Walden Two
En Anglais – Walden Two is a utopian novel written by behavioral psychologist B. F. Skinner, first published in 1948. In its time, it could have been considered science fiction, since science-based methods for altering people’s behavior did not yet exist. Such methods are now known as applied behavior analysis. Walden Two is controversial because its characters speak of a rejection of free will, including a rejection of the proposition that human behavior is controlled by a non-corporeal entity, such as a spirit or a soul. Walden Two embraces the proposition that the behavior of organisms, including humans, is determined by environmental variables, and that systematically altering environmental variables can generate a sociocultural system that very closely approximates utopia.
Le ver à soie
Owen Quine, écrivain célèbre, a disparu. Il venait d’achever son dernier manuscrit – un sulfureux roman à clés qui dresse le portrait au vitriol de son entourage. De quoi inquiéter bon nombre de personnalités en vue… C’est ce que pressent le détective privé, Cormoran Strike, chargé de l'enquête. Qui aurait intérêt à ce que Quine soit réduit au silence ? Lorsque Strike retrouve le cadavre de l'auteur, assassiné selon un rituel particulièrement atroce, il comprend qu'il a affaire à un tueur impitoyable, tel qu’il n’en encore jamais rencontré dans sa carrière.
Pavillons lointains
Des cimes enneigées de l’Himalaya aux palais des maharadjas, de la Kyber Pass à Kaboul, ce roman retrace les années les plus tumultueuses du rattachement de l’Inde à l’empire britannique au XIXe siècle. C’est aussi une émouvante histoire d’amour, au-delà des tourments et de la fureur de son époque, celle d’Ash, un jeune Anglais élevé comme un Indien, et de Juli, une princesse indienne déchirée entre raisons du cœur et raison d’État. Et tandis que familles et castes, alliés et ennemis se combattent aveuglément, une civilisation millénaire se précipite vers son destin.
Caché
Issu d'une famille très modeste, Jason Kolarich a réussi à intégrer un des cabinets d'avocats les plus prestigieux de Chicago, avant qu'un drame personnel ne le contraigne à démissionner. Après une longue dépression, il recommence à travailler à son compte pour des cas mineurs lorsque un certain Mr Smith le contacte et lui propose une forte somme d'argent pour défendre un homme accusé d'homicide. Cet homme, Jason le connaît intimement, c'est son ami d'enfance, Sammy Cutler, qu'il a perdu de vue depuis des années. Lorsqu'ils étaient jeunes, la petite sœur de Sammy, Audrey Cutler, avait été victime d'un enlèvement jamais élucidé. Et aujourd'hui, vingt-cinq ans après les faits, Sammy, que l'affaire a profondément traumatisé, est accusé du meurtre du principal suspect de l'enlèvement, Griffin Perlini, un pervers sexuel dont la culpabilité n'a jamais été clairement établie. Afin d'obtenir la clémence du jury, Jason n'a d'autre solution que de reprendre l'enquête sur la disparition d'Audrey, avec le soutien du mystérieux Mr Smith, qui semble prêt à tout pour obtenir l'acquittement de Sammy Cutler. Au terme de celle-ci et de ses nombreux rebondissements, il découvrira une vérité totalement insoupçonnée.
Retour dans le Mississippi
Washington, juin 1865. Tandis qu’une paix fragile s’installe dans le pays à la suite de la guerre de Sécession, Cameron Campbell a le cœur empli d’amertume. Bien sûr, sans cette guerre, elle n’aurait pas épousé le capitaine Jackson Logan, l’homme dont elle est amoureuse depuis toujours. Mais elle serait encore à Elmwood, le domaine auquel elle est passionnément attachée. Aussi n’a-t-elle plus qu’un désir depuis que les combats ont cessé : retourner dans le Mississippi et donner naissance chez elle, sur la terre de ses ancêtres, à l’enfant qu’elle porte. Un projet que Jackson condamne violemment : selon lui, Elmwood est en ruines et le Sud rongé par la misère et les rancœurs. Pourtant rien n’y fait : Cameron, furieuse de se voir dicter sa conduite par un époux éternellement absent, demeure déterminée à suivre son instinct. Alors, quand Jackson se rend à Baltimore pour une énième mission, elle s’empresse de prendre la fuite, au mépris du danger…
The political ideas of St Thomas Aquinas
En Anglais – St. Thomas Aquinas, the chief spokesman of medieval scholasticism, was born at Aquino, a tiny place near Naples and from the name of the place he received the title Aquinas. But he is better known as Thomas and his thought is known to us as Thomism. He belonged to an aristocratic Italian family which had connections with European kings and emperors. In order to be a church father and to devote his life to the cause of Christianity and study he surrendered his title “Count.” He joined the Dominican Order at the age of nineteen and for this purpose he had to fight his family. He studied in Naples, Cologne and Paris and in the last mentioned place he delivered several lectures on philosophy and theology. At the age of forty- eight he died.
