Strange affair
En Anglais – A bullet to the brain abruptly halted a terrified young woman’s desperate flight. In her pocket is the name of a policeman whose own life was brutally invaded, mercilessly shaken, and very nearly erased—a policeman who has since gone missing. The dead woman in the car had been running from something—but she didn’t run far or fast enough. Detective Inspector Annie Cabbot would like to question the man the victim was apparently racing to meet: Annie’s superior—and former lover—Detective Chief Inspector Alan Banks. But Banks has vanished into the anonymous chaos of the city, drawn into a mad whirl of greed, inhumanity, and death, by a frantic phone call from the brother he no longer knows. Banks is unaware that the threads connecting a sinister kidnapping with a savage slaying are as thick as rope . . . and long enough for a haunted and broken rogue cop to hang himself.
Teacher man
En Anglais – Nearly a decade ago Frank McCourt became an unlikely star when, at the age of sixty-six, he burst onto the literary scene with Angela’s Ashes, the Pulitzer Prize-winning memoir of his childhood in Limerick, Ireland. Then came ‘Tis, his glorious account of his early years in New York. Now, here at last, is McCourt’s long-awaited book about how his thirty-year teaching career shaped his second act as a writer. Teacher Man is also an urgent tribute to teachers everywhere. In bold and spirited prose featuring his irreverent wit and heartbreaking honesty, McCourt records the trials, triumphs and surprises he faces in public high schools around New York City. His methods anything but conventional, McCourt creates a lasting impact on his students through imaginative assignments (he instructs one class to write « An Excuse Note from Adam or Eve to God »), singalongs (featuring recipe ingredients as lyrics), and field trips (imagine taking twenty-nine rowdy girls to a movie in Times Square!). McCourt struggles to find his way in the classroom and spends his evenings drinking with writers and dreaming of one day putting his own story to paper. Teacher Man shows McCourt developing his unparalleled ability to tell a great story as, five days a week, five periods per day, he works to gain the attention and respect of unruly, hormonally charged or indifferent adolescents. McCourt’s rocky marriage, his failed attempt to get a Ph.D. at Trinity College, Dublin, and his repeated firings due to his propensity to talk back to his superiors ironically lead him to New York’s most prestigious school, Stuyvesant High School, where he finally finds a place and a voice. « Doggedness, » he says, is « not as glamorous as ambition or talent or intellect or charm, but still the one thing that got me through the days and nights. »
‘Tis a memoir
En Anglais – The sequel to Frank McCourt’s memoir of his Irish Catholic boyhood, Angela’s Ashes, picks up the story in October 1949, upon his arrival in America. Though he was born in New York, the family had returned to Ireland due to poor prospects in the United States. Now back on American soil, this awkward 19-year-old, with his « pimply face, sore eyes, and bad teeth, » has little in common with the healthy, self-assured college students he sees on the subway and dreams of joining in the classroom. Initially, his American experience is as harrowing as his impoverished youth in Ireland, including two of the grimmest Christmases ever described in literature. McCourt views the U.S. through the same sharp eye and with the same dark humor that distinguished his first memoir: race prejudice, casual cruelty, and dead-end jobs weigh on his spirits as he searches for a way out. A glimpse of hope comes from the army, where he acquires some white-collar skills, and from New York University, which admits him without a high school diploma. But the journey toward his position teaching creative writing at Stuyvesant High School is neither quick nor easy. Fortunately, McCourt’s openness to every variety of human emotion and longing remains exceptional; even the most damaged, difficult people he encounters are richly rendered individuals with whom the reader can’t help but feel uncomfortable kinship. The magical prose, with its singing Irish cadences, brings grandeur and beauty to the most sorrowful events, including the final scene, set in a Limerick graveyard. –Wendy Smith
The Bourne ultimatum
En Anglais – The world’s two deadliest spies in the ultimate showdown. At a small-town carnival two men, each mysteriously summoned by telegram, witness a bizarre killing. The telegrams are signed Jason Bourne. Only they know Bourne’s true identity and understand the telegram is really a message from Bourne’s mortal enemy, Carlos, known also as the Jackal, the world’s deadliest and most elusive terrorist. And furthermore, they know that the Jackal wants: a final confrontation with Bourne. Now David Webb, professor of Oriental studies, husband, and father, must do what he hoped he would never have to do again—assume the terrible identity of Jason Bourne. His plan is simple: to infiltrate the politically and economically Medusan group and use himself as bait to lure the cunning Jackal into a deadly trap—a trap from which only one of them will escape.
Claustrophobia
Guillaume Andreu est né en 1974. Familier du monde du cinéma et de théâtre, il signe avec Claustrophobia son premier recueil de nouvelles.
