With its expertly text and large clear colour plates (persian and other oriental carpets for today ) offers a detailed survey of the various persian carpets currently to be found in the trade. Apart from the present situation it discusses also the artistic and general history of carpets. This book is an invaluable source of information to anyone who owns a persian carpets or intends to buy one.
Chaque maison Okal est une œuvre unique, authentique conçu et construite pour répondre aux exigences d’un site et au besoins d’une famille propriétaire. Mais toutes ces maisons ont en commun les mêmes qualités fondamentales Okal. Toute maison Okal, quelle que soit son architecture, est une demeure de caractère. Sa sobriété apparente ne trompe pas, on devine que c’est une construction contemporaine de grand confort et bien individualisée.
La France des Abbayes
La France est riche des abbayes les plus célèbres du monde. Que ce soit sur le plan de l’histoire, celui de l’art ou celui des idées religieuses, des noms comme Vézelay, Cluny, le Mont-Saint-Michel évoquent de glorieux souvenirs.
Nouvelles chroniques du 87ème District
9 Chroniques : Faites-moi confiance / Victime au choix / Crédit illimité / Souffler n’est pas tuer / Soupe aux poulets / Pas d’avenir pour le futur / Rançons sur un thème mineur / La main dans le sac / A la bonne heure
Ed McBain a su créer un univers romanesque, l’approfondir, le faire évoluer au fil du temps tout en le pérennisant.
Chacun de ses romans est l’occasion d’une descente aux enfers, d’une plongée dans les tréfonds de l’âme humaine, sur le versant noir des pulsions de mort et de meurtre. Leur ensemble constitue une manière de gigantesque fresque d’une mégapole américaine en proie à ses démons.
Quelque chose comme une « tragédie humaine ».
La glace et le feu
Les lecteurs d’Au-dessus du gouffre se souviennent de l’agent spécial Antonio Burns, un flic passionné de montagne, muté pour avoir tué dans des conditions mal éclaircies trois dealers qui venaient de violer une enfant. Cette « bavure » lui colle toujours à la peau alors qu’il est chargé de la protection de Cali Morrow, une jeune magistrate attachée aux services de l’attorney général du Wyoming. Fille d’une vedette de Hollywood, Cali est victime de harcèlement. C’est qu’elle est séduisante, et amateur elle aussi des frissons que procure la haute montagne. Anton a deux suspects : Wokowski, un sergent de la police, ex-petit ami de Cali, et Myron Armalli, un jeune schizophrène obsédé par elle. Pourtant aucun des deux ne fait un coupable satisfaisant, et Antonio ne cesse de se sentir poussé à la faute – une fois de plus. Sa vie privée n’est guère plus encourageante : Rebecca, sa petite amie, menace de rompre s’il ne renonce pas à risquer sa vie sur les parois, et son frère Roberto, un repris de justice recherché par la police, tente dangereusement de renouer avec lui. Antonio Burns va devoir rechercher la vérité sur des pics neigeux entourés de vallées en proie aux incendies et identifier un coupable, qui n’est pas celui qu’il croit.
Nouvelles chroniques du 87ème District
6 Chroniques : Mourir pour mourir / Le dément à lunettes / Lightning / Huit chevaux noirs / Poison / Quatre petits monstres
» Cette fois, c’est le bon coup, pensait Carella. L’arme à gauche. Ténèbres tourbillonnantes, lumières clignotantes, aurore boréale, murmures, petits bips. Tout semblait faux et lointain, en même temps si réel et si proche. Il flottait au-dessus de lui-même comme l’ange de la mort. Mets un collier d’ail autour de ton cou, lui recommandait sa grand-mère, pour éloigner l’ange de la mort. Mais où est passé l’ail, grand-mère ? Et Meyer, mort, lui aussi ? » Non, Steve Carella et Meyer Meyer, une nouvelle fois blessés, ne mourront pas à la fin de Quatre petits monstres. De la première enquête du 87e District à la dernière publiée, trente-sept ans ont passé, et la plupart des protagonistes sont toujours là. Les temps ont changé – et les mentalités, les moeurs, la criminalité, les méthodes de la police. Mais si chaque nouvelle affaire laisse Carella plus dubitatif sur l’état du monde, plus meurtri, plus conscient que son métier l’amène à côtoyer chaque jour les pires aspects de l’humaine condition, le talent, le sens de l’action, la nervosité du style, l’acuité du regard d’Ed McBain n’ont fait que s’aiguiser. Pour le bonheur et le réconfort des lecteurs d’Isola, de New York, et d’ailleurs.
