
The black book
Billy Harney was born to be a cop. The son of Chicago’s chief of detectives, whose twin sister is also on the force, Billy plays it by the book. Alongside Detective Kate Fenton, Billy’s tempestuous, adrenaline-junkie partner, there’s nothing he wouldn’t sacrifice for his job. Enter Amy Lentini, a hard-charging assistant state’s attorney hell-bent on making a name for herself-who suspects Billy isn’t the cop he claims to be. They’re about to be linked by more than their careers. One missing black book. A horrifying murder leads investigators to an unexpected address-an exclusive brothel that caters to Chicago’s most powerful citizens. There’s plenty of incriminating evidence on the scene-but what matters most is what’s missing: the madam’s black book. Now with shock waves rippling through the city’s elite, everyone’s desperate to find it. Chicago has never been more dangerous. As everyone who’s anyone in Chicago scrambles to get their hands on the elusive black book, no one’s motives can be trusted. An ingenious, inventive thriller about power, corruption, and the power of secrets to scandalize a city-and possibly destroy a family-The Black Book is James Patterson at his page-turning best.
Ousmane Ndiaye Dago “Femme Terre”
157 pages – Ousmane Ndiaye Dago a très certainement conscience que le moyen photographique ne restitue que la peau de la réalité et que même la dénudation de ses modèles n’est, au final, qu’un artifice, quand bien même il se révèle fertile d’un point de vue linguistique. Dago se base dans un premier temps, sur l’identification de la femme avec la terre pour leur capacité commune de proliférer. terre nue et corps nue.
Une femme heureuse
Toute jeune encore, Clotilde choisit de divorcer. Non que son mariage avec Albert soit malheureux, mais elle attend davantage d’un homme et de l’amour que ce bonheur paisible et fade. Bien des épreuves l’attendent. La liberté n’est pas facile, surtout pour une femme. Contrainte à accepter un emploi médiocre, en butte aux reproches voilés de la famille et aux avances des hommes en quête d’une proie facile, elle découvre la solitude, en même temps qu’une vie matérielle de plus en plus problématique… Des rencontres jalonneront le parcours – nouveaux pièges qui s’offrent, nouveaux malentendus – avant que Clotilde ne parvienne enfin à construire un bonheur adulte.
Confessions d’une mère qui en a marre
Alors comme ça, la super maman qui habite à côté de chez vous est en train de transformer ses enfants en athlètes de haut niveau, en violonistes virtuoses et en élèves surdoués. Tout ça du même coup. Vous ne comprenez pas comment elle fait. Et tout bien réfléchi, vous n’êtes pas vraiment certaine que ça vous intéresse. Parce qu’au fond, vous êtes persuadée qu’il existe une approche alternative par laquelle les enfants apprennent les choses par eux-mêmes, et grâce à laquelle il est tout à fait possible d’en faire moins, de posséder moins de choses et de dépenser moins d’argent. Une approche qui permet aux parents de se détendre un peu et d’oser avoir une vie personnelle. Vous n’êtes pas la seule. Voici les confessions – pas si honteuses que ça – d’une maman fainéante et fière de l’être. Vous allez voir, je suis de votre côté. Et préparez-vous à rire aux éclats. Finie la culpabilité! Dans ” Confessions d’une mère qui en a marre “, Muffy Mead-Ferro nous parle, entre autres, de son enfance dans un ranch du Wyoming, là où, forcément, les méthodes d’éducation étaient plus détendues, où les gens se débrouillaient comme ils le pouvaient et où le bon sens et la sagesse ancestrale étaient de mise. C’est là qu’elle a appris quelques astuces de sa mère, qui lui ont été utiles lorsqu’elle est devenue maman. Quelle fainéante! Nous devrions toutes faire comme elle.
Blanc métal
«Ébranlement cérébral. La vue, la mémoire, tout en perte. Silence. – Vous vous droguez ? – Non. – Vous vous droguez ? – Non. Pas cru. Qu’importe. Deux mois plus tard. Arrêt direct. Isolement. Repos. Parfois, un type s’enferme seul dans sa ville. Et il attend. Un an, deux ans, parfois plus. Désintoxication. Un type avait pris deux ans de sa vie pour oublier. Seul. Un de ces types dont on dit : – Ah ! Il était comme ça ? Je ne l’aurais jamais cru. – Oh ! Quand même ! Bien sûr, maintenant que vous me le dites…»
Les voleurs d’hommes
Osuquo est à l’âge où, aux pays des Inuits, l’enfant devient femme. Poq, un jeune chasseur, viendra bientôt la chercher, et ils vivront ensemble, perpétuant les traditions propres aux habitants du Pays des Hommes. Mais alors qu’elle participe à la chasse avec sa famille et son futur époux, les étrangers venus sur leur sombre navire lui volent sa vie. Poq et elle sont emmenés au-delà des mers, prisonniers d’êtres violents et sauvages. En Norvège où Christine attend le retour de son père, Osuquo et Poq sont regardés comme des sauvages. On confie à la jeune fille, la garde de ces “créatures” que l’on débarque sur le quai du port. Son père lui, ne débarquera pas. Il est mort en mer. Elle trouve alors un écho de sa souffrance dans le sort inhumain réservé aux deux Inuits. Des liens invisibles et muets se tissent, comme une promesse de retour au pays des Hommes. Deux récits parallèles composent ce livre, deux voix se répondent, celles d’Osuquo et de Christine. Fondée sur des faits réels, l’histoire d’une rencontre violente entre deux cultures opposées dans l’Europe du XVIIe siècle.