Étude sur Roméo et Juliette, Shakespeare
La collection 40/4 propose au lecteur trois buts : connaître, comprendre, construire une réflexion. Quarante questions pour connaître l’œuvre dans ses grandes lignes et dans ses détails, l’action et les personnages, le contexte culturel et historique. Quarante réponses pour comprendre la signification de l’œuvre, sa portée symbolique, les intentions de l’auteur. Quatre études pour construire une réflexion sur les enjeux majeurs de l’œuvre.
Étude sur Le Guépard, Lampedusa
La collection 40/4 propose au lecteur trois buts : connaître, comprendre, construire une réflexion. Quarante questions pour connaître l’œuvre dans ses grandes lignes et dans ses détails, l’action et les personnages, le contexte culturel et historique. Quarante réponses pour comprendre la signification de l’œuvre, sa portée symbolique, les intentions de l’auteur. Quatre études pour construire une réflexion sur les enjeux majeurs de l’œuvre.
Coup de folie
Décidément, Sam Stark a vraiment un problème avec les femmes ! Lorsqu’il décide de les épouser, elles déclarent forfait au dernier moment et il se retrouve seul devant l’autel. Cette fois encore, il a fallu renvoyer les invités… Pourtant, Monsieur Stark, expert en informatique, est plutôt séduisant, a l’esprit brillant, est immensément riche, et le tout-Seattle le surnomme » l’androïde » en raison d’un esprit aussi rigoureux que celui de ses ordinateurs. Desdemona Wainwright, la dynamique jeune femme qui a organisé la réception du mariage, constate non sans surprise que le charme si particulier de Sam ne la laisse pas indifférente. Artiste extravertie et pleine de fantaisie, elle a le sentiment qu’ils sont peut-être faits pour s’entendre…
Sur la route de Houston
Epouse et mère généreuse, cavalière émérite, Coweta a été plus qu’une mère pour Rainey : une véritable âme sœur. Depuis sa mort, Rainey se sent inconsolable. N’a-t-elle pas toujours trouvé en sa mère un soutien indéfectible -une écoute bienveillante, un réconfort plein de tendresse ? A trente-cinq ans, ballottée par l’existence, marquée par deux divorces, Rainey se sent pour la première fois livrée à elle-même, face au désordre de son passé et au secret de sa naissance. Au volant du vieux pick-up dont elle a hérité, elle part sur les chemins dans l’espoir de redonner un sens à son existence. Oklahoma, Texas -peu importe où elle va. L’essentiel pour elle, est de faire ce qu’elle aime : des concours équestres. En commençant son périple, elle ne soupçonne certes pas la rencontre qui l’attend. Pourtant, cette rencontre est de celles qui marquent une vie. Ou la brisent pour toujours.
Dédale
Un grand thriller qui entraîne le lecteur dans la course mortelle des superpuissances pour la maîtrise de la plus sophistiquée des armes : l’esprit humain. Et si demain le K.G.B., afin de torpiller les réformes de l’ère Gorbatchev, voulait provoquer une crise internationale. Et s’il utilisait pour cela la nouvelle arme absolue : le contrôle du cerveau humain à distance ? C’est cela qu’a imaginé l’auteur de « Fortitude » dans ce thriller planétaire au suspense implacable, après une enquête de plus de deux années sur les dernières découvertes de la science et les laboratoires ultra-secrets de la C.I.A.
Bank
Serrant de près l’actualité, ce nouveau grand roman est aussi révélateur que la plus méticuleuse des enquêtes. Il nous raconte l’histoire fascinante d’une grande banque, de l’argent qu’elle contrôle et de ces hommes avides qui le manient, qui le convoitent et qui se battent pour le pouvoir qu’il représente. Des hommes de tous les niveaux, il faut le préciser, depuis les caïds du conseil d’administration, qui hantent les coulisses du monde politique aussi tranquillement que celles du monde des affaires, brassant quotidiennement des sommes qui font rêver, jusqu’à ce jeune cadre, Miles Eastin, préoccupé par quelques milliers de dollars, et que nous suivrons des caisses de la banque jusqu’aux bas-fonds du crime… Des hommes et des femmes comme on en trouve partout : les irréprochables et ceux qu’on peut acheter, les puritains et les libertins, les ambitieux et les idéalistes…. mais tous liés par cette entreprise énorme et toute-puissante qu’est une banque moderne. Avec sa force habituelle, et la connaissance profonde qu’il a acquise, ici et là, des milieux de la banque et de l’argent, Arthur Hailey ne cache rien, dans cette histoire mouvementée, des vérités les plus terribles, les plus étonnantes -qu’il s’agisse de l’inflation, des cartes de crédit, de la corruption, ou de la « santé » des affaires les plus prestigieuses
Ennemi
Analystes de renom, rivaux (l’un est lacanien, l’autre freudien) mais secrètement complices, Bruno Brunschwig et Gilles d’Avertin partagent femmes, richesses et honneurs. Ainsi que ce pouvoir sur les consciences que donne l’exercice de leur discipline… Apparaît alors Maria Solar, dix-neuf ans, riche héritière, seule au monde. Maria qui, au bord de la folie, appelle l’amour… Qui, de Gilles ou de Bruno, l’emportera ? C’est compter sans le troisième homme, celai qui parsème de cadavres la route de la jeune fille. Le psychopathe de génie qui se veut le rédempteur des sans-espoir, celui qui va exorciser le Diable – la psychanalyse -, l’ennemi. Le romancier de Voyante et des Enfants de Salonique signe ici un de ses meilleurs livres, à la fois thriller haletant et satire amusée des sectes, des rites et des sorciers de la psychanalyse.
