Les blondes 5 – Qui dit mieux ?
Vanessa en a marre qu’on se moque des blondes et décide de se déguiser en brune, mais malheureusement, on la reconnaît. Elle décide alors de partir en vacances, mais là encore, elle a quelques problèmes. Sa pauvre nièce aussi n’est pas arrangée, que se soit au ski où à la mer. Heureusement, tout le monde trouve un peu de repos à l’académie des blondes. Là on participe à des échanges avec d’autres académies, on passe des examens pas facile, et on apprend à applaudir. Bref, la vie est encore agitée pour nos chères blondes.
Les blondes 4 – Plus blonde que jamais!
Vanessa a décidé de faire du sport et adapte quelques conseils. Elle apprend assez vite que si ceux-ci fonctionne pour l’athlétisme, ils sont moins efficace en natation. Elle dois ensuite répondre à des devinettes, mais celles-ci ne sont pas toujours faciles. Heureusement, pour se ressources, elle participe à des jeux télévisés, va à l’académie des blondes et reçoit la visite de sa nièce. Elle n’échappe malheureusement pas au petit tracas quotidien et se retrouve de temps en temps à l’hôpital. Alors un jour, notre cher Vanessa décide de devenir brune pour qu’on ne se moque plus d’elle car elle est blonde;. Y arrivera-t-elle ?
Les blondes 2
Stéréotypes et fantasmes se mêlent pour aboutir à la conclusion suivante : les hommes préfèrent les blondes ! Belles, séduisantes, naïves, gourdes et maladroites, ils les convoitent, ils les exhibent comme un trophée puis… ils se lassent. Comme toutes bonnes choses, il ne faut donc pas en abuser… Sauf pour en rire ! Laissez-vous séduire par Les Blondes, un album de gags hilarants. Et qui sait peut-être en riront-elles également. (Enfin, si elles les comprennent…)
Aria (15) – Vendéric
Aria croise la route d’un étrange poète … Vendéric.
Mourant, celui-ci lui confie une mission : la libération des contrées asservies par l’empereur Cirénodule. Les instruments de sa mission ? Une harpe et des sceptres de lumière…
Aria (14) – Le voleur de lumière
Aria part à la recherche de sceptres lumineux au pouvoir étrange, confiés par son père à un ami, dans son village natal. Pour les récupérer, elle devra affronter Aménophar, un terrible tyran…
Aria (07) – Le tribunal des corbeaux
Pour délivrer Zdaïne, enlevée par de mystérieux cavaliers, Aria et ses compagnons pénètrent dans une ville inquiétante où d’étranges corbeaux règnent en maîtres…
Aria (06) – L’anneau des elflings
Convoités par d’ignobles chasseurs, les arbres-elfings ou elfes-fleurs vont trouver en Aria une alliée aussi séduisante que déroutante …
Une vie de chien
Dans le sud de la France, à travers les aléas de la vie de » Boy « , un chien à qui il prête une conscience et l’usage d’une voix intérieure, Peter Mayle se fait le porte-parole de la condition canine, en même temps qu’il se sert de cette métaphore animalière pour pointer quelques travers de la condition humaine.
Boy passe ainsi en revue les propriétaires d’animaux domestiques, les chasseurs, les dresseurs, les couples et leurs amis… Car ce chien n’est pas n’importe qui, fervent admirateur de Proust, ses propos ne manquent pas de mordant! Avec un humour ravageur, chacune des aventures de ce » meilleur ami de l’homme » façonne le portrait, ironique et parfois peu flatteur, de nos propres mœurs.
