Le printemps des pierres
Le temps de l’exaltation est venu. L’œuvre a jailli de terre et révélé ses structures. Les premiers murs, les premières colonnes ont surgi dans un printemps d’alléluias et de miracles. C’est le printemps des pierres. Il s’est installé partout en France. Dieu ne peut plus se perdre en ce pays : toutes ces églises, toutes ces cathédrales sont pour lui autant de repères. S’il était aveugle, il pourrait se guider en tâtant de ses grandes mains de nuage telle ou telle muraille qui sent encore le mortier frais, exhaussée au-dessus des toits des villes et des bourgs. Dieu est heureux ; il baigne dans ce printemps comme dans un lit de chaleur et de lumière et il écoute monter autour de lui ce silence des pierres qui n’est pas celui du désert, mais un tissu léger de cantiques. Ce temps exceptionnel où la France a pris son visage d’éternité, ces printemps ajoutés aux printemps où, en cette fin du XIIe siècle, la foi d’un peuple, et l’intelligence, et le savoir-faire de ses maîtres d’œuvre, de ses carriers, maçons, charpentiers, imagiers, verriers donnaient forme à la prière.
La fortune des Sullivan
À partir d’un fait historique marquant, le naufrage du Lusitania, se développe une intrigue captivante et riche de rebondissements : trois rencontres amoureuses très romantiques sur fond de chasse au trésor. Des personnages bien campés, qu’une enquête mouvementée entraîne aux quatre coins du globe, dans un luxe de détails glamour et de descriptions fastueuses.
Les clés du royaume
Nous suivons ici la vie du Père Chisholm, né d’un père Protestant et d’une mère Catholique, il va en devenant prêtre souvent se heurter à l’étroitesse d’esprit et le dogmatisme de l’Eglise Catholique, à laquelle il consacrera pourtant sa vie. Adolescent et novice, son cœur balance entre son amour pour Dieu et Nora, sa douce cousine. Les vicissitudes de la vie conduiront Nora, fille-mère, au suicide. Sous le choc, Francis part en Espagne en séminaire et commence sa carrière de prêtre d’abord en Ecosse et ensuite en Chine, où il passera presque toute sa vie. En Chine, il devra bâtir sa mission de zéro, sans aucune aide financière de son diocèse. Il sera confronté à une épidémie de peste et à une guerre intestine mais il tiendra bon et protégera ses ouailles contre vents et marées…
Le sortilège malais
Le Sortilège malais est un recueil de six nouvelles de William Somerset Maugham publié en 1926. « Faut-il laisser les bouquins de Somerset Maugham dans les bibliothèques de nos grand-mères entre Daphné Du Maurier et Agatha Christie ? Témoins de la défense : Graham Greene, tôt persuadé de son génie, Virginia Woolf et Cyril Connolly qui s'étonnait de l'accueil sévère de la critique compte tenu du plaisir sans mélange qu'on prend à le lire. Osons goûter les histoires surannées de ce disciple affiché de Maupassant et de Jules Renard, de ce conteur caustique qui avouait n'avoir jamais été patient à l'égard des écrivains qui exigent un effort pour percer leurs intentions. »
Vendetta – La revanche de Lucky
Amie des stars d'Hollywood, Lucky Santangelo a des enfants superbes, un mari acteur qu'elle adore, et dirige d'une main de maître les studio Panther. Alors si vous lui demandez qui est la plus heureuse des femmes, elle répondra sans hésiter : « Moi ! » Jusqu'au moment où tout bascule: son mari disparaît lors d'un tournage, une OPA la dépossède de ses studios et son père, Gino, est victime d’un attentat. Lucky est anéantie. Mais pas pour longtemps. La fille du caïd se ressaisit, découvre l'identité de la personne qui a décidé de la briser et se lance dans une vendetta impitoyable… Une saga hollywoodienne glamour et cruelle comme seule jackie Collins en a le secret.
Sparkenbroke
Pour ne pas être tenté d’espérer davantage, il fixa son regard sur les lèvres de la jeune fille et sur ses yeux, pendant qu’elle parlait ; il s’aperçut combien il gagnait facilement sa confiance, et en ressentit ce mélange de plaisir et d’ennui qu’on éprouve devant un adversaire trop fragile, sans défense. Quand la vie est si courte, pourquoi s’embarrasser de règles sociales qui nous empêchent d’être heureux ? Mais comment savourer son propre bonheur, s’il fait souffrir les êtres qui nous sont chers ? Mary, à l’aube de sa vie de femme, doit faire ce choix douloureux entre un mari et un amant.Dans les années 1920, à l’ombre d’un château anglais et sous le soleil de Toscane, ce chef-d’oeuvre de Charles Morgan renouvelle le schéma de la tragédie classique. Il dissèque la passion et ses prémices, entre un lord anglais poète de génie, et la jeune épouse de son meilleur ami.
