Cuba – L’arme secrète
Fidel Castro se meurt. De l’autre côté du détroit de Floride, les États-Unis attendent avec appréhension l’inévitable lutte pour le pouvoir qui va se jouer sur cette île d’une inestimable valeur stratégique. Autre motif d’inquiétude pour le président américain : la conférence sur le contrôle des armements vient juste de commencer à Paris alors que les États-Unis ont dissimulé des armes secrètes sur leur base de Guantánamo Bay. Comment les faire disparaître ? Une des factions cubaines n’en a-t-elle pas découvert l’existence ? Seul le contre-amiral Grafton, à la tête d’un porte-avions au large de Cuba, a conscience du danger qu’il va devoir affronter. Lui seul peut sauver les États-Unis d’un désastre qui ferait passer la crise de la baie des Cochons pour une partie de plaisir.
Mes nuits sont plus belles que vos jours
Un homme, une femme, un hôtel, les draps d’un lit, la chaleur d’un mois de juillet, la lune et la mer: avec ces seuls éléments, Raphaële Billetdoux construit son roman qui a la rigueur d’une tragédie antique, où trois nuits sont toute une vie. Mes nuits sont plus belles que vos jours est le roman d’une rencontre. Toute rencontre est un risque ; à la première minute, aux premiers mots échangés, l’histoire, déjà est en marche. Chez Raphaële Billetdoux, violence et sensualité se confondent dans ce style qui est le sien, tout en couleurs et en éblouissements.
Le Temps en héritage
Un hameau ariégeois à la fin des années 50. Paul, 14 ans, qui vient de perdre ses parents, va désormais vivre chez son grand-père Sébastien, autrefois instituteur, dans sa ferme montagnarde. Plongé dans cette nature sauvage, ressentant aussitôt l’accord mystérieux des travaux, des jours et des saisons, le garçon éprouve une sorte d’enchantement. Interne au lycée de la ville voisine, il ne vit plus que pour les week-ends et les vacances, les joies de la chasse et de la pêche, l’exploration de la vieille demeure de Sébastien, les travaux des champs et de la vigne, les soins apportés aux animaux, et le sacrifice automnal du cochon…. Le récit d’une adolescence campagnarde d’autrefois passionne par son authenticité, sa simplicité, sa poésie. Ces « bonheurs d’enfance » retrouvés dans les Pyrénées ariégeoises épousent d’une certaine manière les joies et les peines des hommes depuis des temps immémoriaux.
De toute urgence
Au Samu, j’ai la réputation d’être rapide et efficace, je pourrais intuber les yeux fermés, piquer sans le moindre problème n’importe quel toxicomane aux veines bousillées, j’ai fait ça des centaines de fois, je vais vite, vite, d’habitude !»
Julie est médecin au Samu de Paris. Jeune, jolie, dynamique, elle aime cette vie trépidante, ce métier qui la passionne. Jusqu’au jour où… La veille de Pâques, sur l’autoroute de Nice… un accident tragique et banal. Julie est indemne mais son frère meurt sous ses yeux. Aurait-elle pu le sauver ? Peut-être. Peut-être pas. Qu’importe, elle sait qu’elle a perdu tous ses moyens, qu’elle a paniqué. Dès lors sa vie est un enfer.
Chevalier de l’ordre du mérite
Dès que je passe la porte de notre appartement, je me transforme. Sans plus aucune coquetterie, je retire mes escarpins, je jette mes vêtements dans la panière à linge sale.
Je m’attache les cheveux sur le sommet du crâne, remonte mes manches, et c’est parti pour le rodéo de l’ordre et de la propreté. Une chorégraphie d’un genre peu sexy, à laquelle je ne renonce que tombante de sommeil. Pauvre Adrien : il vit avec une mégère. L’image n’est pas folichonne.
C’est au bureau qu’ils vivent avec moi. Bien habillée, maquillée, coiffée. Pourquoi je me transforme? Pourquoi je n’arrive pas à suivre le mode de vie d’Adrien ?Pourquoi ça ne tourne pas plus… plus… plus carré ?
Sylvie Testud est comédienne. En 2001, elle a obtenu le César du meilleur espoir féminin pour Les Blessures assassines, et, en 2004, le César de la meilleure actrice pour Stupeur et tremblements. Son dernier roman, Gamines, est paru chez Fayard en 2006.
Bob Morane 26 – L’empreinte du crapaud
La jeune fille avançait vers le marais comme poussée par une force irrésistible.
On pouvait à présent distinguer l’étrange visage de l’énigmatique batelier qui semblait l’attendre dans la brume.