Tome 3 – Fusion
Par amour pour Grace, Sam a décidé de quitter la meute. De rester humain plus d’un été. Pour que leur amour continue de s’épanouir. Toujours. Grace, qui a été mordue quand elle n’était qu’une enfant, est aujourd’hui devenue loup à son tour. Le destin n’aurait pu choisir pire moment pour la changer. Car alentour une spectaculaire chasse est ouverte. La fureur des habitants de Mercy Falls s’est encore déchaînée et ne cessera qu’avec le dernier loup abattu. Aidés de Cole et d’Isabel, Sam est prêt à tout pour sauver Grace et le reste de la meute. Dans un monde que semblent mener la haine et la mort, l’espoir est-il encore seulement possible ?
Tome 2 – Fièvre
Grace et Sam ne se quittent plus, mais leur avenir s’annonce fragile. Sam se débat avec son passé de loup qui lui colle à la peau. Grace, elle, se heurte à l’autorité de ses parents et souffre d’une étrange fièvre, qui pourrait bien mettre son amour, et sa vie, en péril. Survient alors Cole. Lui aussi doit affronter ses démons, et il menace encore plus l’équilibre précaire qui s’est instaurée à Mercy Falls. Quant à Isabel, elle ne se pardonne pas la mort de son frère, mordu par les loups. Irrésistiblement attirée par Cole, elle sait pourtant que lui ne rêve que de rejoindre la meute. Quand un monde s’écroule, seul l’amour subsiste. Pour toujours ?
Le travail, c’est pas la fête. Contre le raffarinesque « La France doit se remettre au travail », Corinne Maier pousse son cri du 1er mai : Vive la paresse, un ephlet (essai-pamphlet) spécial sinistrose, à usage thérapeutique. Bonjour paresse est là pour dire enfin la vérité : la grande entreprise, personne n’y croit plus. La foi nous a quittés, nous autres naguère chevaliers combattants de l’Ordre de la Firme. À présent les cadres moyens, petits boulons dans une machine jargonnant un sabir grotesque, n’attendent qu’une chose : le solde à la fin du mois. Mais alors, que faire ? Rien surtout ! Affirme ce livre. Soyons individualistes et inefficaces en attendant que ça s’effondre et qu’une nouvelle société advienne où chacun cultivera essentiellement son jardin et conservera un à-côté accessoire dans une grande structure, histoire de survivre quand même.
Long Island
Ce livre paru en 2024 est dans un état quasi-neuf
Une inoubliable passion amoureuse, après le chef-d’œuvre du Magicien, par un des maîtres de la fiction contemporaine. Tout bascule lorsqu’un inconnu à l’accent irlandais frappe à la porte d’Eilis Lacey. Après vingt ans de mariage, Tony et elle profitent du confort offert par les années 1970 aux familles américaines. Installés à Long Island, ils ont deux enfants, bientôt adultes, et mènent une vie tranquille où les seuls tracas proviennent de l’oppressante belle-famille italienne d’Eilis. Mais en apprenant au seuil de sa maison que Tony l’a trompée et qu’une autre femme attend un enfant de lui, ce bonheur patiemment construit vole en éclats. Sans promesse de retour, elle part en Irlande, à Enniscorthy. Rien n’a changé dans sa ville natale, ce monde clos où, de générations en générations, tout se sait sur tout le monde. Alors qu’il a repris le pub familial, même Jim Farrell est resté tel qu’il était vingt ans plus tôt, pendant l’été qu’Eilis et lui avaient passé ensemble, bien qu’elle fût déjà secrètement fiancée à Tony. La blessure du départ d’Eilis est toujours vive mais son retour ravive cet amour de jeunesse – et l’Amérique s’éloigne plus que jamais… Situé à l’interstice entre deux mondes, Long Island offre des retrouvailles bouleversantes avec Eilis Lacey dont les lecteurs de Brooklyn se souviennent encore. Quinze après la publication de ce best-seller, Colm Tóibín fait la démonstration magistrale de ses talents de romancier avec un inoubliable portrait de femme.
Une passion africaine
Afrique, 1899. En cette fin de dix-neuvième siècle, peu de femmes osent s’aventurer en Afrique. Pourtant, Meg Owen, une jeune Ecossaise, n’hésite pas à partir avec Jenny, sa fillette de cinq ans. Une épuisante croisière à bord d’un bateau à vapeur les conduit à Suez, leur faisant ensuite traverser la mer Rouge, puis longer la corne de l’Afrique jusqu’à Mombasa, où s’achève leur périple. Mais, pour Meg, le plus difficile commence. Elle va maintenant devoir retrouver Cameron Mac Kenna, le père de Jenny, l’homme qu’elle a épousé cinq ans plus tôt et qui l’a quittée sitôt après leurs noces… Le temps est venu de mettre un terme à ce mariage absurde. Pour refaire sa vie et offrir un avenir à Jenny, elle a besoin de recouvrer sa liberté, une liberté que Cameron est le seul à pouvoir lui rendre en lui accordant le divorce. La détermination de Meg à obtenir son indépendance est sans faille… à ceci près qu’elle appréhende leurs retrouvailles. Car comment réagira-t-elle en revoyant celui qui, l’année de ses dix-sept ans, lors d’une inoubliable nuit sur une plage déserte, a fait d’elle une femme?