Le cri inéluctable de l’oiseau
Pierre Champion est un artiste au sens le plus humaniste du terme. Chantre de la forêt et de la nature, compagnon de tous les bestiaires et de tous les univers de nos campagnes. Cet insurgé plénipotentiaire, en perpétuelle révolte face à l’absurdité et à l’aveuglement d’un monde qu’il sait enrichir par le culte contagieux de l’amitié, écrit des textes avec la levure de sa sensibilité et de sa vision nostalgique, réaliste et poignante, des êtres et des choses. Pierre Champion sait faire vivre dans ses écrits l’attachement que chacun porte à la Nature qu’il faut protéger, une urgente nécessité planétaire et un devoir pour l’Homme d’aujourd’hui et de demain.
L’inconnu de Home Valley
Une famille à chérir, un champ de lavande à cultiver, et la prière pour la guider. Ella connaît son bonheur de vivre auprès des siens, dans la paisible communauté amish de Home Valley, Ohio. Aussi est-ce avec une certaine inquiétude qu’elle voit arriver chez elle un aussländer, un étranger que ses parents ont accepté d’héberger à la demande du FBI. Cible de dangereux criminels contre lesquels il va témoigner, Andrew devra vivre caché sous l’identité d’un amish jusqu’au jour du procès. Face à cette intrusion dans son univers, Ella se sent perdue. Car si elle est prête à aider Andrew, elle pressent aussi que ce dernier représente une menace pour sa communauté. Pour sa communauté, et pour son cœur, si elle en croit le trouble qui s’empare d’elle chaque fois qu’elle pose les yeux sur lui. Une crainte qui ne fait que se confirmer, lorsque la violence fait soudain irruption dans la vallée, la contraignant à fuir en compagnie du seul homme qu’il lui est interdit d’aimer…
Le torrent des jours
Cork, en Irlande, au début du XIXe siècle. Alors que dans les villages du comté la révolte gronde contre l'oppression anglaise, c'est un tout autre vent qui souffle dans le cœur de la jeune Helena Considine. Elle qui, depuis la mort de son fiancé, s'était résignée à finir ses jours aux côtés de son père, découvre que l'amour est encore possible – et qu'il a un nom : Patrick Quinn. Mais, pour l'héritier du domaine de Rookforest, l'heure n'est pas aux grands sentiments. Quatre années passées dans les geôles britanniques l'ont rendu amer et taciturne. Emporté par le torrent des jours, Quinn remarquera-t-il le sourire d'Helena ? Et l'amour pourra-t-il enfin régner sur leur cœur, comme la paix sur la terre d'Irlande ?
A nous deux Manhattan
Effrontée, immorale et belle jusqu'à l'indécence, Maximilienne Amberville découvre, à vingt-neuf ans, que son aptitude au plaisir n'a d'équivalent que son ardeur au travail. Elle s'y jette corps et âme : l'empire de presse fondé par son père menace de s'écrouler. Et l'artisan de cette ruine n'est autre qu'un de ses oncles, Cutter Amberville, l'homme des menées obscures… A nous deux, Manhattan, est le drame du pouvoir et de la trahison, de l'amour vrai et de l'obsession érotique. L'action se déroule de nos jours dans le monde de la presse et son héroïne est la plus vivante, la plus fascinante, la plus sensuelle jamais peinte par Judith Krantz, l'auteur de l'Amour en héritage. On ne lâcherait pas son livre avant la fin pour un empire… de presse. Valérie Hanotel, Madame Figaro. Attendez seulement de faire la connaissance de Maxi Amberville et de son imprévisible famille : en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, la mauvaise note qu'a récoltée votre gamin ou le bruit que s'obstine à faire votre voisin, toutes ces contrariétés qui vous collent au quotidien disparaîtront comme par enchantement. (Claude Servan-Schreiber, Marie-France).
Man and Superman, Arms and the Man, …..
En Anglais – 1898. Most of Shaw’s early plays were either banned by the censor or refused production. With Plays: Pleasant and Unpleasant he sought a reading audience. He also began the practice of writing the challenging, mocking, eloquent prefaces to his plays, which were sometimes longer than the play itself. This volume contains the Unpleasant: Widowers’ Houses; The Philanderer; and Mrs. Warren’s Profession.
Le printemps des pierres
Le temps de l’exaltation est venu. L’œuvre a jailli de terre et révélé ses structures. Les premiers murs, les premières colonnes ont surgi dans un printemps d’alléluias et de miracles. C’est le printemps des pierres. Il s’est installé partout en France. Dieu ne peut plus se perdre en ce pays : toutes ces églises, toutes ces cathédrales sont pour lui autant de repères. S’il était aveugle, il pourrait se guider en tâtant de ses grandes mains de nuage telle ou telle muraille qui sent encore le mortier frais, exhaussée au-dessus des toits des villes et des bourgs. Dieu est heureux ; il baigne dans ce printemps comme dans un lit de chaleur et de lumière et il écoute monter autour de lui ce silence des pierres qui n’est pas celui du désert, mais un tissu léger de cantiques. Ce temps exceptionnel où la France a pris son visage d’éternité, ces printemps ajoutés aux printemps où, en cette fin du XIIe siècle, la foi d’un peuple, et l’intelligence, et le savoir-faire de ses maîtres d’œuvre, de ses carriers, maçons, charpentiers, imagiers, verriers donnaient forme à la prière.