Le portail
François Bizot, membre de l’École française d’Extrême Orient, est fait prisonnier au Cambodge par les Khmers rouges, en 1971. Enchaîné, il passe trois mois dans un camp de maquisards. Chaque jour, il est interrogé par l’un des plus grands bourreaux du vingtième siècle, futur responsable de plusieurs dizaines de milliers de morts, aujourd’hui jugé pour crimes contre l’humanité : Douch. Au moment de la chute de Phnom Penh, en 1975, François Bizot est désigné par les Khmers rouges comme l’interprète du Comité de sécurité militaire de la ville chargé des étrangers auprès des autorités françaises. Il est le témoin privilégié d’une des grandes tragédies dont certains intellectuels français ont été les complices. Pour la première fois, François Bizot raconte sa détention, décrit une révolution méconnue, démonte les mécanismes de l’épouvante et fait tomber le masque du bourreau monstre. Grâce à une écriture splendide et à un retour tragique sur son passé, l’auteur nous fait pénétrer au cœur du pays khmer, tout en nous dévoilant les terribles contradictions qui — dans les forêts du Cambodge comme ailleurs – habitent l’homme depuis toujours. (Ethnologue, François Bizot a été affecté depuis 1965 dans différents pays de la péninsule indochinoise, dont il étudie la religion. Directeur d’études à l’École pratique des hautes études, il est titulaire de la chaire de « Bouddhisme d’Asie du Sud-Est »)
Si c’était demain …
Jeune, belle, l’avenir sourit à Tracy Whitney. Son métier la passionne et elle vient de se fiancer à, l’homme qu’elle aime, héritier d’une des plus anciennes et plus riches familles de Philadelphie. Il suffit d’une nuit pour que cet univers bascule et qu’un matin les portes d’un pénitencier se referment sur Tracy, prise dans un engrenage implacable, condamnée à quinze ans de prison. Elle n’y passera que quelques mois. A peine sortie, elle veut se venger de ceux qui ont détruit sa vie. Puis, pour survivre, et bientôt conquise par sa nouvelle existence, Tracy se lance dans une série de «coups » éblouissants. Avec l’élégance et l’insolence d’un Arsène Lupin au féminin, de La Nouvelle-Orléans à Paris, de Londres à Amsterdam, elle déleste les milliardaires de leurs bijoux et les musées de leurs tableaux, Interpol à ses trousses. Mais un jour elle rencontre son égal, Jeff Stevens. Aussi séduisant, aussi doué, aussi recherché qu’elle… Si c’était demain…, un roman mené tambour battant par Sidney Sheldon, un des écrivains les plus lus dans le monde entier.
De sang-froid
Il était midi au cœur du désert de Mojave. Assis sur une valise de paille, Perry jouait de l’harmonica. Dick était debout au bord d’une grande route noire, la Route 66, les yeux fixés sur le vide immaculé comme si l’intensité de son regard pouvait forcer des automobilistes à se montrer. Il en passait très peu, et nul d’entre eux ne s’arrêtait pour les auto-stoppeurs… Ils attendaient un voyageur solitaire dans une voiture convenable et avec de l’argent dans son porte-billets : un étranger à voler, étrangler et abandonner dans le désert. Le roman culte inspiré à Truman Capote par un terrible fait divers.