Touaregs du Niger – Le destin d’un mythe
Si la signature d’accords de paix (Niamey, 24 avril 1995) mit fin à la rébellion touarègue au Niger, le problème posé par l’insertion de cette société dans un Etat et une économie moderne ne semble pas pour autant résolu. A travers l’étude du développement de la région d’Agadès, l’auteur comprend une histoire politique et économique du pays touareg nigérien. Cette genèse met à nu les mécanismes qui ont amené l’accumulation des groupes marchands arabes, haoussas et djermas-songhaïs et ceux qui ont conduit à la marginalisation de la communauté touarègue qui n’a pas pu, ou su, s’insérer dans le nouveau tissu économique mis en place dès l’époque coloniale.
L’ouvrage, qui se défend de tout parti pris, s’efforce de souligner les terribles défis que doivent relever les Touaregs afin de mettre fin à leur situation de sous-développement. A l’aide de l’Etat nigérien et des bailleurs de fonds internationaux, un sursaut salvateur s’impose pour que cette société prenne enfin sa place dans le monde contemporain et ne devienne pas le figurant d’un merveilleux décor parcouru par des touristes avides d’exotisme. La marche de l’histoire ne l’attendra pas…
Encore une danse
Ils forment une bande d’amis: Clara, Joséphine, Lucille, Agnès, Philippe et Rapha. Ils ont grandi ensemble à Montrouge, banlieue parisienne. Ils ont habité le même immeuble, sont allés dans les mêmes écoles et ne se sont jamais quittés. Lorsqu’ils sont devenus adultes, leurs vies ont pris des tournants différents mais leur amitié a résisté au temps, à la réussite des uns, aux échecs des autres.
Savoureuses, pertinentes, amusantes,… ces citations du XXe siècle sont de véritables trésors. Découvrez ou redécouvrez les phrases pleines d’humour des grands du siècle, de Marilyn Monroe à Charles de Gaulle, de Georges Simenon à Ferdinand de Saussure…
Armance
“Je vous parlerai comme à moi-même, dit Octave avec impétuosité. Il y a des moments où je suis beaucoup plus heureux, car enfin j’ai la certitude que rien au monde ne pourra me séparer de vous ; mais, ajouta-t-il… et il tomba dans un de ces moments de silence sombre qui faisaient le désespoir d’Armance… Mais quoi, cher ami ? Lui dit-elle, dites-moi tout; ce mais affreux va me rendre cent fois malheureuse que tout ce que vous pourriez ajouter. Eh bien! Dit Octave… vous saurez tout… Ai-je besoin de vous jurer que je vous aime uniquement au monde, comme jamais je n’ai aimé, comme jamais je n’aimerai ? Mais j’ai un secret affreux que jamais je n’ai confié à personne, ce secret va vous expliquer mes fatales bizarreries.” Stendhal entreprit la rédaction d’Armance, son premier roman, en 1826, à la suite d’une déception amoureuse. Ses héros, Octave et Armance, sont deux êtres d’exception qui se méprennent l’un sur l’autre mais parviennent, en passant par toutes les phases de la “cristallisation” stendhalienne, à l’apogée du véritable amour. A la parution, Armance eut si peu de succès que Stendhal songea à se tuer. A présent, les critiques voient dans ce roman les signes d’un génie naissant.
Cromwell
Cromwell est un drame en cinq actes et en vers, publié en décembre 1827. – La scène se passe à Whitehall, en l’année 1657. Olivier Cromwell, ce républicain austère, inflexible, est devenu maître des destinées de l’Angleterre. Cependant, il n’est pas satisfait. Ayant le pouvoir et tous les privilèges de la royauté, il veut en porter les insignes. La Cité de Londres a déposé le sceptre à ses pieds, et le Parlement, la couronne : il touche à son rêve; mais il découvre autour de lui des conjurés qui n’attendent, pour lever leur poignard, que d’avoir à frapper un roi. Alors, il rejette au loin la couronne, et, affermi par cet acte apparent de fidélité à la république, il peut encore rêver la royauté et se dire : Quand donc serai-je roi ? Ce sont les derniers mots du drame. Cette pièce n’a jamais été jouée : elle ne pouvait pas l’être. Ce n’est pas, à proprement parler, une action dramatique. C’est un tableau historique extrêmement développé, où s’agitent un grand nombre, de personnages. L’évocation de la société d’alors est puissante et complète : cavaliers, puritains, poêles, soldats, personnages nobles ou ridicules se mêlent sur la scène ; mais c’est en vue du pittoresque plutôt que de l’intrigue. Les personnages n’ont pas la vérité psychologique de leur caractère tel que l’histoire nous le fait connaître. Victor Hugo travestit la personne de Cromwell, lorsque, de cette figure puissante, austère, il fait un être guindé, grotesque, pour aboutir, comme dans tous ses drames, à une antithèse de caractère. On pourrait encore reprocher à Victor Hugo d’avoir rapetissé les puritains. Ces hommes un peu raides, lugubres même à force d’austérité, mais grands et purs en définitive, ne méritaient pas qu’on ne fit d’eux que des théologiens pédants, des bouffons, même des hypocrites.Milton lui-même n’a qu’un rôle mesquin. Le style est, en revanche, d’un lyrisme sonore et brillant.
Guerre et paix – Tome 1
Au début du XIXᵉ siècle, Pierre Bézoukhov, fils illégitime héritier d’une grande fortune, et son ami André Bolkonsky, officier tourmenté, évoluent dans une haute société russe francophile et mondaine qui ne tardera pas à être rattrapée par les tourments de la guerre qui s’annonce. Le parcours spirituel et politique de Pierre, comme le trajet militaire d’André, est inséparable du destin contrarié de la Russie : Saint-Pétersbourg et Moscou, la campagne et la ville, la Sibérie et l’Europe… La Russie est bicéphale, tragiquement clivée par le désir patiné de haine qui l’attache au reste de l’occident. La France et Napoléon sont l’incarnation de cet idéal policé et calculateur : un ennemi mortel que les personnages admireront avant de le combattre. Au coeur des guerres napoléoniennes qui ravagèrent le vieux continent, Tolstoï tourne les pages d’un roman immortel : l’âme russe.
