, nuageuse, fragile, et son anxiété incommunicable. Pendant quelques instants, où qu’elle fût, Marge s’éclipsait. Pour certains esprits sensibles, c’est un passage qui révèle la dualité du clair et de l’obscur, du connu et de l’inconnu. Mais à d’autres, qui en sont franchement bouleversés, ce mystérieux passage dénonce un combat plus ambigu encore : le pur contre l’impur, le Bien contre le Mal. J’ai approché un assassin qui, dans la tradition des grands monstres du crime, devenait fou à la tombée du soir. « Le crépuscule excite les fous », écrit Baudelaire dans l’un de ses petits poèmes en prose ; puis il évoque la nuit comme un vrai moment d’espoir et d’apaisement. (Faut-il le croire ?…). On imagine plus volontiers Baudelaire, pris dans la fièvre nocturne de ses désirs, palper les ténèbres et se livrer à de sombres orgies. Mais revenons à mon assassin… »
280 recettes de cuisine familiale libanaise
Ouvrage présentant les recettes libanaises dans un contexte historique et littéraire. Chaque titre de recette est indiqué dans la langue du pays et en français. Le temps de préparation et de cuisson est indiqué. En fin d’ouvrage, douze menus pour le petit déjeuner (repas important au Liban), pour le déjeuner et pour le dîner.
Le chameau sauvage
Halvard Sanz est un gentil garçon. Signe particulier: doué pour les catastrophes en série. Il y a des gens qui n’ont pas de chance, mais qui, genoux à terre, toujours se relèvent. Halvard est de ceux-là. Quête initiatique, roman picaresque, amour allégorique, loufoques aventures servies par une verve intarissable… Mais le chameau sauvage dans tout ça? Quand vous en connaîtrez le principe, comme Halvard, vous verrez la vie différemment.
« Je m’appelle Thomas Drimm, j’ai 13 ans moins le quart, je n’ai l’air de rien, mais je suis en train de sauver la Terre. »
Thomas Drimm vit dans une société « idéale » où le bio, le diététiquement correct et la chance font loi. Mais un beau jour, cet ado ordinaire, nul en tout et en surpoids, d’un coup de cerf-volant, tue accidentellement le Pr Pictone. Et le scientifique de se réincarner dans l’ours en peluche de Thomas ! Il confie alors au jeune garçon un secret terrifiant, celui de l’Antimatière… Brenda, sa belle et impétueuse voisine, est la seule à lui venir en aide, et c’est tiraillé entre les sautes d’humeur de la jeune femme et l’esprit parano du vieux savant que Thomas va découvrir l’exaltant et périlleux destin réservé aux super-héros.
Cauwelaert prouve avec cette série que l’on peut divertir sans rien céder à l’exigence de sens. Trop bien !
Le néerlandais est une langue assez facile. Il est très proche de l’allemand et a de nombreux traits communs avec l’anglais ; côté vocabulaire, il a laissé au français (et à d’autres langues…) un lexique important. Autant de repères qui pourront faciliter votre apprentissage. Ajoutez-y les notes claires et précises qui accompagnent les 100 dialogues de cette méthode, et vous atteindrez le niveau de la conversation quotidienne en quelques mois.
La Querelle religieuse
Si l’on veut garantir pleinement la liberté religieuse, il faut permettre aux croyants des différentes religions de pratiquer leur culte. Dans la société pluriculturelle qui est aujourd’hui la nôtre, où se mêlent dorénavant les traditions religieuses, le libre exercice des cultes se heurte à de nombreuses difficultés. Désormais, la République française ne peut ignorer le fait religieux. Ce livre retrace l’histoire des relations entre les Églises et l’État depuis le début de notre ère jusqu’à aujourd’hui. Il contribue ainsi à éclairer le débat actuel et fait le point sur les problèmes posés par la montée des intégrismes, notamment du phénomène sectaire.