Une douce flamme
Il paraît qu’en la présence du Führer, ses admirateurs sentaient brûler en eux une douce flamme… En 1950, lorsque Bernie Gunther débarque à Buenos Aires sous un nom d’emprunt, Hitler a certes disparu, mais la ville est infestée d’exilés nazis qu’anime encore cette « petite flamme ». Et ce ne sont pas les moindres, qui ont reconstitué en Argentine leurs réseaux et leurs pratiques. Informé de sa véritable identité, le chef de la police charge Bernie d’une enquête qui ressemble étrangement à une affaire non élucidée, datant de l’époque où il était détective à la Kripo berlinoise: une jeune fille a été retrouvée mutilée d’horrible manière… une autre a disparu. Bernie va découvrir à ses dépens l’ampleur de la collusion entre le régime Perôn et les nazis, ainsi que le vrai visage de sa terre d’accueil.
Le diable blanc
En 1860, la longue agonie de la dynastie mandchoue, qui règne sur la Chine depuis des siècles, semble s’accélérer quand les troupes rebelles des Taiping marchent sur Shanghai. Dirigées par des officiers incapables et corrompus, les armées impériales ne peuvent faire face à la menace. Les hommes politiques chinois prennent conscience qu’il leur faut trouver de l’aide ailleurs. Or un étranger vient lui-même la leur proposer. Frederick Townsend Ward, jeune aventurier américain, débarque en Chine en 1859. Il a vingt-huit ans, pas un sou en poche. Lorsqu’il meurt au combat, trois ans plus tard, il est devenu sujet chinois et général de l’Armée-Toujours-Victorieuse. Comment expliquer ce destin fabuleux ? Ward a réussi à forger ce que ni la Chine ni le monde n’avaient encore vu : une armée hautement disciplinée, commandée par des officiers occidentaux, formée aux tactiques et aux armements modernes.
Enfant 44
Moscou, hiver 1953. Le corps d’un petit garçon est retrouvé nu sur une voie ferrée. Alors que la famille de l’enfant croit à un assassinat, Leo, agent du MGB, police d’État chargée du contre-espionnage, reste fidèle à la ligne du parti : le crime n’existe pas sous le parfait régime socialiste, il s’agit d’un accident. L’affaire est classée mais le doute s’installe … Tombé en disgrâce, soupçonné de trahison, Leo est contraint à l’exil avec sa femme, Raïssa. Et, dans une petite ville des montagnes de l’Oural, il va faire une troublante découverte : un autre garçonnet mort dans les mêmes conditions que celles de « l’accident » de Moscou. Prenant tous les risques, Leo et Raissa vont se lancer dans une terrible traque, qui fera d’eux des ennemis du peuple …
New York brûle-t-il ?
Trois ans après la tragédie du 11 septembre, des terroristes cachent une bombe atomique au cœur de New York. Si le président américain n’oblige pas les Israéliens à quitter toutes les colonies des territoires arabes occupés, Manhattan sera rayée de la carte. Faut-il céder à ce chantage ? Des terroristes peuvent-ils vraiment se procurer une bombe atomique et l’introduire sur le territoire américain ? Y a-t-il, pour les forces de l’État le plus puissant de la planète, la moindre chance de la trouver et de la désamorcer ? Peut-on évacuer New York ? Le compte à rebours commence? New York brûle-t-il ?
Étude sur Un amour de Swann, Proust
Une collection qui entend offrir l’essentiel des connaissances indispensables et incontournables permettant l’approche et l’étude efficace d’œuvres littéraires.
Texaco
«Une vieille femme câpresse, très grande, très maigre, avec un visage grave, solennel, et des yeux immmobiles. Je n’avais jamais perçu autant d’autorité profonde irradier de quelqu’un… Elle mélangeait le créole et le français, le mot vulgaire, le mot précieux, le mot oublié, le mot nouveau…» Et c’est ainsi que Marie-Sophie Laborieux raconte à l’auteur plus de cent cinquante ans d’histoire, d’épopée de la Martinique, depuis les sombres plantations esclavagistes jusqu’au drame contemporain de la conquête des villes. D’abord, les amours d’Esternome, le «nègre-chien» affranchi, avec la volage Ninon qui périt grillée dans l’explosion de la Montagne Pelée, puis avec Idoménée l’aveugle aux larmes de lumière, qui sera la mère de Marie-Sophie. Dans les temps modernes, Marie-So erre d’un maître à l’autre, au gré de mille et un «djobs» qui l’initient à l’implacable univers urbain. Ses amours sont sans lendemain. Devenue l’âme du quartier Texaco, elle mène la révolte contre les mulâtres de la ville, contre les békés qui veulent s’approprier les terres, contre les programmes de développement qui font le temps-béton. Patrick Chamoiseau a sans doute écrit, avec Texaco, le grand livre de l’espérance et de l’amertume du peuple antillais, depuis l’horreur des chaînes jusqu’au mensonge de la politique de développement moderne. Il brosse les scènes de la vie quotidienne, les moments historiques, les fables créoles, les poèmes incantatoires, les rêves, les récits satiriques. Monde en ébullition où la souffrance et la joie semblent naître au même instant.
