Castro, l’infidèle
Roman hallucinant mais vrai, entre thriller politique, chanson de geste et réalisme magique à la Garcia Màrquez : cette biographie de Fidel Castro, résultat de longues années d’enquête, de centaines d’entretiens et de témoignages exclusifs sur un personnage historique » monumental « , tyran, missionnaire, marxiste, jésuite, regorge de révélations. Sur ses amours tumultueuses, officielles et interdites, ses enfants secrets, sa haine viscérale de la famille et des homosexuels. Révélations aussi sur ses relations très précoces avec les services secrets soviétiques, sur son terrifiant système répressif, sur les coulisses de la » crise des missiles « , sur la véritable histoire de l’assassinat du président Kennedy, sur la mort du Che, enfin expliquée, sur le rôle de Cuba dans le dossier chilien qui a abouti à la chute et la mort de Salvador Allende, sur l’affaire Ochoa, sur la peur de Gorbatchev d’être victime d’un attentat à Cuba, sur le jeu tortueux des USA qui, après avoir tenté de l’assassiner à de multiples reprises dans les années soixante, ont fini par tolérer ce dictateur » pas comme les autres » afin d’avoir, à leur porte, un » échantillon communiste inoffensif « . Pour la première fois, un livre plonge au cœur de la légende du Comandante, homme caméléon, stalinien tropical, génie ou psychopathe, qui a inventé un nouveau genre littéraire malheureusement appliqué au peuple cubain : l’irréalisme tragique.
Le code Altman
Un mystérieux navire battant pavillon chinois quitte Shanghai, chargé de produits chimiques illégaux destinés à la fabrication d’armes de destruction massive. Il faut l’intercepter sans compromettre le fragile équilibre diplomatique entre la Chine et l’Amérique. Jon Smith, agent du très secret Réseau Bouclier, part à Taiwan dans l’espoir de découvrir ce qui se trame. Mais en dépit des risques mortels qu’il n’hésite pas à prendre, son enquête piétine et le cargo poursuit sa route inexorablement. A mesure que s’accumulent les traquenards, les trahisons et les meurtres, et que le funeste navire approche de son point de non-retour, Jon Smith remonte la piste d’un gigantesque complot international, qui pourrait bien impliquer les plus hautes sphères du pouvoir et menace de faire basculer le monde dans un conflit nucléaire. Intrigue palpitante, rythme haletant, machinations politiques, secrets, menaces, action et suspense – Le Code Altman, quatrième épisode de la série du «Réseau Bouclier» créée par Robert Ludlum, est un roman explosif et jubilatoire de la première énigme à la dernière révélation.
La Salamandre
Catherine, dont la vie s’organisait autour du travail avec la haine des dimanches, le secours de la télévision, l’affection d’un chat et l’usage fréquent de somnifères, tourne le dos à la France pour s’installer au Brésil. Dépassant sa condition de touriste, elle quitte l’univers des agences de voyages pour celui des favelas. La violence avec laquelle les gens se traitent entre eux ne lui est alors plus épargnée. Dans ce récit d’un parcours absolu, Jean-Christophe Rufin livre une tragédie moderne, où l’héroïne semble soudain obéir à une loi profonde qui la pousse à se détruire et à s’accomplir en même temps. À travers ce portrait d’une femme qui se perd et se découvre, l’auteur reprend aussi un thème qui lui est cher, celui de la rencontre entre les Occidentaux et leur tiers-monde fantasmé. Loin de la vitrine exotique et du mythe révolutionnaire, il va au-delà de la vision idéalisée, tout au moins » idéologisée « , du tiers-monde, vers un monde ambivalent, fait à la fois de richesse et de violence, repoussant et attirant.
Qui sommes-nous ?
Existe-t-il des « races pures » ? Les inégalités se répartissent-elles au hasard ou en fonction de l’appartenance ethnique ? La couleur de la peau détermine-t-elle le comportement et la culture ? Nul autre que Luca Cavalli-Sforza, directeur et initiateur du programme de recherche sur la diversité du génome humain, actuellement professeur de génétique à Stanford, n’était qualifié pour répondre. Faisant place nette des peurs, des tabous et des manipulations qui conduisent à la discrimination raciale et à l’épuration ethnique, le généticien italien, né à Gênes en 1922, nous raconte le vrai et fascinant roman de l’évolution humaine, où la couleur de la peau est une adaptation aux rayons solaires. Nous apprenons que les recherches sur les groupes sanguins et sur les chromosomes permettent aujourd’hui de dessiner les cartes très précises des groupes ethniques, de leur origine, de leurs croisements à travers les cent mille années d’histoire de l’homme moderne ; qu’il existe une correspondance étroite entre les groupes linguistiques et les groupes génétiques. Mais le mérite de Cavalli-Sforza tient à sa démarche interdisciplinaire qui lui permet, en s’appuyant sur les données de la génétique, de la paléontologie, de l’histoire et de la linguistique, d’analyser, puis de reconstruire les multiples aspects de la diversité humaine. Une diversité qu’il affirme être, en définitive, la meilleure garantie de survie pour notre espèce.
