Rends-moi ma vie
Sabrina et Stéphanie sont des jumelles indissociables, aux vies bien différentes. La première, antiquaire à Londres, mène une existence sociale brillante; la seconde est une paisible mère de famille aux Etats-Unis. Pour pimenter leur destin, elles décident d'échanger leur place le temps d'une semaine. Mais le hasard va compliquer le jeu. A la suite d'un accident, la fausse Sabrina passe pour disparue alors que sa sœur s'éprend pour de bon de son mari… Mais la vraie Stéphanie n'est pas morte…
Passion fatale
Rebecca Lowell est une femme dont l’abnégation et la générosité semblent sans limite. Une mère de famille exemplaire. Épouse d’un avocat réputé, elle supporte bravement la liaison extraconjugale de son mari, les obligations mondaines que lui impose la carrière de ce dernier. Le moule auquel elle s’est habituée l’enveloppe comme un cocon. Jusqu’au jour où elle est présentée au fiancé de sa fille…
Passionnément, à la folie
Molly s’en mord les doigts : jamais elle n’aurait dû embaucher comme conseiller Harry Trevelyan, ce docteur ès sciences, si cynique qu’il refuse tous les projets de subvention qu’elle lui soumet et qui critique sans état d’âme tous ses choix ! Tout le monde est là pour lui rappeler, d’ailleurs, qu’elle s’est trompée. Entre eux, c’est l’incompréhension la plus totale. Harry est un contemplatif, un esprit froid et méthodique, enfermé dans sa bulle. Alors qu’elle, Molly, c’est tout l’inverse ! Elle est pragmatique, fougueuse, ouverte sur le monde. Elle n’a pas d’autre choix que de le congédier… Mais le moment venu, elle n’est plus si sûre : et si ce fascinant feu d’ambre qui brille au fond des yeux de Harry cachait un homme d’exception ? Et si ce qui se passait entre eux s’appelait tout simplement du magnétisme ?
Le pacte du silence
Jumelles, Sarah et Kate ont été séparées à l’adolescence. Elles ont aujourd’hui vingt-six ans. Sarah est missionnaire en Amérique du Sud. Kate, condamnée pour meurtre à l’âge de treize ans, a passé sa jeunesse dans un pénitencier en Angleterre mais vient d’être libérée pour bonne conduite. Soudain, Sarah tombe gravement malade et doit être rapatriée dans un couvent anglais. Ses troubles semblent d’origine psychique et Michael Falcone, un jeune prêtre, est chargé d’enquêter sur son passé. Ayant découvert l’existence de Kate, il pressent que les jumelles sont liées par un terrible secret. Ambiguïté des sentiments, subtile frontière entre le bien et le mal, fascinant jeu de miroirs, amour et violence : un roman choc, passionnant de la première à la dernière ligne.
Le secret du tombeau
Lorsque le cadavre d’une jeune femme est découvert dans le vieux cimetière de Charleston dont on lui a confié la restauration, Amelia Gray comprend que sa vie solitaire et tranquille est en train de voler en éclats. Car le meurtrier, comme s’il prenait un plaisir sadique à la provoquer, a dissimulé des indices pouvant mener jusqu’à lui au milieu des pierres tombales. Des indices qu’elle est la seule à pouvoir déchiffrer… Aussi, quand l’inspecteur John Devlin lui demande son aide pour résoudre cette affaire, Amelia pressent qu’elle n’a pas le choix : elle va devoir mener l’enquête avec lui. Pourtant, elle qui cache depuis l’enfance un don terrible et étrange sait aussi qu’il lui faudrait à tout prix garder ses distances avec cet homme sombre et ténébreux, hanté par des ombres du passé. Sauf que l’attirance qu’elle ressent pour Devlin ne fait que s’intensifier à mesure que les indices la rapprochent du tueur… mais aussi du voile ténu qui sépare les vivants du monde des morts.
