Le premier amour
Une femme prépare un dîner aux chandelles pour fêter son anniversaire de mariage. Elle descend dans sa cave pour y chercher une bouteille de vin, qu’elle trouve enveloppée dans un papier journal dont elle lit distraitement les petites annonces. Soudain, sa vie bascule : elle remonte les escaliers, éteint le four, prend sa voiture, quitte tout. En chacun d’entre nous repose peut-être, tapie sous l’apparente quiétude quotidienne, la possibilité d’être un jour requis par son premier amour…
L’objet de son désir
1933. Lors d’un voyag en train qui l’emmène en Virginie, Nicholas Van Tassel, en ancien professeur d’université, rédige ses mémoires. Ses souvenirs le ramènent jusqu’en 1899 alors qu’il tombe amoureux d’une inconnue, Etna Bliss, dans le tumulte d’un incendie. Dès cet instant, Nicholas n’a qu’une idée en tête: conquérir cette femme et l’épouser. Il y parvient, mais la belle reste froide et insensible à l’amour de son mari. Contrarié, Nicholas se surprend à la surveiller et à l’épier, obsédé par la possibilité qu’elle fréquente un amant en cachette. Retranchée derrière un mur de silence et de secrets, Etna poussera son mari dans le désespoir si intense qu’il fera commettre de terribles actes, jusqu’au drame.
Un racisme imaginaire
Il existe assez de racismes véritables pour que l’on n’en invente pas d’imaginaires. Depuis trente-cinq ans, le terme d’islamophobie anéantit toute parole critique envers l’islam. Il a pour double finalité de bâillonner les Occidentaux et de disqualifier les musulmans réformateurs. Une grande religion comme l’islam n’est pas réductible à un peuple puisqu’elle a une vocation universelle. Lui épargner l’épreuve de l’examen, entrepris depuis des siècles avec le christianisme et le judaïsme, c’est l’enfermer dans ses difficultés actuelles. Et condamner à jamais ses fidèles au rôle de victimes, exonérées de toute responsabilité dans les violences qu’elles commettent. Démonter cette imposture, réévaluer ce qu’on appelle le retour du religieux et qui est plutôt le retour du fanatisme, célébrer l’extraordinaire liberté que la France donne à ses citoyens, le droit de croire ou de ne pas croire en Dieu : tels sont les objectifs de cet essai.
Les aventuriers du Nil
En 1798, les troupes françaises du général Bonaparte envahissent l’Egypte. Hubert de Saint-Vincent, jeune dessinateur, fait partie de la Commission d’artistes et de savants appelés à fonder l’Institut d’Egypte. Ayant pris sous sa protection Omar, un Cairote de quinze ans, il rejoint Rosette, à l’embouchure du Nil. Mais la douceur de vivre qui y règne est bientôt troublée par les agissements d’un traître à la solde des Anglais. Lancés dans une suite d’aventures haletantes, Hubert et Omar vont tenter de déjouer leur ennemi pour découvrir avant lui le trésor légendaire qu’il convoite.
Kiffe kiffe demain
Doria a quinze ans, un sens aigu de la vanne, une connaissance encyclopédique de la télé, et des rêves pleins la tête. Elle vit seule avec sa mère dans une cité de Livry-Gargan entourée d’Hamoudi, un grand de la cité qui l’a connue «haute comme une barrette de shit», Mme Burlaud, la psychologue au porte-jarretelles, Nabil le nul ou encore Aziz, l’épicier du Sidi Mohamed Market avec qui Dora essaie en vain de caser sa mère. Entre humour ravageur et formidables élans de fraîcheur, Dora navigue dans la vie avec l’innocence de sa jeunesse et l’assurance d’une fille trop intelligente pour ne pas infléchir son destin Surnommée la Sagan des banlieues, analysée dans l’International Herald Tribune et Newsweek, Faïza Guène, 19 ans, française d’origine algérienne et étudiante en sociologie, est déjà un phénomène avec ce premier roman.