Claude Monet: nymphéas
Abondamment illustrée, organisée en chapitres qui analysent la genèse des différentes séries de Nymphéas, complétée d’une chronologie et d’une fortune critique: une excellente approche du thème obsédant et triomphal des dernières années de Monet.
Claude Monet et Giverny
Claire Joyes présente la célèbre maison de Claude Monet. Elle y évoque sa famille, les pièces qu’il a aménagées et habitées pendant plus de quarante années et bien sûr son jardin, à la fois pure création et source inépuisable d’inspiration pour l’artiste.
Les enfants de l’utopie
L’un favorable, enthousiaste, idolâtre, vante le progrès indéfini où triompherait la raison démocratique et sans frontière, à condition d’acculer l’individu à un exercice écrasant et abstrait de toutes les vertus civiques. L’autre, suspicieux, démissionnaire et revanchard constate l’effondrement du Politique et les décombres moraux et culturels que l’individualisme débridé et la « montée de l’insignifiance » orchestrée par l’argent accumulent sur nos têtes. Tels sont les enfants de l’utopie ; devant eux le Politique se trouve réduit à un jeu de rôles où les « représentants du peuple » ne sont que des figurants incapables de prendre en compte la vie des gens et de répondre pour le destin de la Cité. Ce livre s’efforce de reconnaître au milieu de ses ombres le Politique, écarté, dédaigné, travesti, besoin royal pourtant, art, inhérent à l’animal humain, qui en requiert la légitimité et la grandeur. Pour la survie d’abord de la Cité où il s’incarne ; ensuite our qu’elle détermine elle-même un vivre ensemble où l’autorité protectrice des libertés ne sera pas privée de « l’esprit de suite » ; où le passé ne sera pas haï mais accepté en héritage et en symbole vivant de notre histoire commune ; où le futur enfin, intimidant les désespoirs et les tombeaux formera le cortège radieux d’un nouveau prince.
Nom : Killingsworth. Prénom : Séréna. Age : 15 ans. Lieu de résidence : Los Angeles, Etats-Unis. Qualité : lit dans les pensées. Défaut : ne contrôle pas toujours son pouvoir, et peut se laisser envahir par les pensées des autres. Manque de confiance en elle, en particulier avec les garçons. Meilleures amies : Jimena, a des prémonitions, mais ex-membre de gang, est encore en liberté surveillée ; Vanessa, peut se rendre invisible, mais disparaît chaque fois que son petit ami tente de l’embrasser ; Cathy, peut voyager dans le temps, mais doit travailler ses atterrissages. Mission : Filles de la Lune, elle vont devoir livrer un combat sans merci contre l’Atrox et ses Suiveurs, voleurs d’âmes et d’espoir. Tout en continuant, bien sûr, à suivre leurs cours au lycée, et à sortir au Planet Bang, leur boîte préférée de Los Angeles ! Le Sacrifice est le cinquième tome d’une nouvelle série d’aventures fantastiques , dans la lignée de Charmed et de Buffy contre les vampires.
Votre corps n’a jamais rien oublié. Dans ses raideurs, dans ses rétractions, dans ses douleurs se révèle toute votre histoire. Depuis votre naissance, vous avez réagi à des pressions : «Tiens-toi comme ceci, comme cela. Ne touche pas. Ne touche pas…» Vous vous y êtes plié et pour vous conformer, vous vous êtes déformé. Une femme vous raconte son expérience personnelle et professionnelle et vous propose une anti-gymnastique. Non pas un dressage forcé du corps-viande, du corps considéré comme une bête à discipliner, mais des mouvements qu’elle appelle des «préalables». C’est par eux que vous ferez un voyage à rebours à travers le temps de votre vie et que vous retrouverez votre vrai corps harmonieux, équilibré et autonome.
La grande mademoiselle
De toutes les femmes que Louis XIV a côtoyées, sa cousine Anne-Marie-Louise d’Orléans, duchesse de Montpensier, dite la Grande Mademoiselle, est sans nul doute celle qui lui a donné le plus de fil à retordre. Cette petite-fille de Henri IV entre dans la Fronde, fait tirer les canons sur les troupes du jeune souverain en train de reconquérir son royaume. Richissime, pétrie d’orgueil et de grandeur, elle ne se refuse aucun caprice et s’aménage de magnifiques demeures. Auteur prolixe, elle rédige d’innombrables mémoires, portraits littéraires, romans, écrits spirituels et lettres. D’un tempérament exubérant, elle s’éprend à l’âge mûr du futur duc de Lauzun qu’elle épouse secrètement, et sa passion désordonnée sème le trouble à la cour. Excentrique, intelligente, bouillonnante, la Grande Mademoiselle éclaire tout le XVIIe siècle. C’est cette personnalité hors du commun que Christian Bouyer restitue dans sa plus entière vérité.
