Deux veuves pour un testament
Le corps d’une vieille femme est retrouvé sans vie. Pour le médecin légiste, Constanza Altavilla a été terrassée par une crise cardiaque et sa tête a heurté dans sa chute le radiateur. Cependant, en interrogeant ses proches et notamment son fils et la responsable de la maison de retraite où Constanza se rendait bénévolement, le commissaire Brunetti est sûr qu’il s’agit d’un meurtre.
Biographie de la faim
L’auteur de Stupeur et tremblements (Grand Prix du roman de l’Académie française 1999) et de Métaphysique des tubes fait revivre ses souvenirs de petite enfance au Japon mais aussi à Pékin, à New York, au Bangladesh et autres lieux où l’a conduite la carrière d’un père diplomate. Au cœur du kaléidoscope : sa faim. Le mystère de la faim, la faim goinfre, joyeuse ou tragique et angoissante, quête perpétuelle d’un accomplissement inaccessible, qui explique autant l’histoire des peuples que celle des individus. Les figures du père, d’une nourrice japonaise, d’une sœur tendrement aimée se dessinent aussi dans ce récit pudique et sincère, maniant l’humour noir et la provocation. « La faim, c’est moi. »
L’hippopotame
En digne héritier d’Oscar Wilde et de Noël Coward, Stephen Fry s’attaque à tous les interdits dans une énorme satire de l’establishment anglais.
Poète déchu, critique dramatique acariâtre, vieux libidineux aigri, confit de misanthropie et imbibé de whisky, Ted Wallace est un inébranlable rationaliste, un irréductible pourfendeur de tabous, un ennemi tonitruant des bonnes manières.
Aussi entrevoit-on le désastre lorsqu’il est lâché dans la très chic partie de campagne de lord Logan, investi d’une délicate » mission secrète » : faire l’entière lumière sur de prétendues guérisons miraculeuses…
Sous les yeux alarmés d’une poignée d’aspirants miraculés, Ted et ses diatribes insolentes de bon sens vont semer la panique au royaume des tartufes : les femmes, les hommes, les vieux snobs ringards et les jeunes cons prétentieux, les crédules et les sceptiques… Tandis que le ravissant David, quinze ans poursuit un énigmatique dialogue avec les forces de la nature, personne ne sort indemne de cette impitoyable et provocante comédie de mœurs.
26 ans de pouvoir absolu en Guinée. 26 longues années au cours desquelles ‘l’homme du NON au Général de Gaulle », immensément populaire en Afrique, est petit à petit devenu « l’homme du Camp Boiro », du nom de cette prison où l’on torturait à mort opposants ou simples suspects dans la banlieue de Conakry. Après la disparition de Sékou Touré et l’élimination de son entourage, au printemps 1984, les langues se sont déliées, les documents ont été « libérés », les jugements sont devenus plus assurés. Alors qui fut vraiment Sékou Touré ? Comment fonctionnait effectivement son régime ? Dans quel état a-t-il finalement laissé la Guinée le jour de sa mort ? Pour répondre à ces questions et à tant d’autres, tous les journalistes du Groupe Jeune Afrique, rejoints par quelques uns des meilleures spécialistes de la Guinée, ont participé à la rédaction de cet ouvrage. Un bilan complet, détaillé, sans complaisance, d’une dictature sanglante? Mais aussi le portrait d’un homme qui a marqué profondément, pour le meilleur et pour le pire, l’histoire de l’Afrique.
12 books for children. Very eclectic. 400 F per book.
Susanna Gretz : It’s your turn, Roger !
Being a girl (the things you should know)
Being a boy (the things you should know)
Rufus Butler Seder : Gallop !
Eric Carle : Today is Monday
Daisy Meadows : India, the Moonstone Fairy
Jamie Kelly : Dear Dumb Diary, You can bet on that
Loren Long : What does Otis see ?
Michael Rosen and Adrian Reynolds : The bear in the cave
Cinthya Ryland : Finds a friend
Michael Grater :Easy papercraft projects
Many authors : The nursery rhyme book
Vivre, vraiment
Nous avons en nous les solutions à tous nos problèmes. J’ai appris au fil des années que si, bien souvent, le bonheur dépend de causes extérieures, la paix intérieure est quant à elle un état qui s’acquiert avec l’expérience et la patience. Croyez-moi, même dans la plus grande des souffrances, on peut parvenir à trouver un certain apaisement.
J’ai fait le choix d’être artisan de ma vie et de ne jamais baisser les bras. Mon existence n’a pas été préservée de la souffrance, de la maladie ou des déceptions. Mes blessures m’ont endurcie, sans aucun doute, mais elles m’ont surtout permis d’être plus attentive aux micro-bonheurs de l’existence qui passent si souvent inaperçus. Et si le bonheur était en réalité dans les détails ?