Le Concile de pierre
Un enfant venu du bout du monde dont le passé resurgit peu à peu. Des tueurs implacables lancés à sa poursuite. Une femme prête à tout pour le sauver. Même au prix le plus fort. Un voyage hallucinant jusqu'au cœur de la taïga mongole. Là où règne la loi du Concile de Pierre : celle du combat originel, quand l'homme, l'animal et l'esprit ne font qu'un. Tous prêts à l'apocalypse.
Orlando
En Anglais – Virginia Woolf’s Orlando ‘The longest and most charming love letter in literature’, playfully constructs the figure of Orlando as the fictional embodiment of Woolf’s close friend and lover, Vita Sackville-West. Spanning three centuries, the novel opens as Orlando, a young nobleman in Elizabeth’s England, awaits a visit from the Queen and traces his experience with first love as England under James I lies locked in the embrace of the Great Frost. At the midpoint of the novel, Orlando, now an ambassador in Costantinople, awakes to find that he is a woman, and the novel indulges in farce and irony to consider the roles of women in the 18th and 19th centuries. As the novel ends in 1928, a year consonant with full suffrage for women. Orlando, now a wife and mother, stands poised at the brink of a future that holds new hope and promise for women.
Neither here nor there
En Anglais – Bill Bryson’s first travel book, The Lost Continent, was unanimously acclaimed as one of the funniest books in years. In Neither Here nor There he brings his unique brand of humour to bear on Europe as he shoulders his backpack, keeps a tight hold on his wallet, and journeys from Hammerfest, the northernmost town on the continent, to Istanbul on the cusp of Asia. Fluent in, oh, at least one language, he retraces his travels as a student twenty years before…Whether braving the homicidal motorist of Paris, being robbed by gypsies in Florence, attempting not to order tripe and eyeballs in a German restaurant, window-shopping in the sex shops of the Reeperbahn or disputing his hotel bill in Copenhagen, Bryson takes in the sights, dissects the culture and illuminates each place and person with his hilariously caustic observations. He even goes to Liechtenstein…
The caretaker
En Anglais – The Caretaker is a play in three acts by Harold Pinter. Although it was the sixth of his major works for stage and television, this psychological study of the confluence of power, allegiance, innocence, and corruption among two brothers and a tramp, became Pinter’s first significant commercial success.It premiered at the Arts Theatre Club in London’s West End on 27 April 1960 and transferred to the Duchess Theatre the following month, where it ran for 444 performances before departing London for Broadway. In 1964, a film version of the play based on Pinter’s unpublished screenplay was directed by Clive Donner. The movie starred Alan Bates as Mick and Donald Pleasence as Davies in their original stage roles, while Robert Shaw replaced Peter Woodthorpe as Aston. First published by both Encore Publishing and Eyre Methuen in 1960, The Caretaker remains one of Pinter’s most celebrated and oft-performed plays.
My Mother-City
En Anglais – For three decades, Gerald Dawe has chronicled the difficult yet exhilarating interface where personal experience meets political and cultural realities.The title essay; My Mother-City, traces the altering map of Belfast in the late 50s and 60s, through to the critical years of the Troubles and beyond, with some of the city’s leading artists profiled, including Van Morrison, Stewart Parker and Brian Moore. Bit Parts is a familial exploration with Dawe uncovering the actual past underneath the clutter of northern stereotypes. The lives of his great-grandparents and grandparents reveal a teeming and vibrant world often ignored by politicians and cultural critics alike.
Mors tua
Dans la Rome impériale, grouillante et prospère, le sénateur Publius Aurélius Statius, riche patricien et épicurien invétéré, mène une vie facile et insouciante. Mais tout bascule le jour où il découvre sa dernière conquête, une belle hétaïre nommée Corinna, poignardée chez elle. Pour ne pas être accusé du crime et se voir contraint de mettre fin à ses jours, comme le veut la sévère coutume romaine, Aurélius doit à tout prix retrouver l’assassin de la jeune courtisane. Des opulentes domus aux ruelles étroites et puantes de Subure, la ville basse où s’entasse la plèbe, Aurélius, aidé de son amie Pomponia et de l’avisé Castor, plonge au cœur d’une tragédie antique où chacun avance masqué…
Once were warriors
En Anglais – The Hekes are a family in turmoil. A tyrannical, alcoholic, violent patriarch, an alcoholic, ever-trying-to-reform mother, and three degenerate children. Can the draw Maori ritual and tradition pull them back from the brink?