Damnation
Albert Stucky. On l’appelle le Collectionneur – parce qu’il aime collectionner les jeunes femmes avant d’en disposer à sa manière. La plus horrible qui soit. Maggie O’Dell, profiler et agent du FBI, a elle-même gardé de lui une trace indélébile sur le corps. Après avoir passé deux ans à étudier les méthodes et rituels pervers du serial killer, à déchiffrer les mystérieux messages écrits à son intention, elle a fini par être piégée dans un entrepôt, où Stucky l’a forcée à le regarder commettre ses crimes. Un face-à-face qui l’a laissée marquée à jamais. Physiquement et psychiquement. Même après l’arrestation du tueur, elle ne cesse d’être hantée par lui, comme si, par-delà les barreaux, il la défiait toujours. Apprenant qu’il s’est évadé, Maggie guette désormais un signe. Dans la presse, à la télévision, jusque dans son voisinage. Elle sait que Stucky se prépare à reprendre leur jeu macabre. Elle ne se trompe pas. Les crimes recommencent, et les victimes sont toutes des femmes de sa connaissance. La partie s’annonce serrée.
Anne Marie
L’enfant Lucien Bonnard, le fils de « Monsieur le consul » abandonne la Chine pour découvrir la France. Le roman débute le jour où Lucien, seul avec sa mère, Anne Marie, débarque sur le sol de la métropole tant glorifiée par Monsieur le Consul, resté au loin. Alors l’enfant Lucien va vivre trois mois de folie, trois mois de passion, trois mois de jalousie, trois mois de désespoir. Car il croit qu’il va avoir sa mère pour lui tout seul. Et il va sentir qu’Anne Marie lui échappe, qu’elle n’est pas là pour filer le parfait amour avec son fils mais pour mener la vie mondaine dont elle rêve. Elle n’a qu’un but : entrer dans l’intimité d’un couple célèbre qui a fait la carrière de son mari, celui d’André et d’Edmée. Elle se débarrasse d’un fils encombrant, en le faisant admettre dans la pension la plus chic de France… Lulu Bonnard, le chinois atteint là le fond de l’humiliation et du désespoir… Anne Marie ne vient pas le voir une seule fois…
Le cri du hibou
« Est-il encore vivant , répète inlassablement la voix intérieurs. Si Sylvie ne mavait pas entraîné, jaurais détaché loiseau. Ses yeux rouges me regardaient, jaurais dû. Maintenant, il est mort. » Ce hibou, Fabrice en est sûr, a espéré en lui. Et à cause dune fille qui a peur et qui pense, Fabrice a passé son chemin, Fabrice sen veut, en veut à Sylvie à la terre entière, pour toujours.
Belles saisons
Dans ce recueil de textes, Colette parle. des vacances, des villages de toile, de la maison provençale, des vendanges, vibrant de l’amour qu’elle portait à « notre mère la terre. Elle évoque le monde plus artificiel (mais rien ne la trouvait indifférente) des couturiers, des mannequins,, des femmes nues, monde qui ranime le souvenir de ses tournées de music hall. Elle survole une quinzaine de villes qu’elle décrit d’uns plume rapide et suggestive. Elle peint des personnages célèbres, hommes politiques, gens de lettres qu’elle eut l’occasion d’approcher, et quelques-uns de ces monstres rencontrés dans les tribunaux, lorsqu’elle donnait à un grand quotidien les comptes rendus de procès criminels. Parmi ses souvenirs mondains, son croquis de Marcel Proust restera comme un modèle dans l’art de faire vivre et de rendre tangible par le seul moyen des mots un être difficile à imaginer.