Soudain superstitieux comme tous les Ecossais, Ballantine eut un mouvement de recul :
— Ah ça, commandant, est-ce que ce serait…
— La mort, fit Bob Morane. Non, Bill, tu sais bien que la mort porte une faux. Or le guignol qui s’avance vers nous tient une gaffe.
Une nouvelle fois le redoutable rire monta dans la nuit. Chacun de ses coassements résonna tel un coup de gong.
Morane et Bill passèrent à l’action.
Les envahisseuses
Baby, Lati et Doll, trois jeunes créatures de la planète Nufon, débarquent sur la Terre en quête de sexe, de drogue et de rock’n’roll. Nées de l’union de Nufoniens et de Terriens, elles se démarquent incontestablement des leurs et décident un jour de retrouver leurs vraies racines. Dès leur arrivée à Sydney, elles kidnappent des Terriens pour tenter quelques expériences. Le premier de la série se prénomme Jake. Alors que Doll et Lati poursuivent leurs découvertes et assouvissent leurs fantasmes, Baby tombe amoureuse de Jake…
Cycle de Chalion – 2 – Paladin des âmes
La malédiction qui pesait sur la famille royale de Chalion a été levée. Cazaril peut enfin jouir de sa nouvelle vie en compagnie de sa femme Betriz.
En revanche, et bien qu’elle ait été libérée d’années de tourments fantomatiques, la vie d’Ista, la royina, elle, ne s’est pas améliorée.
Depuis que sa mère est morte et que sa fille, Iselle, règne sur Chalion dans la capitale de Cardegoss, elle n’a plus aucun but dans la vie. La famille de son frère pense qu’elle est folle et tente de la garder enfermée afin d’éviter le scandale. Mais à présent, Ista rêve de liberté, et elle est bien décidée à réaliser son rêve.
Un pèlerinage pour le salut de l’âme de sa mère semble l’excuse idéale pour échapper au confinement dont elle est victime. Mais au fur et à mesure que le voyage se déroule, Ista a le sentiment que les dieux la surveillent. Bientôt, ses craintes se concrétisent : son calvaire n’est pas terminé, car les dieux n’en ont pas encore fini avec elle.
A la veille du Jour de la Fille – la grande fête en honneur de la Dame Printemps, l’une des cinq grandes déités – un homme au corps et à l’esprit brisés avance lentement sur la route de Valenda. Ancien soldat et courtisan, Cazaril a survécu à l’indignité et à d’horribles tortures comme esclave à bord d’une galère ennemie. Aujourd’hui libre, tout ce qu’il cherche, c’est un travail subalterne dans les cuisines de la Douairière Provincara, dans la noble maison où il servit comme page durant sa jeunesse. Mais les dieux ont d’autres plans pour cet homme humble. Accueilli chaleureusement, vêtu et nourri, il est nommé, à sa grande surprise, secrétaire personnel et tuteur de la Royesse Iselle – la sœur, belle et obstinée, du garçon impétueux destiné à devenir le prochain seigneur du pays. Mais ce poste placera Cazaril à l’endroit qu’il craint plus encore que la mer : la cour royale de Cardegoss, où règnent l’intrigue et la trahison. A Cardegoss, les puissants ennemis qui avaient jeté Cazaril aux fers d’une rame riknari occupent à présent les positions les plus élevées du royaume, juste en dessous du Roya. Pourtant quelque chose de plus sinistre encore que leurs plans machiavéliques pend comme une épée au dessus de la famille royale : une malédiction sanguine qui touche non seulement ceux qui règnent mais également leur entourage. Le futur d’Iselle et de la Maison de Chalion semble compromis. La seule solution pour Cazaril est d’avoir recours à la plus noire des magies, mais pour cela, il devra sacrifier sa vie…
Bob Morane 20 – Les géants de Mu
Polytechnicien, polyglotte, commandant d’aviation, aventurier au grand coeur, Bob Morane traque le mal sous toutes les latitudes.Ses ennemis? L’Ombre Jaune, le Smog et bien d’autres. Son ami ? Bill Ballantine, avec qui il vit des aventures passionnantes.
Désert Brûlant
Il est risqué d’être honnête surtout quand on est avocat. Grégory, envoyé à Vienne par son cabinet parisien, découvre que l’affaire qu’il devait défendre est douteuse. Il abandonne le procès en cours. Aussitôt licencié, il est chômeur. Il n’a aucune envie de rentrer à Paris. L’une de ses relations, un avocat international, le retrouve et lui propose, pour cinquante mille dollars d’honoraires, une mission apparemment simple. Il faudrait accompagner, chez sa mère divorcée, à Long Island, la fille d’un aristocrate autrichien. Grégory, à court d’argent, tombe dans le piège. Bientôt, il découvre un château, un océan de fric et une fille superbe. Leur trajet sera celui de tous les périls. Lorsqu’ils traverseront le désert du Nevada, leur vie ne vaudra plus grand-chose. Une fois de plus, Christine Arnothy nous entraîne dans une intrigue à l’image de ce siècle où l’argent, la mort et l’amour s’entrechoquent. Pas une seconde à perdre, pour Grégory et Jennifer, s’ils veulent survivre ou tout simplement vivre… et peut-être s’aimer un jour.