Appelez-moi chérie
On peut tout exiger d’un bœuf… Sauf qu’il remplace un taureau. Fût-ce au pied levé ! Par contre, on peut demander à un taureau de mon espèce de se comporter comme une vache ! À preuve… Ah ! Y a de quoi ruminer, je vous jure ! J’sais pas si vous avez envie, ou non, de lire ce livre. Moi, à votre place, j’hésiterais pas. P’t’être parce que je sais ce qu’il y a dedans. En tout cas, si vous souhaitez voir un San-Antonio partir à la recherche du plus gros diamant du monde avec une canne blanche, ratez pas cette occase, mes fils ! Vous comprendrez alors pourquoi j’ai intitulé ce machin APPELEZ-MOI CHÉRIE ! Chérie, parfaitement, avec un » e » muet ! Heureusement que l’auteur, lui, ne l’est pas !
Tant que dure le jour
« Le pire, c’étaient les Stukas. Je les entendais à des kilomètres de distance, pareils à un gros essaim d’abeilles qui se dirigeait droit sur nous dans le ciel sans fin du désert. Tandis que le bourdonnement se rapprochait, mon coeur battait la chamade… » Originaire de Grande-Bretagne, Susan Travers a connu une destinée sans équivalent : une enfance dorée, la grande vie entre châteaux et hôtels chies d’Europe, avant d’être la première femme à s’engager dans la Légion étrangère. Le siège de Bir-Hakeim reste son fait d’armes le plus marquant ; pendant deux semaines, avec 2 000 soldats, elle résiste à l’offensive de Rommel et au feu de l’ennemi. Mais au-delà de son ralliement à la cause des Français libres en 1940, sa grande aventure fut son amour passionné pour le général Koenig. « Là où vous irez, j’irai aussi », lui avait-elle dit. Et rien, pour elle, n’eut autant le goût de la victoire.
Deux heures à tuer au bord de la piscine
Victor Lanoux n’avait pas voulu, jusqu’ici, évoquer ses presque quatre fois vingt ans d’existence. Se confiait-il seulement à son oreiller ? Pas sûr. Devant cette piscine, il se raconte, enfin, pour la première fois… Quand Victor Lanoux trimballe sa carcasse au bord d’une piscine, d’un plan d’eau, avec même deux heures à tuer, il est permis de se poser des questions. Surtout que l’on sait que nulle caméra ne s’agite dans les parages campagnards. Et vous avez raison de trouver étrange le tête-à-tête de cet homme avec lui-même. De l’insolite, du baroque, du singulier, du jamais vu. Lanoux n’avait pas voulu, jusqu’ici, évoquer ses presque quatre fois vingt ans d’existence. Se confiait-il seulement à son oreiller ? Pas sûr. Devant cette piscine, il se raconte enfant, il quitte son amnésie, afin de se mettre à table et de faire une sorte de point. On croyait, certains privilégiés du moins, connaître le comédien, deviner l’homme au caractère peu malléable, voire fougueux. Il n’en était rien. Quand là, triturant ses bâtons qui l’aident à tenir debout, il nous distille les joies, les brûlures de son existence, il n’essaie pas d’enjoliver, d’apitoyer. Il est vrai, authentique, touche juste. Et, dans ces remous de la piscine, remous causés par sa canne d’homme blessé, d’homme à vif, on l’entend évoquer toutes les étapes de sa vie et se rappeler ce que lui avait dit le poète René Char : « Victor, la vie, c’est l’éclair. »
Le lendemain, elle était souriante …
Simone Signoret ne sait pas écrire. Du moins le croit-elle. Elle raconte sa douloureuse expérience de l’écriture, celle de La nostalgie n’est plus ce qu’elle était, dans un récit introspectif, sensible, tour à tour amer et exalté de sa vie de femme, d’actrice. Le personnage public s’efface, et derrière les anecdotes de tournage, les souvenirs de guerre, s’entend la voix unique d’une comédienne devenue écrivain. Simone Signoret, de son vrai nom Kaminker, est née en 1921. Figure mythique du cinéma, elle a notamment joué dans Casque d’or et Les Diaboliques. « Oscarisée », « Césarisée », « Awardisée », elle fut la vedette française la plus récompensée du XXe siècle. « C’était une reine. Elle a sorti la France de ses gonds, elle l’a faite internationale. » Marguerite Duras
L’adieu à la femme sauvage
Une petite fille de douze ans et demi, Johanna, quitte la maison familiale pour se rendre avec sa meilleure amie au cirque voisin qui donne une séance spéciale pour le Carnaval. Quoi de plus prosaïque et de plus normal, si ce n’est que la scène se passe à Dresde un soir de février 1945 et que cette même nuit se déchaîne le bombar-dement anglo-américain qui, en trois vagues successives, va entièrement détruire une ville demeurée jusqu’ici à l’écart de la guerre, tuant une grande partie de ses habitants et causant avec des moyens, « conventionnels » l’une des plus meurtrières catastrophes de l’Histoire. Voici donc Johanna plongée; sans que rien ne l’y ait préparée, dans une brutale apocalypse qui va ensevelir son univers familier. Dès lors elle prend la fuite, entraînant avec elle sa mère qu’elle vénère, mais qui, gravement traumatisée par le drame et ses conséquences, n’est plus désormais qu’une « femme sauvage » repliée sur elle-même, psychiquement en état de choc…
Le cœur qui cogne
Douze ans après la mort du fils aîné, parents, enfants et petits-enfants Dauzan se retrouvent au Rivier, la maison familiale qui fut le théâtre de leur bonheur… avant. Au jeu des tendresses que chacun veut croire possibles encore, tous se heurtent, s’évitent, se rejoignent avec tant d’espoir mais aussi tant de maladresse que, parfois, le cœur cogne à faire très mal. Le Cœur qui cogne est un roman tendu, émouvant. chaque phrase, chaque mot est à sa manière un indicible et farouche appel au secours. on y retrouvera toute la violence contenue, la passion et la sensibilité des romans d’Yves Navarre. La tendresse, ici, est un hasard à double tranchant.