La Genèse, qui est le premier livre de la Bible, raconte la création de l’homme et les commencements du monde, mais elle les raconte de façon très laconique. Par exemple, il n’est dévoilé nulle part quelle espèce de poison renfermait le fruit de l’Arbre de la Connaissance. Il n’est pas montré comment Eve, pour avoir Adam à elle toute seule, le brouilla avec les animaux, la nature et le Créateur lui-même. Quelles circonstances atténuantes Caïn avait-il pour que le Seigneur défendît qu’on le tuât ? Dieu, enfin, après avoir été content de son œuvre, en a été dégoûté au point de la rayer comme un brouillon par le Déluge et de la recommencer. Le Livre de la Genèse est particulièrement émouvant en ce qu’il montre comment le Tout-Puissant s’est heurté aux hommes. Ceux-ci, souvent, en dépit de leur foi et de leur amour, lui résistent, discutent avec lui, et il arrive qu’ils influent sur sa volonté. Jean Dutour a en quelque sorte ” rempli les blancs ” de la bible, c’est-à-dire qu’il a ajouté au récit sacré des détails historiques ou psychologiques, ainsi que quelques raisonnements qui manquent. Rien n’est changé mais tout est éclairé, tout prend soudain vie, et l’on s’aperçoit que les hommes qui existaient il y a des milliers d’années sont nos pères, presque nous-mêmes. Abraham, Jacob, Joseph, tous ces précurseurs avaient notre cerveau et notre cœur.
La nouvelle vie de Sophie S.
Lorsque Sophie, trente-six ans, perd son mari d’un cancer après trois courtes années de bonheur conjugal, elle doit réapprendre à vivre seule. À force de se gaver de crèmes glacées et d’antidépresseurs, elle se met à dérailler et finit par perdre – en plus de son mari – son métier, sa maison et son tour de taille… À AshIand, petite bourgade de l’Oregon où elle a décidé de se retirer, Sophie se retrouve embarquée dans une suite d’aventures échevelées aux côtés de Ruth, sa meilleure amie au cœur brisé, de Crystal, une ado à problèmes un tantinet caractérielle, et d’un acteur trop beau pour être tout à fait honnête. Pourtant, une question la taraude : comment devient-on une veuve modèle ?
On ne se lasse pas d’aimer
Tu veux que je te survive. Je ne pourrai plus parler. Je ne peux pas m’exprimer. Je ne vois déjà plus clair. Je perds la tête…” Celle qui parle, c’est Marthe, la femme de Charles, frappée d’un mal terrible — la maladie d’Alzheimer. Elle redoute la déchéance physique et morale, multiplie les tentatives de suicide ; lui ne peut se résoudre à quitter sa compagne. Alors commencent huit années d’une lutte au nom de l’amour. Epris comme au premier jour, il prend tout en main. De celle qu’il n’a cessé d’aimer depuis leur mariage, il devient l’ange gardien, le valet — et toujours l’ardent amoureux. Huit années d’une étrange lune de miel : plus que jamais, Marthe et Charles sont unis malgré les chutes, les accidents, l’aphasie… Ils aiment encore s’aimer…
Le démon du passé
Pat Traymore, jeune et talentueuse journaliste de télévision, est sur le point d’attirer sur elle l’attention des milieux politiques les plus influents de Washington, grâce à une série d’émissions intitulées “Les femmes au gouvernement”. Séduisante, intelligente, interviewer-né, Pat est aussi profondément attachée à un membre important du Congrès. Apparemment, tout lui sourit sinon qu’elle s’est installée dans cette magnifique maison de Georgetown où un crime a détruit son enfance. Et, avant même son arrivée, quelqu’un, un inconnu, l’a menacée au téléphone, lui enjoignant de ne pas venir à Washington… Mary Higgins Clark transporte le lecteur dans le monde brillant de la capitale américaine – dîner de gala à la Maison Blanche, réceptions de Georgetown, la tribune du Sénat, la vie sous pression, le rythme exacerbé des coulisses de la télévision tout en échafaudant avec une maîtrise consommée un scénario envoûtant où s’affrontent deux ambitions féminines, provoquant une confrontation explosive qui les amènera chacune face à leur passé et au mystère qui les réunit.
Sauve qui peut l’amour !
Lili hésite. Stuart le véto ou Peter l’écrivain ? Sauf qu’il y a aussi Louis le botaniste et Andy le peintre en bâtiment… Et pourquoi pas la fuite ? Au volant de sa vieille Mazda, flanquée d’un chien d’emprunt, elle entreprend, du Maine en Floride, un long voyage à la découverte de soi. Sur le compteur, les images du passé défilent, pendant que Lili multiplie les rencontres improbables – une ribambelle de farfelus, d’âmes esseulées et autres chevaliers errants. A tous, elle pose les questions existentielles Comment la Barbie de notre enfance peut-elle à ce point influencer notre comportement amoureux ? La stabilité dans le couple conduit-elle forcément à la perte de l’identité ? D’où vient l’amour et où s’en va-t-il ? Un long et sinueux périple fait de doutes et d’égarements, de fous rires aussi, avec, au bout du chemin, la réconciliation…
Opération âme errante
Richard Kraft est interne en chirurgie pédiatrique au Carver Hospital, à Los Angeles. Au cœur de cette mégalopole, qui a renoncé à l’idée même de service public, la pression est permanente. Maladie du corps social, maladie du corps physique : tout est sur le point de se défaire, de voler en éclats. Dans cette atmosphère explosive, Richard et sa collègue thérapeute Linda essaient de soigner un groupe d’enfants malades, des enfants qui semblent en savoir plus long qu’eux sur l’âme humaine et recèlent tous des secrets étonnants. À leur contact, la thérapie peut basculer dans l’enquête, et l’Amérique révéler ses failles les plus noires. Avec un humour grinçant et une empathie bouleversante, Richard Powers explore dans ce roman sous pression les racines de la survie et la mémoire de l’Amérique, grâce à une tribu d’enfants blessés mais, surtout, providentiels.