Aria (05) – Les larmes de la déesse
Pour s’être abreuvé aux larmes amères de la déesse, Gore l’esclave devient Gore le mutant. À la tête de ses Chevaliers d’Aquarius, il va raser, brûler, exterminer…
Aria (04) – Les chevaliers d’aquarius
Guerrière farouche, pourtant rompue à lutter corps et âme contre le Mal, Aria a peur. Peur de l’eau tranquille d’un lac, d’où surgissent de mystérieuses créatures à l’aspect repoussant…
Chaque femme est un roman
« Parfois, il me semble que les femmes sont des tremplins vers le fabuleux. Ecrivaines pour la plupart non pratiquantes, elles produisent de la prose intérieure destinée à tromper leurs déceptions et à soigner leurs rêves. Changent-elles de métier, d’amant ou d’opinion ? C’est d’abord une césure, un rebond de style, un chapitre qui se tourne. Adressent-elles une œillade à un passant ? C’est un best-seller qui débute. Depuis mon plus jeune âge, je sais que chaque femme est un roman. Voici en quelque sorte mes études littéraires, blondes et brunes. »
Depuis plus de vingt-cinq ans, le Dr Bernie S. Siegel s’occupe de patients atteints de maladies graves – cancer, sida, maladies à hauts risques… – réputées souvent incurables. Or il délivre ici un formidable message d’espoir et de combativité : il invite les malades à ne pas se laisser enfermer dans un pronostic fatal, à ne pas remettre leur sort entre les mains d’autrui, pas même celles des médecins, et surtout à se montrer pleinement actifs dans le traitement. Convaincu de l’influence de l’esprit sur la matière, et de l’importance du moral dans la guérison, ce médecin peu ordinaire a mis au point une forme de thérapie qui permet à chacun de développer sa créativité et de mobiliser toutes ses ressources contre la maladie. Mais le Dr Siegel évoque aussi bien des difficultés rencontrées par l’équipe médicale (comment annoncer avec humanité un diagnostic ?), ou par l’entourage du patient (comment soigner un enfant malade ? Comment ne pas craquer lorsqu’on vit avec un grand malade ?). Et même : comment ne plus considérer la maladie comme un châtiment ? Comment regarder la mort en face ? Comment entourer un être aimé dans ses derniers instants ? Un livre généreux, plein d’amour et d’humanité, qui permet de mieux comprendre cette épreuve pour mieux la surmonter.
L’amour maternel est-il un instinct qui procéderait d’une » nature féminine « , ou bien relève-t-il largement d’un comportement social, variable selon les époques et les mœurs ? Tel est l’enjeu du débat qu’étudie Elisabeth Badinter, au fil d’une très précise enquête historique menée avec lucidité mais non sans passion.
L’amour en plus, un livre passionnant, dérangeant.
L’affaire Saint-Fiacre
Livre en mauvais état. Un grattement timide à la porte; le bruit d’un objet posé sur le plancher, une voix furtive: » Il est cinq heures et demie! Le premier coup de la messe vient de sonner…
» Maigret fit grincer le sommier du lit en se soulevant sur les coudes et tandis qu’il regardait avec étonnement la lucarne percée dans le toit en pente, la voix reprit: » Est-ce que vous communiez? » Maintenant, le commissaire Maigret était debout, les pieds nus sur le plancher glacial. Il marcha vers la porte qui fermait à l’aide d’une ficelle enroulée à deux clous. Il y eut des pas qui fuyaient, et, quand il fut dans le couloir, il eut juste le temps d’apercevoir une silhouette de femme en camisole et en jupon blanc.
Alors il ramassa le broc d’eau chaude que Marie Tatin lui avait apporté, ferma sa porte, chercha un bout de miroir devant lequel se raser.
Aria (21) – La griffe de l’ange
Enfin, l’enfant d’Aria vient au monde. Cornu, couvert d’écailles, des griffes prolongeant les mains. Pourquoi est-il né ainsi? Qu’est-il vraiment ? Ange ou démon?
Aria (20) – La fleur au ventre
Aria est enceinte.
Pour élever son enfant en toute sécurité, elle décide de rejoindre l’Arnolite, le pays de ses amis les frônes. Mais à l’approche de la terre promise, Aria sent une sourde inquiétude l’envahir…
Les gens d’en face
Livre en mauvais état. » Comment ! vous avez du pain blanc ! » Les deux Persans entraient dans le salon, le consul et sa femme, et c’était celle-ci qui s’extasiait devant la table couverte de sandwiches joliment arrangés.