Maud Fontenoy
Ousmane Ndiaye Dago « Femme Terre »
157 pages – Ousmane Ndiaye Dago a très certainement conscience que le moyen photographique ne restitue que la peau de la réalité et que même la dénudation de ses modèles n’est, au final, qu’un artifice, quand bien même il se révèle fertile d’un point de vue linguistique. Dago se base dans un premier temps, sur l’identification de la femme avec la terre pour leur capacité commune de proliférer. terre nue et corps nue.
Rires noirs
Rires noirs ? Voulez-vous dire que les Noirs ont le rire noir ? N’est-ce pas creuser le malentendu, en partant d’une mauvaise plaisanterie, à propos de sujets qui mériteraient d’être traités sur un ton plutôt sérieux. Sans doute, mais le lecteur critique qui passe après l’écrivain n’a pas à désamorcer les bombes à retardement qu’il trouve dans ce qu’il lit. Il saute dessus : en lisant, il les fait exploser en éclats de rire. Voici ces éclats dans le roman des romans des Rires noirs du monde noir.
Douce amère
Maintenant que ses quatre enfants grandissent, India aimerait bien reprendre son activité de reporter-photographe. Mais lorsqu’elle en parle à son mari, celui-ci lui oppose un refus catégorique. Déçue par ses propos et son égoïsme, India laisse s’installer entre eux un fossé désormais infranchissable. Partagée entre l’amour de sa famille et la passion de son métier, elle doit trouver un équilibre pour son épanouissement personnel, quitte à mettre son mariage en danger.
Les arabes ou le baptême des larmes
Le duel engagé depuis quatre mille ans autour de la Palestine entre l’homme de la steppe et celui de la cité est aussi un conflit culturel entre des valeurs divergentes, celles qui relèvent de la nature et celles acquises par l’Histoire. Dans leur revendication immémoriale de la Terre promise, les Arabes luttent pour en conquérir les biens dont elle est le symbole : lait et miel de l’ère nomade, biens messianiques des prophéties bibliques et technique des temps modernes. Saisir sous les dialectiques de l’Histoire le conflit des symboles et le dessein de l’Esprit, tel est le projet de cette enquête scientifique : animée par un feu intérieur, elle prend la forme d’une méditation sur la religion du désert que représente l’Islam et sur le destin des Arabes, témoins de l’enfance du monde.
Devenez sorciers, devenez savants
Nous ne prétendons nullement, dans ce livre, renverser le cours des choses. Nous espérons seulement, en proposant quelques expériences de sorcellerie banales, montrer comment un certain nombre de sorciers modernes abusent le pauvre monde ! En apprenant à berner les autres, vous serez mieux préparés à déceler les boniments des marchands d’illusions qui cherchent à vous persuader de leurs connaissances hors du commun, que ce soit dans les domaines touchant à la santé, à la vie sentimentale ou à la politique. Nous ne voulons en aucun cas imposer une pensée unique, nous militons au contraire pour le doute, le scepticisme, la curiosité et la science. Restez savants, devenez sorciers ! Georges Charpak est prix Nobel de physique 1992 et physicien au CERN. Henri Broch est professeur de physique et directeur du laboratoire de Zététique, à l’université de Nice-Sophia Antipolis.
Ne dites pas à Dieu ce qu’il doit faire
Einstein ou la revanche du destin. Pendant ses quarante premières années, le père de la relativité construit seul, envers et contre tout, son personnage. Il devient le plus grand physicien de son temps. A quarante ans, sa vie bascule à l’opposé de tout ce qu’il avait choisi. L’ours solitaire est dévoré par sa propre célébrité, emporté par le tumulte du monde. Juif oublieux de sa tradition, il doit rejoindre le mouvement sioniste ; pacifiste, avocat de l’objection de conscience, il incite le Président Roosevelt à construire la bombe atomique. Quant au savant génial, il s’enferre dans ses certitudes et refuse la nouvelle physique. « Dieu ne joue pas aux dés », répète-t-il jusqu’à s’entendre répondre par Niels Bohr : « Qui êtes-vous, Einstein, pour dire à Dieu ce qu’il doit faire ? ».
Ce roman d’un homme, c’est aussi celui d’un siècle, porteur de toutes les espérances et père de toutes les barbaries. Monde en ébullition, personnages romanesques, scènes haletantes, sous la plume de François de Closets, le récit biographique prend la force et les couleurs d’une épopée. Et le lecteur s’étonne de comprendre une histoire que l’on croyait réservée à des spécialistes.