La bibliothèque idéale
La Bibliothèque idéale n’est ni un musée, ni un inventaire, ni un palmarès. C’est un guide amical qui peut aider chacun à ouvrir sa propre route dans l’infini labyrinthe des livres. Son audace ou son excuse est de présenter, en un volume, l’essentiel de ce qui fut écrit au cours des siècles. Pour mener à bien cette entreprise sans précédent, les auteurs ont parié sur les vertus d’un chiffre magique, le chiffre sept. Quatre fois multiplié par lui-même, il donne en effet le nombre d’ouvrages qu’un lecteur assidu peut réellement découvrir au cours de son existence. En quarante-neuf chapitres de quarante-neuf articles, les oeuvres majeures des grands domaines littéraires et des principaux genres spécialisés ont été répertoriés, classées et succinctement analysées. Chacun peut ainsi à sa guise choisir ou programmer celles qui conviennent le mieux à sa curiosité ou à son humeur du moment. Franchissez sans tarder le seul de La Bibliothèque idéale : vous y découvrirez les clés de l’évasion, du rêve et du savoir.
La maitresse du peintre
Vendu sans bandeau – L’histoire saisissante et vraie de Geertje Dircx, maîtresse désavouée du peintre Rembrandt, ici réhabilitée. Un jour de juillet 1650, Geertje Dircx est arrêtée par la ville d’Amsterdam, poussée de force dans une voiture et conduite à la Spinhuis de Gouda, maison de correction pour femmes où elle restera enfermée douze ans. A l’origine de cette arrestation aussi brutale qu’inattendue, Rembrandt van Rijn, l’amant de Geertje. Jugée par contumace, elle revient depuis sa cellule sur les années qui ont précédé son arrestation et sur son idylle avec le célèbre peintre. De milieu modeste, veuve à tout juste trente ans, Geertje entre au service de Rembrandt en tant que nourrice de son fils Titus. La femme du peintre, Saskia van Uylenburgh est alors alitée, souffrant selon toutes les apparences de la tuberculose, maladie dont elle ne se remettra pas. La mort de cette dernière laisse Geertje maîtresse de maison. La cohabitation laisse très vite place à l’amour, Rembrandt trouvant paix et réconfort dans les bras de la nourrice. Les deux amants vivent ainsi durant plusieurs années une liaison scandaleuse, hors mariage…
La mort du petit cheval
La Mort du petit cheval est la suite directe de Vipère au poing. Jean Rezeau, âgé de dix-huit ans, a coupé les ponts avec sa famille. Mais la tyrannie de Folcoche, la mère impitoyable, le poursuit toujours. Si la combativité lui a formé le caractère, la haine ne l’a guère préparé à l’amour. La nécessité fera de lui un terrassier, un valet de ferme, un camelot… et quelques femmes l’aideront à franchir le difficile passage de la haine à l’amour et du refus de la vie à son acceptation. ….
La ville qui n’aimait pas son roi
1588. Alors que la guerre continue de faire rage dans toute la France, une nouvelle inattendue ébranle le royaume : le prince de Condé est mort, empoisonné. Tout semble accuser sa pauvre épouse, enceinte, mais Henri de Navarre charge Olivier Hauteville d’enquêter sur la présence d’un des serviteurs de Guise dans la suite du prince. Pour poursuivre ses investigations, Olivier, accompagné de Cassandre, se rend à Paris où la Ligue, toute-puissante, prépare une insurrection pour porter le duc de Guise sur le trône de France. Pendant que Nicolas Poulain, l’espion du roi, informe Henri III des funestes projets du duc, Olivier et son épouse, pourchassés par les ligueurs et la duchesse de Montpensier, se cachent au milieu d’une troupe de comédiens, dans les ruines de l’hôtel de Bourgogne. Malheureusement, Paris est à feu et à sang et le couple est vite découvert. Accusées d’être des hérétiques, Mme Poulain et Cassandre sont emprisonnées par les ligueurs. Alors que la situation semble sans issue, Olivier et Nicolas multiplient leurs efforts pour organiser une alliance entre Henri III et Henri de Navarre. Parviendront-ils à déjouer les pièges tendus par la Ligue et Mme de Montpensier, tout en assurant la sécurité de Navarre ?
Washington – Les prédateurs
Alain Coutte fut à 18 ans l’un des plus jeunes pilotes professionnels au monde et compte à son actif plus de 3 000 heures de vol. Ayant passé plus de 17 ans de sa vie dans des groupes français de négoce et de commerce international de premier plan où il exerça des fonctions de dirigeant, il parle couramment plusieurs langues étrangères. Épris de justice, il se définit comme un homme libre de tout intérêt, de toute idée préconçue, de toute idéologie et de toute appartenance politique ou religieuse.