La fortune des Sullivan
À partir d’un fait historique marquant, le naufrage du Lusitania, se développe une intrigue captivante et riche de rebondissements : trois rencontres amoureuses très romantiques sur fond de chasse au trésor. Des personnages bien campés, qu’une enquête mouvementée entraîne aux quatre coins du globe, dans un luxe de détails glamour et de descriptions fastueuses.
Les clés du royaume
Nous suivons ici la vie du Père Chisholm, né d’un père Protestant et d’une mère Catholique, il va en devenant prêtre souvent se heurter à l’étroitesse d’esprit et le dogmatisme de l’Eglise Catholique, à laquelle il consacrera pourtant sa vie. Adolescent et novice, son cœur balance entre son amour pour Dieu et Nora, sa douce cousine. Les vicissitudes de la vie conduiront Nora, fille-mère, au suicide. Sous le choc, Francis part en Espagne en séminaire et commence sa carrière de prêtre d’abord en Ecosse et ensuite en Chine, où il passera presque toute sa vie. En Chine, il devra bâtir sa mission de zéro, sans aucune aide financière de son diocèse. Il sera confronté à une épidémie de peste et à une guerre intestine mais il tiendra bon et protégera ses ouailles contre vents et marées…
Le sortilège malais
Le Sortilège malais est un recueil de six nouvelles de William Somerset Maugham publié en 1926. « Faut-il laisser les bouquins de Somerset Maugham dans les bibliothèques de nos grand-mères entre Daphné Du Maurier et Agatha Christie ? Témoins de la défense : Graham Greene, tôt persuadé de son génie, Virginia Woolf et Cyril Connolly qui s'étonnait de l'accueil sévère de la critique compte tenu du plaisir sans mélange qu'on prend à le lire. Osons goûter les histoires surannées de ce disciple affiché de Maupassant et de Jules Renard, de ce conteur caustique qui avouait n'avoir jamais été patient à l'égard des écrivains qui exigent un effort pour percer leurs intentions. »
Vendetta – La revanche de Lucky
Amie des stars d'Hollywood, Lucky Santangelo a des enfants superbes, un mari acteur qu'elle adore, et dirige d'une main de maître les studio Panther. Alors si vous lui demandez qui est la plus heureuse des femmes, elle répondra sans hésiter : « Moi ! » Jusqu'au moment où tout bascule: son mari disparaît lors d'un tournage, une OPA la dépossède de ses studios et son père, Gino, est victime d’un attentat. Lucky est anéantie. Mais pas pour longtemps. La fille du caïd se ressaisit, découvre l'identité de la personne qui a décidé de la briser et se lance dans une vendetta impitoyable… Une saga hollywoodienne glamour et cruelle comme seule jackie Collins en a le secret.
Sparkenbroke
Pour ne pas être tenté d’espérer davantage, il fixa son regard sur les lèvres de la jeune fille et sur ses yeux, pendant qu’elle parlait ; il s’aperçut combien il gagnait facilement sa confiance, et en ressentit ce mélange de plaisir et d’ennui qu’on éprouve devant un adversaire trop fragile, sans défense. Quand la vie est si courte, pourquoi s’embarrasser de règles sociales qui nous empêchent d’être heureux ? Mais comment savourer son propre bonheur, s’il fait souffrir les êtres qui nous sont chers ? Mary, à l’aube de sa vie de femme, doit faire ce choix douloureux entre un mari et un amant.Dans les années 1920, à l’ombre d’un château anglais et sous le soleil de Toscane, ce chef-d’oeuvre de Charles Morgan renouvelle le schéma de la tragédie classique. Il dissèque la passion et ses prémices, entre un lord anglais poète de génie, et la jeune épouse de son meilleur ami.
Appelez-moi chérie
On peut tout exiger d’un bœuf… Sauf qu’il remplace un taureau. Fût-ce au pied levé ! Par contre, on peut demander à un taureau de mon espèce de se comporter comme une vache ! À preuve… Ah ! Y a de quoi ruminer, je vous jure ! J’sais pas si vous avez envie, ou non, de lire ce livre. Moi, à votre place, j’hésiterais pas. P’t’être parce que je sais ce qu’il y a dedans. En tout cas, si vous souhaitez voir un San-Antonio partir à la recherche du plus gros diamant du monde avec une canne blanche, ratez pas cette occase, mes fils ! Vous comprendrez alors pourquoi j’ai intitulé ce machin APPELEZ-MOI CHÉRIE ! Chérie, parfaitement, avec un » e » muet ! Heureusement que l’auteur, lui, ne l’est pas !
Tant que dure le jour
« Le pire, c’étaient les Stukas. Je les entendais à des kilomètres de distance, pareils à un gros essaim d’abeilles qui se dirigeait droit sur nous dans le ciel sans fin du désert. Tandis que le bourdonnement se rapprochait, mon coeur battait la chamade… » Originaire de Grande-Bretagne, Susan Travers a connu une destinée sans équivalent : une enfance dorée, la grande vie entre châteaux et hôtels chies d’Europe, avant d’être la première femme à s’engager dans la Légion étrangère. Le siège de Bir-Hakeim reste son fait d’armes le plus marquant ; pendant deux semaines, avec 2 000 soldats, elle résiste à l’offensive de Rommel et au feu de l’ennemi. Mais au-delà de son ralliement à la cause des Français libres en 1940, sa grande aventure fut son amour passionné pour le général Koenig. « Là où vous irez, j’irai aussi », lui avait-elle dit. Et rien, pour elle, n’eut autant le goût de la victoire.