Be safe
Il y a quelques semaines encore, je grattais la guitare avec Jeremy dans le garage, en rêvant de gloire et de rock’n’roll pendant que P’pa, couché dans le cambouis, trafiquait ses moteurs. Il a fallu que nous croisions les sergents recruteurs, sur le parking du supermarché, un jour où nous avions soif de Coca. Ils lui ont promis qu’il aurait un bon job, qu’il construirait des ponts. Alors il a signé. « Le soldat spécialiste de première classe Jeremy O’Neil est définitivement affecté à la compagnie Sygma du 3ème bataillon du 504ème régiment de parachutistes de la 82ème division aéroportée » dit le papier. En clair, ça veut dire que Jeremy part là-bas. Là où la guerre fait rage. Il y va pour tuer ou pour se faire tuer. On ne va pas le revoir avant des mois. Il a promis de m’écrire. Et tous ses mails, il les termine par cette formule : Be safe.
Monster High – Tome 3 – Chair de goule
Une goule au plafond ! Le ménage laisse à désirer à Monster High… des toiles d’araignée fleurissent partout et ce n’est même pas pour Halloween ! Nos trois meilleures goules pour la vie préférées, Robecca Steam, Venus McFlytrap et Rochelle Goyle poursuivent leur enquête car elles sont persuadées que cela a un rapport avec la mystérieuse disparition du proviseur Santête… et la présence d’une goule clandestine dans l’école !
Princesse Eolia – Les voleurs d’eau
« Cette rivière est à moi, et je ne vendrai pas ! Jamais ! » Ainsi parle le vieil homme qui apparaît dans les rêves de la princesse Eolia. Mais la jeune fille n’a pas la tête à s’occuper de cette histoire de rivière volée. Malgré tout, elle sera entraînée dans une enquête qui va la mettre face à de redoutables hommes d’affaires. Réussira-t-elle à sauver l’eau de Nénucie ?
Les enfants de la science
Les biologistes sont-ils des apprentis sorciers ? En intervenant dans la procréation humaine, ils savent déjà faire naître des enfants sans père, des enfants sans mère. Insémination artificielle, bébés-éprouvette, embryons congelés, dons d’ovules, ventres à louer : ces termes de science-fiction sont entrés avec fracas dans notre vie quotidienne. Moyens révolutionnaires pour obtenir les enfants de la science qui sont devenus, pour des milliers de couples stériles, la seule façon de réaliser leur désir d’enfant. Ce livre raconte la révolution biologique qui nous frappe de plein fouet. Et, surtout, nous fournit les moyens de réfléchir sur ce que sera peut-être ce monde nouveau que nous proposent les biologistes. Un monde où, si nous n’y prenons garde, l’homme risque de ne plus être tout à fait le même. Pour nous aider à comprendre cette aventure, ce livre donne la parole à tous ceux qui ont déjà su vivre leur propre réflexion sur ce sujet brûlant et fascinant : théologiens, comme Mgr Julien, évêque de Beauvais ; moralistes, humanistes, comme le Pr Jean Bernard ; psychanalystes, sociologues, généticiens, gynécologues, juristes, ethnologues.
The call of the wild
« The Call of the Wild » is a novel by Jack London originally published in 1903. The story is set in the Yukon during the 1890s Klondike Gold Rush—a period when strong sled dogs were in high demand. The novel’s central character is a dog named Buck, a domesticated dog living at a ranch in the Santa Clara Valley of California as the story opens. Stolen from his home and sold into the brutal existence of an Alaskan sled dog, he reverts to atavistic traits. Buck is forced to adjust to, and survive, cruel treatments and fight to dominate other dogs in a harsh climate.
Le clin d’œil de l’amour
Ne vous est-il jamais arrivé d’évoquer une personne qui vous était complètement sortie de l’esprit depuis des années, puis, le lendemain, de la croiser par hasard ? N’avez-vous jamais pensé envers et contre tous » voici l’homme ou la femme de ma vie » ? De troublantes coïncidences émaillent votre chemin vers le grand amour. Apprenez à les reconnaître, à les interpréter et à leur faire confiance. Etoffé d’histoires vécues, cet ouvrage vous donne les clés d’une vie sentimentale réussie.
On ne peut pas tout avoir
En cette fin de printemps 1990, Ivor Tesham, étoile montante du gouvernement de Margaret Thatcher et ardent coureur de jupons, décide d’offrir à sa maîtresse un cadeau d’anniversaire mémorable. Il manigance ce que l’on appelle une sex aventure. Il la fait enlever en pleine rue. Elle est consentante, bien qu’elle ne soupçonne rien. Ligotée et bâillonnée, il la fait livrer à domicile. Mais tout ne se passe pas comme prévu… La mort très médiatisée de la séduisante Hebe déclenche une enquête qu’Ivor, jeune ministre ambitieux, souhaite éviter à tout prix. Le scandale est étouffé mais la mort d’une deuxième femme met Ivor au pied du mur: il n’arrive pas à fuir les souvenirs qui le hantent.
What was the Underground Railroad ?
Which of these facts are true?