Ainsi vivent les morts
L’hypothèse de départ émise par l’auteur est en phase avec les tendances post-modernes de la spiritualité : oui, il y a une vie après la mort, non pas en un lieu inaccessible mais juste devant nous. Une sorte de commune limitrophe à la grande cité de la vie, une banlieue que l’on atteint en prenant une bretelle d’accès ignorée par les vivants et en passant plusieurs péages plutôt douloureux et perturbants. Ceci étant admis, Will Self nous en donne la cartographie, le plan d’accès détaillé, s’appuyant pour cela sur une héroïne de synthèse qui va ainsi nous guider de vie à trépas. Lily Bloom, l’héroïne, princesse juive américaine, grande consommatrice de Camel et de Valium, agonise dans un hôpital de Londres. Elle se détache des êtres et des choses, s’extirpe de son enveloppe de douleurs charnelles et juge avec une acuité d’autant plus féroce ses enfants, ses maris, ses amants, ses bonheurs, ses erreurs et ses doutes. Puis, guidée par un aborigène australien, Lily explore les couloirs de ce monde parallèle qu’on nomme aussi la mort. Un parcours en forme d’expiation d’une mère ayant commis tous les pêchés du monde, en route vers une terra incognita des aveugles que nous sommes. À travers le portrait de Lily Bloom, l’auteur des Grands Singes bâtit un système de vérités morales, politiques et théologiques illustré par des visions personnelles et arbitraires qui restent cependant toujours accrochées à une réalité contemporaine. Une œuvre dense et complexe.
Mon cœur « ping-pong »
Libby a 27 ans et recherche le Prince charmant… qui n’existe pas. Elle doit donc choisir entre deux vies, deux hommes. Nick, écrivain sans le sou, follement séduisant mais allergique au mariage, ou Ed, richissime banquier, fou amoureux d’elle, un peu ennuyeux et affublé d’une horrible moustache. Lequel choisir ? Sait-elle seulement ce qu’elle veut ? Un grand amour ou un grand compte en banque ?
Le mal d’enfance
Juillet 1956 : dernier d’une famille pauvre de onze enfants, le « Petit » attend sa grande sœur, Hélène, de retour d’Afrique du Nord. Hélène, l’idole de son enfance, celle qui, entre les insultes et les scènes de violence d’un père alcoolique, a su leur donner un semblant de famille.
Hélène qui, encore une fois, vient lui offrir une chance inespérée et lui propose de finir ses études à Paris, chez elle. Mais, pour ce petit Méditerranéen qui aime la garrigue blanche, le cinéma en plein air, la voie ferrée qu’il faut traverser à toute vitesse pour éviter la locomotive, les baisers de Vivi dite « la Cigale », le choix est difficile. Pourtant, sa décision changera son destin…
Les enfants du vampire
Arkady Tsepesh a fui la Transylvanie afin de soustraire son fils nouveau-né, Stefan, au pacte qui le condamnerait, comme chaque aîné de chaque génération, à assouvir inlassablement l’inextinguible soif de sang de son sinistre ancêtre le prince Vlad. Mais Arkady lui-même n’a pas réussi à échapper à la malédiction familiale.
Une faim irrépressible le pousse à égorger les innocents qu’i rencontre au fil de ses pérégrinations européennes : ce n’est qu’à ce prix qu’il peut assurer sa survie et accomplir coûte que coûte sa mission : détruire le » Voievod » avant que ce dernier ne parvienne à lier définitivement Stefan au destin sanguinaire de la dynastie de Dracul.
L’herbe rouge
Serait-on heureux si l’on obtenait sur-le-champ ce qu’on désire le plus au monde? La plupart des gens répondent oui, le sénateur Dupont aussi.
Wolf, quant à lui, prétend que non. Pour le prouver, il va chercher l’objet des vœux du sénateur: un ouapiti.
A la suite de quoi, le sénateur Dupont tombe dans un état de béatitude qui ressemble fort à de l’hébétude. Bien que le sénateur Dupont ne soit qu’un chien, ce spectacle déprimant accroît encore la mélancolie de Wolf.
Vivre doit être autre chose qu’une oscillation de pendule entre cafard et sotte félicité. Pour en avoir le cœur net, Wolf utilise la machine qu’il a inventée avec l’aide de son mécanicien Saphir Lazuli.