Digérez vos migraines
Sept millions de personnes en France, un million rien que pour la région parisienne, souffrent de migraines. Cette affection souvent chronique, très douloureuse et invalidante, est un véritable casse-tête pour la médecine. L’auteur, migraineuse depuis de nombreuses années, propose ici une méthode qui ne prétend pas soigner les causes de la migraine mais donne au lecteur les moyens d’éviter de nombreuses crises par une approche différente de l’alimentation et une répartition judicieuse de certains aliments au cours de la journée. Cette méthode, sans restriction ni médicament, est basée sur une interprétation originale des grands principes de diététique, ainsi que sur les récentes découvertes biophysiologiques en matière de nutrition et d’assimilation qu’elle a adaptées avec succès aux migraines. Méthode qui s’inscrit dans le sens d’une véritable prise de conscience de l’individu : ne pas attendre de recettes magiques mais apprendre à se connaître.
Lorsqu’un Sénégalais visite sa « sous région », il voit en fait sa maîtresse. Au bénin, l’amant, lui, joue au « sous-marin ». Et là où souvent en Afrique, on se contente de « tirer un pénalty », le Togolais éprouve la hantise de « faire un Zorro », un enfant qui arrive sans avoir été désiré. Au Mali, qui n’aime pas aller à la « garcerie », la maison close, où on le sait en Côte d’Ivoire, les filles font « boutique mon cul » ? Mais attention au Sida que les Zaïrois ont rebaptisé « Syndrome Inventé pour Décourager les Amoureux ». Justement, un Camerounais vous le dirait, ne restez pas » derrière comme les fesses », ne soyez pas le dernier informé : le Dico franco-africain de Pascal Krop est appelé à devenir « nylon » (voir chapitre 14…) Tu fais l’avion par terre* est une mine d’expressions savoureuses, un recueil d’humour et de sagesse qui montre comment l’Afrique réinvente la langue française. Conseiller de la Direction de l’Evénement du jeudi, Pascal Krop est l’auteur de La Piscine; Les services secrets français : 1944-1984 ainsi que du Génocide franco-africain : faut-il juger les Mitterand ? aux éditions Lattès.
Le voile de la douleur
Sameem grandit dans un foyer en Angleterre depuis que sa mère est rentrée au Pakistan avec le reste de la fratrie. Ce sont des années heureuses et insouciantes. Tout change avec le retour de sa mère. Sameem devient le souffre-douleur de la famille. Une situation d’autant plus invivable qu’elle se sent étrangère : la culture et la langue pakistanaises lui sont inconnues.À l’âge de 13 ans, sa mère l’emmène au Pakistan, soi-disant pour des vacances. Loin d’un voyage d’agrément, il s’agit en réalité de marier Sameem de force à un homme qui n’a qu’un but : obtenir les papiers qui lui permettront de vivre en Europe. Enceinte, Sameem retourne en Angleterre où l’on continue de la maltraiter. Ce n’est qu’après avoir rencontré le grand amour que Sameem décide de se libérer de ce cauchemar en s’enfuyant vers Manchester accompagnée de son jeune fils. Mais elle ignore alors les représailles qui l’attendent – elle a bafoué l’honneur familial.
Ne t’inquiète pas pour moi
Dès 13 ans
Une correspondance par Post-it sur le frigo entre une mère et sa fille. Chaque jour, elles se parlent par messages interposés, de la simple note jetée pour rappeler de ne pas oublier d’acheter le lait au message personnel et intime. Lorsque la mère tombe gravement malade, le temps presse mais l’espoir demeure jusqu’à la fin.
Le journal de Philol
Dès 13 ans
Pour son quinzième anniversaire, Philomène, dite Philol reçoit en cadeau de sa mère un journal intime. Ringard ? Pas tant que ça. Raconter sa vie et celle des autres, c’est un vrai plaisir, surtout quand les événéments se bousculent au lycée comme à la maison.
J’avais treize ans sous l’occupation
Dès 13 ans
Nantes, 1943. Au plus fort de l’occupation allemande, Félix, treize ans, ne rêve que de rejoindre un réseau de résistance. Une sombre histoire de corbeau dénonçant des Nantais aux Allemands va lui permettre de faire la preuve de son courage et de sa détermination. Doutant de tout et de tous, Félix se lance à corps perdu dans une enquête difficile et âpre qui l’amènera à regarder d’un autre oeil tous ses proches.
Pourquoi pas moi ?
Dès 13 ans
Elvis a réalisé un exploit. Il a posé une marque rouge tout en haut du mur du collège. Il mérite le titre de chef de la bande des Buttes-Rouges. Yasmina, elle aussi, entend bien montrer de quoi elle est capable. Une fillle n’aurait-elle pas le droit de défier le chef ? N’écoutant qu’elle-même, Yasmina relève l’impossible défi.