Or, il n’y avait pas une minute qu’on disait à Adil bey :
» – II n’existe que trois consulats à Batum : le vôtre, celui de Perse et le nôtre. Mais les Persans sont infréquentables. »
C’était Mme Pendelli qui parlait ainsi, la femme du consul d’Italie, et celui-ci, affalé dans un fauteuil, fumait une mince cigarette à bout rose. Les deux femmes se rejoignirent en souriant au milieu du salon au moment précis où des sons, qui n’avaient été jusque-là qu’une rumeur vague dans la ville ensoleillée, s’amplifiaient et soudain, au coin de la rue, éclataient en fanfare.
Alors tout le monde gagna la véranda pour regarder le cortège.
Le bonheur
Un homme et une femme. Ils se plaisent, s’évitent, se trouvent. Ils font l’amour. Sans un je t’aime. Alors commence le bonheur. Mener deux vies, l’une officielle et l’autre non. Mettre le sexe au centre de tout. Croire à ce bonheur-là.
J’ai vingt ans et je couche dehors
Vingt ans. D’aucuns vous diront que c’est le plus bel âge de la vie. Celui où tout vous sourit. Le temps des amours et des fous rires. Le temps de l’insouciance et des espérances. Pas pour tous ! Enfant ballottée au gré des crises parentales, Lydia n’a pas choisi. Depuis toujours elle subit. Violence, solitude, abandon… De l’amour elle ne connaît que le nom, de la chaleur elle ne sait que la brûlure. De la ville, elle a appris les bouches de métro, la rue et ses souillures… Avoir vingt ans aujourd’hui et dormir dehors ! Comment ? Pourquoi ? Après un combat titanesque contre les rigueurs institutionnelles, le silence et l’indifférence, Lydia nous livre sa quête désespérée pour sortir de la rue. Jungle sordide où chaque jour meurent les plus falbles… Là… En bas… A côté de chez nous…
Lacrimosa
«Vous étiez dans les bras de votre mère. Vierge à l’Enfant, Pietà, mais en guise de crucifié c’était seulement une jeune femme qui s’était pendue. Quand leurs filles meurent, les femmes en redeviennent grosses jusqu’à la fin de leur vie. Leur ventre est beaucoup plus lourd que la première fois.»
Vacances dans le coma
Une nuit dans la vie d’un somnambule. Le héros, un jeune homme dans le vent, se rend à l’ouverture d’une boîte de nuit place de la Madeleine, à Paris. Il avait l’illusion d’une paisible chasse à la femme. Il y découvre la monstruosité d’une fête qui sera peut-être la dernière, des voisines liftées et mortes au désir, des jeunes filles à la respiration coupée par la cocaïne, un monde qui danse pour s’étourdir. On ne dira pas la fin, qui réserve une surprise et penche tout d’un coup du côté de Jacques Chardonne. Une fin sereine… « Huis clos étant déjà pris, j’ai choisi Vacances dans le coma », dit ironiquement l’auteur déjanté de ce roman de la nuit, qu’une longue expérience du night-clubbing alcoolisé a inspiré.
La mort des bois
Malade, Élise est privée de tout mouvement, de la parole et de la vue. Les jours défilent sans espoir d’aucun contact avec autrui, jusqu’à ce que Virginie, 7 ans, s’approche et lui délivre un terrible secret : un tueur d’enfants rôde, elle l’a vu à l’œuvre. Lorsque les médias confirment ses dires, l’incapacité d’Élise à communiquer revêt un tout autre sens…
En plaçant l’intrigue policière entre ces mains impuissantes, Brigitte Aubert ménage un suspense à double niveau, brillamment orchestré.
L’intrus
– Où essayez-vous d’aller, madame ?
– A Jefferson.
– Jefferson, vous lui tournez le dos, Madame.
– Je sais, il a fallu que je fasse un détour à cause d’un arrogant et insupportable nègre qui a mis sans dessus dessous tout le comté, lequel soutient mordicus qu’il a assassiné un blanc.