La tunique de soie
C’était au Viêt-nam en 1975, il était reporter… Il y avait la guerre et ses cohortes d’horreurs. Mais surtout, il y avait Jade et ils s’aimaient. Lorsque Saigon était tombée, leur vie avait volé en éclats. Il avait dû regagner la France avec les autres journalistes et laisser Jade. A Paris, il se morfond et ne peut l’oublier. Il sait qu’elle est en danger, que les vainqueurs lui reprocheront ses relations avec les étrangers. Désormais, il n’a qu’un but, l’arracher à cet enfer. Mais y parviendra-t-il, alors que le Viêt-nam s’est renfermé comme une plante carnivore ? Histoire d’une passion hors du commun, » La tunique de soie » est aussi un ardent plaidoyer pour un pays martyr.
Saison sèche
Un été torride frappe le Yorkshire. Asséché, le lac artificiel révèle les ruines du village englouti de Hobb’s End. C’est là que le jeune Adam, fasciné par ce fantastique domaine d’aventure, fait une découverte macabre : les os d’une main humaine, recouverts d’une croûte terreuse …
Qui a été inhumé ainsi, à la hâte, dans la remise d’une maison ? Comment reconstituer le drame qui s’est déroulé à Hobb’s End alors que la guerre brassait les populations, amenant au village des réfugiés de Londres bombardé et des soldats américains ?
Un défi pour Alan Banks, le policier mis sur la touche pour insubordination, et chargé de cette affaire à l’évidence inextricable.
Narcose
A Toulon, le lieutenant de vaisseau Alain Ménestrol assiste, avec sa jeune femme Patricia, au bal de la Marine. Les amis, la famille l’entourent, et ce qui devrait être pour lui une fête commence à devenir un cauchemar. Pourquoi? Que craint-il ? Et qu’espère-t-il en entraînant son épouse dans sa fuite soudaine? Une fuite que, bientôt, il vivra seul, traqué par des ennemis dont Patricia voudrait bien connaître le vrai visage. Car ces gens-là ne se contentent pas de menaces : ils torturent et ils tuent.
Dans ce captivant suspense, l’auteur de Yesterday fait découvrir un milieu qu’il connaît bien : la Marine, avec son code de l’honneur, ses servitudes, ses angoisses, ses joies. Mais pour la première fois dans son œuvre, Jean-François Coatmeur donne le premier rôle à un bouleversant personnage de femme : celle qui reste en marge et doit assumer non seulement l’éducation des enfants, les drames familiaux mais aussi la peur de l’inconnu : la jeune Patricia sera en effet brutalement confrontée à I’horreur.
Jugé coupable
Ce n’est pas par passion que Steve Everett est allé interviewer Beachum clans sa cellule. Les dernières impressions d’un condamné à mort, dix-huit heures avant l’exécution de la sentence, cela ne l’intéresse pas. Du sensationnel, du larmoyant. Du commercial…
Mais il lui faut bien écouter Franck Beachum, assassin d’une jeune femme enceinte. Et tandis qu’il lui prête une oreille distraite, peu à peu le doute s’insinue… Et si Beachum était victime d’une erreur judiciaire – voire d’un complot politique?
Alors, Everett décide de reprendre l’enquête, de dévoiler, coûte que coûte, ce que cache la version officielle, dans l’espoir de sauver la vie d’un homme.
Il lui reste moins de dix-huit heures.
Le passé n’oublie jamais
Le fait divers semble banal : la femme d’un écrivain américain vivant en France disparaît et le mari est soupçonné. L’affaire prend une autre ampleur lorsque la police découvre que, cinq ans plus tôt, cet homme a fui les Etats-Unis en changeant d’identité, alors qu’il allait être jugé pour le meurtre de sa première épouse. Une femme va tenter de dénouer les fils de cette histoire. Mais chaque mystère élucidé ne fait qu’en révéler un nouveau. La voilà à son tour prisonnière d’un labyrinthe sans issue. L’homme qu’elle veut sauver est-il un manipulateur ou n’est-il lui-même qu’un pion pris dans l’engrenage d’une histoire qui le dépasse ? Dans ce suspense ambigu où plane l’ombre du doute, l’auteur de Double je sonde les abîmes de l’identité et du sentiment en mettant en scène des personnages qui se cachent pour mieux se dévoiler.