Deux heures à tuer au bord de la piscine
Victor Lanoux n’avait pas voulu, jusqu’ici, évoquer ses presque quatre fois vingt ans d’existence. Se confiait-il seulement à son oreiller ? Pas sûr. Devant cette piscine, il se raconte, enfin, pour la première fois… Quand Victor Lanoux trimballe sa carcasse au bord d’une piscine, d’un plan d’eau, avec même deux heures à tuer, il est permis de se poser des questions. Surtout que l’on sait que nulle caméra ne s’agite dans les parages campagnards. Et vous avez raison de trouver étrange le tête-à-tête de cet homme avec lui-même. De l’insolite, du baroque, du singulier, du jamais vu. Lanoux n’avait pas voulu, jusqu’ici, évoquer ses presque quatre fois vingt ans d’existence. Se confiait-il seulement à son oreiller ? Pas sûr. Devant cette piscine, il se raconte enfant, il quitte son amnésie, afin de se mettre à table et de faire une sorte de point. On croyait, certains privilégiés du moins, connaître le comédien, deviner l’homme au caractère peu malléable, voire fougueux. Il n’en était rien. Quand là, triturant ses bâtons qui l’aident à tenir debout, il nous distille les joies, les brûlures de son existence, il n’essaie pas d’enjoliver, d’apitoyer. Il est vrai, authentique, touche juste. Et, dans ces remous de la piscine, remous causés par sa canne d’homme blessé, d’homme à vif, on l’entend évoquer toutes les étapes de sa vie et se rappeler ce que lui avait dit le poète René Char : « Victor, la vie, c’est l’éclair. »
Le lendemain, elle était souriante …
Simone Signoret ne sait pas écrire. Du moins le croit-elle. Elle raconte sa douloureuse expérience de l’écriture, celle de La nostalgie n’est plus ce qu’elle était, dans un récit introspectif, sensible, tour à tour amer et exalté de sa vie de femme, d’actrice. Le personnage public s’efface, et derrière les anecdotes de tournage, les souvenirs de guerre, s’entend la voix unique d’une comédienne devenue écrivain. Simone Signoret, de son vrai nom Kaminker, est née en 1921. Figure mythique du cinéma, elle a notamment joué dans Casque d’or et Les Diaboliques. « Oscarisée », « Césarisée », « Awardisée », elle fut la vedette française la plus récompensée du XXe siècle. « C’était une reine. Elle a sorti la France de ses gonds, elle l’a faite internationale. » Marguerite Duras
L’adieu à la femme sauvage
Une petite fille de douze ans et demi, Johanna, quitte la maison familiale pour se rendre avec sa meilleure amie au cirque voisin qui donne une séance spéciale pour le Carnaval. Quoi de plus prosaïque et de plus normal, si ce n’est que la scène se passe à Dresde un soir de février 1945 et que cette même nuit se déchaîne le bombar-dement anglo-américain qui, en trois vagues successives, va entièrement détruire une ville demeurée jusqu’ici à l’écart de la guerre, tuant une grande partie de ses habitants et causant avec des moyens, « conventionnels » l’une des plus meurtrières catastrophes de l’Histoire. Voici donc Johanna plongée; sans que rien ne l’y ait préparée, dans une brutale apocalypse qui va ensevelir son univers familier. Dès lors elle prend la fuite, entraînant avec elle sa mère qu’elle vénère, mais qui, gravement traumatisée par le drame et ses conséquences, n’est plus désormais qu’une « femme sauvage » repliée sur elle-même, psychiquement en état de choc…
Le cœur qui cogne
Douze ans après la mort du fils aîné, parents, enfants et petits-enfants Dauzan se retrouvent au Rivier, la maison familiale qui fut le théâtre de leur bonheur… avant. Au jeu des tendresses que chacun veut croire possibles encore, tous se heurtent, s’évitent, se rejoignent avec tant d’espoir mais aussi tant de maladresse que, parfois, le cœur cogne à faire très mal. Le Cœur qui cogne est un roman tendu, émouvant. chaque phrase, chaque mot est à sa manière un indicible et farouche appel au secours. on y retrouvera toute la violence contenue, la passion et la sensibilité des romans d’Yves Navarre. La tendresse, ici, est un hasard à double tranchant.
Antigone
Après Sophocle, Jean Anouilh reprend le mythe d'Antigone. Fille d'Oedipe et de Jocaste, la jeune Antigone est en révolte contre la loi humaine qui interdit d'enterrer le corps de son frère Polynice. Présentée sous l'Occupation, en 1944, l'Antigone d'Anouilh met en scène l'absolu d'un personnage en révolte face au pouvoir, à l'injustice et à la médiocrité.