D’une plongée à l’autre, qu’apprendra-t-il… et où plonge-t-il?
C’est le secret de L’Herbe rouge, qui est aussi celui de Boris Vian – sous le travesti de l’humour noir, il met en scène ses propres inquiétudes avec la frénésie d’invention burlesque qui l’a rendu célèbre.
L’assassinat du docteur Sarton jette le trouble. Qui aurait intérêt à faire disparaître celui-là même qui milite pour le rapprochement entre Terriens et Spaciens ? Les Médiévalistes, qui ne voient pas d’un bon oeil la prolifération des robots ? Les Spaciens eux-mêmes, prêts à tout pour conserver leurs privilèges ? Le problème du détective Baley n’est pas seulement de retrouver un meurtrier ; il doit y parvenir avant son collègue robot R. Daneel Olivaw, un de ces androïdes ultra-perfectionnés qui n’attendent peut-être que ce genre d’occasion pour prendre la place des hommes. Les robots ont imposé Isaac Asimov comme l’un des piliers de l’Âge d’or de la SF, dès les années 1940. Il est l’instigateur des fameuses et révolutionnaires trois Lois de la robotique, qui brisent le mythe du robot envahisseur ou aliéné pour en faire un être enclin au doute et à la contradiction.
Bob Morane 09 – L’archipel de la terreur
Bob Morane symbolise le héros de BD parfait ! Rusé, costaud, aimant le risque, prêt à lutter contre le mal, ce célibrissime agent des services secrets envoie tout valdinguer sur son passage en compagnie de Bill Balentine, son inséparable compagnon d’aventure. Polytechnicien, polyglotte, commandant d’aviation, aventurier au grand coeur, Bob Morane traque le mal sous toutes les latitudes. Ses ennemis? L’Ombre Jaune, le Smog et bien d’autres. Son ami? Bill Ballantine, avec qui il vit des aventures passionnantes.
Qumran
Le vol d’un des précieux manuscrits de la mer Morte, découverts en 1947 dans les grottes de Qumran, précipite Ary, jeune juif religieux, fils d’un archéologue israélien, dans une enquête jalonnée de cadavres. De cadavres crucifiés. Ceux des savants ou des prêtres qui ont eu entre les mains un de ces manuscrits … Quels terribles secrets renferment-ils donc, pour être toujours en grande partie soustraits, cinquante ans après, à la connaissance du public et des scientifiques ? Les énigmes qui entourent la vie et la mort de Jésus ont-elles donc des enjeux susceptibles de provoquer ces meurtres atroces ? Avec ce récit érudit et palpitant, dont l’intrigue se joue sur deux mille ans de l’histoire humaine, Eliette Abécassis nous donne — à vingt-sept ans ! — un formidable thriller théologique, que ne renierait sans doute pas Umberto Eco.
Souviens-toi
Menley et son mari Adam, brillant avocat new-yorkais, se sont installés pour l’été à Cap Cod, la station balnéaire chic, proche de Boston, avec leur petite fille. Une obsession pour eux : surmonter le traumatisme dû à la disparition accidentelle de leur premier bébé. Mais on ne parle à Cap Cod que de la mort d’une richissime jeune femme, et des soupçons de meurtre qui pèsent sur son mari, héritier de sa fortune. Dans le même temps, Menley a l’impression d’être environnée de menaces, dans la splendide demeure ancienne qu’ils ont louée, théâtre, deux siècles plus tôt, d’événements dramatiques… Et nous voici enfermés peu à peu, avec ce couple déjà si douloureusement éprouvé, dans un piège diabolique, comme sait seule les imaginer la romancière de La Nuit du renard (Grand Prix de littérature policière 1980) et de Nous n’irons plus au bois. De ce drame en un milieu hanté, lourd de crimes anciens et de rapines, Mary Higgins Clark, avec l’aide du diable qui aime les bons auteurs, tire un parti étonnant.
Son rire continue à retentir jusqu’à ce qu’il ait disparu dans les profondeurs des douves. Alors, on devait entendre le craquement de la glace qui se brise sous le poids de son corps, puis le « plouf » que celui-ci fait dans l’eau. Logique. Mais rien. Ni craquement ni « plouf ». Je me penche et regarde vers l’endroit où le quidam doit s’être englouti. Mais rien non plus. La glace couverte de neige paraît intacte. Et elle fait même plus que paraître intacte : elle est intacte.