Sukhoï
Le 31 août 1983, le Boeing coréen avec à son bord près de trois cents passagers est abattu par la chasse russe. Pourquoi ? Et si la réalité était un roman ? L’extraordinaire aventure d’un homme qui rêvait d’espoir et de liberté ? Récit d’un époustouflant coup de poker qui, six jours durant, oppose Américains et Soviétiques, Sukhoï déroule, heure par heure, un suspense hallucinant qui se transforme bientôt en une traque impitoyable. De New York à Moscou, de Washington à Irkoutsk, de Langley à Bielogorsk, entre la haine et la passion, les mailles du filet se resserrent…
Plus de 600 pages de suspense haletant… Précis comme une montre suisse, documenté, mais rapide et nerveux, c’est le premier roman d’un auteur français de trente ans, fonctionnaire international spécialiste des questions Est-Ouest. Un vrai travail de pro. Un nouveau Forsyth est né.
Mourir à 10 ans
Ils ont dix, treize, quinze ou dix-sept ans.
Il ont voulu mourir. Certains ont réussi. D’autres récidiveront. Tous ont cru que la mort était la seule issue à leur mal de vivre. Au-delà de la stupéfaction, de la douleur, des questions obsédantes : Pourquoi ? Comment déceler l’infime moment où tout peut basculer ? Comment redonner espoir et confiance à l’enfant ou à l’adolescent qui a accompli ce geste terrible ? Vous trouverez quelques réponses dans ce livre…
En suivant les itinéraires douloureux de dix enfants ; dans l’exposé du professeur Mazet ; dans les mots simples de Loïc qui, après la mort de Kévin, son petit frère âgé de dix ans, s’écrie : « La tête d’un enfant, c’est tellement petit qu’une parole suffit pour vraiment tout casser à l’intérieur. C’est fragile un enfant… »
A l’article de la mort
Jamais les murs blancs du Prescott Memorial Hospital n’auront été aussi angoissants… Alors qu’une OPA menace cette institution très charitable, plusieurs malades meurent de façon inexpliquée. Erreurs médicales en série ou… meurtres ? Kate Millholland, jeune avocate talentueuse, est la fille des fondateurs de Prescott. Elle est sur le point de clore l’affaire du siècle entre deux géants de l’informatique, et croit naïvement pouvoir s’offrir quelques jours de repos, quand sa mère fait irruption dans son bureau et la somme d’empêcher le rachat de l’hôpital. En acceptant cet épineux dossier, Kate ignore à quel point cette affaire est dangereuse. Le groupe HCC est-il prêt à tout pour racheter le Prescott Memorial Hospital ? A moins qu’un des médecins n’ait un intérêt bien personnel dans cette opération et n’hésite pas à tuer pour parvenir à ses fins..
Le Fantôme de Manhattan
Erik Muhlheim : un être dont nul n’a vu le visage. Ses traits sont, paraît-il monstrueux. Ne porte-t-il pas en permanence un masque qui les dissimule à la lumière ?
Quel est le secret de cet homme richissime qui ne sort jamais, n’a pas d’amis, aucune liaison connue ? D’où tient-il son pouvoir et ses ressources considérables ?
Devenu un homme d’affaires implacable, il tisse sa toile…
En ce New York du début du XXe siècle, Erik Muhlheim a décidé de mettre sa fortune au service d’un rêve : édifier un opéra qui rivalise avec le célèbre Metropolitan.
Coup de folie ? désir de revanche ? La seule femme qu’Erik ait jamais aimée, Christine, une cantatrice qu’il a rencontré à Paris douze ans auparavant, détient peut-être la réponse. Mais il y a des secrets qu’il est dangereux de révéler…
« Même si j’étais prêt à ne pas réagir à la forme de sa tête si différente de tout ce que j’avais pu voir jusque-là, je ne pus m’empêcher de rester un instant surpris (…) À présent, quoique sous le choc de ce que je découvrais, il m’apparaissait que d’autres formes d’humanité pouvaient exister… »
Dans un centre de recherche ultrasecret installé au Canada naît Homo pertinens, le descendant d’Homo sapiens… Les enfants de demain sont-ils la voie ouverte et l’avenir d’une humanité qui s’est, au fil du temps, détournée de la vie ? Dotés de facultés surprenantes, représentent-ils le devenir envisageable, peut-être même souhaitable, de notre réalité sapienne ? Au cœur d’un étrange et mystérieux projet Hp-1, quel rôle ont-ils accepté de jouer et vers quelle rencontre du troisième type vont-ils nous emmener ?