Antigone
Après Sophocle, Jean Anouilh reprend le mythe d'Antigone. Fille d'Oedipe et de Jocaste, la jeune Antigone est en révolte contre la loi humaine qui interdit d'enterrer le corps de son frère Polynice. Présentée sous l'Occupation, en 1944, l'Antigone d'Anouilh met en scène l'absolu d'un personnage en révolte face au pouvoir, à l'injustice et à la médiocrité.
Vol plané
Par un après-midi hivernal, le sénateur Carrasco disparaît dans les ruelles de Mexico. Enlèvement ordinaire ou règlement de comptes politique ? Dans les cercles du pouvoir tout le monde s'interroge alors que l'enquête piétine. Quelques jours plus tard, non loin de la capitale, un diplomate suisse est le témoin d'un assassinat. L'étranger, désireux de pimenter un quotidien professionnel passablement ennuyeux, décide de s'intéresser à ce fait divers sanglant auquel il a été mêlé malgré lui. Un passe-temps qui se convertira bientôt en menace pour sa propre vie. À la fois polar et étude de moeurs, « Vol plané » nous emmène des quartiers de Mexico la mégapole jusqu'aux rivages du Yucatán. Entre meurtres et vieilles rancoeurs, idylles et affaires de famille, l'auteur pose un regard teinté d'ironie sur la politique et la vie diplomatique. Il éclaire également le présent d'un pays fascinant qui n'en finit pas de guérir de ses maux.
La valse des mensonges
De Londres à New York, La Valse des mensonges nous entraîne dans un tourbillon romanesque où intrigues amoureuses et dangers se mêlent au fil d'un suspense qui va crescendo. Lindsay, journaliste de mode, s'apprête à tourner une page de son existence : elle prévoit de quitter Londres pour la campagne, de changer de métier et, par-dessus tout, d'oublier son collègue Rowland McGuire, indifférent depuis des années à l'amour qu'elle lui porte. Un pari impossible ? Sa rencontre avec Colin, un ami de Rowland, va délicieusement lui faciliter la tâche… A New York, Natasha Lawrence tente, elle aussi, de reconstruire sa vie. Séparée de son mari, le metteur en scène Tomas Court, la célèbre actrice est harcelée depuis cinq ans par un maniaque qui semble ne rien ignorer de son intimité. Craignant pour son jeune fils, Natasha emménage avec lui au Conrad, un des immeubles les plus sélects de la ville. Mais y trouvera-t-elle la sécurité qu'elle espère tant ? Et son mari et elle seront-ils capables de surmonter les démons de leur passé commun ? Le soir de Thanksgiving, Lindsay, Natasha et les autres protagonistes sont rassemblés dans l'atmosphère électrique du Conrad, sans savoir que c'est ici et maintenant que leur destin se joue…
Povchéri
« J’avais onze ans dans l’été 43. C’était la guerre. J’en ai donc soixante et onze en cet hiver 2003 et c’est encore la guerre. Pas la même ; la Troisième mondiale. Petit bonhomme en galoches soumis aux restrictions ou vieillard déambulant dans un couloir d’hôpital, c’est quand même toujours moi, Povchéri. Ceci est mon journal de début et de fin. Malgré tout, et dans l’ensemble, ce fut parfois rigolo de vivre. » Patrick Cauvin n’a pas son pareil pour rendre dans sa fraîcheur et sa vérité le monde de l’enfance. Et sa vision du monde « adulte », dans un futur qui s’approche dangereusement, est d’une force saisissante. Povchéri est un roman tendre, drôle, émouvant. Povchéri est un très grand Cauvin.