Jack Reacher – One shot
En Anglais – Six shots. Five dead. One heartland city thrown into a state of terror. But within hours the cops have it solved: a slam-dunk case. Except for one thing. The accused man says: You got the wrong guy. Then he says: Get Reacher for me. And sure enough, from the world he lives in—no phone, no address, no commitments–ex–military investigator Jack Reacher is coming. In Lee Child’s astonishing new thriller, Reacher’s arrival will change everything—about a case that isn’t what it seems, about lives tangled in baffling ways, about a killer who missed one shot–and by doing so give Jack Reacher one shot at the truth.…
Dreams, counselling and healing
En Anglais – New research is re-establishing the importance of the ‘inner’ knowledge our bodies contain and our dreams express. Emotions, we now discover, influence the production of healing or destructive opiates within the body, and we can no longer deny the power of personal perspectives and experiences over our well-being. Dreams are central because they reflect not only our physical experience, but also the emotional, and often the spiritual, transpersonal dimension as well. In this practical and in-depth exploration of the use of dreams in the healing process, Brenda Mallon shows how dream content reveals crucial insights that enhance healing in mind, body and spirit. She draws on counselling sessions, material from workshops and groupwork and from first-hand personal accounts, reinforced by findings from current research in dreaming, psycho-social care and therapy. ‘Dreams, Counselling and Healing’ is the first book to link the three areas together, and the first also to use extensive personal accounts. It is invaluable for all those who wish to focus on dreams and their dynamic application to healing and wellbeing. Other books by Brenda Mallon Venus Dreaming.
In search of Ireland
En Anglais – One of the classic travel books about Ireland by one of the century’s best-selling writers. Shortly after the declaration of the Irish Free State, H. V. Morton goes in search of Ireland by motor-car and finds, amongst other things, a Norman village in Galway, lobster fishermen, a shy girl in need of an apron in Connemara, and a great many beds in which Michael Collins is said to have slept. Full of local stories and wayside conversations, Morton’s witty and enticing travelogue recalls a way of life not quite disappeared even at the beginning of a new century. Anecdotal, leisurely, full of character and event, insight, and opinion, this is travel writing of the very highest order.
La trilogie berlinoise
Publiés pour la première fois dans les années 1989-1991, L’été de cristal, La pâle figure et Un requiem allemand ont pour toile de fond le IIIᵉ Reich à son apogée et, après la défaite, l’Allemagne en ruine de 1947. Bernie Gunther, ex-commissaire de la police berlinoise, est devenu détective privé. Désabusé et courageux, perspicace et insolent, Bernie est à l’Allemagne nazie ce que Philip Marlowe est à la Californie de la fin des années 1930 : un homme solitaire, témoin de son époque. Des rues de Berlin «nettoyées» pour offrir une image idyllique aux visiteurs des Jeux olympiques à celles de Vienne la corrompue, Bernie enquête au milieu d’actrices et de prostituées, de psychiatres et de banquiers, de producteurs de cinéma et de publicitaires. La différence avec un film noir d’Hollywood, c’est que les principaux protagonistes s’appellent Heydrich, Himmler et Goering …
Prête-moi ta vie
Stéphanie et Sabrina sont de vraies jumelles ; d’une semblable et égale beauté, mais très différentes de caractère. Élevées dans les milieux diplomatiques européens, elles ont baigné dans l’aventure et le raffinement. Sabrina avait décidé de vivre librement comme son enfance l’y avait préparée ; Stéphanie rêvait de la famille stable et unie qu’elle n’avait jamais eue. Sabrina épouse un marquis, dont elle divorce ouvre un magasin d’antiquités rares à Londres et est emportée dans le tourbillon de la jet-set internationale…
Ecoute ce que dit le vent
En 1940, Marika Magos, enfant tchèque d’origine juive, a été exilée loin des siens, en Afrique du Sud. Malgré les traumatismes de la guerre, elle devient une jeune femme volontaire et courageuse. A dix-huit ans, elle part à Londres pour réaliser son rêve : devenir mannequin. Mais c’est aussi un pan de sa vie qu’elle cherche à laisser derrière elle. Les années passent. A force de travail acharné, le succès fait d’elle l’une des plus grandes stylistes d’Angleterre. Mais la réussite sociale ne suffit pas à combler Marika, qui a cru pouvoir vivre sans amour…
Virus sur ordonnance