Femmes en danger
On ne peut pas dire que leur collaboration ait commencé sous les meilleurs auspices. Gini et Lindsey ne peuvent souffri Rowland McGuire, leur nouveau rédacteur en chef qui enquête sur un trafic de drogue dans le milieu de la mode. Il faudra la mort d'une adolescente par overdose et la disparition d'une autre pour qu'elles acceptent de lui prêter main-forte. Commence alors une enquête délicate qui, de Londres, les entraînera à Amsterdam puis à Paris, sur les traces d'un dealer fou. Une enquête qui se complique lorsque les deux amies se rendent compte qu'elles sont irrésistiblement attirées par le beau McGuire…
L’Africaine
Une vision fascinante de l’Afrique : celle, mythique des expatriés ( avec l’exotisme des grands espaces et l’illusion de la liberté), par rapport à l’Afrique réelle, qui s’enfonce dans la guerre et dans la misère. Une narration subtile, sensible, dans un style vigoureux, très évocateur. Esmé, désespérée par la mort de son père, célèbre poète italien, se retrouve au Kenya, auprès d'un golden boy. Au contact de ce pays mystérieux, elle décide de ne plus retourner à Rome et tombe amoureuse d'Adam, organisateur de Safaris, qui la fascine. C'est à Nairobi qu'Esmé apprend les règles de la vie africaine. Non pas celles des Noirs, qui semblent encore vivre en état de colonisation, mais celle d'une caste de Blancs expatriés, monde d'illusion et de pouvoir, dans une atmosphère d'alcool, de drogue et de sexe …
La loi du mensonge
Jeune styliste californienne, Sandra Lyons n’a qu’un rêve : approcher son maître, la grand créateur parisien, Yves Debord. Quittant New York et le prêt-à-porter, elle s’envole pour Paris, le cœur plein d’espoir, et réussit à s’introduire dans l’univers magique du créateur. Bientôt, succombant aux avances de cet homme qui la fascine, Sandra découvre l’envers du décors où va se briser son rêve …
Flammes d’automne
Daniel Foxworth, héritier d'une immense fortune au Texas, s'est spécialisé dans l'extinction des incendies pétroliers. Mais un jour, quelqu'un essaie de le tuer en sabotant son hélicoptère. Il soupçonne Seth, le frère de Cozie, la jolie journaliste et désormais célèbre auteur d'un best-seller. Et il vient s'installer dans le Vermont sous un nom d'emprunt. Lorsque que Cozie découvre les vraies raisons de la présence de ce grand Texan au charme irrésistible, Daniel doit relever le plus grand défi de sa vie: gagner la confiance de Cozie sans renoncer aux soupçons qui l'ont amené jusque-là…
Notre prison est un royaume
François, Pascal, Hardrier, Fauchier-Delmas, tels sont les quatre mousquetaires qui règnent sur la part de rêves et de détresses secrètement entretenue dans le monde clos d’un lycée parisien. Parce que Pascal s’est donné la mort, le chahut quotidien prend pour les trois camarades l’allure d’une enquête à la fois dérisoire et pathétique. Sous le jeu des plaisanteries d’écoliers, de généreuses illusions se dissipent et les exploits saugrenus des lycéens en révolte se teintent de mélancolie. Quand François découvrira la réponse à sa question « pourquoi Pascal s’est-il suicidé ? » il tournera la page de l’insouciance et de la frivolité poétiques. Dans une fresque, souvent haute en couleur, Cesbron évoque avec la verve d’un véritable conteur les anecdotes émouvantes ou cocasses qui forment la vie d’un lycée. Élèves turbulents, professeurs graves et ridicules, autorités solennelles et méprisées composent un monde qui possède ses propres lois et s’érige aux frontières du merveilleux et du sordide.
La poupée brisée
Ce visage… Cette robe rose…Cela ne peut pas être une coïncidence. Claire Doucett est sous le choc. Cela fait sept longues années que sa fille Ruby a mystérieusement disparu, et qu’elle essaie de surmonter sa peine. Mais aujourd’hui, le passé refait brusquement surface lorsqu’elle découvre, dans la vitrine d un magasin de La Nouvelle-Orléans, une poupée de porcelaine qui reproduit les traits de Ruby à la perfection. Une poupée qui porte la même robe que sa petite fille adorée, le jour du drame… Après tout ce temps passé dans l’incertitude, se pourrait-il que cette poupée livre enfin à Claire la clé du mystère ? En compagnie de Dave, son ex mari, un flic miné par le chagrin, Claire est prête à tout pour comprendre ce qui a bien pu briser la vie de leur fille. Mais la poupée est enlevée à son tour, comme Ruby sept ans plus tôt. Volée par un homme que la beauté de la petite fille avait autrefois fasciné et dont l’obsession n’a jamais pris fin…
C’était le XXe siècle – Tome I
Deux guerres mondiales, des millions de morts, la fission de l'atome, la conquête spatiale, le village planétaire. Une ère explosive s'achève. Le siècle le plus extraordinaire et le plus sanglant de l'histoire de l'humanité vit ses dernières années. Parce que le mal y atteint un degré insoutenable, Alain Decaux, qualifie la période 40-45 de « guerre absolue ». A Auschwitz, aux massacres staliniens de Katyn et à Hiroshima répondent les crimes individuels de monstres sanguinaires comme le docteur Petiot ou Henri Lafont, le chef de la Gestapo française. Ces cinq années sont le temps de l'horreur quotidienne. Quand Alain Decaux raconte, avec sa voix passionnée, tout à coup nous voyons, nous entendons, nous comprenons ces hommes et ces événements humbles ou prodigieux, qui sont la mémoire de notre temps et le roman de notre aventure collective.