Bob Morane 10 – La ville de nulle part
Bob Morane symbolise le héros de BD parfait ! Rusé, costaud, aimant le risque, prêt à lutter contre le mal, ce célébrissime agent des services secrets envoie tout valdinguer sur son passage en compagnie de Bill Balentine, son inséparable compagnon d’aventure. Polytechnicien, polyglotte, commandant d’aviation, aventurier au grand cœur, Bob Morane traque le mal sous toutes les latitudes. Ses ennemis ? L’Ombre Jaune, le Smog et bien d’autres. Son ami ? Bill Ballantine, avec qui il vit des aventures passionnantes.
Bob Morane 13 – Guerilla à Tumbaga
Un vieux « tramp » bourré d’armes, qui bourlingue à travers la mer des Caraïbes.
Deux clowns sinistres, une ancienne catcheuse de 224 kilos.
La guerre civile dans la petite république de Tumbaga.
Un vrai panier de crabes, dans lequel Bob Morane et Bill Ballantine seront plongés jusqu’au cou.
Mais ils n’ont pas leurs pareils pour arracher les pinces des crabes.
Avec les dents s’il le faut.
Les blondes – En Ch’ti
ÉDITION INTÉGRALEMENT EN CH’TI !!!! Quand Vanessa et ses copines décident de partir à la montagne puis à la mer, que font-elles ? Comme tout le monde: elles prennent une carte routière.Mais ce qu’elles ne font pas comme tout le monde, c’est tenir la carte dans le bon sens!!! Du coup, les voilà parties sans le savoir vers le Nord Pas-de-Calais, du pied des terrils à la braderie de Lille, du carnaval de Dunkerque aux plages de la Côte d’Opale, en passant par l’enfer de Paris-Roubaix !Il contient des gags inédits des Blondes réalisés spécialement à cette occasion.En cadeau, le jeu de l’oie des Blondes ! Quand Vanessa et ses copines alles déchid’tent ed’s’in aller à l’montane pis après à la mer, quo qu’ch’est qu’alles font ? Comme tertous, alles prenn’tent eune carte routière.Mais chou qu’alles font point comme tertous, ch’est ed’ténir cheulle carte dins l’bon sins !!! Du cop, les valà parties sins l’savoèr vers ech’Nord-Pas de Calais, du pied d’chés terrils à l’brad’rie ed’Lille, de ch’carnaval ed’Dunkerque à chés plaches de l’Côte d’Opal’, in passant par l’infer ed’Paris-Roubaix !Y a d’dins carabistoulles qu’in a cor jamais vues au sujet d’chés Blondes, et tout cha, cha a été fait spécial’mint pour l’occasion présinte. In cadeau, el’ju d’l’oie d’chés Blondes !
Valentine – Tome 2 – Seule et jolie
Se faire plaquer par son mec pour sa meilleure amie, aïe, c’est dur ! Valentine ne s’en remet pas. Surtout quand ils lui envoient leur faire-part de mariage !!! Après avoir lentement plongé dans une déprime noire, s’être focalisée sur une phobie pilleuse au point d’avoir des hallucinations de poil géant, Valentine est au plus bas ! Pour rassurer sa mère et renflouer les caisses de son psy qui ne sert à rien, elle accepte un départ en centre pour jeunes paumés, histoire de se réadapter à la société. Parfait exemple de la jeune célibataire désabusée et cynique, Valentine nous entraîne dans son monde aux critiques acerbes et aux traits d’humours farouches. Avec sa parodie désopilante des magazines féminins, Anne Guillard confirme son talent, imposant à sa vision déjantée et novatrice un dessin fraîchement contemporain. Avis aux consommatrices !
Avant d’aller dormir
Chaque matin, c’est le même effroi. La même surprise. En se découvrant dans la glace, Christine a vieilli de vingt ans. Elle ne connaît ni cette maison, ni l’homme qui partage son lit. Et chaque matin, Ben lui raconte. L’accident. L’amnésie… Ensuite, Christine lit son journal, son seul secret. Et découvre les incohérences, les questions, tout ce qu’on lui cache chaque matin, posément. Peut-être pour son bien… Peut-être pas.
Les coureurs de la fin du monde
Plus personne n’attend rien de bon, ni rien de grand, d’Edgar Hill. À 35 ans, il est un père et un mari absent, et un homme éteint. Mais le désastre, souvent, nous révèle à nous-même. Ayant survécu à une catastrophe planétaire, mais séparé de sa femme et de ses enfants par plus de 800 kilomètres, Edgar n’a qu’une seule option pour les rejoindre. Courir. Courir jusqu’à l’épuisement. Dépasser ses limites. Se battre contre lui-même. Et contre les dangers qui, tout au long de sa traversée d’un Royaume-Uni dévasté, menaceront jusqu’à sa survie même. S’il n’arrive pas à temps, il perdra sa famille. Pour toujours…
Alaska
En Anglais In this sweeping epic of the northernmost American frontier, James A. Michener guides us through Alaska’s fierce terrain and history, from the long-forgotten past to the bustling present. As his characters struggle for survival, Michener weaves together the exciting high points of Alaska’s story: its brutal origins; the American acquisition; the gold rush; the tremendous growth and exploitation of the salmon industry; the arduous construction of the Alcan Highway, undertaken to defend the territory during World War II. A spellbinding portrait of a human community fighting to establish its place in the world, Alaska traces a bold and majestic saga of the enduring spirit of a land and its people.