Histoires vraies
Pierre Bellemare, Jacques Antoine et Marie-Th érèse Cuny racontent dans Histoires vraies 57 aventures inoubliables. Les plus célèbres conteurs français, d’un récit à l’autre, nous emmènent de Paris à Bangkok, du rêve à l’horreur, du quotidien à l’incroyable, de la folie au crime. Ces HISTOIRES sont arrivées il y a un siècle ou il y a un mois. Des hommes, des femmes, des enfants y ont rencontré un destin drôle ou tragique. Grâce à Pierre Bellemare, Jacques Antoine et Marie-Th érèse Cuny vous les retrouverez, vivantes, dures, tendres, haletantes, émouvantes. Vraies.
La vallée des roses
La Vallée des roses est l’histoire d’une ambition folle qui réussira, d’une ascension qui n’avait pas une chance sur un million de se réaliser, celle d’une fleur, d’une beauté à la grâce incarnée : une jeune fille qui a nom Yi. Yi, qui caresse un rêve inouï : devenir la femme de l’Empereur régnant et, en le subjuguant, régner sur la Chine aux 500 millions de sujets. On voudrait tout citer, tout raconter. D’abord Hieng-Fong, le Soleil Impérial, le souverain auquel Yi rêve de s’unir, « … dégénéré, ivrogne et débauché, une raclure, un être sans foi ni loi… » On voudrait dire aussi la Cité Violette de Pékin, que gardent des régiments de castrats… Et encore le Concours du Concubinat où gardée par le Grand Eunuque et le Grand Surveillant, la Mère du Ciel (mère de l’Empereur), choisira parmi cent filles dénichées d’un bout à l’autre de la Chine, les trente qui seront les concubines de son fils, formeront le Harem Impérial et tenteront de séduire l’implacable pédéraste… Comment passer sous silence la scène où Yi séduit Héros Coupé, l’Eunuque Grand Surveillant.
Le corsaire amoureux
Mais qu’est-ce qui fait courir François Castel ? Qu’est-ce qui le fait bondir à pied, à cheval, et en voiture – et en bateau, donc ! – d’Hendaye à Paris, de Bordeaux à Londres, de Cork à Porto, de Plymouth à Ouessant ? Son sang basque et sa prodigieuse vitalité, certes ; son attirance irrésistible pour la mer, ensuite ; et enfin, dès l’instant qu’il la voit dans la fleur de ses quinze ans, son amour pour la blonde Anne-Marie du Bois de la Roche. Il est moins aisé qu’il n’y paraît de vivre paisiblement avec ces passions-là, surtout dans la France de la Révolution et de la Terreur. Et, en vérité, rien n’est moins paisible que la vie de François, corsaire et amoureux, sur le chemin de qui surgissent ennemis sournois et amies inconditionnelles, aristocrates et filles de joie, Bleus farouches et Blancs fanatiques – sans compter les navires ennemis dont il faut s’emparer, sauf à être pris par eux. La gloire l’attend, et la fortune, et l’amour d’Anne-Marie. Mais que d’obstacles il lui faut franchir, notamment les mois de captivité odieuse sur les pontons ou dans les forteresses britanniques, et les rebuffades inopinées d’une amoureuse entêtée, et attachée à ses vignes de Saint-Émilion autant que lui l’est à la mer. Pour le tirer de ces mauvais pas, il a son courage, son audace, son intelligence astucieuse… Au fil de ces pages, vous ferez connaissance avec – parmi bien d’autres l’ambigu cocher Cossonade, la merveilleuse Suzon-la-Rieuse, l’aristocratique et aimable grand-mère d’Anne-Marie, et l’Anglais George Clyde, ivrogne et débauché… et beaucoup de jolies femmes… Nul doute que, comme elles, vous vous éprendrez de François Castel, le corsaire amoureux.
Tout à son amour, Orchidée, la petite princesse mandchoue, avait oublié la Chine et l’impératrice Ts’eu-hi qu’elle a trahie pour épouser Edouard. Mais, soudain, elle reçoit une terrible missive…Ts’eu-hi lui ordonne de regagner la Chine après avoir volé à Paris une agrafe qui appartenait à la famille impériale. La mort dans l’âme, Orchidée dérobe le bijou. Mais le cauchemar continue. Le lendemain, Edouard est assassiné. Et c’est elle que les domestiques accusent ! Effondrée, Orchidée prend la fuite. Direction Marseille, puis… À bord du Méditerranée-Express, elle rencontre enfin l’homme providentiel qui réussira peut-être à l’aider…
Source : Pocket
La source sacrée
Le narrateur, lors d’une élégante partie de campagne, est frappé par deux phénomènes symétriques : l’embellissement spectaculaire d’une femme autrefois laide ; et l’intelligence nouvelle d’un bellâtre naguère stupide. Pour la première, l’explication est facile : elle a épousé un homme de vingt ans son cadet, dont elle absorbe la jeunesse. Mais quelle est la femme cachée dont le bellâtre absorbe l’esprit ? Cette fascinante fantasmagorie psychologique et mondaine possède avant tout le caractère étonnamment précurseur d’un roman du pur regard et de l’interaction entre un regard conscient de lui-même et son objet qui l’observe en retour.