Les fanatiques
Claire est devenue Aïsha. Elle a choisi, en se mariant, de se convertir à l'islam. Son père, Julien Nori, professeur en Sorbonne, vit cette décision comme un échec personnel. Homme des Lumières, il craint le retour des inquisitions, des fanatismes. Il redoute le choc des civilisations. Le choix de sa fille le bouleverse, remet en cause ses convictions, tout ce qu?il a cru transmettre. Il veut comprendre, renouer le dialogue avec Claire. Mais il ne rencontre qu'Aïsha. Un jour d?octobre, il est assassiné à Paris, à quelques pas de sa Sorbonne. Vengeance d?un fanatique ou fait divers sordide, maquillé en crime islamique ? Max Gallo mène l'enquête. Il n'esquive aucune question. Son roman, émouvant et lucide, dévoile, derrière les apparences, les tentations du fanatisme. Et les raisons de vivre et de mourir de Claire et de Nori. À chacun sa vérité.
Vice et Versant
Nuit alpine, nuit câline, nuit d’amour (sur un air connu), telle est la phrase en exergue qui invite à la lecture de Vice et versant., la première des onze nouvelles verticales de ce recueil. En plus du titre, le ton est-il donné pour autant ? C’est plus compliqué que ça… Humour et sensualité seront du voyage, c’est sûr : d’emblée, il s’agit d’étreinte et d’extase. Pourtant, il faudra se méfier des apparences : la roche peut être chaude comme un ventre, alors que déjà la montagne est inquiétante et que, bientôt, elle se montrera impitoyable et cruelle. On ne saurait toutefois la résumer là, quand, plus loin, toute la beauté du monde se retrouve dans un flocon de neige et que, ailleurs, tout l’amour du monde peut tenir à un mousqueton… En Himalaya, en Islande, en Alaska, à Chamonix, au Yosemite, en rocher comme en glace, en paroi ou en pente douce, jusqu’au sommet ou tout au fond d’une crevasse, aujourd’hui peut-être, ou alors hier, sous les traits d’un homme, à travers les yeux d’une enfant, et le plus souvent par la voix d’une femme, dans le rire franc ou le rire jaune, dans l’effroi, le mystère ou dans les larmes, Angélique Prick nous promène sur tous les versants d’une montagne protéiforme.
Wisconsin
Au nord du Wisconsin, deux fermes voisines, celle des Lucas et celle des Morriseau. John Lucas est alcoolique et cruel, sa femme Claire n'est plus que l'ombre d'elle-même. Leurs deux fils James et Bill trouvent rapidement refuge dans la ferme voisine de Rose et Ernie Morriseau. Une chronique familiale qui dépeint les horreurs de la guerre du Vietnam.
J’irais bien refaire un tour…
À 67 ans, après une vie d’une richesse que les paillettes ne laissent pas toujours imaginer, Dave a eu envie d’évoquer des sujets qui lui tiennent à cœur. Avec un humour qui ne l’abandonne jamais, il tire des enseignements des grandes étapes de son existence. Derrière le personnage public apparaît un homme qui a dû faire face à des épreuves marquantes. Il ne s’agit pourtant pas pour lui de pontifier, mais bien plutôt de partager son expérience, de transmettre des clés pour mener une vie intense. L’amour, l’amitié, l’homosexualité, la fidélité, la sagesse, la mort, tous ces thèmes sont abordés sans tabou avec le franc-parler bien connu de Dave, pour qui la liberté a toujours été un guide.