It was a railroad with not trains or tracks
Trips on this railroad always headed north
It was the route to freedom for thousands of slaves
No one knows where the term Underground Railroad came from–there were no trains or tracks, only “conductors” who helped escaping slaves to freedom. Including real stories about “passengers” on the “Railroad,” this book chronicles slaves’ close calls with bounty hunters, exhausting struggles on the road, and what they sacrificed for freedom. With 80 black-and-white illustrations throughout and a sixteen-page black-and-white photo insert, the Underground Railroad comes alive!
Le talisman de Vannina
En Corse, on se souvient encore de l’histoire de Vannina la fille du berger qui, un jour, porta secours à une vieille femme étrangère. Pour la récompenser, la vieille lui offrit un cadeau mystérieux censé lui porter bonheur. Pourtant, le lendemain Vannina apprit une terrible nouvelle. Un jour, dans les montagnes de Corse, Vannina et Orso aident une vieille femme. Elle leur donne un bracelet magique. Ce « talisman » réussira-t-il à les protéger des soldats turcs?
L’enfance d’un poète
C est sous les ors du palais de Madrid que nous rencontrons le jeune Victor, âgé de 9 ans, et ses deux frères, Abel (12 ans) et Eugène (10 ans). Pour suivre le général Hugo au service de la cour du roi Joseph-Napoléon Ier, toute la famille a rejoint la capitale espagnole. Mais ce quotidien fastueux est de courte durée… Premier coup de tonnerre : le général demande le divorce ! Deuxième coup de tonnerre : il a décidé d envoyer ses fils en pension dans le sinistre collège des Nobles. Du jour au lendemain, ils doivent oublier leurs douces années parisiennes, où jeux dans le jardin et cours à domicile rythmaient le quotidien. C est aux sombres dortoirs d un couvent et à la tyrannie des religieux qu ils vont devoir s accoutumer. Ainsi s oppose la largesse d esprit de leur mère, toujours soucieuse d inculquer à ses enfants le libre choix, et l autorité despotique de leur général de père. Mais la guérilla qui secoue l Espagne met plus rapidement que prévu un terme à leur exil. Fous de joie, Eugène et Victor retrouvent leur chère maison des Feuillantines et tous leurs amis, dont la charmante Adèle Foucher. Pour autant, ce ne sera qu une parenthèse enchantée. Très vite, Victor et Eugène sont de nouveau placés en pension… Malgré cette vie austère, Victor mène de brillantes études et démontre déjà des talents de poète alors qu à l extérieur émerge un monde nouveau.
Splendeur et décadence de Katie Castle
Katie a les dents longues et la langue bien pendue. Ces atouts – entre autres – lui ont permis de décrocher un super job dans le monde si fermé de la mode, un charmant et riche fiancé et une maison de rêves dans un quartier huppé de Londres. Seule ombre au tableau : sa belle-mère, accessoirement également sa patronne, qui règne d’une main de fer sur la vie e son fiston. Or, le jour où Katie ne résiste pas au charme du chauffeur, belle-maman mettra tout en œuvre pour la ruiner…Heureusement, Katie a plus d’un tour dans son sac à main… griffé, bien sûr.
Once.
Felix, a Jewish boy in Poland in 1942, is hiding from the Nazis in a Catholic orphanage. The only problem is that he doesn’t know anything about the war, and thinks he’s only in the orphanage while his parents travel and try to salvage their bookselling business. And when he thinks his parents are in danger, Felix sets off to warn them–straight into the heart of Nazi-occupied Poland. To Felix, everything is a story: Why did he get a whole carrot in his soup? It must be sign that his parents are coming to get him. Why are the Nazis burning books? They must be foreign librarians sent to clean out the orphanage’s outdated library. But as Felix’s journey gets increasingly dangerous, he begins to see horrors that not even stories can explain. Despite his grim suroundings, Felix never loses hope. Morris Gleitzman takes a painful subject and expertly turns it into a story filled with love, friendship, and even humor.
A PARTIR DE 14 ANS – Tome 1 – LEGEND – June est un prodige. A quinze ans, elle fait partie de l’élite de son pays. Brillante et patriote, son avenir est assuré dans les hauts rangs de l’armée. Day est le criminel le plus recherché du territoire. Né dans les taudis qui enserrent la ville, il sévit depuis des années sans que les autorités parviennent à l’arrêter. Issus de deux mondes que tout oppose, ils n’ont aucune raison de se rencontrer… jusqu’au jour où le frère de June est assassiné. Persuadée que Day est responsable de ce crime, June se lance dans une traque sans merci. Mais est-elle prête à découvrir la vérité ?
Tome 2 – PRODIGY – June et Day ont échappé à leurs poursuivants. Réfugiés à Vegas, ils rencontrent un groupe de rebelles, les Patriotes, qui consentent à les aider à s´enfuir. Mais il y a une condition. Prêts à tout, les deux adolescents acceptent : ils savent que, sans les rebelles, leurs heures sont comptées. Pourtant, June doute : et s´ils s’apprêtaient à plonger le pays dans la guerre civile ? Déchirée entre son sens du devoir, ses intuitions et ses sentiments, elle devra prendre la décision la plus difficile de son existence. Et Day aura-t-il suffisamment confiance en sa nouvelle complice pour remettre sa vie et celle des siens entre ses mains ?