Le secret des Andrônes
Un vrai cadavre est balancé du haut de la citadelle de Sisteron au cours d’une représentation théâtrale. Le commissaire Laviolette, retraité de la police, était dans le public. Dès lors, il n’a de cesse de percer le mystère de ce crime, le premier d’une série.
Les charbonniers de la morts
Un homme noir à l’odeur de forêt arrive à Combe-Madame, dans la montagne de Lure. Il apporte un précieux adjuvant au produit aphrodisiaque que son frère Attilio, pauvre charbonnier, vend aux notables du village. Le petit Rosito est déjà parti sur son âne livrer les cornets de poudre pour la fête « galante » de la Saint-Pancrace. Le président Serenne, le notaire Boutedieu et sa « particulière » meurent d’amour. Le minotier se jette dans une fosse. Le conseiller d’Ardantes et le sous-préfet sont malades. Un seul indice pour le brigadier Laviolette : un rempailleur de chaises a croisé un enfant sur un âne, qui portait dans sa main comme un bouquet de cornets gris, et laissait derrière lui une odeur de souris. D’autres savent et se taisent. Et voilà que le mystère s’épaissit encore, se complique d’autres morts, et que de plus en plus de monde semblent mêlé à cette énigmatique affaire…
A défaut de génie
665 pages – « J’ai essayé d’avoir pour moi, à défaut d’admiration, une tolérance bougonne », déclare François Nourissier. On ne saurait être plus proche et plus intransigeant avec soi-même. La sentence peut paraître exagérée de la part de cet homme de lettres qui a obtenu ce que l’on peut espérer de mieux dans ce milieu : la gloire et la reconnaissance. Écrivain à succès depuis plus de trente ans, critique avisé, membre de l’Académie, à soixante ans passés, Nourissier n’aurait plus rien à attendre du monde des lettres. Il a déjà tout eu. C’est un des rares enfants chéris du milieu. Et pourtant, il n’a jamais autant écrit. Il bouillonne d’insatisfaction. Loin de la retranscription chronologique, de l’approche systémique ou du règlement de compte aigri. À défaut de génie est un modèle d’autobiographie en liberté. Comme pour Montaigne, l’exercice autobiographique n’a de sens pour Nourissier que si l’on devient soi-même « la matière de son livre ». Il y parvient.
Le cycle d’Opar II – Hadon, le guerrier
Au cœur du mythique continent africain, dix mille ans avant notre ère, Hadon rêve de reconquérir le trône de sa glorieuse cité. Mais il lui faut d’abord se battre pour la belle Lalila, qui porte désormais son enfant. Traqué par les armées du tyran Minruth, le courageux guerrier devra affronter mille péripéties avant peut-être — de parvenir à ses fins.
« Avec Hadon, Farmer a réé l’une des figures les plus abouties du héros mythologique. »
Après Un trône pour Hadon, Hadon le guerrier poursuit un cycle d’une efficacité redoutable, par l’un des maîtres incontestés des littératures de l’imaginaire. Auteur culte (la Saga des hommes dieux, Le Cycle du Fleuve de l’éternité), Philip José Farmer fut couronné par les prix les plus prestigieux (prix Hugo, prix Nebula, World Fantasy Award).
Tolérance Zéro
L’inspecteur Win, détaché auprès du procureur du Massachusetts, est rappelé par Monique Lamont, une femme aussi séduisante que redoutable, qui lui annonce son intention de se présenter au poste de gouverneur. En guise de programme, elle veut promouvoir un nouvel outil de lutte contre le crime, baptisé Tolérance zéro, capable, selon elle, d’élucider «n’importe quel crime, n’importe quand». C’est en fait une technique de pointe en matière d’analyse ADN. Très sûre d’elle, Mme Lamont décide de revenir sur un meurtre commis vingt ans plus tôt. Win est sceptique, mais il n’a pas le temps d’exprimer ses réticences : la violence surgit, bouleversant leurs vies. S’agit-il d’une coïncidence… ou d’une vengeance ?