L’ABCdaire du cheval
Propose des commentaires détaillés des différents usages du cheval (armée, attelage, courses, labour, randonnée…), les différentes races (arabe, anglais, percheron…), les différents types d’élevage et de harnachement ainsi que la place du cheval dans l’histoire et la mythologie (amazone, licorne, centaure, Pégase).
Le fils de Flicka
Flicka, la pouliche sauvage que le jeune Ken a réussi à apprivoiser, vient de donner naissance à un étonnant poulain blanc. Un futur champion ? Ses performances pourraient alors sauver le ranch de la ruine. Mais Thunderhead, l’indomptable, désarçonne son jockey dès sa première course. La suite de mon ami Flicka. La suite d’une merveilleuse histoire d’amitié.
L’Armoire des robes oubliées
Alors que sa grand-mère Elsa se meurt d’un cancer foudroyant et que tous ses proches se rassemblent pour adoucir ses derniers jours, Anna découvre que, derrière le mariage apparemment heureux de ses grands-parents, se cache un drame qui a marqué à jamais tous les membres de sa famille. Une vieille robe trouvée par hasard, et dont elle apprend qu’elle aurait appartenu à une certaine Eeva, va réveiller le passé. Cette Eeva, dont on ne lui a jamais parlé, aurait été, dans les années 60, la nourrice de sa mère. Mais Anna ne tarde pas à comprendre qu’elle a été beaucoup plus qu’une employée et que son grand-père, peintre célèbre, l’a profondément aimée.
Le ranch de Flicka
Le ranch que Mary O’Hara possède dans le Wyoming a servi de cadre aux aventures de Flicka , la belle pouliche alezane, de son fils Thunderhead et de tous les descendants de l’Albinos, l’étalon blanc devenu légendaire. La vie quotidienne au ranch, avec ses joies et ses difficultés, ses drames et des épisodes comiques, est aussi une aventure, la plus passionnante de toutes !
Black beauty
Black Beauty est un cheval splendide. Dressé avec douceur et bonté, c’est une monture qui fait la fierté de son maître, un riche seigneur de la campagne anglaise. En compagnie du joyeux poney Merrylegs et de la jument Ginger, il vit ainsi des années de bonheur. Le destin lui fera connaître d’autres maîtres, vivre des heures plus difficiles, lui apprenant, comme il le raconte lui-même, que les hommes peuvent être parfois cruels.
L’homme qui a oublié sa femme
Qu’un homme oublie son anniversaire de mariage, quoi de plus commun ? Qu’il oublie sa femme, c’est plus inhabituel. Après un étrange malaise, Vaughan reprend connaissance dans le métro londonien, complètement amnésique. Oubliés, son nom, son métier de professeur, ses enfants, sa femme et leur prochain divorce ! Quand, après moult péripéties, il revoit Maddy pour la première fois, c’est le coup de foudre. Vaughan n’aura désormais qu’une obsession : reconquérir son épouse. Une mission quasi impossible puisque Maddy ne veut plus entendre parler de lui, et pour cause. Vaughan découvre qu’il était un homme odieux, égoïste et porté sur la bouteille. Avant d’espérer la séduire à nouveau, il devra lui prouver qu’il a changé. Dans la plus pure tradition anglaise, L’Homme qui a oublié sa femme est une comédie à la fois émouvante et désopilante sur les vicissitudes du mariage.
Cratères en feu
Dans ce texte, désormais classique, le lecteur trouvera les observations d’Haroun Tazieff relatives à quelques volcans de l’Italie insulaire, d’Afrique ou de Java. Chacune des expéditions du célèbre volcanologue à l’un de ces » cratères en feu » fait l’objet d’un récit plein de vie. Les épisodes pittoresques et familiers, qui ont marqué tant d’expéditions anciennes, alternent avec l’explication rigoureuse des manifestations d’une nature inquiétante et fascinante. Nous assistons à la naissance d’un volcan. Le thème fondamental de la réflexion du chercheur est constamment sous-jacent dans ces pages : prévoir les éruptions et, pour cela, » développer les recherches volcanologiques, multiplier les observatoires et les réseaux de détection des signes prémonitoires d’éruption « .