Train de nuit pour Lisbonne
Une femme penchée sur le parapet d’un pont. un matin à Berne, sous une pluie battante. Le livre, découvert par hasard, d’un poète portugais. Amadeu de Prado. Ces deux rencontres bouleversent la vie du sage et très érudit professeur Raimond Gregorius. Au milieu d’un cours de latin, soudain il se lève et s’en va. Il prend le premier train de nuit pour Lisbonne, tournant le dos à son existence anti-poétique et sans savoir ce que vont lui révéler la beauté étrangère de Lisbonne et le livre d’Amadeu. Fascinée par les profondeurs que ce texte lui ouvre sur l’amour, l’amitié, le courage et la mort. il veut savoir qui était Amadeu de Prado : un médecin de génie, poète, militant engagé dans la Résistance contre la dictature de Salazar – un orfèvre des mots, un maître à penser, un explorateur de la vie à la manière des anciens navigateurs portugais. L’enquête menée par Gregorius l’entraîne dans une ronde de personnages fortement dessinés qui ont connu Amadeu. Leurs témoignages convergent vers cet homme et cernent en même temps la personnalité de Gregorius : » coupable » d’avoir trop peu osé. Un grand roman européen qui sonde les multiples territoires de l’âme et de la conscience de soi
Le ranch de l’étalon noir
Dès 9 ans
Alec participe à de nombreuses courses avec Satan, le fils de Black, offert comme promis par Abou ben Ichak. Black, resté en Arabie, lui manque cruellement. Mais Abou ben Ichak meurt à la suite d’une chute. Conformément à ses dernières volontés, l’étalon noir est transporté aux États-Unis et Alec l’enrôle dans la Coupe Internationale.
Sur les traces de l’étalon noir
Dès 9 ans
Tous les spectateurs, dressés dans les tribunes, crient en désignant le cheval qui commence à se détacher du peloton : C’est Feu de Joie !… Feu de Joie en tête ! » Cette course, il faut que Feu de Joie la gagne. Il doit montrer qu’il est le digne fils de Black. Il doit prouver qu’il a la même fougue et la même rapidité que son célèbre père. Ce soir, sur la piste d’un immense hippodrome, Feu de Joie court sur les traces de l’Étalon Noir…
Flamme et l’étalon noir
Dès 9 ans
Black, l’Étalon Noir, vient de pénétrer pour la première fois dans l’île d’Azul, lors soudain il s’arrête. Devant lui se dresse Flamme, l’étalon alezan, le pur-sang sauvage, maître de l’île ! La bataille est fatale. Quand elle se produit, furieuse, toute l’île retentit de leurs hennissements et du bruit des coups qu’ils se portent. Puis, brusquement, les deux superbes animaux ces-sent de combattre… et entreprennent de lutter d’un même coeur contre un ennemi commun. Ainsi commence, sur l’île déserte, une amitié totale, mais dramatique, entre Flamme et l’Étalon Noir. Pour qu’ils se rencontrent enfin, il a fallu un extraordinaire enchaînement de circonstances.
La maison Russie
À Moscou, pendant la première Foire du livre des années de la « Perestroïka », un manuscrit change de mains. Il s’agit en réalité d’une liasse contenant des secrets militaires qui pourrait bien changer le cours de l’histoire. L’invraisemblable destinataire de ce dossier, un petit éditeur du nom de Barley Scott Blair, se voit enrôlé malgré lui dans les services secrets britanniques. Sa mission : remonter à la source du texte et découvrir l’intention cachée de son auteur. Barley reprend contact avec la ravissante Katia, celle qui lui a remis le manuscrit. On aurait pu croire qu’avec la nouvelle politique d’ouverture de Gorbatchev, le roman d’espionnage était fini. John Le Carré démontre le contraire avec ce récit qui joue des nouvelles données géopolitiques et prouve qu’un bon écrivain peut toujours tirer son épingle du jeu. Il brosse une galerie de portraits post-guerre froide aussi justes et humains que l’étaient ses espions du temps de « La Taupe ».
Paris est tout petit
L’histoire d’amour que vous n’oublierez jamais, un roman qui répare et un hymne à Paris. Inès a 17 ans et un objectif : être admise à Sciences Po après le bac. Elle vient de trouver un job de femme de ménage chez les Brissac, dans le 7e arrondissement de Paris, mais elle n’avait pas prévu le coup de foudre intense entre elle et Gabin, le fils aîné de ses employeurs. Paris est tout petit pour ceux qui s’aiment, comme nous, d’un aussi grand amour. Cette phrase de Prévert devient leur credo. Inès et Gabin sont ensemble le soir de l’attentat du Bataclan, quand le pire se produit. Dès lors, leur histoire et la ville qui les entoure prennent d’autres couleurs, celles de l’après.