Vol plané
Par un après-midi hivernal, le sénateur Carrasco disparaît dans les ruelles de Mexico. Enlèvement ordinaire ou règlement de comptes politique ? Dans les cercles du pouvoir tout le monde s'interroge alors que l'enquête piétine. Quelques jours plus tard, non loin de la capitale, un diplomate suisse est le témoin d'un assassinat. L'étranger, désireux de pimenter un quotidien professionnel passablement ennuyeux, décide de s'intéresser à ce fait divers sanglant auquel il a été mêlé malgré lui. Un passe-temps qui se convertira bientôt en menace pour sa propre vie. À la fois polar et étude de moeurs, « Vol plané » nous emmène des quartiers de Mexico la mégapole jusqu'aux rivages du Yucatán. Entre meurtres et vieilles rancoeurs, idylles et affaires de famille, l'auteur pose un regard teinté d'ironie sur la politique et la vie diplomatique. Il éclaire également le présent d'un pays fascinant qui n'en finit pas de guérir de ses maux.
La valse des mensonges
De Londres à New York, La Valse des mensonges nous entraîne dans un tourbillon romanesque où intrigues amoureuses et dangers se mêlent au fil d'un suspense qui va crescendo. Lindsay, journaliste de mode, s'apprête à tourner une page de son existence : elle prévoit de quitter Londres pour la campagne, de changer de métier et, par-dessus tout, d'oublier son collègue Rowland McGuire, indifférent depuis des années à l'amour qu'elle lui porte. Un pari impossible ? Sa rencontre avec Colin, un ami de Rowland, va délicieusement lui faciliter la tâche… A New York, Natasha Lawrence tente, elle aussi, de reconstruire sa vie. Séparée de son mari, le metteur en scène Tomas Court, la célèbre actrice est harcelée depuis cinq ans par un maniaque qui semble ne rien ignorer de son intimité. Craignant pour son jeune fils, Natasha emménage avec lui au Conrad, un des immeubles les plus sélects de la ville. Mais y trouvera-t-elle la sécurité qu'elle espère tant ? Et son mari et elle seront-ils capables de surmonter les démons de leur passé commun ? Le soir de Thanksgiving, Lindsay, Natasha et les autres protagonistes sont rassemblés dans l'atmosphère électrique du Conrad, sans savoir que c'est ici et maintenant que leur destin se joue…
Povchéri
« J’avais onze ans dans l’été 43. C’était la guerre. J’en ai donc soixante et onze en cet hiver 2003 et c’est encore la guerre. Pas la même ; la Troisième mondiale. Petit bonhomme en galoches soumis aux restrictions ou vieillard déambulant dans un couloir d’hôpital, c’est quand même toujours moi, Povchéri. Ceci est mon journal de début et de fin. Malgré tout, et dans l’ensemble, ce fut parfois rigolo de vivre. » Patrick Cauvin n’a pas son pareil pour rendre dans sa fraîcheur et sa vérité le monde de l’enfance. Et sa vision du monde « adulte », dans un futur qui s’approche dangereusement, est d’une force saisissante. Povchéri est un roman tendre, drôle, émouvant. Povchéri est un très grand Cauvin.
Le Bal du Comte d’Orgel
Radiguet avait vingt ans quand il écrivit Le Bal du comte d'Orgel. Le sujet ? Impossible de trouver plus conventionnel: le mari, la femme et l'ami de la famille. Mais la convention et la bienséance, ici, couvrent la plus trouble et la plus licencieuse des chastetés. Mme d'Orgel aime son mari qui lui retourne une aimable indifférence, mais qui va commencer de l'aimer « comme s'à avait fallu une convoitise pour lui en apprendre le prix ». Et c'est l'amour que François éprouve pour sa femme qui amène le comte d'Orgel à le préférer à tous ses autres amis. A partir de là, les sentiments évoluent, subtils, feutrés, étranges et comme étrangers aux êtres qu'ils habitent. « On s'effraie d'un enfant de vingt ans qui publierait un livre qu'on ne peut écrire à cet âge », dit Cocteau. A quoi Radiguet a répondu d'avance: « L'âge n'est rien… Les plus grands sont ceux qui parviennent à le faire oublier. »
Un chien de saison
Le jour où un célibataire tranquille et discret accepte de prendre en pension, pour trois semaines, le chien de son meilleur ami, sa vie est bouleversée. Néron, boxer bringé, espiègle mais fidèle et tendre, devient vite, avec ses quarante kilos de muscle et de malice canine, un compagnon envahissant. Ceux qui ont connu ou vivent au quotidien la complicité très particulière que l’on peut établir avec son chien apprécieront ce roman humoristique, empreint d’une grande tendresse. Maurice Denuzière y peint aussi la solitude du cœur et la fragilité des sentiments. Auteur de trois grandes fresques historiques (Louisiane, Helvétie, Bahamas), il montre ici la diversité de son talent.