Ce pays qui te ressemble
C’est dans le ghetto juif du Caire que naît, contre toute attente, d’une jeune mère flamboyante et d’un père aveugle, Zohar l’insoumis. Et voici que sa sœur de lait, Masreya, issue de la fange du Delta, danseuse aux ruses d’enchanteresse, le conduit aux portes du pouvoir. Voici aussi les mendiants et les orgueilleux, les filous et les commères de la ruelle, les pauvres et les nantis, petit peuple qui va roulant, criant, se révoltant, espérant et souffrant. Cette saga aux couleurs du soleil millénaire dit tout de l’Égypte : grandeur et décadence du roi Farouk, dernier pharaon, despote à l’apparence de prince charmant, adoré de son peuple et paralysé de névroses. Arrivé au pouvoir de Gamal Abdel Nasser en 1952 et expulsion des Juifs. Islamisation de l’Égypte sous la poussée des Frères Musulmans, première éruption d’un volcan qui n’en finit pas de rugir. C’est la chute du monde ancien, qui enveloppait magies et sortilèges sous les habits d’Hollywood. La naissance d’un monde moderne, pris entre dieux et diables.
Chambre 203
Roman – Collège – Pierre, neuf ans, adore le foot, surtout l’équipe de Marseille, et ses copains. Mais bizarrement, il se sent de plus en plus fatigué et les petits plats qu’il adore n’ont plus vraiment le même goût. Ce n’est sans doute pas grand-chose mais on va quand même faire des analyses, dit le médecin. Et le verdict tombe, Pierre est malade et rentre à l’hôpital, chambre 203.
People like her
« Beyond being a brilliant skewering of social media and influencer culture, People Like Her is, quite simply, a damn good thriller.The novel reads like Gone Girl on steroids in all the best ways.”— BookReporter. “Breathlessly fast, brilliantly original. Bravo, Ellery Lloyd!”—Clare Mackintosh, New York Times bestselling author of After the End. From the New York Times bestselling author of The Club, a razor-sharp, wickedly smart suspense debut about an ambitious influencer mom whose soaring success threatens her marriage, her morals, and her family’s safety. Followed by Millions, Watched by One. To her adoring fans, Emmy Jackson, aka @the_mamabare, is the honest “Instamum” who always tells it like it is. To her skeptical husband, a washed-up novelist who knows just how creative Emmy can be with the truth, she is a breadwinning powerhouse chillingly brilliant at monetizing the intimate details of their family life. To one of Emmy’s dangerously obsessive followers, she’s the woman that has everything—but deserve.
We are young
TROIS personnes sont MORTES Et personne ne se demande POURQUOI. Mais j’ai BESOIN de REPONSES. Je dois DECOUVRIR ce qui s’est REELLELENT passé CETTE NUIT-LA.
Clean
« Visage écrasé contre le cuir. Odeur de voiture neuve. Je ne peux pas bouger. J’ai été kidnappée. Je ne peux pas bouger. J’ouvre les yeux. Ça fait mal. Mais j’aperçois mon frère, Nikolai. ― Nik ? ― Tout va bien, Lexi, je vais te trouver de l’aide. Oh, putain, cette fois, il l’a fait. Il a décidé de me sauver. » Voilà comment je me suis retrouvée coincée au Clarity Centre, un hôtel de luxe pour les accros en tout genre. Pour moi, c’est un peu Alcatraz avec un spa. Chacun son poison. Pour Ruby, c’est la bouffe. Pour Kendall, c’est l’excès inverse. Pour Saif, c’est la drogue (aucune originalité), comme moi. Et Brady… Brady, le beau gosse de service, c’est un grand mystère. Bref, on forme une belle bande de déglingués. Et la nouvelle venue, Sasha, semble encore plus tarée que les autres. La grande question : sommes-nous prêts à être clean ?
Ma vie amoureuse en 16 garçons
Avery Dennis est jolie, populaire, et tous les garçons lui tournent autour. Alors pourquoi ses histoires d’amour se terminent-elles toujours en eau de boudin ? Après sa dernière rupture, Avery est décidée à comprendre. Accompagnée de Hutch, son binôme en sciences, elle questionne tous ses ex depuis la maternelle. Et la liste est longue ! Cette enquête permettra-t-elle à Avery de percer enfin le mystère du comportement masculin ? En tout cas, elle pourrait bien se retrouver rapidement au centre de ses propres interrogations…
L’étoile rebelle
A 14 ans, Mouse vit dans un quartier pauvre où il aime taguer les murs la nuit. Alors qu’il se rend à un rendez-vous avec Dave, son assistant social, il rencontre la jolie Cat, rebelle et mystique, dont il ne peut s’empêcher de tomber amoureux. Ensemble, il recueillent un chien abandonné qu’ils prénomment Lucky. Mais lorsqu’ils comprennent que Lucky appartient à l’un des dealers du quartier, les ennuis arrivent, et avec eux, Mouse découvre que Cat dissimule un secret…
Touchez pas au roquefort !