Soeurs pour la vie
Ted a quinze ans lorsqu’elle est repérée par une agence de mannequins. En même temps, sa grande soeur Ava, fashionista invétérée, apprend qu’elle est atteinte d’un cancer. Dès lors, la mode devient pour Ted un moyen d’échapper à la dure réalité, tout en se rapprochant de sa soeur Ava qui l?initie aux codes de ce monde nouveau pour elle. Lorsqu’Ava perd ses cheveux à cause de la chimiothérapie, Ted décide de se raser la tête par solidarité. Son nouveau look lui permet d’attirer le regard d?un agent international. À elle la scène new-yorkaise, les jet-lags, les soirées luxueuses… mais aussi les difficultés de la vie face aux appareils photos.
Toute une histoire
Dans ce récit tendre et drôle à la fois, Hanan el-Cheikh rapporte avec une scrupuleuse fi délité les confessions de sa mère analphabète, Kamleh, née au début des années 1930 dans une famille chiite extrêmement pauvre, au Sud-Liban. Après la mort prématurée de sa grande soeur, Kamleh est promise à son beau-frère alors qu’elle n’a que onze ans. Dans le quartier populaire de Beyrouth où elle s’installe avec la famille de son futur mari, elle est placée comme apprentie chez une couturière et tombe amoureuse du cousin de cette dernière, Mohamed, un jeune lettré féru de poésie. Forcée à quatorze ans de se marier avec son fi ancé, Kamleh a une fi lle l’année suivante, puis une seconde, Hanan, trois ans plus tard, mais reste follement éprise du beau Mohamed. Elle échange avec lui des lettres enfl ammées qu’elle se fait écrire et lire par ses amies, s’identifi e aux héroïnes du cinéma égyptien, se grise des paroles ardentes des chansons à la mode. Elle va surtout, bravant tous les usages, tenter d’obtenir le divorce, au risque d’être séparée de ses filles. Portrait finement dessiné d’une femme du peuple, ru sée, truculente, enjouée, ce récit a été salué à sa pa rution, en arabe puis en anglais, par une presse unanime.
Les métiers des langues
Quels sont les débouches pour les linguistes ? Outre les débouchés » classiques – l’enseignement, l’interprétation et la traduction -, d’autres secteurs exigent désormais la maîtrise d’une à deux langues étrangères : commerce international, diplomatie, tourisme, information et communication, secrétariat, finance et droit international… Combien et quelles langues faut-il maîtriser ? Tout dépend du poste visé ! Dans l’enseignement, pas la peine de multiplier les combinaisons, à condition de connaître toutes les subtilités de la langue choisie. Quel que soit le métier envisagé, l’anglais reste hégémonique, mais une autre langue européenne – allemand, espagnol, italien, tchèque, hongrois… – ou une langue » rare » – le chinois a le vent en poupe – est un atout à l’embauche. Ou peut-on enseigner les langues ? En classes de primaire (et bientôt de maternelle !), au collège, au lycée, à l’université, dans les organismes de formation continue ou encore à l’étranger. Ou travaillent les interprètes et traducteurs ? La fonction publique (notamment internationale ou européenne) offre quelques places accessibles sur concours. Certains traducteurs et interprètes sont salariés en agence ou en entreprise, mais la plupart exercent en free lance. Traducteurs techniques, littéraires ou audiovisuels, ils doivent souvent jongler d’une spécialité à une autre pour arrondir leurs fins de mois. Y a-t-il une formation minimale pour entrer ans le secteur ? A la fac, les études de langues littéraires (dites » LLCE « ) mènent essentiellement à l’enseignement et à la traduction littéraire, tandis que celles de LEA (langues étrangères appliquées) sont plus ouvertes sur l’entreprise. Pour devenir professeur, il faudra aller jusqu’à la licence ou la maîtrise avant de passer un concours. Pour devenir traducteur ou interprète, l’idéal reste de passer par l’une des deux écoles les plus réputées l’ESIT (Ecole supérieure d’interprètes et de traducteurs) et l’ISIT (Institut supérieur d’interprétation et de traduction).
Les métiers du journalisme
20% C’est ce que représentent les pigistes dans la profession en 2006, soit plus du tiers des journalistes débutants. Passage obligé avant l’obtention d’un poste fixe, ce mode d’exercice payé à l’article ou à la journée correspond à un vrai choix pour certains mais peut aussi s’avérer synonyme de difficultés et de précarité lorsque l’insertion professionnelle tarde à venir. 36503 journalistes possesseurs de la carte de presse étaient recensés par la CCIJP (Commission de la carte de presse des journalistes) en janvier 2006. Si elle ne constitue pas la condition sine qua non pour exercer, la carte de presse permet d’être reconnu par ses pairs et peut être indispensable pour accéder à certains secteurs comme l’audiovisuel. 72, 8 % des journalistes travaillent dans la presse écrite, dont 21 % en presse spécialisée grand public. Forte de ses 1680 titres, cette dernière reste très prisée des lecteurs français, au point d’en faire les plus gros consommateurs de magazines (avec le Japon). La télévision ne représente quant à elle que 12,4% des effectifs et la radio, 5,3%. 80 % des journalistes en exercice sont passés par la filière universitaire. Les médias généralistes, les agences, la presse quotidienne nationale et l’audiovisuel plébiscitent également les formations des douze écoles reconnues par la profession, ainsi que celles de quelques établissements privés. Quel que soit le cursus, culture génerale, motivation et professionnalisme constituent des sésames pour faire sa place dans le métier.