Le Bal du Comte d’Orgel
Radiguet avait vingt ans quand il écrivit Le Bal du comte d'Orgel. Le sujet ? Impossible de trouver plus conventionnel: le mari, la femme et l'ami de la famille. Mais la convention et la bienséance, ici, couvrent la plus trouble et la plus licencieuse des chastetés. Mme d'Orgel aime son mari qui lui retourne une aimable indifférence, mais qui va commencer de l'aimer « comme s'à avait fallu une convoitise pour lui en apprendre le prix ». Et c'est l'amour que François éprouve pour sa femme qui amène le comte d'Orgel à le préférer à tous ses autres amis. A partir de là, les sentiments évoluent, subtils, feutrés, étranges et comme étrangers aux êtres qu'ils habitent. « On s'effraie d'un enfant de vingt ans qui publierait un livre qu'on ne peut écrire à cet âge », dit Cocteau. A quoi Radiguet a répondu d'avance: « L'âge n'est rien… Les plus grands sont ceux qui parviennent à le faire oublier. »
Un chien de saison
Le jour où un célibataire tranquille et discret accepte de prendre en pension, pour trois semaines, le chien de son meilleur ami, sa vie est bouleversée. Néron, boxer bringé, espiègle mais fidèle et tendre, devient vite, avec ses quarante kilos de muscle et de malice canine, un compagnon envahissant. Ceux qui ont connu ou vivent au quotidien la complicité très particulière que l’on peut établir avec son chien apprécieront ce roman humoristique, empreint d’une grande tendresse. Maurice Denuzière y peint aussi la solitude du cœur et la fragilité des sentiments. Auteur de trois grandes fresques historiques (Louisiane, Helvétie, Bahamas), il montre ici la diversité de son talent.
Tout près du tueur
Vingt et un ans plus tôt, ils ont été les témoins d’un crime atroce. Aujourd’hui, ils vont payer pour leur silence. Alors qu’elle court, comme tout les matins, dans le parc près de chez elle, le médecin légiste Lucy Trask découvre avec horreur le corps affreusement mutilé d’un homme. Un homme qu’elle a autrefois bien connu, comme l’enquête de la police de Baltimore va vite le révéler. En plaçant le corps à cet endroit, le tueur voulait-il attirer l’attention de Lucy ? Et que signifie la lettre, ou le chiffre, tracé sur le dos de la victime ? La découverte d’un deuxième corps, lui aussi mutilé, plonge Lucy dans l’angoisse et le désarroi. Car cette nouvelle victime, comme la première, vient d’Anderson Ferry, la petite ville où elle a vécu enfant. Qu’est-ce qui la relie à ce tueur violent, sadique, que rien n’arrête, et qui, elle le pressent, se cache dans son entourage? Et parviendra-t-elle, au prix d’une éprouvante plongée dans ses souvenirs les plus sombres, à rassembler les pièces du puzzle macabre qu’il semble vouloir lui proposer ? Pour faire éclater la vérité, et pour survivre, Lucy ne peut compter que sur l’inspecteur Fitzpatrick.
Félicia ou mes fredaines
Félida ou Mes fredaines, le plus connu et le plus réédité des romans de Nerciat depuis sa parution en 1775, concentre l’essence du romanesque libertin en un dosage subtil d’humour, d’évasion et d’élan passionnel. Le tour de force de l’auteur est de se livrer à une parodie jubilatoire tout en écrivant un vrai roman d’aventure, avec ses mystères, ses épisodes palpitants, ses improbables coïncidences et hasards merveilleux… Avec Margot, Thérèse ou Juliette, Félicia est à coup sûr l’une des plus grandes courtisanes de la littérature du XVIIIe siècle. Cette nouvelle édition de Jean-Christophe Abramovici nous la restitue « fraîche et insolente comme aux jours de ses premiers succès ».