Dans l’entrepôt de Grasdouble, tout le fromage a été volé. Une seule chose à faire : appeler l’inspecteur souris à la rescousse ! Ambiance mystérieuse à souhait, individus patibulaires : impossible de résister à l’humour corrosif des illustrations de Ralph Steadman.
Armand le vampire
Au chevet de leur ami Lestat, plongé dans un profond coma au retour de son voyage aux Enfers, David Talbot, l’archiviste du Talamasca, rencontre Armand, peut-être le plus mystérieux et sans conteste le plus séduisant des vampires. Il entreprend de lui faire raconter l’histoire de sa vie. Une histoire cruelle et flamboyante qui nous mène des steppes de la Russie, où il est enlevé par des marchands d’esclaves, à Constantinople et enfin à Venise, où il est sauvé par Marius, un peintre qui vit avec faste et dont il ignore qu’il s’agit d’un vampire… Mais Marius, esthète et philosophe éclairé, est un homme de la Renaissance, dont le mode de vie et la tolérance suscitent la haine des autres vampires. Ses ennemis le font brûler sous les yeux d’Armand et celui-ci, emmené au loin, endoctriné, n’a d’autre choix que de se soumettre. Commence alors pour lui une plongée dans un univers d’obscurantisme et de superstition, une errance de plusieurs siècles qui le conduit à Londres, Paris et enfin New York, où, grâce à deux enfants, Sybelle et Benji, et à la magie de la musique, il pourra enfin entrevoir une forme de rédemption.
Mrs Clark et les enfants du diable
Parce qu’elle y a été obligée, Mrs. Clark vit à New York avec ses deux enfants dans l’appartement de son oncle, le monstrueux milliardaire Willy Harrison. Elle supporte très mal de se sentir épiée jour et nuit, mais du moins ses enfants sont-ils en sécurité dans cette citadelle réputée imprenable, aux instruments de surveillance hyper sophistiqués. Et pourtant. Mrs. Clark va de nouveau se retrouver plongée dans un monde de violence et de perversité inouï. Confrontée aux grands pontes de la drogue et de la prostitution, exposée aux jalousies sordides et à la haine tenace des jumeaux, instruments de vengeance d’un mystérieux personnage, la paisible Mrs. Clark va sortir ses griffes. Cette fois, la vie d’un de ses enfants est enjeu. Après Des diamants pour Mrs. Clark, William Dickinson se révèle avec Mrs. Clark et les enfants du diable, comme un maître du roman d’action et de suspense.
L’initié
Imposteur, alchimiste, guérisseur, aventurier sans scrupules pour les uns, Grand Initié ou même immortel pour les autres… rarement homme intrigua autant ses contemporains que le comte de Saint-Germain. C’est au cours d’une réunion mondaine, qu’en 1793 Hélie de Maisonvieille entend parler de lui pour la première fois. Et tandis qu’on n’en finit pas de s’interroger sur la véritable nature du comte, le jeune homme s’entend proposer aux convives : « Donnez-moi six mois et je vous dirai qui est le comte de Saint-Germain. Pari tenu, il commence alors son enquête en Allemagne, où le comte maintenant âgé de quatre-vingt-douze ans s’est retiré.
La mer à boire
Camille aurait tout pour être heureuse dans le meilleur des mondes. Douée d’une belle verve et du pouvoir de fascination des gens qui vont « au bout d’eux-mêmes », elle exerce son talent dans une boîte de publicité. Mais brutalement, et par une rupture confiée ici à l’ellipse, son univers s’effondre. De provocation ébranlant toute hypocrisie en agression sourde, elle s’enfonce petit à petit dans l’ornière, qui pourrait bien aussi contenir sa vérité. En tous les cas, elle parle, se livre, pour un portrait au vitriol de notre société et de son cortège d’opportunistes devenus les « décideurs » d’aujourd’hui. Il s’agit d’une lente dérive vers la pauvreté, l’isolement, l’abandon, mais avec l’énergie toujours maintenue du désespoir, et l’humour, dernier luxe de ceux qui ont tout perdu. Vous avez déjà entendu parler de littérature à l’estomac ? En voilà. Camille traverse sa nuit jusqu’au bout. L’aube est faite de son écriture, cruelle, ironique, visionnaire.