Le garçon en pyjama rayé
A partir de 12 ans
Berlin 1942. Bruno a 9 ans, et vit avec ses parents et sa soeur dans une belle maison. Son père, un officier nazi, vient d’avoir une promotion et ils déménagent hors de Berlin. Bruno est triste de se retrouver loin de tout, dans une lugubre maison. De sa fenêtre, il peut voir des silhouettes d’hommes, de femmes et d’enfants, tous vêtus de pyjamas rayés. Personne ne veut lui expliquer qui ils sont.
Si tu veux être mon amie
A partir de 11 ans
Mervet, treize ans, du camp palestinien de Dheisheb, et Galit, douze ans, de Jérusalem, commencent à s’écrire en 1988. Comment se parler alors qu’autour d’elles deux peuples se déchirent, se battent, se haïssent parfois? « Je ne sais pas si tu veux être mon amie. A part ma famille, personne ne sait que je t’écris », s’interroge Mervet. « Quel sentiment étrange de savoir que j’écris à une palestinienne. C’est comme si c’était un rêve, un rêve heureux », lui répond Galit. Leur amitié naissante est sans cesse mise à l’épreuve par l’Intifada. Marquées par les préjugés de leur communauté, elles s’affrontent parfois ou tentent naïvement de trouver des solutions. Ce livre n’est pas une fiction : c’est un échange de correspondances qui parle d’incompréhension et d’amour, il parle de l’histoire humaine. Littsa Boudalika est réalisatrice de documentaires. Lors d’un voyage en Israël en 1988, elle a eu l’idée de proposer à deux petites filles, l’une israélienne, l’autre palestinienne de correspondre.
La belle Adèle
A partir de 12 ans
Adèle en a assez. Pourquoi devrait-elle se donner du mal pour se maquiller et s’habiller, comme les filles de sa classe? Est-ce le plus sûr moyen de ne pas se faire remarquer? D’être normale ? Et Frédéric… Il est gentil, il est même tragiquement gentil. N’est- ce pas le pire des défauts pour un garçon ? Adèle et Frédéric doivent trouver d’urgence une stratégie de survie. Ils ont alors une idée lumineuse..
L’enfant qui disait n’importe quoi
A partir de 11 ans
Alexis, élevé à la campagne par son grand-père, sait observer la nature et percer ses secrets. De retour chez ses parents, il explore, au cours de longues promenades, son nouveau domaine. C’est ainsi qu’il découvre, caché sur le toit d’un vieux moulin abandonné, un chalet où vit une vieille demoiselle. Celle-ci le charge de retrouver sa nièce, disparus des années auparavant. Pour réunir les deux enfants, il faudra la puissance magique d’un langage secret les mots étranges que prononce parfois, sans y penser, Alexis.
Cinq petits cochons
A partir de 12 ans
Cinq témoignages accablants ont fait condamner à la détention perpétuelle Caroline, la femme de Amyas Crale, peintre renommé, mort empoisonné. Seize ans après, Hercule Poirot, le détective belge qu’Agatha Christie a rendu célèbre, prend l’affaire en main. Ne s’arrêtant pas aux évidences, tirant parti du moindre indice, il fait éclater une vérité à laquelle personne ne s’attendait.
A.B.C. contre Poirot
A partir de 11 ans
Bien sûr, la retraite a ses charmes… Cependant, Hercule Poirot ne peut s’empêcher, de temps à autre, de reprendre du service. Oh ! pas pour n’importe quelle affaire, bien entendu. Un détective aussi célèbre que lui ne se dérangerait pas pour un meurtre ordinaire. Non, Hercule Poirot ne s’intéresse qu’aux crimes les plus déroutants, les plus passionnants, les plus…
Bref, à la crème des crimes. Et quelque chose lui dit que cette curieuse lettre signée A.B.C. va l’entraîner dans un mystère suffisamment épineux pour qu’il daigne faire fonctionner ses petites cellules grises. Oui, de toute évidence, A.B.C. fait partie de la crème des assassins… De quoi réjouir la crème des détectives.
Moi, Boy
Dès 10 ans
Que se passe-t-il quand on attrape une ratite ? Et quand on simule une crise d’appendicite ? Avez-vous jamais fumé du tabac de chèvre ? Vous a-t-on déjà affublé d’un costume de pompes funèbres pour vous rendre à l’école ? Neuf, dix, onze ans… les années passent : voici venu le temps de se demander ce que l’on fera après le collège ! Lorsque Roald Dahl, l’un des plus grands auteurs contemporains se souvient de ses années d’enfance, on découvre avec bonheur un jeune garçon qui ressemble étonnamment aux héros de ses livres.