La colère des dieux
Quinze siècles avant la naissance du Christ, la civilisation crétoise éclabousse le bassin méditerranéen de ses derniers feux. Son empire s'étend de Chypre à la Sicile, et tandis que la radieuse « île aux Cent Villes », chantée parle poète Homère, vit sous la loi du dieu mi-homme, mi-taureau: le Minotaure, les tributs des Achéens s'entassent à la cour du roi Minos. Le roman de Daniel Kircher nous transporte au coeur des légendes antiques. L'histoire commence au moment où les prophètes, dénonçant l'impiété et la corruption, menacent les hommes du châtiment divin. Son héros, l'intègre Rhadamanthe, prince de Cnossos, dont la mythologie grecque fera l'un des trois juges des enfers, tente de sauver l'empire du grand Minos de la colère des dieux autant que de la convoitise des hommes. Ses aventures le plongent au coeur même du mystère lorsqu'il soupçonne la prêtresse Pasiphaé, épouse du grand Minos, de monstrueuses amours avec un taureau fabuleux; lorsqu'il suit Thésée à travers les galeries souterraines du labyrinthe, guidé par le fil d'Ariadne, ou lorsqu'il s'élance à la rescousse de Scylla l'Achéenne promise au funèbre destin de nourrir le monstre…
L’enfant en héritage
Désemparée et sans ressources, Cecil, une jeune étudiante texane répond à une petite annonce offrant une très importante somme d'argent pour un travail non précisé. Sélectionnée grâce à sa beauté, l'avocat chargé de gérer le dossier lui propose un contrat de « mère porteur » au profit d'une des plus riches dynasties d'Europe : les Schomberg… Si ce bébé est follement désiré par ses futurs parents, il n'en va pas de même pour le reste de la famille : intrigues, menaces, tentatives de meurtre… Cecil, dans une course folle à travers la France, sent peu à peu les mailles du filet se resserrer autour d'elle, jusqu'au jour où le père et la mère réels trouvent la mort dans un accident de leur jet privé au-dessus du Massif Central. La voilà donc, elle, la mère porteuse, avec un héritier que personne ne désire et que tous ont intérêt à faire disparaître…
La prière de Galilée
Par un froid matin de janvier, un sniper embusqué sur le toit d’une école primaire d’Atlanta abat de sang-froid quatorze personnes qu’il a piégées, dont une dizaine de policiers. Le mois suivant, à Amarillo au Texas, il frappe de nouveau et fauche six pompiers qui tentaient d’éteindre un incendie. Le seul indice dont dispose la police : une boîte que le tueur a laissée à Atlanta. Avec, à l’intérieur, ce message : « Si Dieu existait encore, il m’aurait arrêté. Signé Galilée ». Révoltée par ces meurtres atroces, et par l’impuissance de la police à découvrir l’identité de ce meurtrier redoutablement intelligent, Esme Stuart, ancien agent spécial du FBI, n’hésite qu’une fraction de seconde quand son ancien co-équipier, Tom Piper, lui demande de l’aider sur cette affaire. Même si elle doit pour cela bouleverser la vie qu’elle s’est construite depuis sept ans à Long Island, avec son mari et sa petite fille. Armée de sa détermination, de sa redoutable perspicacité, et de son aptitude à deviner les motivations du tueur, Esme va se lancer à la poursuite de Galilée, et tout faire pour arrêter sa croisade meurtrière.
Dialogues of Alfred North Whitehead
En Anglais – Philospher, mathematician & general man of science, Whitehead was a polymath whose interests & sympathies encompassed entire worlds. Here, modelled on Eckermann’s conversations with Goethe & recorded in Whitehead’s own home, are some of the landmarks, signposts, milestones & scenery of that extraordinary mind. His approach to life & science provides a compass for the modern world. In these pages the reaches of his thought–in philosophy, religion, science, statesmanship, education, literature, art & conduct of life–are gathered & edited by the writer Lucien Price, a journalist whose own interests were as eclectic as Whitehead’s & whose memory for verbatim conversation was nothing short of miraculous. The scene, the Cambridge of Harvard from 1932-47 (with flashbacks to London, Cambridge, England & his native Ramsgate in Kent); the cast, often eminent men & women, who join him for these penetrating, audacious & exhilarating verbal forays. The subjects range from the homeliest details of living to the greatest ideas that have animated minds over the past 30 centuries. Featuring a new preface & an introduction–previously unavailable in this country–this book stands alongside Boswell’s as a model of biography, shaped jointly by the acuity of the biographer & the genius of the subject. It also stands as an accessible monument to a mind that never stopped working, a man whose life & career no writer could have invented & no serious reader can afford to overlook.
The captive
En Anglais – He doesn’t even recognize her, and she in turn feels nothing for him. Renee is now living as an independent woman on a small income from an inheritance. She has left the music hall and is thinking once again of writing seriously. This time, however, she falls in love with her friend May’s lover Jean. Renee is resigned to putting on the shackle when she becomes his mistress. It is the shackle you wear when you fall in love, and cannot extract yourself emotionally.
Those Barren Leaves
En Anglais – Aldous Huxley spares no one in his ironic, piercing portrayal of a group gathered in an Italian palace by the socially ambitious and self-professed lover of art, Mrs. Aldwinkle. Here, Mrs. Aldwinkle yearns to recapture the glories of the Italian Renaissance, but her guests ultimately fail to fulfill her naive expectations. Among her entourage are: a suffering poet and reluctant editor of the « Rabbit Fanciers' Gazette » who silently bears the widowed Mrs. Aldwinkle's desperate advances; a popular novelist who records every detail of her affair with another guest, the amorous Calamy, for future literary endeavors; and an aging sensualist philosopher who pursues a wealthy yet mentally-disabled heiress. Stripping the houseguests of their pretensions, Huxley reveals the superficiality of the cultural elite. Deliciously satirical, Those Barren Leaves bites the hands of those who dare to posture or feign sophistication and is as comically fresh today as when first published.
The europeans
En Anglais – A sketch is a short novel by Henry James, published in 1878. It is essentially a comedy contrasting the behaviour and attitudes of two visitors from Europe with those of their relatives living in the ‘new’ world of New England. The novel first appeared as a serial in The Atlantic Monthly for July–October 1878. James made numerous minor revisions for the first book publication.