Médecin aux urgences dans une petite ville de Caroline du Sud, le Dr Rhea Lynch est soudain confrontée à un cas inédit : un couple — lui blanc, elle asiatique —, torturé et battu jusqu’au sang, meurt peu après d’une infection pulmonaire. Une infection galopante dont Rhea circonscrit la nature, à mesure que d’autres cas semblables sont admis dans son service. Horrifiée, elle craint qu’une épidémie menace la ville, et devine bientôt derrière le virus meurtrier les manipulations d’un groupe raciste extrémiste. Désormais, dans cette lutte contre la mort où Rhea tente de rassembler les pièces du puzzle, chaque seconde compte…
Un mystère de trop
Décoratrice à Boston, Tess Haviland reçoit un jour une remise délabrée du XIXe siècle en paiement de son travail pour un riche fils de famille, Ike Grantham. Habituée aux excentricités de son client, la jeune femme ne s’étonne guère pas plus qu’elle ne s¹inquiète lorsque Ike disparaît ensuite sans laisser de traces. Jusqu’à ce que, quelques mois plus tard, en visitant la remise, elle découvre des ossements humains dans la cave… Dès lors, les questions et les suppositions se bousculent dans son esprit. Ces restes sont-ils ceux d’Ike Grantham ? Et s’il s’agit bien de lui, est-il mort par accident… ou a-t-il été assassiné ? Parce qu’il est désormais trop tard pour reculer, Tess entreprend alors de faire la lumière sur ce qui s’est passé. Au risque de le payer très cher…
Les deux scandales de Panama
Le scandale n’est pas celui qu’on croit : il dormait dans les caves des banques et le secret des familles, embaumé aux Archives Nationales, quarante liasses de la série 7 AQ. Jean Bouvier sort le cadavre du placard. Au lecteur de juger : deux scandales, ou pas du tout.
Killer’s wedge
En Anglais – Her game was death – and her name was Virginia Dodge. She was out to put a bullet through Steve Carella’s brain, and she didn’t care if she has to kill all the boys in the 87th Precinct to do it. So Virginia, armed with gun and bottle of nitroglycerin, spent a quiet afternoon in the precinct house, terrorizing Lieutenant Byrnes and his detectives with her clever little homemade bomb. They all sat there waiting for Steve Carella. Could all the men of the 87th, prisoners of one crazy broad, be powerless to save Carella from his rendezvous with death…?
In this thy day
En Anglais – In « In this thy land » (1945) McLaverty explores the effects of the famine on the consciousness of the Irish rural poor after the passage of the Wyndham Land Act (1903) enabled to possess land. For them, it symbolized autonomy, social respectability, and the ability to resist the disasters and starvation of the past …..
La fièvre verte
La fièvre est un mal pernicieux dont souffrent les candidats à l’immortalité garantie par l’habit vert.
Dans la Fièvre verte, Jacques Isorni, candidat au « fauteuil » de Jérôme Carcopino, raconte sa campagne académique. Il rapporte avec une liberté totale les libres propos échangés lors de ces fameuses « visites » que déconseille le règlement de l’Académie. Jamais un tel livre, profondément authentique, n’avait été écrit. Les élus se hâtent d’oublier et se taisent. Les battus réservent l’avenir. Mais ce livre est surtout l’occasion pour Isorni d’ouvrir au lecteur une extraordinaire galerie d’immortels, morts ou vivants : secrétaires perpétuels, cardinaux et ducs, écrivains, savants, philosophes, avocats. et les autres. Il n’y a plus de militaires. Et, dès lors qu’autour de sa candidature sa rallumait une querelle non académique, celle de la France, pétainisme et gaullisme, c’est une page de notre histoire qu’il a écrite au cours d’un récit passionné, admiratif, critique, parfois même comique ou cruel.
Les métamorphoses de la famille
La famille est un pilier de la société. Peut-être le seul à résister à l’usure du temps. Cela, on le pensait au milieu des années 60. Mais aujourd’hui, son éclatement fait le « Une ». Pour s’en réjouir, le déplorer, ou simplement le constater, sociologues, journalistes, historiens, politiques, tous se penchent au chevet de l’institution. Ils en décrivent les spasmes. Extrêmement documenté, ce livre nous décrit cette métamorphose de la famille.
The mottled lizard
En Anglais – This sequel to THE FLAME TREES OF THIKA continues the story of Elspeth Huxley’s childhood in Kenya. British settlers, called to serve in WW I, return to their neglected farms and ranches. For Tilly and Robin it is back to the struggle. For their daughter, now 11, it is back to the ponies, lessons at home, wild pets (this time a cheetah named Rupert), and hunting trips with Njombo, the Kikuyu headman. But more is happening. The child narrator is growing into a woman. We lose the wide-eyed child narrator of Thika, but gain in her place a thoughtful and prescient observer of the rapidly changing continent.