Les promesses du passé
Prague, en 1938. Josef et Lenka s’aiment d’un amour passionné. Mais ils sont juifs et, devant la menace nazie, la famille de Josef, fortunée, décide de s’exiler aux États-Unis. Le jeune homme laisse derrière lui la femme qu’il aime en lui jurant de les aider, elle et sa famille, à s’enfuir. « On se retrouvera », promet-il solennellement. Ils n’en auront pas le temps : les nazis envahissent Prague et Lenka est déportée. New York, en 2000. Un homme croise le regard d’une femme. « Je vous ai déjà vue quelque part », dit-il, le souffle coupé. Se pourrait-il que la vie, le destin et le hasard aient uni leurs forces pour donner une nouvelle chance à Josef et à Lenka ?
Un grand roman sur le pouvoir du premier amour et la force de la mémoire
La revanche des seigneurs
Les héros de ce roman de Vahé Katcha ne sont pas des romantiques. Il s’en faut de beaucoup. Ils viennent du Proche-Orient. Ce sont deux Libanais, une Iranienne, un Kowétien, tous amis, tous riches. Ils débarquent un matin à Paris, avec un but précis : faire parler d’eux et de la cause arabe, montrer aux Européens qu’en dehors du pétrole, les Arabes existent. Assar Koursy est le play-boy de la bande. On le voit beaucoup chez Régine ou chez Castel. Omar Bahrène veut percer dans le cinéma : il deviendra ami de la célèbre Sabine Kerlier (qui ressemble comme une sœur à une de nos grandes vedettes de cinéma) et réussira à lui faire tourner un film au Liban. Jouliah Zad, la belle Iranienne, a jeté, elle, son dévolu sur le candidat de l’opposition à la Présidence de la République. Elle deviendra sa maîtresse et l’épousera après une élection triomphale. Michael Fazih n’est pas comme ses amis. Lui est venu à Paris pour y traîner son désespoir. Il se laisse embarquer dans des histoires bizarres, finit par renoncer à tout et se fait écraser dans la rue. Vahé Katcha raconte ces destins entrecroisés dans un roman plein de verve et de rebondissements, où s’agite une faune pittoresque, le Tout-Paris des boîtes de nuit et des cercles de jeux, la bande à Régine, des gens de cinéma, des journalistes, des politiciens et aussi des Israéliens qui essaient de neutraliser l’influence grandissante de ces seigneurs qui se taillent des fiefs en Europe occidentale.
Le fils de flicka
Flicka, la pouliche sauvage que le jeune Ken a réussi à apprivoiser, vient de donner naissance à un étonnant poulain blanc. Un futur champion ? Ses performances pourraient alors sauver le ranch de la ruine. Mais Thunderhead, l’indomptable, désarçonne son jockey dès sa première course… La suite de mon ami Flicka… La suite d’une merveilleuse histoire d’amitié.
Un été de canicule
Un soleil éclatant, un mariage d’amour: il ne manque que le chant des cigales pour parfaire le tableau. A Cucuron, c’est jour de fête: les Soubeyrand nagent dans le bonheur, Emma en tête, mère du marié et patronne du café des Tilleuls. On en oublierait presque les lettres, signées d’un mystérieux corbeau, qu’elle reçoit depuis le retour de son fils du Brésil.
Quelqu’un n’a vraisemblablement pas oublié la disparition de Laurent Labaume, survenue sept ans plus tôt. On sait pertinemment que les Soubeyrand, mère et fils n’y sont pas étrangers.
La justice, alertée, ne tarde pas à s’intéresser de près à la famille….
Une vie n’est pas assez
Après une jeunesse incertaine et l’échec d’un premier mariage, Lison a le sentiment d’avoir ressaisi sa vie, de l’avoir bâtie et réussie, doucement mais fermement : un mari selon son cœur, deux filles qui pour elle sont des amies, des voyages, un métier. Et pourtant, lors d’un séjour au Mexique, la rencontre inattendue de son premier amour la trouble… Et pourtant, l’évolution de ses deux filles la déconcerte : Délia, qui se disait libérée, choisit un destin banal ; Emma parait inconsciente du danger qui la menace… Lison cherche à comprendre, à se comprendre. Elle voudrait être pleinement une femme, une épouse, une mère… Non, décidément, quand on veut tout vivre, une vie n’est pas assez.