Tome 3 – CHAMPION – June et Day se sont dévoués corps et âme à la République. Leur pays est à l’aube d’une renaissance… jusqu’au jour où un nouveau virus, plus dangereux que tous les précédents, déclenche une vague de panique à la frontière ennemie. La guerre menace d’éclater. June est la seule à détenir la clé pour défendre sa patrie. Mais sauver la vie de milliers de personnes suppose un sacrifice terrible, pour elle comme pour celui qu’elle aime.
Intronisée grâce à un coup d’État fomenté par la France, Élisabeth 1ère est la dernière autocrate issue directement de la famille des Romanov. Elle régnera pendant vingt ans sur l’immense empire russe (1741-1761).
Adorée par son père Pierre le Grand, qui la fait peindre nue en petite Vénus, Elisabeth suit résolument les brisées du tsar. Elle procède à des réformes importantes, dont certaines très en avance
sur son temps, à commencer par l’abolition de la peine de mort, une première dans le monde civilisé ; elle émet des décrets soucieux de la dignité de la femme et fait état d’une conception avant-gardiste de l’urbanisme ou de l’écologie.
Son gouvernement engage des mesures fiscales et met une révision du code de lois en chantier. L’art – l’architecture, le théâtre, la musique – atteste la volonté de la souveraine d’associer harmonieusement les influences occidentales aux valeurs proprement russes. La Russie pèse alors de tout son poids sur la diplomatie et les conflits; elle représente une grande puissance continentale, mais s’érige aussi en protectrice des chrétiens d’Orient. Bien avant les Soviétiques, elle intègre la Prusse orientale dans son empire.
Pendant la guerre de Sept Ans, ses armées parviennent à écraser Frédéric Il; et seule la mort d’Élisabeth permet au roi de Prusse de sauver son honneur. Adulée par les philosophes des Lumières, chérie par ses compatriotes, cette » joyeuse impératrice » s’efface pourtant derrière les personnalités écrasantes de Pierre Ier et de Catherine II.
À l’aide de nombreux documents inédits, cette biographie scrute avec bonheur la personnalité et le rôle d’une autocrate que le Grand Frédéric n’hésita pas à appeler » la bête « ! Libre et affichant un mode de vie peu conforme à l’Etiquette, Elisabeth annonce les revendications de la femme du XXIe siècle
Juliet, Naked
« Que fait-on lorsqu’on pense qu’on a gâché quinze ans de sa vie ? »
C’est la question gênante que se posent tous les personnages du nouveau roman de Nick Hornby. Il y a Annie et Duncan, la quarantaine sonnante, dont le couple de quinze ans d’âge montre d’inquiétantes fissures. Rien d’étonnant, car à y regarder de près, on ne sait plus très bien pourquoi ils sont ensemble.
Annie travaille au petit musée local de Gooleness, un job peu honorifique qui lui laisse assez de temps pour une visite hebdomadaire à son psy débutant… Mais le temps justement est devenu son pire ennemi …
Ado attardé, Duncan consacre tout le sien à Tucker Crowe, une rock star américaine qui a disparu des radars de la scène depuis près de 20 ans, après un album à succès. Il lui a dédié un site et passe ses journées à échafauder avec une communauté de fans internautes les théories les plus farfelues sur la vie de ce Salinger rock et sa réclusion sonique. Quand Duncan reçoit d’un producteur la démo de son nouvel album acoustique, Juliet Naked…c’est l’instant critique…
« Juliet, Naked était à la fois aussi innocent et incendiaire qu’un biscuit au chocolat. »
Le pseudo come back de Tucker fait voler en éclat le fragile équilibre du couple. Annie déteste l’album et poste une critique salée sur le site. Contre toute attente, elle reçoit une réponse de… Tucker himself. Entamant une correspondance, ces deux solitudes se révèlent l’une à l’autre. Car non seulement, Tucker est un expert comme elle en gâchis sentimental, mais c’est un esprit frère. Reste plus qu’à gérer la crise avec humour et plus si affinités…
La vie est une fable
Un biologiste raconte: la naissance, le corps qui se développe, les premiers émois, les élans et les drames d’une enfance qui, petit à petit, cesse d’en être une, le liberté qui se cherche. L’air de rien c’est toute l’évolution du vivant qui se trouve subtilement convoquée, depuis l’énigme des molécules primordiales jusqu’à la fulgurante apparition des premiers hommes, à travers souvenirs cocasses et rêveries tendres.