Tout près du tueur
Vingt et un ans plus tôt, ils ont été les témoins d’un crime atroce. Aujourd’hui, ils vont payer pour leur silence. Alors qu’elle court, comme tout les matins, dans le parc près de chez elle, le médecin légiste Lucy Trask découvre avec horreur le corps affreusement mutilé d’un homme. Un homme qu’elle a autrefois bien connu, comme l’enquête de la police de Baltimore va vite le révéler. En plaçant le corps à cet endroit, le tueur voulait-il attirer l’attention de Lucy ? Et que signifie la lettre, ou le chiffre, tracé sur le dos de la victime ? La découverte d’un deuxième corps, lui aussi mutilé, plonge Lucy dans l’angoisse et le désarroi. Car cette nouvelle victime, comme la première, vient d’Anderson Ferry, la petite ville où elle a vécu enfant. Qu’est-ce qui la relie à ce tueur violent, sadique, que rien n’arrête, et qui, elle le pressent, se cache dans son entourage? Et parviendra-t-elle, au prix d’une éprouvante plongée dans ses souvenirs les plus sombres, à rassembler les pièces du puzzle macabre qu’il semble vouloir lui proposer ? Pour faire éclater la vérité, et pour survivre, Lucy ne peut compter que sur l’inspecteur Fitzpatrick.
Félicia ou mes fredaines
Félida ou Mes fredaines, le plus connu et le plus réédité des romans de Nerciat depuis sa parution en 1775, concentre l’essence du romanesque libertin en un dosage subtil d’humour, d’évasion et d’élan passionnel. Le tour de force de l’auteur est de se livrer à une parodie jubilatoire tout en écrivant un vrai roman d’aventure, avec ses mystères, ses épisodes palpitants, ses improbables coïncidences et hasards merveilleux… Avec Margot, Thérèse ou Juliette, Félicia est à coup sûr l’une des plus grandes courtisanes de la littérature du XVIIIe siècle. Cette nouvelle édition de Jean-Christophe Abramovici nous la restitue « fraîche et insolente comme aux jours de ses premiers succès ».
La colère des dieux
Quinze siècles avant la naissance du Christ, la civilisation crétoise éclabousse le bassin méditerranéen de ses derniers feux. Son empire s'étend de Chypre à la Sicile, et tandis que la radieuse « île aux Cent Villes », chantée parle poète Homère, vit sous la loi du dieu mi-homme, mi-taureau: le Minotaure, les tributs des Achéens s'entassent à la cour du roi Minos. Le roman de Daniel Kircher nous transporte au coeur des légendes antiques. L'histoire commence au moment où les prophètes, dénonçant l'impiété et la corruption, menacent les hommes du châtiment divin. Son héros, l'intègre Rhadamanthe, prince de Cnossos, dont la mythologie grecque fera l'un des trois juges des enfers, tente de sauver l'empire du grand Minos de la colère des dieux autant que de la convoitise des hommes. Ses aventures le plongent au coeur même du mystère lorsqu'il soupçonne la prêtresse Pasiphaé, épouse du grand Minos, de monstrueuses amours avec un taureau fabuleux; lorsqu'il suit Thésée à travers les galeries souterraines du labyrinthe, guidé par le fil d'Ariadne, ou lorsqu'il s'élance à la rescousse de Scylla l'Achéenne promise au funèbre destin de nourrir le monstre…
L’enfant en héritage
Désemparée et sans ressources, Cecil, une jeune étudiante texane répond à une petite annonce offrant une très importante somme d'argent pour un travail non précisé. Sélectionnée grâce à sa beauté, l'avocat chargé de gérer le dossier lui propose un contrat de « mère porteur » au profit d'une des plus riches dynasties d'Europe : les Schomberg… Si ce bébé est follement désiré par ses futurs parents, il n'en va pas de même pour le reste de la famille : intrigues, menaces, tentatives de meurtre… Cecil, dans une course folle à travers la France, sent peu à peu les mailles du filet se resserrer autour d'elle, jusqu'au jour où le père et la mère réels trouvent la mort dans un accident de leur jet privé au-dessus du Massif Central. La voilà donc, elle, la mère porteuse, avec un héritier que personne ne désire et que tous ont intérêt à faire disparaître…
La prière de Galilée
Par un froid matin de janvier, un sniper embusqué sur le toit d’une école primaire d’Atlanta abat de sang-froid quatorze personnes qu’il a piégées, dont une dizaine de policiers. Le mois suivant, à Amarillo au Texas, il frappe de nouveau et fauche six pompiers qui tentaient d’éteindre un incendie. Le seul indice dont dispose la police : une boîte que le tueur a laissée à Atlanta. Avec, à l’intérieur, ce message : « Si Dieu existait encore, il m’aurait arrêté. Signé Galilée ». Révoltée par ces meurtres atroces, et par l’impuissance de la police à découvrir l’identité de ce meurtrier redoutablement intelligent, Esme Stuart, ancien agent spécial du FBI, n’hésite qu’une fraction de seconde quand son ancien co-équipier, Tom Piper, lui demande de l’aider sur cette affaire. Même si elle doit pour cela bouleverser la vie qu’elle s’est construite depuis sept ans à Long Island, avec son mari et sa petite fille. Armée de sa détermination, de sa redoutable perspicacité, et de son aptitude à deviner les motivations du tueur, Esme va se lancer à la poursuite de Galilée, et tout faire pour arrêter sa croisade meurtrière.