Notre affaire à tous
Pour la première fois, dans un livre, Eva Joly se raconte. La petite Norvégienne ” au pair “, devenue la juge célèbre qui fait trembler les patrons, a suivi un parcours singulier. Tour à tour conseillère juridique d’un hôpital psychiatrique, magistrate à Orléans puis à Evry, elle s’est occupée de restructurations industrielles avant d’être confrontée aux ” crimes d’argent ” en instruisant ” les affaires “. Dans ce récit, Eva Joly laisse paraître ses doutes devant une justice aux moyens encore bien faibles comparés à ceux des délinquants qu’elle poursuit. “Je suis norvégienne. Pour l’état civil, je m’appelle Gro -prononcez Grou- Farseth. Du côté maternel, mes ancêtres étaient des producteurs de framboises. Ma famille paternelle était une lignée d’agriculteurs de montagne”. Tout le monde connaît Eva Joly, mais personne ne sait qui elle est vraiment. En charge des affaires Tapie, Crédit Lyonnais ou Elf, elle est devenue le symbole d’une Justice qui cherche l’égalité devant la loi et ne garantit plus l’impunité aux puissants. Chacune de ses rares interventions publiques a marqué les Français par son authenticité et sa force de conviction. Selon les sondages d’opinion, elle est aujourd’hui l’une des femmes les plus populaires, à la fois en France et en Norvège.
Mourir à Djerba
Jeanne Cressanges, de son vrai nom Jeanne Mouchonnier, est une femme de lettres française, scénariste-dialoguiste, essayiste et romancière. Son pseudonyme Cressanges est tiré du nom d’un village de l’Allier proche de son village natal. En 1959, elle publie son premier roman chez Grasset, “La Femme et le manuscrit”. Entre 1960 et 1970, elle est lectrice chez Julliard et chroniqueuse aux “Nouvelles littéraires”. En 1968, elle s’installe à Épinal, pour suivre son mari. Le département des Vosges a servi de cadre à plusieurs de ses romans, comme “Les Eaux rouges” (1988) et “Le Luthier de Mirecourt” (1999).
Un été avec Jankélévitch
Né en 1903, mort en 1985 Jankélévitch connu les succès au crépuscule de sa vie et fut l’un des philosophes alors les plus médiatiques. Il est aujourd’hui le penseur qui convient pour conjurer la désespérance et le pessimisme. Jankélévitch nous apprend le charme de l’instant, les joies de l’action, nous met en garde contre les conformismes de la pensée et les mondes enrégimentés. C’est le pianiste de la philosophie, il joue sur les concepts comme sur un clavier. Ne manquons pas notre unique matinée de printemps. Jankélévitch disciple d’Alain nous montre que c’est l’heure, que cette heure ne dure qu’un instant. Le vent se lève, c’est maintenant ou jamais. Cynthia Fleury, philosophe, psychanalyste, auteur à succès d’ouvrages sur la fin du courage, le soin ou le ressentiment nous offre un été avec Jankélévitch allègre plein de paradoxes sur le temps et son irréversibilité. Un dialogue sur la jeunesse d’esprit qui est le meilleur remède contre les passions tristes qui nous menacent.
Tours et détours de la vilaine fille
Que de tours et de malices chez cette « vilaine fille », toujours et tant aimée par son ami Ricardo, le « bon garçon ». Ils se rencontrent pour la première fois au début des années cinquante, en pleine adolescence, dans l’un des quartiers les plus huppés de Lima, Miraflores. Joyeux, inconscients, ils font partie d’une jeunesse dorée qui se passionne pour les rythmes du mambo et ne connaît d’autre souci que les chagrins d’amour. Rien ne laissait alors deviner que celle qu’on appelait à Miraflores « la petite Chilienne » allait devenir, quelques années plus tard, une farouche guérillera dans la Cuba de Castro, puis l’épouse d’un diplomate dans le Paris des existentialistes, ou encore une richissime aristocrate dans le swinging London. D’une époque, d’un pays à l’autre, Ricardo la suit et la poursuit, comme le plus obscur objet de son désir. Et chaque fois, il ne la retrouve que pour la perdre. Et, bien entendu, ne la perd que pour mieux la rechercher.
Mon best of
Il n’est pas méchant, il est infernal ! Au théâtre, à la radio, à la télévision, dans ses livres, il tire sur tout ce qui bouge et même sur ce qui ne bouge plus. Chaque année révolue devient, sous sa plume insolente, un cocktail livresque détonnant et roboratif. Dix ans d’énormités rocambolesques, dont l’humour nous avait parfois échappé. Tout le monde en prend pour son grade : acteurs, politiciens, journalistes, astrologues, sportifs, princesses en mal d’amour et chevaliers d’industrie en prison quatre étoiles. Et ça fait mouche à tous les coups : l’élection présidentielle, les couacs de la cohabitation, les affaires, les Verts, l’extrême droite, les mesures antipollution, la réduction du temps de travail, le foot… A la lecture de ce best of incluant les derniers inédits de la saison 2001, véritable anthologie en forme d’éclats de rire, notre passé récent se transforme en souvenir radieux. ” Du concentré de poil à gratter, hilarant, souvent grinçant, toujours décapant. Et salutaire. ” L’Yonne républicaine Egalement chez Pocket : il faut savoir changer de certitudes, je ne vais pas me gêner, Vu à la radio et C’est chronique.