Le jour de la comtesse
Devant le café Gat, à Jérusalem, Gabriel Louria joue du violon, Orita Landau danse, Boulos effendi invite tout le monde au King David… C’est le dernier «jour enchanté» que se rappelle avec nostalgie le narrateur. Les émeutes arabes de l’été 36 éclatent la semaine suivante et, avec elles, le petit groupe d’amis. Juifs et Arabes, musulmans et chrétiens qui vivaient dans la tolérance réciproque, tous se dressent les uns contre les autres, dans un monde où, désormais, « un homme ne reconnaît plus son propre frère. »
Le divorce-Boom
On a assisté, au cours des quinze dernières années, à une vertigineuse montée du divorce dans la plupart des pays développés. En France, aujourd’hui, un couple sur quatre risque de tourner court, de ne jamais vieillir ensemble. Plus aucune famille ne peut se prétendre à l’écart du divorce boom.L’éclatement d’un couple représente pour tous ceux qui le vivent un événement capital, des décisions lourdes de conséquences pour les adultes et surtout pour les enfants, de douloureux moments à traverser, mais aussi des occasions inespérées de se retrouver soi-même, des libérations par rapport à des situations bloquées ou intolérables, des découvertes d’horizons nouveaux: Christiane Collange a tenté de comprendre pourquoi l’on est atteint de cette maladie conjugale et comment on y survit.Acteurs ou témoins d’un divorce trouveront, à travers son enquête et sa réflexion, des réponses aux questions qu’ils se posent sur un des phénomènes sociologiques et psychologiques les plus méconnus de notre vie quotidienne. Si les futurs ex s’occupaient un peu plus d’eux-mêmes et de leurs enfants, un peu moins de problèmes juridiques, le travail des juges en serait infiniment simplifié, l’équilibre des individus bien moins bouleversé.Ce livre, à la fois grave et optimiste, peut les aider à mieux prendre leurs responsabilités, à mieux comprendre leurs sentiments, leurs contradictions, à mieux assumer leurs décisions.
Les vampires de Manhattan (1)
Snobs et branchés, Mimi et son frère sont les étudiants les plus glamours du très chic lycée Duchesne, à New York. Theodora cultive plutôt un look « vintage », alors pourquoi un garçon aussi populaire s’intéresserait-il à elle ? Y a-t-il un rapport avec Aggie, une élève retrouvée morte, vidée de son sang ? Theodora est déterminée à le découvrir quand apparaît sur sa peau un entrelacs de veines bleutées qui lui glace le sang.
Après l’incendie
Diana Cooke est née avec le siècle. Dans une des plus belles maisons du Sud. Elle peut s’enorgueillir d’un patronyme qui remonte aux pères fondateurs de l’Amérique. Mais cette maison, comme son nom, est lestée par deux dettes abyssales. La première est financière, et le seul moyen de s’en acquitter est au prix du sang : Diana doit se marier sous le signe de l’argent. La seconde est plus profonde : la maison des Cooke et le prestige de leur nom de famille sont bâtis sur le plus noir péché du Sud, l’esclavage. Et cette dette-là ne se rembourse que sous la forme d’une malédiction. La voici peut-être qui s’avance sous la forme du Capitaine Copperton.
Ce que je ne pouvais pas dire
Après neuf années passées à la tête du Conseil constitutionnel, Jean-Louis Debré renoue avec la liberté de ton qu’on lui connaît. Jamais on n’a autant parlé de cette institution ni mieux compris son utilité que sous sa présidence. Dans ce livre, il évoque les dossiers qu’il a eu à traiter, les combats qu’il a menés, les dirigeants politiques qu’il a côtoyés et souvent affrontés. Esprit libre, indépendant, attaché avant tout au respect du droit et des valeurs républicaines, il a pris les positions qui lui paraissaient conformes à sa mission, sans chercher à ménager aucun pouvoir, ni craindre d’être mis en cause, comme il l’a été par les dirigeants de l’UMP après le rejet des comptes de campagne de Nicolas Sarkozy. Il a également dû se prononcer sur des lois et réformes majeures, notamment lors des débats sur le mariage homosexuel, la taxe carbone ou la loi Hadopi. Il livre ici souvenirs, commentaires et mises au point sous la forme d’un journal tenu régulièrement au cours de ces neuf années, » au gré de mes humeurs « , écrit-il. Il raconte les démêlés qui l’ont opposé à Nicolas Sarkozy, ses échanges avec Valéry Giscard d’Estaing ou François Hollande et ses relations avec Alain Juppé, Manuel Valls, Jean-François Copé ou Bruno Le Maire. Il consacre aussi des pages émouvantes à Jacques Chirac, dont il a été l’un des confidents les plus fidèles, brossant de l’ancien président aux prises avec la maladie un portrait qui nous le rend encore plus attachant.