Est-il indispensable de faire une école ? Internet, ça recrute vraiment ? Sans piston, point de salut ? L’alternance, un bon moyen de mettre le pied à l’étrier ? La presse écrite, c’est fini ? Toutes les réponses à ces questions et bien d’autres pour vous aider à choisir le métier qui vous correspond et à vous orienter vers la formation la plus adaptée.
Marie
« Existe-t-il une personne au monde qui ignorerait le nom de Marie, mère de jésus, celle qui engendra le plus grand bouleversement spirituel depuis la naissance du monothéisme ? Pourtant, ce que nous en disent les Evangiles se résume à quelques versets elliptiques et mystérieux. Durant les années nécessaires à la rédaction de ce roman, dressant le portrait de » ma Marie « , je me suis efforcé d’imaginer qui avait pu être cette Miryem de Nazareth, née en Galilée dans le chaotique royaume d’Israël en butte à l’occupation romaine. Quels liens entretenait-elle avec la résistance et l’un de ses chefs les plus populaires, Barabbas ? Quels rapports avait-elle avec les esséniens de Damas, la secte des thérapeutes ? Et avec son lointain cousin jean le Baptiste ? Né en Pologne, où le culte de Marie domine l’Eglise catholique, j’ai été depuis mon enfance fasciné par le destin de cette jeune juive à l’origine du christianisme. Un jour il fallait bien que je parte à sa recherche. Aujourd’hui, j’aimerais partager cette histoire passionnante avec vous. »
Lame de fond
Le meurtrier a commencé par droguer la jeune femme, puis l’a violée. Il lui a ensuite brisé les doigts et l’a jetée par dessus bord. Elle n’a pu nager jusqu’à la côte. Les inspecteurs Ingram, Galbraith et Carpenter n’ont rien d’autre que ce corps anonyme échoué sur la plage de la baie de Chapman. Pas de mobile. Pas d’empreinte. Pas de témoin. Enfin, presque. Il y a cette fillette de trois ans traumatisée par ce qu’elle a vu. Mais l’enfant sans nom s’est enfermée dans le mutisme. Les inspecteurs de la police de Lymington en sont réduits aux conjectures nébuleuses. Et à retourner cette question dans tous les sens : quelle sorte d’homme peut s’acharner ainsi sur sa victime ?
Dès 7 ans
Cléa a un secret. Elle habite un château où de petites princesses se cachent un peu partout : sur le décor d’un vase, sur le motif d’une statue ou d’un tapis ! Une fois la princesse trouvée, Cléa lui fait la révérence, et la voilà projetée dans un autre univers.
Cléa est transportée en Chine. Elle va aider deux princesses jumelles, Wei et Fen, à lutter contre Sun Wukong. C’est un singedémon qui a la faculté de se changer en ce qu’il veut et en qui il veut. Il a volé la tenue de couronnement de l’empereur et compte bien le détrôner. S’il parvient à ses fins, ce serait une catastrophe pour le peuple chinois ! Les trois fillettes partent donc traquer l’animal démoniaque dans son repaire. Elles ont pour seule arme un pinceau magique qui leur permet de donner vie à tout ce qu’elles dessinent…
Dès 7 ans
Cléa a un secret. Elle habite un château où de petites princesses se cachent un peu partout : sur le décor d’un vase, sur le motif d’une statue ou d’un tapis ! Une fois la princesse trouvée, Cléa lui fait la révérence, et la voilà projetée dans un autre univers.
Cléa aide une princesse Inuit à rompre une malédiction ! Cléa est transportée au Groenland. Elle va aider Akia, la princesse du peuple inuit, à retrouver Miki, son chiot. La petite fille est désespérée car le bébé Husky a disparu, et avec lui, tous les animaux de la banquise : les renards polaires, les ours blancs, les lièvres des neiges…
Cléa, Akia et son ami Pak décident de faire des recherches. En suivant des traces dans la neige, ils finissent par arriver au bord de la mer et découvrent que Miki et les animaux de la banquise ont tous été changés en phoques !
C’est Sedna, la déesse de l’océan, qui leur a jeté un sort. Elle s’est vengée, car elle n’a pas été invitée au concert organisé par les parents d’Akia. Les animaux retrouveront leur forme initiale qu’à une seule condition : que Cléa et ses amis apportent à Sedna deux objets. A eux de trouver lesquels…
Dès 7 ans
Cléa a un secret. Elle habite un château où de petites princesses se cachent un peu partout : sur le décor d’un vase, sur le motif d’une statue ou d’un tapis ! Une fois la princesse trouvée, Cléa lui fait la révérence, et la voilà projetée dans un autre univers.
Cléa est transportée sur une plage déserte. Elle fait la connaissance d’une ravissante princesse dotée d’une queue de poisson : Marissa ! Cette dernière change Cléa en sirène et l’emmène sous l’océan, à Aquatica. Elle lui fait découvrir un monde vibrant de vie et de couleurs…
Cléa est ravie : c’est la première fois qu’elle rencontre une princesse aussi drôle ! Mais catastrophe ! Marissa s’aperçoit qu’elle a perdu sa couronne ! Si elle ne la retrouve pas au plus vite, le royaume risque de disparaître…
Dès 7 ans
Cléa a un secret. Elle habite un château où de petites princesses se cachent un peu partout : sur le décor d’un vase, sur le motif d’une statue ou d’un tapis ! Une fois la princesse trouvée, Cléa lui fait la révérence, et la voilà projetée dans un autre univers.