Blade runner – Tome 2
Los Angeles, 2020. Aux pluies diluviennes succèdent des étés torrides. Anéantie par les tremblements de terre, la ville n’est plus qu’un amas de ruines. Le vent brûlant du désert pousse les humains vers les terriers qu’ils ont aménagés sous les décombres. Deckard, le plus dur des blade runners, a quitté la police et s’est réfugié dans les forêts de l’Oregon avec Rachael, la réplicante qu’il aime. Elle repose, entre sommeil et agonie, dans un cercueil de survie. Mais bientôt la traque recommence : le chef de la police s’est trompé dans ses comptes, un dernier androïde rôde en liberté dans les rues de LA. Seul Deckard peut l’éliminer. Trahisons, illusions, mémoires effacées… Les morts revivent, rafistolés. Les meurtriers deviennent les proies de ceux qu’ils chassaient autrefois. Dans ce monde livré au chaos, un héros désenchanté peut-il encore vivre en humain ? Roman noir ou science-fiction, Blade runner ne cesse d’être un miroir du monde contemporain.
La parure du guerrier
Le Cercle Rhénan Karaté n’est pas un club sportif comme les autres. Derrière Philippe, l’entraîneur, les karatékas y cherchent passionnément autre chose qu’une technique de combat à main nue. Mais Dominique, l’élu, saisira-t-il le message de paix contenu dans l’art enseigné par son Maître? Comprendra-t-il que nul n’est digne de recevoir s’il n’est capable de donner? Et que ce qui compte, ce n’est pas la volonté de paraître mais la soif d’être? Il y a une porte, étroite, au-delà de la violence, qui mène à l’amour des autres. Mais pourquoi Brigitte est-elle venue troubler l’harmonie entre le Maître et le disciple?
Les nouveaux pavillons noirs
E n 1945, le Tonkin est déchiré par les convoitises et les ambitions. Coloniaux français, armées japonaise et chinoise, communistes viêtminh, s’affrontent pour renforcer leur influence. Ce sont les prémices de la guerre d’Indochine. Les soldats de l’armée chinoise pillent et ravagent le pays, comme leurs ancêtres militaires, au siècle dernier, les fameux Pavillons Noirs, rassemblés en bandes reconnaissables à leurs étendards noirs. L’auteur, qui a vécu cette période troublée et captivante, nous entraîne avec son héros, Marc de K., au milieu d’une fantastique aventure. Dans un climat lourd de passions et de dangers, baigné par la moiteur tropicale, ce jeune officier français de renseignements part à la conquête du fabuleux trésor des Pavillons Noirs. À travers les aventures, les combats et les amours de ce jeune officier, le roman de Jean Tronson a le merveilleux pouvoir de nous replonger instantanément dans cet univers aujourd’hui disparu : l’Indochine…
Il y a longtemps que je t’aime
J’écris en 2010 et je m’appelle Antoine. Ma jeunesse s’est passée dans les années 80-90. En fait, c’est toute ma vie qui s’est jouée a ce moment-la. J’avais quatorze ans, Ma mère venait de me mettre a la porte et j’avais trouve refuge chez mon père. Il habitait prés de la tour Eiffel, une grande maison dont les étages supérieurs formaient un immense atelier. Le domaine de Pauline, la fée Lumière, Elle était photographe, la nouvelle femme de mo père, Je croyais la détester… Tant de choses ont changé. Nous vivions au temps de la futilité. Une image chassait l’autre. On effleurait les jours. Ces années-là je les aimées, Pauline, parce que je t’aimais.
Le foulard bleu
Elle, Rose, la trentaine; lui, Georges, un peu plus. Ils ne sont pas destinés à se rencontrer. Un jour, poussés par le hasard, les voici face à face: il a suffi d’un foulard bleu, ramassé, rendu, d’un échange de regards, de quelques mots… C’est l’amour fou.Seulement, ils ne sont libres ni l’un ni l’autre. Rose a un mari qu’elle affectionne, une fille, un fils. Georges, une femme malade, une fille qui a d’autant plus besoin de lui.Saisis par la passion, Rose et Georges sont incapables de renoncer à leurs engagements. Ils s’accordent de se rencontrer hâtivement, au cours d’heures volées, merveilleuses, où ils découvrent chaque fois plus à quel point ils sont faits l’un pour l’autre. Toutefois, cette clandestinité les laisse insatisfaits et ils ne peuvent s’empêcher d’espérer: un jour, peut-être, ils pourront vivre ensemble… Ou leur faudra-t-il se suffire de ces brèves rencontres qui illuminent leur vie sans la combler?Mais l’amour, le vrai, est plus fort que l’absence et la séparation: il ravit à jamais ceux qui l’éprouvent.