Montand – La vie continue
Yves Montand, chanteur, acteur, homme politique, homme public, homme secret. Un homme tout simplement. Pour raconter cet homme-là, cette vie depuis les quartiers populaires de Marseille jusqu’à la soirée du 7 septembre 1982 où ce fils d’immigré italien chante et triomphe au Metropolitan Opera de New York, pour rendre compte d’un tel personnage, dans son épaisseur, dans sa profondeur, il fallait davantage que de simples connaissances biographiques, il fallait la clé de la mémoire et de la connaissance intime. Si Jorge Semprun a réussi ce pari – et ce portrait -, c’est parce qu’il connaît Montand depuis vingt ans et que, depuis vingt ans, de l’un à l’autre se sont tissés les liens rares de l’amitié.
Alors que tous dans la maison de retraite s’apprêtent à célébrer dignement son centième anniversaire, Allan Karlsson, qui déteste ce genre de pince-fesses, décide de fuguer. Chaussé de ses plus belles charentaises, il saute par la fenêtre de sa chambre et prend ses jambes à son cou. Débutent alors une improbable cavale à travers la Suède et un voyage décoiffant au cœur de l’histoire du XXe siècle. Car méfiez-vous des apparences ! Derrière ce frêle vieillard en pantoufles se cache un artificier de génie qui a eu la bonne idée de naître au début d’un siècle sanguinaire. Grâce à son talent pour les explosifs, Allan Karlsson, individu lambda, apolitique et inculte, s’est ainsi retrouvé mêlé à presque cent ans d’événements majeurs aux côtés des grands de ce monde, de Franco à Staline en passant par Truman et Mao…
Riverdale – The day before (en français)
(Prequel officiel de la série Netflix) – Roman adolescent dès 13 ans
Ce matin-là à l’aube, un coup de feu retentit du côté de la rivière Sweetwater, bouleversant la paisible bourgade de RIVERDALE. Mais à quoi ressemblait la vie des habitants avant ce terrible événement ?
Les semaines précédant la disparition du jeune Jason Blossom, quatre adolescents profitaient de leurs vacances d’été. Archie Andrews était secrètement amoureux.
Betty Cooper essayait de percer à Los Angeles alors que Veronica Lodge dominait encore Manhattan. Quant à Jughead Jones, il essayait juste de garder la tête hors de l’eau au sein de sa famille à la dérive…
Alternant leurs points de vue, ce prequel de la série explore la vie des quatre héros au cours de cet été qui a tout changé… à jamais.
La France traverse une grave crise, une crise profonde même. Max Gallo parle de « crise nationale de longue durée ». Pourtant, chez cet historien comme chez la plupart des observateurs, la qualification de la crise demeure imprécise, incertaine. Gallo ne parle en tout cas pas de crise morale, tout au plus de crise des valeurs. Et pourtant n’est-ce pas d’elle qu’il s’agit d’abord dans ce pays ? Nous sommes aujourd’hui en France en phase de démoralisation voire d’amoralisation individuelle et collective. Cette situation, et les moyens d’y porter remède, sont l’objet de ce livre.