A passage to India
En Anglais – A Passage to India (1924) is a novel by English author E. M. Forster set against the backdrop of the British Raj and the Indian independence movement in the 1920s. It was selected as one of the 100 great works of 20th century English literature by the Modern Library[1] and won the 1924 James Tait Black Memorial Prize for fiction.[2] Time magazine included the novel in its « All Time 100 Novels » list.[3] The novel is based on Forster's experiences in India, deriving the title[4] from Walt Whitman's 1870 poem « Passage to India »[5] in Leaves of Grass. The story revolves around four characters: Dr. Aziz, his British friend Mr. Cyril Fielding, Mrs. Moore, and Miss Adela Quested. During a trip to the fictitious Marabar Caves (modeled on the Barabar Caves of Bihar),[6] Adela thinks she finds herself alone with Dr. Aziz in one of the caves (when in fact he is in an entirely different cave), and subsequently panics and flees; it is assumed that Dr. Aziz has attempted to assault her. Aziz's trial, and its run-up and aftermath, bring to a boil the common racial tensions and prejudices between Indians and the British who rule India.
Les sports – Encyclopoche Larousse
Quelles sont les épreuves d'athlétisme ? Quelles étaient les épreuves des premiers jeux Olympiques ? Et quelles sont les principales disciplines olympiques aujourd'hui ? Qu'est-ce qu'une course contre la montre ? Comment s'appelle le grand Tour cycliste d'Italie ? Quelles sont les trois armes utilisées à l'escrime ? Comment compte-t-on les points au golf ? Quel est le plus grand buteur de l'histoire du football ? Comment se déroule une épreuve de biathlon ? Découvrez toutes les réponses à ces questions dans cette encyclopédie Larousse du sport de 1977.
Un homme est une rose
A la recherche d'un éditeur, Marianne, sociologue, maile son dernier article à Michel, éminent prof de fac et écrivain. De message en message, elle se laisse entraîner dans un périlleux marivaudage. Le jour où il se hasarde à des avances licencieuses, elle refuse un premier rendez-vous. Il insiste. Ils s'exaspèrent et ils se fâchent. Quelques mois plus tard, Michel invite Marianne à Nice pour un séminaire. Sujet : le Viagra et les troubles sexuels. Il lui propose de l'emmener en voiture. Marianne accepte et rencontre enfin Michel. Un homme séduisant et brutal, qui multiplie les maladresses, quand il ne joue pas les rustres. La relation dérape plus qu'elle ne le voudrait vers l'initiation érotique. Pendant le séminaire, Marianne découvre toutefois Michel sous un jour nouveau. Le grand séducteur tombe le masque. Et lorsqu'ils reprennent la route le lendemain, les rôles s'inversent…
Thérèse Desqueyroux
Pour éviter le scandale et protéger les intérêts de leur fille, Bernard Desqueyroux, que sa femme Thérèse a tenté d'empoisonner, dépose de telle sorte qu'elle bénéficie d'un non-lieu. Enfermée dans la chambre, Thérèse tombe dans une prostration si complète que son mari, effrayé, ne sait plus quelle décision prendre. Doit-il lui rendre sa liberté ? Dans ce livre envoûtant, François Mauriac a réussi un portrait de criminelle fascinant.
Moderato Cantabile
« Qu’est-ce que ça veut dire, moderato cantabile ? – Je ne sais pas. » Une leçon de piano, un enfant obstiné, une mère aimante, pas de plus simple expression de la vie tranquille d’une ville de province. Mais un cri soudain vient déchirer la trame, révélant sous la retenue de ce récit d’apparence classique une tension qui va croissant dans le silence jusqu’au paroxysme final. « Quand même, dit Anne Desbarèdes, tu pourrais t’en souvenir une fois pour toutes. Moderato, ça veut dire modéré, et cantabile, ça veut dire chantant, c’est facile. »
Les anges de verre
A la Nouvelle-Orléans, les vitraux restaurés par Mira Gallier, veuve depuis l'ouragan Katrina qui a emporté son mari, ont été couverts d'étranges inscriptions apocalyptiques. Une série de meurtres est perpétrée dans son entourage, la faisant douter de ses facultés mentales. Elle devient l'un des principaux suspects, à l'instar de Connor Scott, le meilleur ami de son mari défunt, et son seul soutien… Dans ce thriller psychologique, le parcours vers la guérison d'une femme brisée par Katrina se mue en un effroyable cauchemar. Préparez-vous à rester éveillé toute la nuit… Une lecture aussi trépidante que surprenante : vous ne reposerez pas ce roman avant la dernière page.