Le fou et les rois
On y croise David Ben Gourion, Golda Meir, Elsa Triolet et Pierre Mendès-France, on y parle d’art, de guerre et de paix, on y redécouvre la deuxième moitié du siècle dernier avec les yeux d’un témoin privilégié des grands tournants de l’Histoire. Ce récit de Marek Halter est un voyage aux quatre coins de la planète, une réflexion politique et humaine, une mosaïque de souvenirs. Né à la fin des années trente en Pologne, Marek Halter s’évade à cinq ans du ghetto de Varsovie, gagne l’Ouzbékistan, se fait enrôler dans les Jeunesses communistes, et, en 1949, découvre la France où il commence à peindre. Juif militant, très touché par la lutte qui oppose le peuple israélien à la minorité palestinienne (il a lui-même souffert d’être frappé du sceau de la « minorité »), il se veut porteur d’une mission, celle de restaurer le dialogue entre juifs et arabes. Peu après la guerre des Six jours, il crée le Comité international pour la paix au Proche-Orient et s’en va frapper sans relâche aux portes des puissants. Le Fou et les Rois raconte ce périple public et intime en vingt-sept chapitres courts et enlevés.
Le Code Altman
Un mystérieux navire battant pavillon chinois quitte Shanghai, chargé de produits chimiques illégaux destinés à la fabrication d’armes de destruction massive. Il faut l’intercepter sans compromettre le fragile équilibre diplomatique entre la Chine et l’Amérique…
Jon Smith, agent du très secret Réseau Bouclier, part à Taiwan dans l’espoir de découvrir ce qui se trame. Mais en dépit des risques mortels qu’il n’hésite pas à prendre, son enquête piétine et le cargo poursuit sa route inexorablement…
A mesure que s’accumulent les traquenards, les trahisons et les meurtres, et que le funeste navire approche de son point de non-retour, Jon Smith remonte la piste d’un gigantesque complot international, qui pourrait bien impliquer les plus hautes sphères du pouvoir – et menace de faire basculer le monde dans un conflit nucléaire.
Intrigue palpitante, rythme haletant, machinations politiques, secrets, menaces, action et suspense – Le Code Altman, quatrième épisode de la série du «Réseau Bouclier» créée par Robert Ludlum, est un roman explosif et jubilatoire de la première énigme à la dernière révélation.
Les petites morsures
J’ai rêvé de lui. Cette nuit, il était dans mon sommeil. Et ça m’a fait tout drôle. J’ai pas l’habitude de l’y voir. Il s’y est introduit comme ça, comme un voleur. Et dans mon rêve, j’ai même senti son parfum d’agrumes. J’avais l’impression que mon sommeil l’avait rendu palpable, en chair et en os. Je l’ai touché. J’ai senti son enveloppe intacte, j’ai été surprise : douce, pas rugueuse. Sa main a pris la mienne naturellement, normalement. Comme il se doit dans un rêve. Il m’a embrassée aussi sans que ça me gêne. Tout ça me laisse dans un état bizarre. C’est des trucs d’enfant ça, d’aimer son prof, de rêver de lui toute la nuit. Ou ça peut être le résultat du transfert que j’aurais effectué sur lui. Des fantasmes quoi ! Et pourtant je ne peux pas m’empêcher de me dire que j’aurais aimé que ce soit vrai. Parce que la chaleur dans mon sommeil faut pas se leurrer, c’était pas le chauffage.