Dialogues of Alfred North Whitehead
En Anglais – Philospher, mathematician & general man of science, Whitehead was a polymath whose interests & sympathies encompassed entire worlds. Here, modelled on Eckermann’s conversations with Goethe & recorded in Whitehead’s own home, are some of the landmarks, signposts, milestones & scenery of that extraordinary mind. His approach to life & science provides a compass for the modern world. In these pages the reaches of his thought–in philosophy, religion, science, statesmanship, education, literature, art & conduct of life–are gathered & edited by the writer Lucien Price, a journalist whose own interests were as eclectic as Whitehead’s & whose memory for verbatim conversation was nothing short of miraculous. The scene, the Cambridge of Harvard from 1932-47 (with flashbacks to London, Cambridge, England & his native Ramsgate in Kent); the cast, often eminent men & women, who join him for these penetrating, audacious & exhilarating verbal forays. The subjects range from the homeliest details of living to the greatest ideas that have animated minds over the past 30 centuries. Featuring a new preface & an introduction–previously unavailable in this country–this book stands alongside Boswell’s as a model of biography, shaped jointly by the acuity of the biographer & the genius of the subject. It also stands as an accessible monument to a mind that never stopped working, a man whose life & career no writer could have invented & no serious reader can afford to overlook.
The captive
En Anglais – He doesn’t even recognize her, and she in turn feels nothing for him. Renee is now living as an independent woman on a small income from an inheritance. She has left the music hall and is thinking once again of writing seriously. This time, however, she falls in love with her friend May’s lover Jean. Renee is resigned to putting on the shackle when she becomes his mistress. It is the shackle you wear when you fall in love, and cannot extract yourself emotionally.
Those Barren Leaves
En Anglais – Aldous Huxley spares no one in his ironic, piercing portrayal of a group gathered in an Italian palace by the socially ambitious and self-professed lover of art, Mrs. Aldwinkle. Here, Mrs. Aldwinkle yearns to recapture the glories of the Italian Renaissance, but her guests ultimately fail to fulfill her naive expectations. Among her entourage are: a suffering poet and reluctant editor of the « Rabbit Fanciers' Gazette » who silently bears the widowed Mrs. Aldwinkle's desperate advances; a popular novelist who records every detail of her affair with another guest, the amorous Calamy, for future literary endeavors; and an aging sensualist philosopher who pursues a wealthy yet mentally-disabled heiress. Stripping the houseguests of their pretensions, Huxley reveals the superficiality of the cultural elite. Deliciously satirical, Those Barren Leaves bites the hands of those who dare to posture or feign sophistication and is as comically fresh today as when first published.
The europeans
En Anglais – A sketch is a short novel by Henry James, published in 1878. It is essentially a comedy contrasting the behaviour and attitudes of two visitors from Europe with those of their relatives living in the ‘new’ world of New England. The novel first appeared as a serial in The Atlantic Monthly for July–October 1878. James made numerous minor revisions for the first book publication.
A passage to India
En Anglais – A Passage to India (1924) is a novel by English author E. M. Forster set against the backdrop of the British Raj and the Indian independence movement in the 1920s. It was selected as one of the 100 great works of 20th century English literature by the Modern Library[1] and won the 1924 James Tait Black Memorial Prize for fiction.[2] Time magazine included the novel in its « All Time 100 Novels » list.[3] The novel is based on Forster's experiences in India, deriving the title[4] from Walt Whitman's 1870 poem « Passage to India »[5] in Leaves of Grass. The story revolves around four characters: Dr. Aziz, his British friend Mr. Cyril Fielding, Mrs. Moore, and Miss Adela Quested. During a trip to the fictitious Marabar Caves (modeled on the Barabar Caves of Bihar),[6] Adela thinks she finds herself alone with Dr. Aziz in one of the caves (when in fact he is in an entirely different cave), and subsequently panics and flees; it is assumed that Dr. Aziz has attempted to assault her. Aziz's trial, and its run-up and aftermath, bring to a boil the common racial tensions and prejudices between Indians and the British who rule India.
Les sports – Encyclopoche Larousse
Quelles sont les épreuves d'athlétisme ? Quelles étaient les épreuves des premiers jeux Olympiques ? Et quelles sont les principales disciplines olympiques aujourd'hui ? Qu'est-ce qu'une course contre la montre ? Comment s'appelle le grand Tour cycliste d'Italie ? Quelles sont les trois armes utilisées à l'escrime ? Comment compte-t-on les points au golf ? Quel est le plus grand buteur de l'histoire du football ? Comment se déroule une épreuve de biathlon ? Découvrez toutes les réponses à ces questions dans cette encyclopédie Larousse du sport de 1977.
Un homme est une rose
A la recherche d'un éditeur, Marianne, sociologue, maile son dernier article à Michel, éminent prof de fac et écrivain. De message en message, elle se laisse entraîner dans un périlleux marivaudage. Le jour où il se hasarde à des avances licencieuses, elle refuse un premier rendez-vous. Il insiste. Ils s'exaspèrent et ils se fâchent. Quelques mois plus tard, Michel invite Marianne à Nice pour un séminaire. Sujet : le Viagra et les troubles sexuels. Il lui propose de l'emmener en voiture. Marianne accepte et rencontre enfin Michel. Un homme séduisant et brutal, qui multiplie les maladresses, quand il ne joue pas les rustres. La relation dérape plus qu'elle ne le voudrait vers l'initiation érotique. Pendant le séminaire, Marianne découvre toutefois Michel sous un jour nouveau. Le grand séducteur tombe le masque. Et lorsqu'ils reprennent la route le lendemain, les rôles s'inversent…
Thérèse Desqueyroux
Pour éviter le scandale et protéger les intérêts de leur fille, Bernard Desqueyroux, que sa femme Thérèse a tenté d'empoisonner, dépose de telle sorte qu'elle bénéficie d'un non-lieu. Enfermée dans la chambre, Thérèse tombe dans une prostration si complète que son mari, effrayé, ne sait plus quelle décision prendre. Doit-il lui rendre sa liberté ? Dans ce livre envoûtant, François Mauriac a réussi un portrait de criminelle fascinant.