Le baiser
Délaissée depuis des années par son époux, directeur d’une grande banque parisienne, Isabelle Forrester reporte toute son affection sur son fils Teddy, très gravement malade, et s’efforce de maintenir un climat familial heureux pour sa fille aînée, Sophie. Elle ne s’accorde qu’un seul plaisir : de longues conversations téléphoniques avec un ami américain, éminent conseiller politique à Washington, enlisé, comme elle, dans un mariage sans amour. Pour Bill Robinson, Isabelle est l’âme soeur qui lui réchauffe le coeur par-delà l’océan. Leur amitié est un cadeau précieux, une promesse de bonheur. Lorsqu’ils se retrouvent à Londres pour quelques jours, Isabelle et Bill voient leur amitié devenir un sentiment plus profond. Mais un terrible accident de voiture met fin à leur idylle naissante au moment de leur premier baiser. Dans le service des soins intensifs d’un hôpital londonien, ils luttent pour survivre. Lentement, péniblement, ils vont prendre le chemin de la guérison, un chemin semé d’innombrables défis physiques, moraux et sentimentaux, pour trouver la force de renaître et d’affronter ce qu’ils ont laissé derrière eux.
Français-Allemand, Allemand-Français
Ernst Jünger est un essayiste et romancier allemand. Il se porte volontaire quand Guillaume II ordonne la mobilisation en 1914. Il est victime de nombreuses blessures et reçoit la croix – pour le mérite – la plus haute distinction militaire allemande. Il transmet son expérience de la guerre des tranchées, comme simple soldat d’abord, puis comme officier des Sturmtruppen, dans le livre Orages d’acier publié à compte d’auteur en 1920 dans lequel il décrit notamment les horreurs vécues, mais aussi la fascination que l’expérience du feu a exercée sur lui. Ce livre est aujourd’hui encore son livre le plus lu. André Gide écrit : « Le livre d’Ernst Jünger sur la guerre de 14, Orages d’acier, est incontestablement le plus beau livre de guerre que j’ai lu, d’une bonne foi, d’une honnêteté, d’une véracité parfaites »
The future for curious people
What if you could know your romantic future? What if an envisionist could enter the name of your prospective mate into a computer that would show you a film of your future life together? In The Future for Curious People, a young librarian named Evelyn becomes obsessed with this new technology: she can’t stop visiting Dr. Chin’s office because she needs to know that she’ll meet someone and be happy one day. Godfrey, another client, ends up at the envisionist’s office only because his fiancée insisted they know their fate before taking the plunge. But when Godfrey meets Evelyn in the waiting room, true love may be right in front of them, but they are too preoccupied—and too burdened by their pasts—to recognize it. This smart, fresh love story, with its quirky twists and turns, ponders life’s big questions—about happiness, fate, and our very existence—as it follows Evelyn and Godfrey’s quest for the elusive answers.
Histoire ou épopée, le mythe arthurien est une légende mystique et merveilleuse, une saga passionnante dans laquelle le roi Arthur, entouré des chevaliers de la Table Ronde, défie ennemis et maléfices pour conquérir le Graal et rétablir la paix dans son royaume… Les deux tomes de ce coffret reprennent le texte intégral de l’épopée des Chevaliers de la Table Ronde. Cette œuvre remarquablement écrite, d’une grande richesse littéraire, plongera le lecteur dans un univers merveilleux. La longueur du récit ainsi que l’utilisation du vieux français la destinent cependant à de bons lecteurs. Les nombreuses et extraordinaires illustrations contribuent à évoquer cette passionnante épopée. Très réalistes, fines et détaillées, souvent sombres et ténébreuses, elles accompagnent des lettres et des symboles qui décorent en frise les pages à la manière d’enluminures.
Après L’amie prodigieuse et Le nouveau nom, Celle qui fuit et celle qui reste est la suite de la formidable saga dans laquelle Elena Ferrante raconte cinquante ans d’histoire italienne et d’amitié entre ses deux héroïnes, Elena et Lila. Pour Elena, comme pour l’Italie, une période de grands bouleversements s’ouvre. Nous sommes à la fin des années soixante, les événements de 1968 s’annoncent, les mouvements féministes et protestataires s’organisent, et Elena, diplômée de l’École normale de Pise et entourée d’universitaires, est au premier rang. Même si les choix de Lila sont radicalement différents, les deux jeunes femmes sont toujours aussi proches, une relation faite d’amour et de haine, telles deux sœurs qui se ressembleraient trop. Et, une nouvelle fois, les circonstances vont les rapprocher, puis les éloigner, au cours de cette tumultueuse traversée des années soixante-dix. Celle qui fuit et celle qui reste n’a rien à envier à ses deux prédécesseurs. À la dimension historique et intime s’ajoute même un volet politique, puisque les dix années que couvre le roman sont cruciales pour l’Italie, un pays en transformation, en marche vers la modernité.