Quel a été le chemin parcouru par Sophie Davant avant de devenir l’une des personnalités féminines préférées des Français ? Depuis 26 ans, l’animatrice présente avec le succès que l’on sait l’émission du matin de France 2 C’est au programme, et en début d’après-midi Toute une Histoire, émission créée par Jean Luc Delarue. Elle est aussi indissociable du «Téléthon» qu’elle co-anime depuis 1997 avec un engagement personnel très fort. Aujourd’hui, arrivée à la cinquantaine, âge d’une étonnante richesse et d’un regain d’énergie, où tout est possible, elle nous raconte un parcours émaillé d’émotions, de mille et une rencontres, riche en opportunités, avec ses peines et ses bonheurs. Partant des événements décisifs de sa vie, Sophie Davant nous livre le fruit de ses petites (et parfois surprenantes) découvertes afin que chacun puisse y trouver des clefs pour explorer son chemin de vie, avec peut-être plus de lucidité, de plaisir et de sérénité…
Le Bac Français pour les nuls
« Le soleil noir de la mélancolie »… Mais quelle est cette figure de style ? La différence entre pastiche et parodie ? La distinction entre réalisme et naturalisme ? Pour vous aider à préparer l’épreuve anticipée de français ou à combler vos lacunes à quelques semaines du bac, les Nuls ont concocté cette méthode tout-en-un qui répond vraiment à vos attentes. Grâce à ce kit de révision, vous saurez tout sur le commentaire littéraire, la dissertation, l’écriture d’invention… Même l’oral n’aura plus de secret pour vous! Pour réussir le bac, faites confiance à un Nul! Avec Le Bac Français pour les Nuls, mettez toutes les chances de votre côté : des conseils de méthode, des cours clairs et complets, de nombreux exercices d’entraînement et d’autoévaluation, sans oublier les bonus de la collection Pour les Nuls (le système d’icônes, la partie des Dix…). Avec, dans cette nouvelle édition, les annales corrigées des années passées : vous n’aurez plus aucune excuse pour ne pas décrocher le bac haut la main !
Envies de fraises
Chef dans un restaurant, Becky est très amoureuse de son mari, et ravie d’être enceinte. Tout irait bien si les médecins la lâchaient un peu avec ses problèmes de poids. Kelly est overbookée, hyper-ordonnée et archi-ambitieuse. Elle s’investit dans sa grossesse comme dans tout : à fond. Seul point noir : son mari, qui passe ses journées vautré sur le canapé… Ayinde est canon. Intelligente. Gentille. Et mariée à un champion de basket dont elle attend un enfant : bref, on adorerait la détester. Quand ces futures mamans font connaissance lors d’un cours de yoga prénatal, elles se disent qu’elles n’ont rien en commun. Et pourtant… « Ces portraits de femmes modernes sont drôles, cruels parfois, et très près de la réalité, c’est-à-dire de nous. »
Dès 1940, avec la déclaration obligatoire des Juifs dans les commissariats, se préparait « l’opération Etoile jaune » La rafle du Vél d’Hiv de l’été 1942 allait commencer. Grâce à des documents d’archives inédits, M. Rajsfus reconstitue cette journée du 16 juillet. Un livre essentiel, en mémoire de ces 13 000 Juifs arrêtés et déportés.
Bien frappé
Une enquête de Regan Reilly 03
Désormais connue d’un très vaste public, Regan Reilly, l’héroïne de Par-dessus bord et de L’Accroc, mène ici, avec l’énergie et l’intrépidité qui la caractérisent, une enquête sur des vols de tableaux.
En sa compagnie, nous pénétrons le cercle très fermé de la jet-set d’Aspen, une station de ski du Colorado. Plusieurs chefs-d’oeuvre de grande valeur ont disparu des luxueuses résidences qui les abritaient. Et l’on accuse Eben, un cambrioleur repenti en qui Regan a pourtant une totale confiance… Cependant, une vieille dame seule, Géraldine, se dispose à offrir au musée local un tableau ancien dont elle est propriétaire.
Le gang va-t-il frapper à nouveau? Serait-ce l’occasion pour Regan de faire éclater la vérité? Suspense, humour, émotions fortes: Carol Higgins Clark offre ici un polar pétillant et de grand cru!