Interlude mortel
« La première fois que l’on m’a demandé d’écrire une nouvelle autour de mon héroïne Sookie Stackhouse, je n’étais pas sûre d’ y parvenir. La vie de Sookie, son histoire, sont si complexes que j’ignorais si j’étais capable de créer une fiction courte mais cohérente qui lui rende justice. Je me suis bien amusée à écrire ces histoires. Certaines sont totalement joyeuses, d’autres plus sérieuses, mais elles éclairent toutes une petite facette de la vie de Sookie que je n’ai pas rapportée dans les romans. J’espère que vous éprouverez autant de plaisir à les lire que moi à les écrire. »
Les merveilleux nuages
Josée a perdu sa liberté en épousant un jeune artiste en vogue dont l’apparence bien tranquille cache une jalousie morbide qui rend infernale l’existence commune. Comment Josée, l héroïne de Dans un mois, dans un an, supportera-t-elle cette contrainte ? Vivre librement, aller où bon vous semble, voir qui vous aimez, dormir, rêver sans que personne vous demande compte de vos rêves, de vos sorties, de vos amis ; Josée a perdu ce privilège en épousant Alan Ash dont l’apparence de jeune et bel Américain bien tranquille cache une jalousie morbide qui rend infernale l’existence commune. Comment Josée, qu’on a vue si éprise de changement et de liberté au fil des pages de Dans un mois, dans un an, supporte-t-elle cette contrainte ? Certains liens sont difficiles à trancher. Un jour, pourtant, excédée, elle repart pour la France. Alan l’y suit et la conquiert de nouveau. Mais la comédie amère recommence dans le cadre du Paris intellectuel et mondain où Alan, malgré ses succès de peintre, poursuit ses chimères destructrices, ses « merveilleux nuages » qui lui sont plus chers que le simple bonheur de vivre.
Ouragan
À la Nouvelle-Orléans, alors qu’une terrible tempête est annoncée la plupart des habitant fuient la ville. Ceux qui n’ont pu partir devront subir la fureur du ciel. Rendue à sa violence primordiale, la nature se déchaîne et confronte chacun à sa vérité intime : que reste-t-il en effet d’un homme au milieu du chaos, quand tout repère social ou moral s’est dissout dans la peur ? Seul dans sa voiture, Keanu vers les quartiers dévastés, au cœur de la tourmente, en quête de Rose, qu’il a laissée dernière lui six ans plus tôt et qu’il doit retrouver pour, peut-être, donner un sens à son existence. Roman ambitieux à l’écriture emphatique et incantatoire, Ouragan mêle la gravité de la tragédie à la douceur bienfaisante de la fable pour exalter la fidélité, et l’émouvante beauté de ceux qui restent debout.
Cimetières sans tombeaux
Initiateur de la Résistance tropézienne, fondateur de la célèbre « Brigade des Maures », Gilbert-Dreyfus, appelé par la suite à exercer ses activités dans toute la zone Sud occupée, et désormais devenu Gilbert Debrise, allait être arrêté par la Gestapo, incarcéré et déporté au camp d’extermination de Mauthausen. C’est son témoignage, très personnel, sur les mœurs, les exécutions, tortures et autres actes de la sauvagerie nazie, ainsi que sur l’organisation d’une Résistance clandestine – en deux mots sur la vie et la mort à Mauthausen et à son Kommando d’Ebensee qui constitue l’essentiel de ce récit, dont le style concis et la sobriété n’excluent ni l’horreur quotidienne ni l’émotion contenue… Réquisitoire implacable et dramatique, quoique çà et là teinté d’un humour ubuesque, suivi d’un épilogue (le procès des criminels de son camp, où l’auteur fut appelé à témoigner) et, en annexe, de quelques poèmes composés en déportation. Médecin des hôpitaux de Paris, agrégé, professeur de clinique endocrinologique de notoriété internationale, le Docteur Gilbert-Dreyfus, membre de l’Académie de Médecine, est, entre autres distinctions, médaillé de la Résistance avec rosette et grand officier de la Légion d’honneur.
« Je vous demande le droit de mourir »
« Pourquoi les médecins se sont-ils acharnés sur moi pour me maintenir en vie ? De quel droit ? [..] Dans mon cas, me faire vivre, forcer le destin pour me sauver à tout prix et faire de moi ce que je suis désormais était une connerie. » En décembre 2002, Vincent Humbert, jeune tétraplégique, aveugle et muet, sollicite du président de la République le droit de mourir, qui lui est refusé. Cloué sur son lit d’hôpital, conscient de l’immense chagrin qu’il cause à ses proches et particulièrement à sa mère, Marie, qui veille sur lui sans relâche, Vincent n’attend qu’une chose la délivrance qui mettra un terme à son supplice. Son cri à la mort et ses confidences déchirantes ont relancé le débat sur l’euthanasie. La justice peut-elle refuser une mort digne à ceux que la vie a abandonnés ?