Cléa est transportée dans l’Antiquité romaine. Elle y rencontre Titiana, une petite princesse désespérée à cause de son frère Marcus : comme il a manqué de respect à Juventas, la déesse de la Jeunesse, lui et tous les jeunes Romains de la cité ont été transformés en vieillards. Si les fillettes ne réussissent pas à rompre le sortilège, ils mourront très vite de vieillesse
La première nuit
L’amour est l’ultime aventure, mais l’aventure n’est pas sans danger… Il est une légende qui raconte que l’enfant dans le ventre de sa mère connaît tout du mystère de la Création, de l’origine du monde jusqu’à la fin des temps. À sa naissance, un messager passe au-dessus de son berceau et pose un doigt sur ses lèvres pour que jamais il ne dévoile le secret qui lui fut confié, le secret de la vie. Ce doigt posé qui efface à jamais la mémoire de l’enfant laisse une marque. Cette marque, nous l’avons tous au-dessus de la lèvre supérieure, sauf moi. Le jour où je suis né, le messager a oublié de me rendre visite, et je me souviens de tout… Des hauts plateaux éthiopiens aux étendues glacées du nord de l’Oural, Marc Levy conclut avec ce nouveau roman la fantastique épopée commencée avec « Le premier jour ».
Dès 7 ans
Cléa a un secret. Elle habite un château où de petites princesses se cachent un peu partout : sur le décor d’un vase, sur le motif d’une statue ou d’un tapis ! Une fois la princesse trouvée, Cléa lui fait la révérence, et la voilà projetée dans un autre univers.
Cléa est transportée à Taliki, dans l’archipel d’Hawaï. Elle rencontre la princesse Kaimi qui est désespérée! Pelé, la déesse du volcan, s’est réveillée, et elle menace de le faire entrer en éruption! Si la princesse ne fait rien, des flots de lave brûlante détruiront tout sur leur passage.
Une seule solution: trouver les Lili’i, cette tribu étrange qui se cache sur l’île Eppa. Selon la légende, ils posséderaient un objet magique capable de calmer la déesse: le Coquillage des Berceuses.
Dès 7 ans
Cléa a un secret. Elle habite un château où de petites princesses se cachent un peu partout : sur le décor d’un vase, sur le motif d’une statue ou d’un tapis ! Une fois la princesse trouvée, Cléa lui fait la révérence, et la voilà projetée dans un autre univers.
A la veille de Noël, Cléa est propulsée en Russie pour aider la princesse, Anastasia. Celle-ci est bien malheureuse, car l’affreuse sorcière Baba Yaga a transformé toute sa famille en statues de glace.La princesse, elle, a échappé à ce triste sort parce que Baba Yaga a besoin de ses larmes pour redevenir jeune et belle. Si elle veut délivrer les siens, Anastasia doit trouver deux flocons de neige identiques, et ce avant le premier coup de minuit. Hélas, c’est impossible !…
Dès 7 ans
Cléa a un secret. Elle habite un château où de petites princesses se cachent un peu partout : sur le décor d’un vase, sur le motif d’une statue ou d’un tapis ! Une fois la princesse trouvée, Cléa lui fait la révérence, et la voilà projetée dans un autre univers.
En Egypte ancienne, Cléa rencontre Nour, la fille du pharaon, dont la grande soeur est très malade.
D’après la légende, si la jeune fille meurt avant son seizième anniversaire, l’Egypte tombera aux mains des Babyloniens !
Il n’y a qu’un espoir : la potion magique de Neith, la déesse de la guérison. Mais seul le Sphinx sait où elle est cachée. Acceptera-t-il de dévoiler son secret ? Cléa et Nour réussiront-elles à sauver le royaume d’Egypte ?
Dès 7 ans
Cléa a un secret. Elle habite un château où de petites princesses se cachent un peu partout : sur le décor d’un vase, sur le motif d’une statue ou d’un tapis ! Une fois la princesse trouvée, Cléa lui fait la révérence, et la voilà projetée dans un autre univers.
Cléa rencontre une princesse africaine, Akissi, qui a un don fabuleux : faire pleuvoir !
Seulement, cette dernière a beau danser, aucune goutte de pluie ne tombe sur son village.
Si la sécheresse persiste, le père d’Akissi devra céder son trône à son frère, le sorcier Ata.
Mais pourquoi la princesse a-t-elle perdu son pouvoir ? Et que mijote ce sorcier au comportement bien étrange ?
Dès 7 ans
Cléa a un secret. Elle habite un château où de petites princesses se cachent un peu partout : sur le décor d’un vase, sur le motif d’une statue ou d’un tapis ! Une fois la princesse trouvée, Cléa lui fait la révérence, et la voilà projetée dans un autre univers.