Le voyage à l’envers
Quelque part sur la mer Egée, voici un » homme qui flotte « . Non que Foulques, surnommé Fou par ses amis, soit cramponné à une épave : en compagnie de Clara, directrice d’un grand journal de mode, et d’un garçon platiné qu’elle a invité pour faire nombre, il passe des vacances luxueuses et sans histoire sur un yacht de location. Mais il n’en est pas moins un naufragé à sa manière, mal dans sa peau de quadragénaire, noyé dans un rêve d’évasion. Il suffira d’une rencontre à Epidaure pour que Fou retrouve soudain l’impression de respirer comme autrefois. T-shirt, blue-jeans et cheveux » blond fraise » – ainsi dit-on chez elle – Jill lui apporte une bouffée d’Amérique qui a pour lui le parfum d’une passion toujours vivante. Avec Jill resurgit l’image d’Alison, une autre blonde qui fut le premier, le seul grand amour d’un jeune Fou de vingt ans, dans l’île de Nantucket, chère à Melville, où il a vécu avec elle le plus bel été de son existence, et le début d’un long roman jamais achevé. Rajeuni par le cadeau de cette passagère inespérée, Fou entreprend un » voyage à l’envers » de son âge, comme si Alison et Jill, comme si les Amériques pouvaient se succéder au point de se confondre, quand on le veut.
Scarlett
« Demain est un autre jour… » Sur ces mots d’une héroïne impétueuse et attachante s’achevait une des plus bouleversantes histoires d’amour jamais racontées. Incarnés à l’écran par Clark Gable et Vivien Leigh, les héros d’Autant en emporte le vent, Rhett Butler et Scarlett O’Hara, sont entrés dans la galerie des amants de légende. Mais pour des millions de lecteurs, leurs amours demeuraient en suspens… Nous révéler la suite : c’est le défi qu’a relevé Alexandra Ripley. Toujours aussi fougueuse et passionnée, Scarlett, qui s’est juré de reconquérir l’homme de sa vie, parviendra-t-elle à surmonter les déceptions et les obstacles multiples qui l’attendent ? C’est dans une Irlande ensanglantée par la guerre, berceau de la famille O’Hara, que le destin nous donnera enfin sa réponse.
Les personnages de ces douze nouvelles sont pleins d’espoirs futiles, ou de désespoir grave. Ils ne cherchent pas à changer le monde. Quoi qu’il leur arrive, ils n’ont rien à prouver. Ils ne sont pas héroïques. Simplement humains. On les croise tous les jours sans leur prêter attention, sans se rendre compte de la charge d’émotion qu’ils transportent et que révèle tout à coup la plume si juste d’Anna Gavalda. En pointant sur eux ce projecteur, elle éclaire par ricochet nos propres existences.
76 pages comportant une riche iconographie en couleurs. Si Florence a la réputation d’être un véritable paradis pour amateurs d’art, celle-ci n’est pas usurpée. Grâce au mécénat de la célèbre famille des Médicis, les plus grands noms de la Renaissance ont œuvré pour faire de cette ville un havre pour artistes de génie. Les collections des musées sont absolument incroyables et les églises méritent toutes d’être visitées.
L’anglais économique et commercial
Un ouvrage de référence complet destiné tant aux étudiants (universités, instituts de gestion, écoles de commerce, IUT, etc) qu’aux professionnels et cadres de l’entreprise. Il intègre les grandes tendances de l’évolution économique actuelle : mondialisation des échanges, dérèglementation, etc , développement des nouvelles technologies et de nouveaux services. Il présente également les grandes subdivisions de l’activité économique commerciale : banque, bourse, transports, droit des sociétés, marketing, distribution, etc.
Au pays du fou rire
La So british Lady Clara se fait du mouron. Son fiston, alcoolique de renom, vient de lui annoncer ses fiançailles avec une Américaine. La machine de guerre est lancée. Objectif: récupérer ce traître de rejeton à Hollywood, mythique territoire des stars et starlettes, toutes plus fatales les une que les autres… Un choc des cultures drôle à sa damner.
Pour le meilleur et pour le pire
Jenny Rakowsky est sur le point d’épouser le séduisant Jay Wolfe, un riche avocat d’affaires. Brillante avocate elle aussi, elle défend les causes perdues des femmes en détresse. Malgré leur différence de milieux sociaux, la famille de Jay accueille chaleureusement la jeune femme, lui confie la tâche de défendre leur propriété ancestrale, convoitée par des promoteurs sans scrupules.
Désobéissance
Six avions sont envoyés en mission de bombardement. En désespoir de cause, le commandement les a sacrifiés. Dans l’avion de tête, un vieux colonel n’a qu’un but : ne pas laisser périr des hommes pour des occasions qui ne les valent pas. A bord d’un des avions, un capitaine, passionné de son métier, accepte les ordres, quels qu’ils soient. Il est prêt à mourir ; mais les événements lui donnent tort. Entre les deux hommes, un conflit classique : celui de l’expérience des vraies responsabilités, chez le colonel, contre, chez le capitaine, l’ardeur disciplinée, pouvant aller jusqu’aux automatismes. Les deux hommes sont à trois cents mètres l’un de l’autre dans le ciel. Pour le vieux colonel, il faut refuser les règles d’un jeu imbécile.