When the lion feeds
En Anglais – ‘Something always dies when the lion feeds and yet there is meat for those that follow him.’ The lion is Sean, hero of this tremendous drama of the men who took possession of South Africa in the last quarter of the nineteenth century. Sean and his twin-brother Garrick grew up on their father’s farm in Natal. The first part of the book deals with his childhood and youth and his longing to become a successful farmer and hard-hitting fighter like his father. The tough life of cattle-farming is brusquely interrupted by the Zulu Wars, when Sean and his brother see fighting for the first time. Wilbur Smith vividly recreates the excitement of the war for the young men-their hope of winning their own cattle, the horror of the massacre at Isandhlwana, the heroism of the defence at Rorkes Drift. ‘Witwatersrand’ is the name of the second part of this book ……
Rhinocéros
Rhinocéros est la pièce la plus riche de Ionesco. Elle ne perd rien de l'esprit d'innovation, de provocation, des premières pièces. Comme elles, celle-ci mélange les genres et les tons, le comique et le tragique. Mais l'innovation principale qui s'introduit ici est la réflexion sur l'Histoire, à travers le mythe. La pièce est une condamnation de toute dictature (en 1958, on pense au stalinisme). Ionesco condamne autant le fascisme que le communisme. C'est donc une pièce engagée : «Je ne capitule pas», s'écrie le héros.Le rhinocéros incarne le fanatisme qui «défigure les gens, les déshumanise».
Rodogune
Cléopâtre, ambitieuse reine de Syrie, épouse de Nicanor et mère d'Antiochus et de Séleucus, est maladivement jalouse de la jeune princesse Rodogune, sœur du roi des Parthes. Sa jalousie pousse Cléopâtre à tuer Nicanor et à promettre sa couronne à celui de ses fils qui tuera Rodogune. Elle ignore cependant qu'Antiochus et Séleucus sont amoureux de la princesse.
The triumph of the sun
En Anglais – They’ve come from out of the shifting sands and down from ancient mountains. Mounted on horse and camel, carrying gleaming swords and plundered rifles, the sons of Allah are led by a holy warrior imbued with jihad, driving his army of thousands to wipe out the last Englishmen from the isolated Nile city… But in Khartoum is a legendary British general, a brilliant, mercenary trader, a beautiful woman and a courageous soldier whose fates have become one. They know that time is running out and rescue is improbable. So they prepare for one last stand–and the beginning of an epic journey of survival… From a passionate rivalry for a woman to an unforgettable face-off between warriors, TRIUMPH OF THE SUN is adventure fiction writ large–alive with the sounds of throngs, the terror of battle, and the mystical fire of human courage in the darkest moments of all.
Tibère
Tibère est-il un méconnu ? voire un homme calomnié ? On se le représente, d’après Tacite, méfiant et cruel, perché sur son flot rocheux de Capri comme un vieil aigle cruel, prompt à fondre sur ses adversaires, réels ou présumés, pour les déchirer. Est-ce là la véritable image que l’Histoire doit garder de lui ?. Woilhelm Gollub, un des maîtres de la jeune école artistique d’Allemagne, rompt avec les jugements tout faits. Il nous montre un Tibère modeste, laconique et secret, plus humain qu’un vain peuple ne pense, un chef surtout passionné de son métier d’empereur, embrassant les questions dans leur ensemble, mais sachant aussi contrôler les détails, un prince qui avait au plus haut degré le sens de ses responsabilités, de ses devoirs d’état. Si Tibère fut à maintes reprises sévère jusqu’à l’apparente cruauté, ne serait-ce pas tout simplement en vertu de la fatalité qui pèse sur tous les dictateurs ? M. Gollab n’aurait-il pas pensé à tels ou tels de nos dictateurs modernes, que l’Histoire juge aussi avec sévérité ? Ce portrait d’un homme va loin dans l’analyse des conditions où s’exerce les gouvernements des hommes.
L’homme fatal
Il s’appelle Steiner. Il se dit psy-chiatre. Lorsque Juliet Osborne, la quarantaine indépendante, le voit entrer, dans sa vie, elle est aussitôt partagée entre l’attirance et la peur. Elle découvrira peu à peu que Steiner n’est pas seulement un Don Juan, un collectionneur de femmes. Expert à jouer des fantasmes féminins, il choisit des victimes en apparence épanouies, mais fragilisées par le mythe de l’éternelle jeunesse. Et c’est ainsi qu’il les mène savamment, méthodiquement, vers leur perte.