Par-dessus bord
En se rendant à la réunion des anciennes de St. Polycarp, dans le manoir de l’excentrique vieille lady Exner, Regan Reilly ne songeait qu’à oublier ses soucis de détective pour évoquer d’agréables souvenirs. Mais parmi ces souvenirs, il y a la disparition, dix ans plus tôt, de l’une d’entre elles: Athena Popoulos, jeune héritière grecque. Et lorsqu’on apprend que, le même soir, son corps vient d’être retrouvé dans un bois, tout près du manoir, l’évocation du passé prend les allures d’un début d’enquête… C’est à bord d’un paquebot de luxe, le Queen Guinevere, que se trouve l’assassin, et tout indique que c’est à lady Exner et à Regan qu’il en veut maintenant
Bouleversé par la confession de sa ravissante épouse qui lui a révélé son attirance pour un autre homme, un jeune médecin voit s’effondrer ses certitudes. Que sait-il des désirs secrets de sa femme ? Et lui-même connaît-il vraiment ses pulsions les plus intimes ? Il se lance alors dans une étrange virée nocturne. Ses pérégrinations le conduisent à un mystérieux bal masqué que le marquis de Sade n’aurait sans doute pas renié… De Vienne à New York, sous la plume d’Arthur Schnitzler, analyste inégalé des tourments de l’âme, puis entre les mains de Stanley Kubrick, cinéaste réputé pour son regard sans pitié sur la nature humaine, un couple valse de l’amour à la jalousie, de la réalité au fantasme, avec une élégance brillante et une mélancolie indicible.
Le Protocole Sigma
A Zurich, Ben Hartman, fils d’un légendaire investisseur qui survécut aux camps de la mort nazis et fit ensuite fortune aux États-Unis, échappe de peu à un assassinat. Le meurtrier, qui provoque un carnage dans une galerie marchande avant d’être tué par Ben, n’est autre que son ami d’enfance…
Ben n’est pas au bout de ses surprises : il se retrouve bientôt face à son frère jumeau, Peter, supposé mort dans un accident d’avion, quatre ans plus tôt. Peter a tout juste le temps de lui confier un secret avant d’être tué. Ben n’a plus qu’une idée en tête : faire payer les coupables…
Pendant ce temps, la jeune et belle Anne Navarro, talentueux agent du gouvernement américain, se voit confier la mission d’enquêter sur la mort de personnes âgées. D’abord sceptique – pourquoi s’intéresser d’aussi près à des décès qui semblent naturels ? – elle découvre, au péril de sa vie, que les dossiers médicaux confidentiels de ses nouveaux « patients » sont tous marqués d’un sceau énigmatique : Sigma…
Réunis par accident, Anne et Ben, qui sentent une menace de plus en plus lourde peser sur eux, vont lever le voile sur l’inconcevable…
Le Pacte Holcroft
L’enjeu du Pacte Holcroft est la coquette somme de 700 millions de dollars, déposée en 1945 dans une banque suisse par trois nazis repentis : les généraux Clausen, von Tiebolt et Kessler. L’argent est destiné à leurs descendants, afin qu’ils l’utilisent en dédommagement des crimes d’Hitler contre l’humanité.
C’est ainsi qu’un beau matin, Noël Holcroft, le fils de Clausen, reçoit une lettre écrite quarante ans après l’effondrement du IIIe Reich. S’il veut blanchir son père, Holcroft doit retrouver les enfants de von Tiebolt et de Kessler et, avec eux, signer le Pacte. Le rendez-vous est fixé à Genève. Mais les associations nazies et les services secrets anglais, américains, israéliens ne l’entendent pas de cette oreille…
Nuits-lumière – Mystères en Guillestrois
Comment Frank, jeune assistant réalisateur en repérage pour un téléfilm, aurait-il pu se douter que ce voyage en apparence des plus anodin dans les Hautes-Alpes transformerait sa vie à jamais ? Alors qu’il s’efforce d’oublier les difficultés d’un mariage qui part à vau-l’eau, il croise le chemin de Doriane, une sculpturale et fascinante jeune femme. Littéralement envoûté, il noue bientôt avec cette nymphe aux cheveux blancs une relation passionnée comparable à nulle autre. Mais Doriane disparaît soudain dit sans laisser de traces, si ce n’est une mystérieuse énigme… Frank s’engage alors dans une quête désespérée pour retrouver cette femme qui donne désormais sens à sa vie, sans savoir qu’au fil de ses recherches, il va mettre au jour des secrets pour certains plus anciens que l’humanité…
La mouflette
L’histoire est celle d’un ménage à trois : Lui, Elle et l’Autre. L’Autre, c’est la mouflette, un bébé de six mois. Pas le genre » risettes et gazouillis « , mais un bébé à problèmes. Un bébé à angoisses. Un bébé tyran, d’une fragilité… herculéenne. Elle s’appelle Ophélie. Elle, c’est la grand-mère d’Ophélie. Pas le genre » Mamy confiture « , mais une grand-mère qui voyage, qui travaille, qui sort, qui aime. En vérité, c’est une femme de quarante-trois ans qui a beaucoup de bonheur à rattraper. Et depuis seulement une vingtaine de mois, elle le rattrape avec… « Lui ». Lui, c’est « Lui ». Pas le genre » gentil et confortable « . Sur ses cartes de visite, il s’intitule « Homme libre ». Dans la vie, il s’ingénie à l’être et fuit tout ce qui peut entraver son indépendance. En premier lieu, les enfants. Pour Elle et Lui, amants comblés et insouciants, l’Autre a beau être au berceau, c’est quand même l’Autre et sa présence entraîne les mêmes conflits que dans la plupart des ménages à trois.