Cléa est au Japon. Elle rencontre la princesse Yukiko, qui est très malheureuse. Gawa, le dieu de la rivière l’a rendue invisible, et il a envoyé une nymphe des eaux prendre sa place au palais. Mais pourquoi Gawa a-t-il puni Yukiko ? Cléa décide de percer ce mystère, et d’aider sa nouvelle amie à retrouver son apparence…
Dès 7 ans
Cléa a un secret. Elle habite un château où de petites princesses se cachent un peu partout : sur le décor d’un vase, sur le motif d’une statue ou d’un tapis ! Une fois la princesse trouvée, Cléa lui fait la révérence, et la voilà projetée dans un autre univers.
Cléa est en Perse. Elle rencontre une princesse très triste Azara. Celle-ci ne peut plus faire voler son tapis car le génie Abdoul lui a ôté la faculté de chanter. Cléa va l’aider à se débarrasser de l’affreux Génie
Le malade imaginaire
Argan, mari tyrannisé, père abusif, se livre aveuglément aux médecins qui l’entretiennent dans un état maladif, entre fantasmes et névrose. Rendu à l’état végétatif, il ne voit d’espoir, pour sauvegarder sa santé, qu’en l’union de sa fille Angélique avec un homme de médecine. Son choix s’est porté sur Thomas Diafoirus, neveu dégénéré d’un charlatan. Angélique, éprise de Cléante qui lui fait la cour travesti en maître de musique, refuse cette union que sa marâtre Béline encourage avec hypocrisie. Bousculé par Toinette, sa servante, ébranlé par une dispute avec son apothicaire dont il refuse un lavement, sermonné par son frère Béralde, Argan accepte de feindre le mort pour éprouver l’affection des siens. La fidélité de sa fille et la duplicité criminelle de sa femme éclatent enfin à ses yeux. Chassant de chez lui les faussaires de l’amour comme ceux de la science, il entreprend de se faire médecin lui-même pour mieux se soigner.
L’interprétation des rêves
Décodez le langage de vos nuits.Le rêve est l’escalier qui relie les immenses caves de l’inconscient aux étages supérieurs de la conscience. Il traduit notre personnalité profonde, notre authenticité essentielle. Il nous place face à nous-mêmes. Pierre Daco nous entraîne à la découverte des significations oniriques. À travers de très nombreux rêves puisés dans sa documentation, il nous montre comment on en arrive à pouvoir interpréter correctement ses propres rêves et à utiliser judicieusement les signes qu’ils nous envoient.
Fables – Livres VII à XI
Qu’il est cruel, le monde des Fables ! Les Poissons qui voient dans le Cormoran leur sauveur finiront dans son gosier. L’Âne naïf, parce qu’il a un jour brouté l’herbe d’un pré, servira de bouc émissaire à des prédateurs hypocrites. Et pourtant, nulle bête ne s’y montre plus féroce que l’Homme. La société que La Fontaine dénonce à traits légers profite des faibles et passe tout aux puissants – ce temps n’est pas si loin du nôtre.Seule consolation, les humbles plaisirs de l’existence, célébrés par ces livres VII à XI : l’attention d’un ami ou la fougue d’un amant, mais aussi le spectacle d’une nature paisible, loin du bruit des villes. Le poète nous amuse, et son imagination réjouissante nourrit notre esprit de méditations philosophiques. De là vient « le pouvoir des fables », qui ne s’est jamais démenti.+ Étude de l’oeuvre- travailler la lecture expressive- explications de texte- points de grammaire+ Parcours : « Imagination et pensée au XVIIe siècle »+ Les Fables dans l’histoire des arts+ Sujets de bac général et technologique.
Sous l’égide de Zola, qui les réunit tantôt à Paris, tantôt à Médan, un cercle d’écrivains décide d’écrire un recueil de nouvelles dont le cadre sera la guerre de 1870. Loin des récits patriotiques à la mode, Zola, Maupassant, Huysmans et leurs amis prévilégient les coulisses du conflit : victoire dérisoire parmi les décombres d’un moulin, hypocrisie bourgeoise, problèmes digestifs d’un troufion…, autant de situations rarement évoquées dans les années 1880. À sa sortie, l’ouvrage fit scandale, non seulement parce qu’on y vit un brûlot naturaliste, mais aussi en raison d’un regard trop novateur sur la guerre. Car, derrière l’originalité du style et de la diversité des points de vue, le refus des clichés et la recherche du vrai annoncent la crudité des récits de guerre du XXe siécle. Bibliolycée propose : • le texte intégral annoté de L’Attaque du moulin de Zola, de Boule de Suif de Maupassant et de Sac à dos de Huysmans, • un questionnaire bilan de première lecture, • des questionnaires d’analyse de l’œuvre, • quatre corpus accompagnés de questions d’observation, de travaux d’écriture et de lectures d’images, • une présentation des trois auteurs et de leur époque,
• un aperçu du genre de l’œuvre et de sa place dans l’histoire littéraire.