Métronome
Saviez-vous que la Lutèce des origines ne se situait pas sur l’île de la Cité, mais à Nanterre ? Que les derniers combattants gaulois massacrés par les Romains reposent sous la tour Eiffel ? Que les vestiges de la première cathédrale de Paris se trouvent sous un parking du Ve arrondissement ? Suivez Lorànt Deutsch le long des rues où se cachent des trésors insoupçonnés. Une promenade captivante, où défilent seigneurs alliés et princes rebelles, et tout ce qui a forgé le pays. Vous verrez s’ériger des murailles contre l’envahisseur, s’agiter l’Église, s’imposer les marchands, s’ébrouer les artistes, le peuple de Paris se soulever – violent, sanglant, emblématique –, et se construire ainsi toute l’Histoire de France.
Le cri de la mouette
Lorsque Emmanuelle a sept ans, elle découvre la langue des signes. Le monde s’ouvre enfin. Elle devient une petite fille rieuse et « bavarde ». A l’adolescence pourtant, tout bascule. Aux désarrois de son âge s’ajoute la révolte de voir nier l’identité des sourds. Emmanuelle ne peut plus concilier l’univers des entendants et le sien. Elle se referme, dérive, se perd dans des expériences chaotiques. Mais, lucide et volontaire, elle réagit et choisit de se battre : elle réussit à passer son bac, lutte pour faire reconnaître les droits de trois millions de sourds français, puis s’impose magistralement au théâtre dans Les Enfants du silence.
Le Cri de la mouette est le témoignage d’une jeune fille qui, à vingt-deux ans, a déjà connu la solitude absolue, le doute et le désespoir, mais aussi le bonheur, la solidarité et la gloire.
Dans ce livre fondamental pour la compréhension du bouddhisme, le Dalaï-Lama analyse un texte renommé de l’un de ses prédécesseurs, le troisième Dalaï-Lama, pour nous éclairer sur l’essence de la vie. Issu de la tradition d’enseignement du Lam Rim, La voie de la lumière indique clairement comment accéder à l’éveil. Il nous rappelle que cette voie passe par les grands sujets de méditation et l’importance des progrès spirituels.Ce livre s’adresse à toute personne qui souhaite aller plus loin que la simple étude du bouddhisme tibétain.
Auprès de moi toujours
Vendu sans bandeau – Kath, Ruth et Tommy ont été élèves à Hailsham dans les années quatre-vingt-dix ; une école idyllique, nichée dans la campagne anglaise, où les enfants étaient protégés du monde extérieur et élevés dans l’idée qu’ils étaient des êtres à part, que leur bien-être personnel était essentiel, non seulement pour eux-mêmes, mais pour la société dans laquelle ils entreraient un jour. Mais pour quelles raisons les avait-on réunis là ? Bien des années plus tard, Kath s’autorise enfin à céder aux appels de la mémoire et tente de trouver un sens à leur passé commun. Avec Ruth et Tommy, elle prend peu à peu conscience que leur enfance apparemment heureuse n’a cessé de les hanter, au point de frelater leurs vies d’adultes. Kazuo Ishiguro traite de sujets qui nous touchent de près aujourd’hui : la perte de l’innocence, l’importance de la mémoire, ce qu’une personne est prête à donner, la valeur qu’elle accorde à autrui, la marque qu’elle pourra laisser.
L’homme aux cercles bleus
« Victor, mauvais sort, que fais-tu dehors ? » Depuis quatre mois, cette phrase accompagne des cercles bleus qui surgissent la nuit, tracés à la craie sur les trottoirs de Paris. Au centre de ces cercles, prisonniers, un débris, un déchet, un objet perdu: trombone, bougie, pince à épiler, patte de pigeon… Le phénomène fait les délices des journalistes et de quelques psychiatres qui théorisent un maniaque, un joueur. Le commissaire Adamsberg, lui, ne rit pas. Ces cercles et leur contenu hétéroclite sont de, mauvais augure. Il le sait, il le sent: bientôt, de l’anodin saugrenu on passera au tragique. Il n’a pas tort. Un matin, c’est le cadavre d’une femme égorgée que l’on trouve au milieu d’un de ces cercles bleus.
Pars vite et reviens tard
On l’a peint soigneusement sur les treize portes d’un immeuble, dans le 18e arrondissement de Paris : un grand 4 noir, inversé, à la base élargie. En dessous, trois lettres : CLT. Le commissaire Adamsberg les photographie, et hésite : simple graffiti, ou menace ? À l’autre bout de la ville, Joss, l’ancien marin breton devenu crieur de nouvelles est perplexe. Depuis trois semaines, une main glisse à la nuit d’incompréhensibles missives dans sa boîte à messages. Un amuseur ? Un cinglé ? Son ancêtre murmure à son oreille : « Fais gaffe à toi, Joss. Il n’y a pas que du beau dans la tête de l’homme. »
L’ordre du jour
L’Allemagne nazie a sa légende. On y voit une armée rapide, moderne, dont le triomphe parait inexorable. Mais si au fondement de ses premiers exploits se découvraient plutôt des marchandages, de vulgaires combinaisons d’intérêts ? Et si les glorieuses images de la Wehrmacht entrant triomphalement en Autriche dissimulaient un immense embouteillage de panzers ? Une simple panne ! Une démonstration magistrale et grinçante des coulisses de l’Anschluss par l’auteur de « Tristesse de la terre » et de « 14 juillet ».