Halloween … et autres fêtes déguisées
Faites vous-mêmes votre déguisement
Des maquillages et des déguisements qui donnent la chair de poule.
Des recettes et des farces diaboliques.
De quoi faire des fêtes « terribles », dans la plus grande bonne humeur
Mickey l’ange
Est-il convenable de se sauver le jour même de son mariage ? Est-il normal de trouver chez soi une jeune fille inconnue ? Est-il vraisemblable qu’elle passe au travers des portes et du temps, qu’elle lise dans la pensée des gens et affirme avoir été aux surprises-parties de Louis XIV ? Est-il possible de découvrir un trasor dans les murs d’un vieux château normand ? Est-il raisonnable de courir aux Açores sur les traces d’un ancêtre pirate ? Est-il censé de ne vouloir habiter que le château de Versailles ? Est-il prudent de boire aussi peu d’eau quand on est un jeune professeur de français dans un lycée ? Est-il vrai que l’amour est un mirage ? Est-il vrai que Gauthier de Coudran, dit Mickey l’Ange, ne soit pas un sacré menteur ?
Shaw on Theatre
60 years of collected letters, speeches, and articles. Contains:Appendix to The Quintessence of Ibsenism, A Dramatic Realist to his Critics, Preface to The Theatrical « World » of 1894, How to Lecture on Ibsen, The Problem Play-A Symposium, The Censorship of the Stage in England, On Being a Lady in High Comedy, Why Cyril Maude Did Not Produce You Never Can Tell, How to Make Plays Readable, The Dying Tongue of Great Elizabeth, Letters to Louis Calvert on Playing Undershaft, What Is the Finest Dramatic Situation?, Mr. Trench’s Dramatic Values, On the Principles that Govern the Dramatist, To Audiences at Major Barbara, On Cutting Shakespear, Lord Grey, Shakespear, Mr Archer, and Others, I Am a Classic But Am I a Shakespear Thief?, Letter to J.T. Grein, Shakespear: A Standard Text, On Clive Bell’s Article, The Art of Rehearsal, Shakespear and the Stratford-upon-Avon Theatre: A Plea for Reconstruction, On Printed Plays, John Barrymore’s Hamlet, Theatres and Reviews Then and Now, The Colossus Speaks, Playhouses and Plays, Mr. Shaw on Mr. Shaw, Bernard Shaw Talks about Actors and Acting, Speech as Guest of Honor at London Critics Circle Annual Luncheon, On Gordon Craig’s Henry Irving, My First Talkie, Gordon Craig and the Shaw-Terr Letters, Arms and the Man on the Screen, Too True to be Good, An Aside, Dramatic Antiquities at Malvern, Playwrights and Amateurs, The Simple Truth of the Matter, This Year’s Program, Saint Joan Banned.
Coronation
Imagine seeing the Queen that close as she goes by in her golden carriage! The kiddies will have something to tell their kiddies, won’t they? And a drink of real champagne to go with it! Coronation Day, 2 June 1953! A humble, working-class family from Sheffield is desperate to buy train tickets to London to see the coronation, but doing so means forsaking their annual seaside holiday. After some scrimping and saving, and a family meeting in which the enthusiasm of the children overrules the reluctance of their long-suffering mother and grandmother, the Clagg family take the plunge and buy premium, champagne tickets for the big day.
Merry mister Meddle
Poor Mister Meddle is a very merry pixie always willing to help out and do good deeds, but he never quite gets it right. One day his meddling gets him into trouble with Aunt Jemima – he serves her up a treacle pudding covered in glue and gets chased home by a Biggle
Tous les parfums d’Arabie
Trois enfants ont grandi ensemble aux Antilles ; trois enfants se sont aimés. Plus de vingt ans après, ils se rencontrent ; l’aînée, Marion, qui a épousé à seize ans un grand mutilé de guerre, est devenue en secondes noces la femme d’un milliardaire âgé, lord Chandler. Donat, l’orphelin qui rêvait d’elle, s’est fiancé à Bathilde, dont la famille n’a pas quitté la Trinidad. Oubliant Bathilde, Donat et Marion s’efforcent de retrouver « le vert paradis des amours enfantines ». Mais la jeune femme, à la fois coupable et victime, est traquée par le souvenir du meurtre qu’elle a commis. Tout au long du roman, elle évoquera avec le geste de lady Macbeth sa plainte célèbre : « Je respire encore l’odeur du sang ; tous les parfums d’Arabie ne purifieront pas cette petite main. » Qui, de Marion ou de Bathilde, franchira les portes de l’Eden que l’amour de Donat a ouvertes devant elles ?
Gretchen sans uniforme
Gretchen sans uniforme est un roman de gare à succès, paru en Allemagne après-guerre. Il raconte l’histoire d’une jeune et jolie allemande engagée dans la Wehrmacht et qui, après la défaite nazie, contracte volontairement une maladie vénérienne pour contaminer les soldats américains d’occupation.