S’appuyant sur les dernières découvertes et évolutions scientifiques, et particulièrement sur les neurosciences et les technosciences, Daniel-Philippe de Sudres nous entraîne avec lui, dans un voyage stellaire où l’évolution de l’Homme se poursuit, où l’intelligence humaine la plus généreuse nous donne, non pas le droit, mais le devoir de participer à l’évolution du vivant, en aidant la vie elle-même, à travers nous, à évoluer.”
Mes amants, mon psy et moi
Règle n°1 : Ne jamais sortir avec son boss. Règle n°2 : Se méfier des promesses faites un soir de pleine lune sur plage déserte : elles ne survivent jamais au voyage du retour. Règle n°3 : S’il vit encore chez ses parents, il y a de fortes chances pour qu’il vous prenne pour sa mère et qu’il vous réclame de l’argent de poche. Ce roman drôlissime vous fera économiser les frais d’une épuisante et interminable analyse chez votre psy favori !
Fatal
A Chicago, une femme enceinte souffrant d’une banale grippe meurt après plusieurs hémorragies inexpliquées. A Boston, une musicienne succombe à son tour, le visage ravagé par une maladie inconnue. A Belinda (Virginie-Occidentale), un mineur de fond est pris de folie furieuse, et provoque un éboulement qui tue deux de ses collègues. Trouver le lien entre ces morts étranges pourrait se révéler fatal…
Matt Rutledge exerce la médecine à Belinda depuis cinq ans. Natif de l’endroit, il a décidé de s’y installer après ses études pour épouser Ginny, sa petite amie de toujours. Une autre raison a motivé ce retour : le père de Matt est décédé alors qu’il travaillait pour la mine de Belinda, et Matt a juré de mettre en lumière la responsabilité de l’entreprise. Lorsque Ginny meurt d’un cancer foudroyant, Matt est convaincu que son mal a été causé par les déchets toxiques de l’usine. Mais il lui faudrait des preuves…
Certains patients de Matt succombent à leur tour après avoir développé des symptômes très proches. Ces morts inexpliquées mettent le jeune médecin sur une autre piste : un vaccin révolutionnaire !
Un remède miracle
En essayant de soigner son père avec le Vasclear, médicament miracle censé guérir l’artériosclérose, le cardiologue Brian Holbrook découvre des effets indésirables que les fabricants ont dissimulés dans l’espoir de faire homologuer leur produit par la tatillonne FDA. Une course de vitesse s’engage alors entre le médecin, qui se fait enquêteur, et la direction de l’Institut qui escompte des profits faramineux. Quelques jours avant la signature officielle de l’autorisation de mise sur le marché, Brian tombe dans un guet-apens : des tueurs ont été commandités par la mafia tchétchène qui contrôle le laboratoire produisant le Vasclear.
Inavouable
Blewer, Texas. Une bourgade anonyme. Un ranch isolé. Une drôle de famille : Anna Corbett, jeune veuve sourde et muette, son fils David, son beau-père Delray. Un énigmatique vagabond, Jack Sawyer, et un shérif obses-sionnel à la retraite, Ezzy Hardge, pour compléter ce tableau immuable du grand Sud poussiéreux… Jusqu’au jour où revient sur les lieux de ses crimes Carl Herbold, dangereux meurtrier évadé, escorté de son frère Cecil. Avec pour seul but de se venger. Jusqu’à ce que, dans le Sud profond, à réveiller les fantômes du passé, devienne rouge sang le soleil immobile et violent. Un huis clos fulgurant de romantisme et de cruauté.