Le secret de Black Falls
De retour dans son village natal de Black Falls pour fuir un scandale qui menace sa carrière d’agent secret, Jo Harper vient chercher un peu de calme et de sérénité sous le rideau neigeux des montagnes de son enfance. Mais au lieu du havre de paix dont elle rêve, elle retrouve son village en état de choc : une adolescente a mystérieusement disparu dans la montagne. Incapable de laisser cette jeune fille seule en pleine tempête, Jo propose de participer aux recherches… pour découvrir qu’il lui faudra s’associer à Elijah Cameron, l’homme qui lui a brisé le coeur quinze ans auparavant. Ainsi, malgré ses douloureux souvenirs, Jo se résigne à faire équipe avec Elijah. D’autant plus que des indices la conduisent à soupçonner l’adolescente disparue de ne pas s’être seulement perdue, mais aussi et surtout de fuir un danger – un danger redoutable qui pourrait bien les placer eux aussi dans la ligne de mire d’un tueur.
Un danger dans la nuit
Je sais ce que tu as fait, confesse tes péchés. Tout est de ta faute… En écoutant ce message sur son répondeur, la psychologue Samantha Leeds croit d'abord à un mauvais canular. Lais lorsque ce mystérieux correspondant, qui se fait appeler John, intervient sur les ondes de son émission de radio Confessions de Minuit, Samantha plonge en plein cauchemar. Car John lui a rappelé le drame qui a marqué sa vie: le suicide d'une jeune auditrice, Annie, une adolescente perturbée que Samantha n'a pas pu sauver. Ce serait donc cela, le péché qu'elle doit expier ? Terrifiée, Samantha l'est d'autant plus que le harceleur fou s'est à présent transformé en tueur. Un tueur qui viole et étranglé ses victimes en écoutant l'émission du Dr. Samantha. Tandis que les inspecteurs Bentz et Montoya pistent le meurtrier, Samantha, elle, se réfugie auprès de Ty Wheeler, son nouveau voisin, un homme secret et séduisant. Le seul auquel, croit-elle, elle peut encore faire confiance…
Ce siècle appelle au secours
On connaît le grand romancier qu’est Gilbert Cesbron. Mais on connaît moins, et c’est injuste, son talent d’essayiste que nous pouvons découvrir dans ce volume. Frémissant de sensibilité généreuse, Ce siècle appelle au secours nous dépeint quelques ‘ hommes qui, par leur humanité ou leur foi, ont retenu l’attention de l’auteur. II nous entraîne aussi à la suite d’un Anglais dont les réflexions tantôt cocasses tantôt féroces stigmatisent les lâchetés de notre civilisation. Enfin, dans la dernière partie de cet ouvrage, « Qui se souvient de Babylone», Gilbert Cesbron porte son regard aigu sur ce que fut notre pays après la tourmente de 1940.
Le sanglier – Cochon des bois
Le marcassin est tout mignon dans son pyjama rayé. Mais un an plus tard, le voilà changé en une grosse bête noire, qui se vautre dans la boue. Gronk ! Au moindre danger, le sanglier sort de sa souille et disparaît dans les ronces. Malgré son corps lourd et massif, il sait courir vite, quand il faut… Ce livre, qui plaira aux petits et aux grands, retrace les différentes étapes de la vie du sanglier.
Je serai la princesse du château
Pour la petite Janine Boissard qui se sent différente des autres et souffre de solitude, le théâtre de marionnettes, proche de chez elle, va devenir le lieu magique où tous les rêves, tous les espoirs sont permis. Un jour, elle se le promet, elle sera la princesse des contes de fées, celle que Guignol sauve de la méchante sorcière. En attendant, la Seconde Guerre mondiale lui apprend que monstres et ogres existent bien, en lui enlevant un père très aimé. Ballottée d’une école ou d’une pension à l’autre pour cause de « mauvais esprit », Janine s’accroche à son rêve, être un jour connue et reconnue. Ainsi naît une vocation: elle sera écrivain…
Ressacs
Interne dans un hôpital isolé du Pays Basque, Jean-Christophe d’Orgeix constate une nuit qu’un de ses patients, arrivé dans l’après-midi après un accident de voiture, a été agressé dans son lit. Le pauvre homme est au plus mal, et malgré les tentatives désespérées du jeune médecin pour le sauver, il décède quelques minutes plus tard. Fou de rage, Jean-Christophe d’Orgeix se lance dans les couloirs à la poursuite de l’agresseur… et disparaît subitement. Plus personne ne le reverra jamais. Interne dans le même hôpital, et très affecté par la disparition de son ami, Thomas mène l’enquête. Il découvre vite qu’entre ces murs, bâtis sur les vestiges d’un ancien monastère, d’autres disparitions ont eu lieu, et notamment celle d’un interne, sept ans plus tôt. Un jeune homme dont l’histoire ressemble en tous points à celle de Jean-Christophe, et dont les photos montrent… qu’il en était l’exact sosie.