Poète et romancier, ami de Nerval et de Baudelaire, il fut l’auteur du fameux Capitaine Fracasse, ainsi que du Roman de la momie. Il voulait offrir du rêve et de l’évasion à ses lecteurs ? Il y a parfaitement réussi.
Peut-on être prêtre et amoureux ? Peut-on aimer la nuit et prêcher le jour ? Question bien embarrassante…
Ajoutez-y une pincée de fantôme. Secouez. Et vous voici dans une mystérieuse histoire d’amour !
Mais rassurez-vous, il ne s’agit que d’un rêve… et d’ailleurs, Clarimonde, la belle courtisane, est morte depuis longtemps…
Mais au fait, que vient-elle faire dans le présent ? Pourquoi trouble-t-elle encore les vivants ? Prenez garde, âme pure, de ne pas succomber aux charmes de cette immortelle ! La beauté dissimule parfois de puissants venins…
La Marque de Windfield
L’auteur du Code Rebecca et de l’inoubliable fresque des Piliers de la Terre nous emmène ici, avec sa prodigieuse science de l’intrigue, au cœur de l’Angleterre victorienne.
En 1866, plusieurs élèves du collège de Windfield sont les témoins d’un accident au cours duquel un des leurs trouve la mort. Mais cette noyade est-elle vraiment un accident ? Les secrets qui entourent cet épisode vont marquer à jamais les destins d’Edward, riche héritier d’une grande banque, de Hugh, son cousin pauvre et réprouvé, de Micky Miranda, fils d’un richissime Sud-Américain.
Autour d’eux, des dizaines d’autres figures s’agitent, dans cette société où les affaires de pouvoir et d’argent, de débauche et de famille, se mêlent inextricablement derrière une façade de respectabilité…
La fourmi qui aboie
Moteur… Action ! On tourne un film en Australie, mais survient une quantité de séquences qui n’étaient pas du tout prévues dans le scénario. Finalement, c’est une réussite. Tous les acteurs jouent avec un naturel parfait. Surtout les morts.
Tout New York en otage
Jadis, Otto fut un S.S. À présent, son fils, fier de son père fusillé par les soldats des démocraties, va le venger. Il dispose pour cela d’un gaz innervant qui pourrait pousser toute la population de New York à la panique, sinon à la mort. En face de lui, un esprit clair, audacieux : Bloom, flic de qualité.
Cancer
La société le poursuivait de toute sa haine ; mais non seulement elle ne savait jamais s’il fallait déguster la vengeance chaude ou froide mais au surplus elle restait toujours hésitante sur l’assaisonnement. Fallait-il le tuer en un instant et bien salé, vite avec poivre et piment fort ou allaient-ils l’émietter et le rouler ainsi dans de la crème anglaise en accompagnant le tout de mauvais vermouth ? L’histoire de ce roman c’est l’adolescence, la conscience aiguë d’une frontière fragile entre deux mondes, l’enfance et l’âge adulte, entre deux genres, la poésie et la prose, entre deux sensibilités, la soumission et la révolte. Mais la révolte totale, l’insurrection, ou la soumission absolue, la mort.