Le Dauphin perdu
Louis XVII, roi de France et de Navarre : telle est l’inscription que porte, dans la ville hollandaise de Delft, la tombe d’un horloger prussien, Karl Naundorff. Naundorff était-il Louis XVII ? L’énigme de « l’enfant du Temple », le mystère des prétendants au trône de France après la Restauration, l’étrange destinée de Naundorff le principal d’entre eux, voilà autant de problème qui ont toujours fasciné les historiens et le grand public et quxquels la récente exhumation des restes de Naundorff et le livre si discuté de Me Maurice Garçon viennent de donner un regain d’actualité. C’est dire le plaisir que chacun prendra à lire ce roman qui, basé sur les données historiques les plus authentiques, nous fait revivre avec émotion, dans les décors, les plus variés de l’Europe du siècle dernier, la vie vie étonnante et les amours de celui qui fut, nous démontre l’auteur, le vrai Louis XVII.
Le Nouvel Observateur
Le Nouvel Observateur – 8 au 14 mai 1982.
Titre : « Mitterrand vu de l’étranger »
Le Nouvel Observateur
Le Nouvel Observateur – 30 avril au 7 mai 1982.
Titre : « Jeunes : des boulots pour tout de suite »
Le Nouvel Observateur
Le Nouvel Observateur – 24 au 30 juin 1983.
Titre : « Les français tentés par la droite »
Le Nouvel Observateur
Le Nouvel Observateur – 15 au 21 avril 1983.
Titre : « La revanche des femmes »
Le Nouvel Observateur
Le Nouvel Observateur – 5 au 11 décembre 1986.
Titre : « Enquête 16/22 ans – Ce que nous voulons »
Le Nouvel Observateur
Le Nouvel Observateur – 28 novembre au 4 décembre 1986.
Titre : « Sida – Comment l’éviter »
Le Nouvel Observateur
Le Nouvel Observateur – 14 au 20 novembre 1986.
Titre : « La sexualité des français »
Le Nouvel Observateur
Le Nouvel Observateur – 19 au 25 septembre 1986.
Titre : « Qui manipule les tueurs ? »
Le Nouvel Observateur
Le Nouvel Observateur – 25 au 31 mars 1983.
Titre : « Les 15/20 ans jugent la France »
Le Nouvel Observateur
Le Nouvel Observateur – 14 au 20 août 1982.
Titre : « Rue des rosiers – À qui profite la haine ? »
Le Nouvel Observateur
Le Nouvel Observateur – 28 janvier au 3 février 1983.
Titre : « 30 janvier 1933 – Hitler pourquoi ? »
Le Nouvel Observateur
Le Nouvel Observateur – 7 au 13 août 1982.
Titre : « Beyrouth : comment meurt une ville »
Le Nouvel Observateur
Le Nouvel Observateur – 17 au 23 juillet 1982.
Titre : « Impôts, taxes, blocages – Que vont-ils faire de notre argent ? »
Le Nouvel Observateur
Le Nouvel Observateur – 21 au 27 août 1982.
Titre : « Terrorisme : Mitterrand choisit la guerre »
Le Nouvel Observateur
Le Nouvel Observateur – 12 au 18 juin 1982.
Titre : « L’explosion – Liban, Israël, Syrie »
Le Nouvel Observateur
Le Nouvel Observateur – 5 au 11 juin 1982.
Titre : « Peut-on s’entendre avec lui ? »
Le Nouvel Observateur
Le Nouvel Observateur – 23 au 29 janvier 1982.
Titre : « Le PC jugé par les français »
Le Nouvel Observateur
Le Nouvel Observateur – 16 au 22 janvier 1982.
Titre : « Propriétaires, locataires : la guerre »
Le Nouvel Observateur
Le Nouvel Observateur – 8 au 14 juillet 1983.
Titre : « La timidité, ce mal inavoué »
Le Nouvel Observateur
Le Nouvel Observateur – 22 au 28 mai 1982.
Titre : « Malouines… Europe… les deux guerres de Margaret Thatcher »