Moderato Cantabile
« Qu’est-ce que ça veut dire, moderato cantabile ? – Je ne sais pas. » Une leçon de piano, un enfant obstiné, une mère aimante, pas de plus simple expression de la vie tranquille d’une ville de province. Mais un cri soudain vient déchirer la trame, révélant sous la retenue de ce récit d’apparence classique une tension qui va croissant dans le silence jusqu’au paroxysme final. « Quand même, dit Anne Desbarèdes, tu pourrais t’en souvenir une fois pour toutes. Moderato, ça veut dire modéré, et cantabile, ça veut dire chantant, c’est facile. »
Les anges de verre
A la Nouvelle-Orléans, les vitraux restaurés par Mira Gallier, veuve depuis l'ouragan Katrina qui a emporté son mari, ont été couverts d'étranges inscriptions apocalyptiques. Une série de meurtres est perpétrée dans son entourage, la faisant douter de ses facultés mentales. Elle devient l'un des principaux suspects, à l'instar de Connor Scott, le meilleur ami de son mari défunt, et son seul soutien… Dans ce thriller psychologique, le parcours vers la guérison d'une femme brisée par Katrina se mue en un effroyable cauchemar. Préparez-vous à rester éveillé toute la nuit… Une lecture aussi trépidante que surprenante : vous ne reposerez pas ce roman avant la dernière page.
Le secret de Black Falls
De retour dans son village natal de Black Falls pour fuir un scandale qui menace sa carrière d’agent secret, Jo Harper vient chercher un peu de calme et de sérénité sous le rideau neigeux des montagnes de son enfance. Mais au lieu du havre de paix dont elle rêve, elle retrouve son village en état de choc : une adolescente a mystérieusement disparu dans la montagne. Incapable de laisser cette jeune fille seule en pleine tempête, Jo propose de participer aux recherches… pour découvrir qu’il lui faudra s’associer à Elijah Cameron, l’homme qui lui a brisé le coeur quinze ans auparavant. Ainsi, malgré ses douloureux souvenirs, Jo se résigne à faire équipe avec Elijah. D’autant plus que des indices la conduisent à soupçonner l’adolescente disparue de ne pas s’être seulement perdue, mais aussi et surtout de fuir un danger – un danger redoutable qui pourrait bien les placer eux aussi dans la ligne de mire d’un tueur.
Un danger dans la nuit
Je sais ce que tu as fait, confesse tes péchés. Tout est de ta faute… En écoutant ce message sur son répondeur, la psychologue Samantha Leeds croit d'abord à un mauvais canular. Lais lorsque ce mystérieux correspondant, qui se fait appeler John, intervient sur les ondes de son émission de radio Confessions de Minuit, Samantha plonge en plein cauchemar. Car John lui a rappelé le drame qui a marqué sa vie: le suicide d'une jeune auditrice, Annie, une adolescente perturbée que Samantha n'a pas pu sauver. Ce serait donc cela, le péché qu'elle doit expier ? Terrifiée, Samantha l'est d'autant plus que le harceleur fou s'est à présent transformé en tueur. Un tueur qui viole et étranglé ses victimes en écoutant l'émission du Dr. Samantha. Tandis que les inspecteurs Bentz et Montoya pistent le meurtrier, Samantha, elle, se réfugie auprès de Ty Wheeler, son nouveau voisin, un homme secret et séduisant. Le seul auquel, croit-elle, elle peut encore faire confiance…
Ce siècle appelle au secours
On connaît le grand romancier qu’est Gilbert Cesbron. Mais on connaît moins, et c’est injuste, son talent d’essayiste que nous pouvons découvrir dans ce volume. Frémissant de sensibilité généreuse, Ce siècle appelle au secours nous dépeint quelques ‘ hommes qui, par leur humanité ou leur foi, ont retenu l’attention de l’auteur. II nous entraîne aussi à la suite d’un Anglais dont les réflexions tantôt cocasses tantôt féroces stigmatisent les lâchetés de notre civilisation. Enfin, dans la dernière partie de cet ouvrage, « Qui se souvient de Babylone», Gilbert Cesbron porte son regard aigu sur ce que fut notre pays après la tourmente de 1940.
Le sanglier – Cochon des bois
Le marcassin est tout mignon dans son pyjama rayé. Mais un an plus tard, le voilà changé en une grosse bête noire, qui se vautre dans la boue. Gronk ! Au moindre danger, le sanglier sort de sa souille et disparaît dans les ronces. Malgré son corps lourd et massif, il sait courir vite, quand il faut… Ce livre, qui plaira aux petits et aux grands, retrace les différentes étapes de la vie du sanglier.