Qumran
Le vol d’un des précieux manuscrits de la mer Morte, découverts en 1947 dans les grottes de Qumran, précipite Ary, jeune juif religieux, fils d’un archéologue israélien, dans une enquête jalonnée de cadavres. De cadavres crucifiés. Ceux des savants ou des prêtres qui ont eu entre les mains un de ces manuscrits … Quels terribles secrets renferment-ils donc, pour être toujours en grande partie soustraits, cinquante ans après, à la connaissance du public et des scientifiques ? Les énigmes qui entourent la vie et la mort de Jésus ont-elles donc des enjeux susceptibles de provoquer ces meurtres atroces ? Avec ce récit érudit et palpitant, dont l’intrigue se joue sur deux mille ans de l’histoire humaine, Eliette Abécassis nous donne — à vingt-sept ans ! — un formidable thriller théologique, que ne renierait sans doute pas Umberto Eco.
Ambiguïtés
Instituteur au chômage, Simon ne parvient pas à oublier Anna, qu’il aime sans retour depuis dix ans. Un après-midi, sans que rien ne laisse présager de son geste, il enlève le petit garçon de la jeune femme à la sortie de l’école. Crime d’un pervers masqué en héros romantique ? Acte désespéré d’un homme détruit par le chômage ? Ultime tentative d’un amoureux transi pour attirer l’attention de celle qu’il aime ? Sept personnages, tous impliqués à des degrés divers dans l’événement, tentent de trouver une explication à ce geste. Au travers de leurs témoignages, ils parlent aussi d’eux, de leur souffrance à vivre dans une société convertie au culte de l’argent, et de leur espoir qu’il y reste encore, malgré tout, une place pour la poésie et l’amour fou.
Mon seigneur et maître
Tehmina Durrani à 21 ans lorsqu'elle tombe amoureuse de Mustapha Khar, le « Lion du Penjab ». II a vingt ans de plus qu'elle, il est l'un des hommes politiques les plus influents du Pakistan. Longtemps, il vont symboliser le couple moderne idéal. Unis dans leur combat auprès de la famille Bhutto, complices en amour… Personne ne soupçonne qu'en privé, Tehmina vit un véritable enfer ; que son mari la trompe, l'humilie, la bat avec une violence et une cruauté inouïes. Conditionnée par son éducation, anéantie par la souffrance, Tehmina s'est tue longtemps. Un jour, pourtant, elle a décidé de briser le silence et de conquérir sa liberté. Malgré la peur, les difficultés, les représailles, elle a lutté. Pour elle, pour les autres femmes, pour que certains hommes cessent d'être des geôliers et de bourreaux…
For ever
Dans quelques jours, regan reilly dira « oui » à Jack, son fiancé, le chef de la brigade des enquêtes spéciales. pour l’occasion, la célèbre détective privée doit être habillée par deux stylistes new-yorkais. Mais leur atelier est cambriolé, et sa robe, envolée ! Il ne lui reste plus qu’à prendre l’enquête en main. au même moment, Jack est chargé de résoudre une série de hold-up qui sème la panique dans le monde des banquiers. Sans se douter que les deux affaires, dangereusement liées, risquent de compromettre leur mariage…
La caverne des Anciens
Une religion peut-elle se targuer de détenir seule la vérité ? Un homme peut-il être damné éternellement pour avoir enfreint des préceptes religieux ? Lobsang Rampa révèle ici combien les Lois de la Vie sont simples et nous dévoile la science enseignée par nos ancêtres les plus lointains, qu’on trouve inscrite dans les pyramides d’Egypte, dans les antiques temples des Andes. Et, surtout, dans le plus important reliquaire des connaissances occultes qui soit au monde : les hauts plateaux du Tibet qui recèlent la prodigieuse » caverne des Anciens « .