Le Démon du Bien
« L’amour est gâché non seulement par le mariage, mais par la seule possibilité du mariage. Le spectre du mariage, agitant ses chaînes – les chaînes du mariage, il va sans dire ! – empoisonne tout amour avec une jeune fille. À l’instant où je me dis que je pourrais… non, je ne veux même pas prononcer ces mots… mon amour pour vous s’affaiblit, comme sous l’effet maléfique d’un charme. Si je chasse cette idée funeste, aussitôt il se redresse et pète le feu. »
La Reine morte
La Reine morte est une pièce de théâtre d'Henry de Montherlant écrite en 1942 et représentée pour la première fois le 8 décembre 1942 à la Comédie-Française dans une mise en scène de Pierre Dux avec Jean-Louis Barrault et Madeleine Renaud. C'est une des pièces les plus connues de l'auteur, qui développe le thème classique de l'amour contrarié par la raison d'État. Cette pièce est librement inspirée de l'histoire des rois de Portugal Alphonse IV et Pierre Ier et d'Inés de Castro, d'après le drame espagnol Reinar después de morir, Régner après sa mort, de Luis Velez de Guevara.
La maison de Claudine
Publié en 1922, ce livre raconte, par une suite de courtes scènes, la jeunesse de l’auteur à la campagne, dépeignant sa mère, son père et quelques-uns de ses animaux de compagnie. Ce roman est le récit autobiographique de l’enfance heureuse que vécut Colette. Malgré le titre La Maison de Claudine, hommage aux romans populaires Claudine qui lancèrent la carrière de son auteur, ce roman ne s’inscrit pas dans cette série ; le seul lien est que la maison du titre, et la ville de Saint-Sauveur en Puisaye évoqués dans le livre ont servi de modèle au Montigny de Claudine dans les romans.
Les charbonniers de la morts
Un homme noir à l’odeur de forêt arrive à Combe-Madame, dans la montagne de Lure. Il apporte un précieux adjuvant au produit aphrodisiaque que son frère Attilio, pauvre charbonnier, vend aux notables du village. Le petit Rosito est déjà parti sur son âne livrer les cornets de poudre pour la fête « galante » de la Saint-Pancrace. Le président Serenne, le notaire Boutedieu et sa « particulière » meurent d’amour. Le minotier se jette dans une fosse. Le conseiller d’Ardantes et le sous-préfet sont malades. Un seul indice pour le brigadier Laviolette : un rempailleur de chaises a croisé un enfant sur un âne, qui portait dans sa main comme un bouquet de cornets gris, et laissait derrière lui une odeur de souris. D’autres savent et se taisent. Et voilà que le mystère s’épaissit encore, se complique d’autres morts, et que de plus en plus de monde semblent mêlé à cette énigmatique affaire…
Devine qui je suis
Le Prétendant est de retour – c’est une certitude pour le lieutenant Taylor Jackson. Et, cette fois, il a recruté des psychopathes à travers tout le pays pour l’aider à accomplir son sanglant dessein. Déjà, des meurtres ont été commis simultanément aux quatre coins de l’Amérique, portant les signatures de célèbres tueurs en série aujourd’hui hors d’état de nuire. Pendant que les disciples du Prétendant mettent en scène leurs hommages morbides, forçant la police et le FBI à disperser leurs effectifs, Taylor se prépare, elle, à l’inévitable face-à-face avec le Prétendant. Un défi qu’elle devra relever seule. Car il est hors de question qu’elle mette ses proches en danger de mort – y compris John Baldwin, profileur du FBI, mais aussi son fiancé.Pourtant, face à l’isolement, aux victimes qui s’additionnent, Taylor ne tarde guère à douter : seule, pourra-t-elle démasquer son pire ennemi qu’elle soupçonne de se cacher dans son entourage ? Ou bien ne risque-t-elle pas de se jeter dans le piège que le Prétendant a peu à peu refermé autour d’elle pour mieux l’atteindre ?
Laisse parler les morts
« Si vous lisez cette lettre, c’est que je suis mort. » Incapable de détourner les yeux de la feuille qu’elle tient entre ses mains tremblantes, le docteur Samantha Owens peine à respirer. Ainsi, le dénommé Timothy Savage avait tout prévu : son meurtre imminent, une liste de suspects, et même de l’argent pour l’inciter elle, la médecin légiste, à résoudre le mystère de sa mort. Pourquoi ce parfait inconnu a-t-il fait appel à ses services ? D’après l’avocat qui s’occupe du testament de Savage, la mort de celui-ci a été classée comme un suicide, car il était considéré comme fou. Mais pourquoi aucune autopsie n’a-t-elle été réalisée ? Et que signifient ces étranges tatouages, qui recouvrent le corps du défunt ? Même si cette enquête menace de bouleverser le fragile équilibre de sa vie, Samantha le sait : elle ne peut prendre le risque de laisser un crime impuni. Et, lorsque l’avocat est retrouvé assassiné, elle le comprend aussitôt : elle pourrait bien être la prochaine sur la liste.