Un millimètre et demi d’héroïsme ! « Tobie Lolness mesurait un millimètre et demi, ce qui n’était pas grand pour son âge. » Ainsi commence le récit des aventures du jeune Tobie, qui appartient au peuple du grand chêne. Ce peuple ne connaît pas d’autre univers que celui de l’arbre, creusant ses maisons dans les branches, traçant ses chemins dans les sillons de l’écorce, faisant travailler les charançons, élevant leurs larves pour se nourrir. Le père de Tobie, savant génial et sage, a refusé de livrer le secret d’une invention révolutionnaire qui permet de transformer la sève de l’arbre en énergie motrice. Il sait que certains s’en serviraient au détriment de l’arbre. Furieux, le Grand Conseil a condamné la famille Lolness à l’exil dans les Basses-Branches, territoire sauvage et sombre, près de la frontière des Pelés. Là pourtant, Tobie vit heureux et rencontre Elisha qui devient son amie. Mais les Lolness sont rejugés et, cette fois, condamnés à mort. Seul Tobie parvient à s’échapper. Se cachant au creux des écorces, courant parmi les branches, Tobie fuit, traqué par les siens…
L’analphabète qui savait compter
« Statistiquement la probabilité qu’une analphabète née dans les années 1960 à Soweto grandisse et se retrouve un jour enfermée dans un camion de pommes de terre en compagnie du roi de Suède et de son Premier ministre est d’une sur quarante-cinq milliards six cent soixante-six millions deux cent douze mille huit cent dix. Selon les calculs de ladite analphabète. » Tout semblait vouer Nombeko Mayeki, petite fille noire née dans le plus grand ghetto d’Afrique du Sud, à mener une existence de dur labeur et à mourir jeune dans l’indifférence générale. Tout sauf le destin. Et sa prodigieuse faculté à manier les nombres. Ainsi, Nombeko, l’analphabète qui sait compter, se retrouve propulsée loin de son pays et de la misère, dans les hautes sphères de la politique internationale. Lors de son incroyable périple à travers le monde, notre héroïne rencontre des personnages hauts en couleur, parmi lesquels deux frères physiquement identiques et pourtant très différents, une jeune fille en colère et un potier paranoïaque. Elle se met à dos les services secrets les plus redoutés au monde et se retrouve enfermée dans un camion de pommes de terre. À ce moment-là, l’humanité entière est menacée de destruction. Dans sa nouvelle comédie explosive, Jonas Jonasson s’attaque, avec l’humour déjanté qu’on lui connaît, aux préjugés et démolit pour de bon le mythe selon lequel les rois ne tordent pas le cou aux poules.
Manhattan Transfer
Ils durent changer de train à Manhattan Transfer. Ellen avait un gant neuf, en chevreau, dont le pouce avait craqué, et elle ne cessait de le frotter nerveusement avec l’index. John portait un imperméable à martingale et un chapeau mou gris rosâtre. Quand il se tourna vers elle, en souriant, elle ne put s’empêcher de détourner les yeux et de fixer la pluie qui miroitait sur les rails. – Voilà, chère Elaine. Oh, fille de prince, voyez, nous prenons le train qui vient de la gare de Penn… C’est drôle d’attendre ainsi dans la brousse de New Jersey.
Ce catalogue a été édité à l’occasion de la vente de la Collection Robert Lebel organisée par CamelsCohen à Drouot-Richelieu le lundi 4 décembre 2006.
« On conviendra que Robert Lebel et Isabelle Waldberg, de même que Breton, Max Ernst, Matta et les autres membres de ce collectif d’amateurs d’art eskimo exilés à New York, étaient tout sauf de banals collectionneurs, Fashion Victims de la culture dominante. Leur passion commune pour les arts sauvages et en particulier pour l’art eskimo -alors pratiquement ignoré des historiens, du marché et des institutions- relevait d’une logique diamétralement opposée à celle de l’idéologie colonialiste. » [J.-J. Lebel]
Rien ne va plus
Hollywood, où destin rime avec déclin. À la grande roulette du succès, il suffit d’un coup pour arriver au sommet. Et d’un mauvais numéro pour en dégringoler. Le projet de série de David Armitage vient d’être retenu pour une grande chaîne du câble. Dix ans de galère, à placer des scripts ici ou là, vont finalement payer. Reconnaissance, fortune, célébrité sont au rendez-vous. Mais la machine s’emballe. La ville-cinéma lui réserve une chute à sa mesure… Titanesque.