Un chien mort après lui
Au début de ‘Moby Dick’, Ismahel, sur le point d’embarquer observe que le capitaine du Péquod porte le nom d’un roi biblique qui était ‘fameusement impie’, et dont le corps fut livré aux chiens. Nombreux sont les héros de la guerre de Troie qui n’échappèrent que de justesse au sort. Ainsi les rapports entre l’homme et le chien ne se bornent-ils pas à cette gentille histoire, aux circonstances controversées, de la domestication de l’un par l’autre : autant que la littérature universelle, les chiens errants sont là pour nous le prouver. Et c’est sur les traces de ces derniers que l’auteur d »Un chien mort après lui’ parcourt le monde depuis les banlieues de Moscou jusqu’aux confins des déserts australiens
ETUDE DE L’OEUVRE – Résumés commentés, Thèmes majeurs, Sujets ‘entretien, Q.C.M. Spécial Programme Premières …
Résumé de l’oeuvre : Outre l’irréductible échéance liée à la mort, outre les multiples et indicibles souffrances, n’est-il pas donné à tous de choisir son destin ? Certes la vie est tragique mais elle doit avoir un sens. Un sens, peut-être des sens, mais seuls quelques-uns aux vertus salvatrices s’offrent aux hommes pour les affranchir de leur condition. La Révolution, au nom d’une foi en la fraternité, est une arme tournée contre la misère, celle qui enchaîne l’homme parce qu’elle le prive de sa dignité. Vaincre l’humiliation en leur nom propre ou pour les autres par le biais de la Révolution, voici le combat que se sont choisis les héros de La Condition humaine. Pour échapper à l’angoisse de « n’être qu’un homme », l’amour est un autre de ces moyens, mais seul l’amour véritable et fusionnel qu’éprouvent Kyo et May l’un pour l’autre est susceptible de briser la profonde solitude des êtres. Misérable humanité, humanité héroïque et grandiose, c’est « la condition humaine »… Elle résonnera à jamais comme un écho au fond de soi, tant il est vrai que ce roman est « d’une intelligence admirable et, malgré cela, profondément enfoncé dans la vie, engagé, et pantelant d’une angoisse parfois insoutenable », comme l’avait écrit Gide.
Lorenzaccio
Lorenzino, Lorenzetta, Renzo, Renzino: Musset module à l’infini les surnoms et les masques pour désigner Lorenzo de Médicis, androgyne à l’aspect maladif qui nourrit en secret un projet terrible. Lorenzaccio, cousin et favori du duc Alexandre, est un modèle de débauche qui a pourtant ses entrées chez ceux qui la déplorent. Il sait que son acte, désespéré mais nécessaire sur le plan privé, sera récupéré par le flux, transformé en geste public dérisoire sur le plan universel. De tirades cyniques en monologues poignants, Musset trace les contours d’une silhouette fantasmagorique qui se détache d’une Florence en pleine déchéance. Pris au piège de son jeu bien plus qu’Hamlet, Lorenzaccio cultive son drame. Non pas comme d’autres romantiques cultivent leur mélancolie, mais parce que c’est le seul lien qui lui reste avec la réalité. Musset, après l’échec cuisant de La Nuit vénitienne, décide de composer ses pièces sans les faire jouer. Son œuvre sera donc un théâtre de spectres et de visions fugitives où l’individu fait place à des types humains participant à l’histoire, modelée à souhait par un enfant, non pas du siècle mais de tous les temps. Sana Tang-Léopold Wauters
Le Misanthrope
Le Misanthrope est une comédie sombre de 1666, dont l’intrigue paraît simple : un homme essaie d’obtenir un rendez-vous en tête à tête avec la femme qu’il aime – et n’y parvient pas. Cet homme excessif, Alceste, défend la sincérité absolue. Mais la jeune femme, Célimène, qui reçoit bien des hommes dans son salon, aime plaire… Qui a tort et qui a raison, des inadaptés sincères ou des hypocrites trop bien adaptés ? Entre le rire et les larmes, Molière se garde bien de nous donner une réponse.
Et aussi :
Molière et son temps
A propos de l’œuvre
Parcours thématique
Annexes
Aria (30) – Renaissance
Après un long coma où l’avait plongée la foudre qui l’avait frappée, Aria se réveille enfin. Mais elle ne sait plus qui elle est. Sa mémoire est vide. Seul reste un cauchemar où elle se voit se consumant sur un bûcher. Et aussi un nom qu’elle crie de toutes ses forces, comme pour le chasser de son corps : Sacrale ! Sacrale ! Autour de son lit, des hommes croient voir renaître en elle une figure emblématique de leur histoire. Sacrale avait lutté un siècle plus tôt contre les envahisseurs. Son combat l’avait conduite en martyr sur le bûcher. Pour ces hommes, il ne fait aucun doute que cette jeune femme sans nom est la réincarnation de Sacrale ! Le combat peut reprendre…
À l’occasion de la sortie de son trentième album, Aria a tenu à exprimer sa reconnaissance aux fidèles lecteurs de ses aventures, à travers un cahier supplémentaire de 16 pages qui complètera l’album. Aria nous y donne à (re)lire deux mini-récits, La naissance d’Aria et Là n’est pas ton destin.