L’anti-vierge Emmanuelle – Tome II
Emmanuelle est en fait un livre en deux parties, sous le même titre mais avec deux sous-titres correspondant aux deux parties successives : La Leçon d’homme et L’Antivierge. Séparés au début par un éditeur clandestin un peu pressé, les deux morceaux ne se retrouveront en librairie sous le titre commun d’Emmanuelle que huit ans plus tard, encore qu’en deux volumes. Par la suite, les aléas de la librairie, et des histoires de droits compliquées plongeront L’Antivierge, encore une fois, dans une étrange absence. Disparue des rayonnages depuis près de vingt ans, la voici réunie à La Leçon d’homme par la volonté de l’auteur et d’un éditeur pour une fois d’accord, ainsi qu’il convient.
Ouragan sur D.M.S Caine
A l’origine, rien ne prédispose Willie Keith à devenir un brillant officier de transmission à bord du dragueur de mines « Caine ». Timide et brouillon de nature, il gagne peu à peu en assurance à voir avec quelle maladresse le capitaine de Vriess dirige le navire. Témoin discret mais lucide, il comprend que l’autorité et l’intransigeance du commandant ne dissimulent en fait qu’une profonde incapacité. Lorsque le commandant Queeg vient relever le commandant de Vriess, l’équipage et la maistrance espèrent gagner au change. Or, très vite, Queeg se révèle pire que son prédécesseur. Déplorable marin et médiocre psychologue, il fait montre d’une nervosité inquiétante, échouant le bateau, accumulant les erreurs de manœuvre, tout en rejetant sur ses subordonnés la responsabilité de ses fautes. Ses manies tyranniques ont fini par créer à bord un état de tension permanente, qu’un ouragan va soudain exacerber. Par ses ordres contradictoires, Queeg met le navire à deux doigts du naufrage. Alors les officiers décident de le destituer et de prendre le commandement. Le témoignage que l’auteur apporte, par l’intermédiaire de Willie Keith, sur les causes de la mutinerie va enfin être présenté au lecteur par les débats du conseil de guerre chargé d’instruire la plainte du commandant Queeg contre ses subordonnés.
La ville des frelons
Charlotte, en Caroline du Nord. Une cité depuis longtemps surnommée «le nid de frelons de l’Amérique». La violence y est quotidienne. Virginia West, chef de la police, enquête sur une série de meurtres visant exclusivement des hommes d’affaires. C’est dire si elle est ravie lorsque sa supérieure hiérarchique lui confie pour mission de patrouiller dans la ville avec Andy, un jeune journaliste désireux de vivre la vie des flics au quotidien… Mais Andy, d’abord maladroit, se révélera assez vite un coéquipier hors pair…
Au-delà du mal
À 10 ans, Thomas Bishop est placé en institut psychiatrique après avoir assassiné sa mère. Il s’en échappe quinze ans plus tard et entame un périple meurtrier particulièrement atroce à travers les États-Unis. Très vite, une chasse à l’homme s’organise : la police, la presse et la mafia sont aux trousses de cet assassin hors norme, remarquablement intelligent, méticuleux et amoral.
Les destins croisés des protagonistes, en particulier celui d’Adam Lenton, journaliste dangereusement proche du meurtrier, dévoilent un inquiétant jeu de miroir, jusqu’au captivant dénouement.
Les Belges
Des crimes de Marc Dutroux, en août 1996, à la contamination de poulets par la dioxine, en juin 1999, la Belgique n’a cessé de défrayer la chronique. L’évasion rocambolesque du même Dutroux et le discrédit jeté sur le Tour de France par des fournisseurs flamands de produits dopants complètent la série catastrophe qui révéla la fragilité d’une société ayant accumulé trop longtemps sans réagir deuils et pertes de repères. Le monde entier s’est interrogé : la Belgique, considérée jusqu’alors comme une démocratie stable et prospère, ne sera-t-elle pas en train de bascule dans l’anarchie ? Cet Etat fraîchement fédéralisé allait-il suivre l’exemple de la Yougoslavie et de la Tchécoslovaquie et, à son tour, disparaître du continent européen ?
Malgré leur individualisme atavique et leur scepticisme chronique à l’endroit de toute forme de pouvoir, les Belges ont montré leur capacité, tant morale que politique, à surmonter cette crise et à entreprendre des réformes nécessaires à la restauration de l’État de droit. La « marche blanche » d’octobre 1996 fut le signal de ce redressement. Les élections législatives de juin 1999 ont confirmé cette volonté de réhabilitation de la citoyenneté.
Le récit enlevé et l’analyse brillante de Didier Pavy constituent à l’évidence une mine riche d’enseignement pour une Europe de plus en plus multiculturelle et ouverte sur le monde, où l’État Nation se trouve remis en question et où les élites politiques et intellectuelles doivent gérer des situations économiques et sociales de plus en plus complexes.