Frappés d’enchantement, Georges et Rose ne regrettent rien, ils ne voient même pas passer les années: ils sont trop occupés à s’aimer! Il leur suffit de penser l’un à l’autre, dans l’intimité de leur coeur, pour être heureux…
La classe du brevet
L’après-guerre, l’école publique contre l’école privée, la ferveur des profs d’antan… Michel Jeury donne une peinture juste et colorée d’un univers cher à la mémoire collective. Il décrit aussi, avec humour et poésie, les tourments sentimentaux de ses jeunes héros qui, à ” l’âge où les cœurs s’éprennent “, n’accordent pas toujours l’attention qu’ils devraient aux joutes sans merci de l’algèbre et de l’orthographe…
Le brodeur de Pont-l’abbé
1905. Pont-l’Abbé, en sud Finistère. Deux jeunes gens vont briser leurs destins réciproques sans jamais s’être adressé la parole. Tout les oppose. Pourtant, le jour où Yann Toulemont, tailleur à Pont-l’Abbé, croise le regard d’Hélène Le Thellier, son destin bascule. Sans qu’Hélène s’en doute, Yann ouvre les yeux sur la beauté des broderies qui ornent les costumes bigoudens. Lui qui n’aimait pas son métier de tailleur découvre avec passion la broderie sur drap. Quand Yann revient du service militaire, il apprend qu’Hélène est fiancée et décide de lui faire hommage de son chef-d’œuvre, un corsage brodé. La réaction d’Hélène et de son père fait à nouveau basculer sa vie et déclenche un drame. Ils ne se retrouveront et n’échangeront leurs premiers mots qu’après avoir payé un lourd tribut aux préjugés.
Les amis de monsieur Paul
Pierre habite Marseille avec sa mère, son vieil oncle et une servante. Il travaille dans une librairie où passe de temps en temps Monsieur Paul. Pierre n’aime pas trop son oncle, il le suspecte même trafic de drogue. Un jour, l’oncle leur apprend qu’il doit partir pour deux semaines…
Le pays du lieutenant Schreiber
Je n’aurais jamais imaginé un destin aussi ouvert sur le sens de la vie. Une existence où se sont incarnés le courage et l’instinct de la mort, l’intense volupté d’être et la douleur, la révolte et le détachement. J’ai découvert un homme qui avait vécu à l’encontre de la haine, aimé au milieu de la pire sauvagerie des guerres, un soldat qui avait su pardonner mais n’avait rien oublié. Son combat rendait leur vraie densité aux mots qu’on n’osait plus prononcer : héroïsme, sacrifice, honneur, patrie… J’ai appris aussi à quel point, dans le monde d’aujourd’hui, cette voix française pouvait être censurée, étouffée. Ce livre n’a d’autre but que d’aider la parole du lieutenant Schreiber à vaincre l’oubli.
Nitchevo
” Nitchevo ! Qu’importe ! C’est sans importance ! Tant pis ! disent couramment les Russes face à un malheur qui les dépasse et qui, peut-être, leur procure un immense plaisir secret. Ce petit mot, qui correspond normalement au ” rien ” français, renferme dans ses trois syllabes toute la puissance de résignation russe. Celle qu’il a fallu pour survivre aux trois générations dont ce roman évoque le sort, au milieu des tourmentes qui ébranlèrent leur pays, des premiers jours de la révolution de 1917 jusqu’au putsch du 19 août 1991. Leur histoire n’est pas présentée de manière linéaire. En quatre coups de projecteur, sans ordre chronologique, se dessine la vie d’une famille russe, à l’image de celles de millions d’autres, déchirées par soixante-dix ans de peurs et d’erreurs politiques. Les trois générations de femmes du roman (Marina, Nadia et Natalia) ont, vaille que vaille, à travers ces années terribles, assuré la survie matérielle de la famille et transmis leur force morale à leur lignée. Leurs portraits et ceux des hommes qui les entourent (Sergueï, Kolia et Sacha) – plus complexes et trop souvent absents – permettent d’approcher l’âme russe confrontée au communisme triomphant puis déclinant. Leur destin éclaire la faillite intérieure d’un système qui a fait peser son étreinte sur le monde durant presque un siècle.
Sierra brûlante
Parce qu’ils décident de s’échapper de la réserve d’indiens où la famine et le désespoir condamnent à une mort lente, ce jeune couple Navajo et leur enfant deviennent des criminels. Lorsqu’un homme est tué dans cette cavale, la vengeance, l’appât du gain deviennent les moteurs d’une chasse à l’homme où la pitié n’a aucune place. Les ” chiens ” sont lâchés sur leurs traces, et Dylan décide de se joindre à la meute pour sauver ce qui peut l’être. S’engage une course contre la montre en plein désert, un combat entre l’inhumanité du décor et des hommes, et une liberté qui doit être payée à son prix le plus fort.
Mourir d’enfance
A l’heure du bilan, c’est l’enfance, toujours, qui donne la clef d’une existence. Où chercher le secret de ce mauvais garçon devenu un écrivain comblé ? Chez les paysans qui l’élèvent dans une ferme du Loiret ? Dans la rue, sa “forêt vierge”, à l’âge des grandes espérances et des petits trafics, des 400 coups et de la Résistance ? Dans un mitard de Fresnes où il touche le fond, avant de retrouver l’héritier de Villon, Carco et Simonin qui dormait en lui ? Le secret d’Alphonse Boudard est ailleurs et ne mourra qu’avec lui. Il se dévoile peu à peu dans ces pages magnifiques d’émotion, de verve et d’alacrité. C’est l’image presque effacée d’une torpédo qui s’arrête, d’une jolie dame coiffée à la garçonne et parfumée qui en descend, le souvenir d’une mère qu’il n’aura jamais vraiment connue et qui le poursuit encore.
L’étoile rebelle
A 14 ans, Mouse vit dans un quartier pauvre où il aime taguer les murs la nuit. Alors qu’il se rend à un rendez-vous avec Dave, son assistant social, il rencontre la jolie Cat, rebelle et mystique, dont il ne peut s’empêcher de tomber amoureux. Ensemble, il recueillent un chien abandonné qu’ils prénomment Lucky. Mais lorsqu’ils comprennent que Lucky appartient à l’un des dealers du quartier, les ennuis arrivent, et avec eux, Mouse découvre que Cat dissimule un secret…