Phase terminale
Pour Helen, vingt ans, et ses parents, le verdict est tombé, brutal comme une condamnation à mort : la jeune fille est atteinte d’un cancer du cerveau en phase terminale. Un seul espoir : l’Institut Forbes, à Miami, spécialisé en cancérologie, où des rémissions spectaculaires ont été obtenues. Au même moment, Sean Murphy, un jeune chercheur en biologie moléculaire, décide d’y effectuer un stage. Là, il découvre avec inquiétude que, loin de lui faire partager leurs découvertes, les responsables de l’Institut les entourent d’un secret impénétrable. Le romancier de Virus et de Naissances sur ordonnance nous entraîne une fois de plus, au rythme d’un extraordinaire suspense, dans ces zones troubles où se croisent la performance médicale et les appétits financiers, où les prodigieuses avancées de la recherche moderne sont cyniquement compromises par les marchands d’espoir au prix fort.
Danger mortel
Pourquoi les patients du docteur Jason Howard meurent-il après un examen médical qui n’a rien décelé d’anormal ? Les autopsies ne révèlent aucun virus, mais un vieillissement soudain, brutal, des sujets. Lorsque son ami Hayes, célèbre généticien, meurt au moment où il allait lui confier le secret de sa découverte de la synthèse d’une hormone de croissance, Jason décide de percer le mystère. Hayes, qui avait pour maîtresse la jeune Carol Donner, étudiante, mais aussi danseuse dans un cabaret de Boston, menait une curieuse double vie. A qui a-t-il pu confier son secret ? A Carol ? A son assistante Helene, soudainement et horriblement assassinée par un mystérieux tueur psychopathe venu de Miami ?
Après Vertiges, Fièvres, Manipulations, Virus, Robin Cook entraîne une fois encore le lecteur dans une histoire où le suspense n’a d’égal que la formidable connaissance qu’a l’auteur du monde médical et scientifique.
L’affaire Crémonnière
Philippe Crémonnière a-t-il assassiné sa femme, Simone ? La justice le croit et l’a condamné à quinze ans de prison. Sa fille, Marie-Hélène, est persuadée de son innocence. Avec un avocat, Maître Porquès, elle lutte pour sa réhabilitation.
Le coupable présumé obtient la révision de son procès.
Il est innocenté et libre. Marie-Hélène retrouve un homme tourmenté, comme dévoré par un terrible secret. Porquès et elle décident de faire campagne pour dénoncer les incohérences de la justice. Il y aurait donc une » affaire Crémonnière « .
Dans ce roman, Henri Troyat donne toute sa mesure : portrait d’une jeune femme passionnée, mystère des sentiments entrecroisés, tout y est décrit d’une façon implacable et fascinante. A l’heure où la justice s’interroge, il apporte son témoignage au dossier, en écrivain conscient des problèmes de son époque.
Le vengeur
Une connaissance parfaite de la situation géopolitique et militaire internationale, un sens infaillible de l’action, un génie de la prospective : Frederick Forsyth est sans nul doute le maître du roman d’espionnage.
De l’enfer du Vietnam aux charniers de Bosnie et aux jungles de l’Amérique centrale, ce récit infernal d’une double traque nous entraîne dans les arcanes de la diplomatie. Un cauchemar d’une totale actualité où l’angoisse se mêle au meilleur suspense politique. Le grand retour de Frederick Forsyth.
Jardin Fatal
Marié avec Hélène et papa d’un petit Max-Max, Alan Falken mène une vie heureuse. Après avoir enseigné à l’université, il travaille pour la société américaine Rexmond comme directeur de recherche dans une unité française de biologie végétale. Passionné, il a même installé une serre avec des rosiers dans son appartement. Antoine, un de ses principaux collaborateurs, a mis au point un produit qui, administré à l’une des plantes, en modifie la structure et le comportement. Plusieurs matins de suite, Alan découvre sous ses fenêtres un moineau mort, puis plusieurs volatiles décapités. Un début d’explication se fait jour lorsqu’il se rend compte que le rosier traité par Antoine a quitté la serre. Est-ce cette plante qui, douée d’une activité cérébrale, a tué les moineaux ? Bientôt le chat Olibrius subit le même sort. Puis le rosier tente d’étrangler Max-Max. Un peu plus tard, Hélène, agressée par la plante dans son véhicule, est victime d’un accident. La mort verte vient-elle d’être inventée ?