Didier Pavy est journaliste. Il est correspondant permanent du Nouvel Observateur et du mensuel économique Challenges en Belgique depuis 1992.
Les enquêtes du commissaire Van In sont indissociablement liées à sa bonne ville de Bruges. Epaulé par le fidèle inspecteur Versavel et la belle Hannelore, juge d’instruction de son état (et accessoirement mère de ses jumeaux), ce flic peu catholique pourfend sans relâche les vices et turpitudes d’une bourgeoisie flamande arrogante qui pense que l’argent peut tout acheter. Quand la coûteuse collection d’armes du richissime trader Claes est cambriolée, Van In soupçonne vite une supercherie : le financier n’a visiblement pas la conscience tranquille et ses rendez-vous à la sauvette avec un mafieux russe ne plaident pas en sa faveur… Trafic d’armes, mafia russe et bordels de luxe : le trio d’incorruptibles brugeois a du pain sur la planche !
La nuit du Verseau
Quand Brigitte, dix-sept ans, a disparu de la maison, sa mère Mathilde a tout imaginé : enlèvement, viol, meurtre… Avant d’apprendre, sept ans plus tard, que sa fille, droguée et prostituée, a été recueillie par Biosthal, clinique privée aux méthodes très spéciales.
Dès lors, Mathilde n’a qu’un seul but : infiltrer Biosthal et retrouver sa fille. Mais que cachent réellement les murs de ce grand manoir qui abrite la clinique ? Une organisation criminelle ? Un réseau de prostitution ? Une secte ?
Afin d’arracher Brigitte aux griffes de l’organisation, Mathilde est prête à défier quiconque se trouvera sur sa route. Mais la vérité a un prix : il y a des secrets qu’il vaut mieux ne pas connaître…
Les secrets de Bart de Wever
Qui est vraiment Bart de Wever ?
L’homme est partout.
Mais que sait-on réellement de lui et de son idéologie ? Habile communicateur, le président de la N-VA ne laisse paraître que ce qui peut le servir dans sa marche triomphale … et cache de lourds secrets. ….
Après avoir refermé ce livre, vous ne verrez plus jamais les choses de la même façon.
La pyramide de glace
À la terrible année 1783, marquée par les retombées d’un volcan islandais en éruption, succède en 1784 l’hiver du siècle.
À Paris, le peuple élève des obélisques de neige et de glace en reconnaissance de la charité des souverains. Dans l’une d’elles, au dégel, apparaît le corps d’une femme dénudée qui ressemble étonnamment à la reine Marie-Antoinette.
Nicolas Le Floch se lance dans une enquête minutieuse de laquelle, investigation après investigation, il ressort que la victime participait à des soirées particulières organisées à Monceau par le duc de Chartres, futur duc d’Orléans.
Dans ce récit surgissent les figures pittoresques d’une revendeuse à la toilette, d’une devineresse qui dépouille ses pratiques, d’un ouvrier à la manufacture de Sèvres qui vole à Versailles, d’un marchand porcelainier receleur et des troubles figures d’un président à mortier et d’un architecte.
Derrière ce fait divers se dissimule un complot de cour visant à compromettre la Couronne. Jamais le commissaire Le Foch, entouré de ses proches et bénéficiant de la confiance de Louis XVI, n’aura mené une recherche aussi précise et documentée qui le conduira, après bien des périls, à un dénouement inattendu.
Le livre perdu
Hasan entre dans une librairie et choisit ‘Le Gouffre des cœurs , un roman qui le subjugue au point de le faire rater son métro. Ce hasard va lui sauver la vie puisque quelques secondes plus tard, le train explose lui provoquant un évanouissement sans conséquence. A son réveil, le livre a disparu et se révèle épuisé. Hasan entame alors une quête sans limite pour le retrouver.
L’année du volcan
1783, l’éruption gigantesque d’un volcan en Islande provoque d’importants changements climatiques. La terre se réveille : tremblements de terre, tempêtes… affaiblissent tous les pays d’Europe, la France en particulier. Le royaume commence à vaciller, les caisses se vident.
Nicolas est convoqué par la Reine. Il est chargé d’enquêter sur la mort violente d un de ses proches : le Vicomte de Trabou. L’homme est mystérieux, il fréquente le monde de la finance. Ne cherche-t-il pas à camoufler une affaire de fausse monnaie ? Tous les moyens sont-ils bon pour combler l’immense déficit du Trésor royal ? Voilà une affaire qui n’est pas sans nous rappeler quelques évènements contemporains…
Les investigations de Nicolas vont le conduire une nouvelle fois en Angleterre et le mener à deux personnages le Comte de Cagliostro et la Comtesse de la Motte, chacun au cœur d’affaires où, là aussi, l’argent est en jeu. Dans ces mondes nouveaux que Nicolas va découvrir, la mort plane encore plus proche…
La fin du règne de Louis XIV est une sombre période pour la France. Après la révocation de l’édit de Nantes, le pays est entraîné dans d’interminables guerres.