Aria (29) – La poupée aux yeux de lune
De retour en Arnolite
Aria, flanquée du nain Crafouille, fait route vers son château en Arnolite. La fidèle Rexanne, qui s’y morfond seule depuis son départ, guette désespérément son retour. Non loin de là, une troupe de saltimbanques donne de porte en porte de macabres représentations : armé d’une marionnette au regard hypnotique, un ventriloque commence par « séduire » ses hôtes de circonstance, la troupe entière s’introduit ensuite dans le logis, exécute toute la maisonnée, fait main basse sur tous les objets de valeur et reprend enfin sa route vers de prochaines victimes. Tandis qu’Aria aperçoit enfin les tours de son château, Rexanne ouvre la porte au ventriloque et à sa marionnette…
Pas de repos pour les aventurières !
Avec La poupée aux yeux de lune, vingt-neuvième épisode de la série « Aria », Michel Weyland nous donne à lire une histoire aux multiples rebondissements. Le temps n’a aucune prise sur Aria, qui a plus que jamais l’aventure chevillée au corps !
Aria (28) – L’élixir du diable
Qui s’y frotte s’y pique
Aux abords d’une forêt mystérieuse, Aria, Sacham et Marvèle s’apprêtent à passer une nuit qu’ils espèrent réparatrice. Aria a sorti ses deux krylfes de leur boîte. Les petits scorpions ailés ont besoin de se dégourdir un peu. Mais ceux-ci restent étrangement prostrés, comme si un danger les menaçait. C’est alors qu’une nuée de krylfes se met à tournoyer dans les airs, au-dessus de leurs têtes. Croyant bien faire, Aria exhorte ses deux « amis » à rejoindre l’essaim, jugeant qu’il est temps pour eux de couper le cordon, d’aller vivre leur vie de krylfes parmi les krylfes. Se sentant rejetés, le coeur serré, ils finissent par s’envoler, sans même un au revoir. Dès le lendemain, Aria comprend qu’elle a brisé quelque chose comme un serment d’amitié. Les amis d’un jour sont parfois les ennemis du lendemain…
Avec « L’Élixir du diable », vingt-huitième aventure d' »Aria », Michel Weyland nous donne à lire une histoire extrêmement touchante. Une histoire d’amitié entre notre héroïne et ses deux krylfes, deux minuscules créatures finalement plus humaines que beaucoup d’hommes. Une histoire où l’humour est également très présent, avec l’apparition d’un nouveau personnage, un nain au mauvais caractère mais particulièrement truculent, répondant au nom de Crafouille.
Aria (23) – Le Poussar
Monstre et marécage
Aux confins d’une vallée hostile, constellée de sables mouvants et constamment baignée par une brume insolite, se terre Théor de Talébert, farouchement protégé par le monstre Ollo. Pour assouvir sa vengeance, Théor a volé un poussar, talisman indispensable à la survie d’un enfant. Indignée par cette ignominie, et décidée à tenter l’impossible pour récupérer le poussar, Aria s’aventure, seule et farouche, dans le marais d’où nul, jusqu’alors, n’est jamais revenu.
Une belle humanité
Avec « Le Poussar », vingt-troisième titre d' »Aria », Michel Weyland donne à l’Heroic Fantasy une touche singulière, empreinte d’une belle humanité.
Les blondes 8 – Le grand huit
Vanessa part en vacances et quand on lui demande où elle est, elle vous répond à 110, d’ailleurs, elle doit rappeler (110 rappel). Rentrée chez elle, elle fixe une barre à exercice, mais celle-ci lui pose des problèmes. Ensuite, elle passe un test. La fille de ta mère n’est pas ta sœur. Qui est ce? C’est Sarah. ce qui génère une vraie compétition avec l’académie des brunes. Ensuite, elle passe quelques bons moments avec sa nièce à qui elle apprend à faire ses lacets, à aller à la piscines et plein d’autres. Vanessa toujours en forme donc dans ce 8ème tome de ses …. aventures.
Les blondes 7 – James Blondes 007
Vanessa a de nombreux problèmes, que se soit avec sa voiture et son moteur qui ne marche pas (bizarre cette vitesse rallye) ou avec des entretiens d’embauche (on lui demande ses prétentions alors que Vanessa est tout sauf prétentieuse). Heureusement, elle peut compter sur sa nièce pour passer de bons moments, et sur ces amies (surtout celles de l’académie des blondes). Mais le pire arrive quand elle va aux toilettes et qu’on lui pose des questions. Vanessa est donc toujours en forme dans ce 007 tome de ses aventures.