Roque la Garde, jeune protestant, enseigne au régiment du Lyonnais, est chassé de l’armée pour avoir refusé la conversion. Il devient bandit de grand chemin et prend le nom de Trois-Sueurs, celui qui donne les trois sueurs à ceux qui lui résistent…
Entre crime et corruption à la cour et grande truanderie des bas-fonds de la capitale, Trois-Sueurs doit enquêter sur le secret du captif au masque de fer.
Un soldat du roi devenu bandit au grand cœur confronté au plus grand mystère de l’histoire de France.
L’épouse du roi Albert demeure dans la mémoire des Belges et dans celle de tous les Européens une figure rayonnante de chaleur, de courage et d’humanisme.Durant la Première Guerre mondiale, elle alla bien au-delà de ce qu’on exigeait en ce temps d’une souveraine en fait de bonnes oeuvres, et cette reine d’origine bavaroise se dépensa sans compter pour les blessés et les réfugiés. Tout en fortifiant cet esprit de résistance qui a valu à son royal mari le surnom de roi chevalier « , elle tenta en 1917 de faire arrêter la tuerie (elle devait d’ailleurs, jusqu’à la fin de ses jours, se montrer une ardente propagandiste de l’entente entre les nations). Après la mort du roi en 1934 et après les difficultés rencontrées par Léopold III, son fils, à la fin du second conflit mondial son prestige joua un rôle non négligeable dans le crédit dont jouit la monarchie qu’incarne aujourd’hui son petit-fils Baudouin.Mais peut-être est-ce dans le domaine artistique qu’elle aura le mieux servi son pays: amie des poètes et des écrivains (Verhaeren, Valéry, Romain Rolland, Colette, Cocteau…), des savants (Einstein, la famille Curie…), mais plus encore des musiciens (Menuhin, Casals, Oïstrakh…), elle aida la Belgique d’après-guerre à retrouver une place de premier plan dans la culture européenne …
Le cercle de Megiddo
Sur le site archéologique de Megiddo, au Nord d’Israël, une découverte archéologique majeure remettrait en cause les fondements mêmes de la Bible. Une malédiction se déroule dans un compte à rebours implacable. Les héros de cette énigme auront douze jours pour enrayer le processus et tenter de sauver leurs vies. Maya Spencer est une jeune archéologue anglaise. Elle travaille depuis plusieurs années avec le professeur Friedmann, son tuteur. Sa vie est entièrement consacrée à leur passion commune, l’archéologie. Ils effectuent d’importantes recherches sur le site de Megiddo, en Israël, autour d’un sanctuaire chaldéen datant du VIIe siècle avant J.-C. Après deux mois d’absence, Maya rejoint l’équipe. Dès son arrivée, surviennent de curieux phénomènes, des morts brutales qui semblent programmées. Un compte à rebours impitoyable s’est enclenché : chaque jour, sur un cycle de douze, s’accomplit un sacrifice. Maya et le professeur comprennent dès lors qu’il existe un lien entre ces disparitions et la mise au jour du sanctuaire. La découverte inexpliquée de traces mésopotamiennes sur le site de Megiddo tendrait en effet à prouver que la Bible ne serait qu’un ouvrage de commande, écrit à l’instigation du roi Josias… Hypothèse folle qui remettrait en cause les fondements même de la culture judéo-chrétienne et troublerait l’équilibre des relations internationales.
Thanasse et Casimir
Publié entre deux « Toine » en 1942, ce roman très drôle, l’un des préférés de son auteur, met en scène Thanasse, le garde-salle de Cabussart, et son copain Casimir, un ancien poilu français qui manie l’argot avec une verve irrésistible.
Toine Culot, obèse ardennais
Lire ou relire Arthur Masson, c’est se plonger dans un bain de jouvence, de bonne humeur et de sagesse terrienne.
Pour le plaisir de ceux qui aiment la bonne littérature de terroir centrée sur la vie quotidienne d’un village wallon, les récits tragi-comiques contés avec avec humour et tendresse – où la saveur du patois relaie le bon usage d’un excellent français – et les personnages hauts en couleur s’affrontant dans les situations cocasses ou émouvantes, voici le souriant et malicieux Toine Culot, aux traits rajeunis par le talent de David Merveille, à nouveau en librairie au fil des cinq volumes de la célèbre «toinade».
(Re)découvrez le premier titre de la « Toinade » : des images d’une étonnante poésie et un vocabulaire riche et sans pédanterie se mettent au service d’une histoire simple et drôle, pimentée de jovialité wallonne où Toine, jeune campagnard des Ardennes belges, découvre la vie et l’amour.