La (Toute) dernière fois…
On pense souvent à nos premières fois… Premier jour d’école, premier vélo sans roulettes, premier baiser, première cigarette… Mais c’est si loin, tout ça ! Nos dernières fois ne sont-elles pas plus présentes, plus fortes, plus propices à la réflexion ? Souvenez-vous… de la dernière fois que vous avez vu votre meilleur ami, de la dernière fois que vous êtes allé à la mer, de la dernière fois que vous avez fait une gaffe… Ou imaginez-vous au crépuscule de votre vie, vous rappeler vos toutes dernières fois. Ce recueil de textes vous plonge dans 60 vies. 60 personnages, 60 anonymes, qui pourraient être chacun d’entre vous. 60 anecdotes, comme des bribes de vie… des souvenirs récents ou plus lointains, légers, doux-amers ou plus graves. 60 émotions, ou presque… qui vous divertiront, vous interrogeront, vous étreindront… Tout au long de ces textes, vous vous identifierez, vous sourirez, vous serez peut-être aussi un peu remués… et vous penserez à toutes vos dernières fois, vécues et à venir. Alors vous aurez sans doute aussi une envie : vivre à 100 %.L’avis de quelques blogueuses (extraits) : « On se prend un feu d’artifice d’émotions en pleine figure qui nous renvoie inéluctablement à des situations que nous connaissons ou avons connues. »
La dame de Reykjavik
« L’inspectrice islandaise Hulda Hermannsdóttir est la meilleure héroïne tragique que nous avons lue depuis longtemps. » The Times
Hulda a tout donné à sa carrière. Mais en faisant toujours cavalier seul. Elle a beau être une des meilleures enquêtrices du poste de police de Reykjavik, à soixante-quatre ans, sa direction la pousse vers la sortie. La perspective de la retraite l’affole. Tout ce temps et cette solitude qui s’offrent à elle, c’est la porte ouverte aux vieux démons et aux secrets tragiques qu’elle refoule depuis toujours. Et ses échappées dans la magnificence des paysages islandais, pour respirer à plein poumons la sauvagerie de son île, ne suffiront plus, cette fois. Alors, comme une dernière faveur, elle demande à son patron de rouvrir une affaire non résolue. Elle n’a que quinze jours devant elle. Mais l’enquête sur la mort d’Elena, une jeune russe demandeuse d’asile, bâclée par un de ses collègues, va s’avérer bien plus complexe et risquée que prévu. Hulda a-t-elle vraiment pesé tous les risques ?
Requiem pour un diamant
Ce matin, la DRPJ de Versailles fourmille déjà. On vient de leur signaler un meurtre… Malgré la fatigue d’une nuit de planque, la commandant Virginie Sevran est envoyée sur les lieux. Elle ne cache pas son soulagement d’y retrouver son ancien collègue et ami Pierre Biolet, qui a récemment quitté Clermont-Ferrand pour la rejoindre dans cette partie cossue de la région parisienne. Ensemble, ils découvrent le cadavre de Victor Bardier, bijoutier renommé installé rue du faubourg Saint-Honoré, profondément lacéré et baignant dans son sang. Le corps a été déplacé, la scène de crime n’a pas été correctement gelée, quant à la femme de la victime, elle a disparu… Et que dire de cette énigmatique gemmologue russe avec laquelle le joaillier travaillait depuis peu ? De la place Vendôme au quartier des diamantaires d’Anvers, ce polar nous entraîne dans un monde confidentiel et feutré où, comme les diamants, la vérité comporte bien des facettes.
La fille de sa mère
– J’ai survécu à une histoire d’amour calamiteuse qui m’a quand même offert une fille extraordinaire, Joy, j’assume enfin mes rondeurs, mon roman est toujours un succès et mon nouveau mari Peter une perle rare… Je m’appelle Candace Shapiro et je suis comblée ! Bon, je vous l’accorde, tout n’est pas complètement rose : ma chère et tendre fille de 13 ans est une ado en puissance, et Peter veut un bébé… – Ma mère est trop envahissante ! Elle a écrit un roman nul que tout le monde adore sauf moi, elle m’étouffe avec son porridge et ses attentions, sans compter ses petits secrets avec Peter… En plus, elle est capable de choisir la robe la plus moche pour ma bat-mitsvah. Mais je ne vais pas me laisser faire ! Candace et Joy : mère et fille pour le meilleur et pour le rire !
Le mercato d’hiver
Scott Manson est l’entraîneur du club de football de London City. Les joueurs l’adorent ; ses patrons lui font confiance. Mais le jour où un homme est retrouvé mort dans les tribunes pendant un match à domicile, Manson va devoir agir. Le propriétaire du City, un milliardaire ukrainien, veut que l’affaire soit résolue au plus vite et le plus discrètement possible. Pas facile quand la victime en question est le célèbre manager de ce même club… Scott Manson doit mener l’enquête avant que la presse people ne s’empare de l’histoire de l’histoire. Et que le tueur ne frappe à nouveau. Le Mercato d’hiver, premier tome de la série Scott Manson, nous plonge dans les eaux troubles de la Premier League, un monde où l’adrénaline peut pousser aux pires excès….
Heimaey
Quand Jacques Soulniz embarque sa fille Rebecca à la découverte de l’Islande, c’est pour renouer avec elle, pas avec son passé de routard. Mais dès leur arrivée à l’aéroport de Keflavik, la trop belle mécanique des retrouvailles s’enraye. Mots anonymes sur le pare-brise de leur voiture, étrange présence d’un homme dans leur sillage, et ce vieux coupé SAAB qui les file à travers déserts de cendre et champs de lave… jusqu’à la disparition de Rebecca. Il devient dès lors impossible pour Soulniz de ne pas plonger dans ses souvenirs, lorsque, en juin 1973, il débarquait avec une bande de copains sur l’île d’Heimaey, terre de feu au milieu de l’océan. Un trip initiatique trop vite enterré, des passions oubliées qui déchaînent des rancoeurs inattendues, et un flic passionné de folklore islandais aux prises avec la mafia lituanienne : après l’inoubliable Mongolie de sa trilogie Yeruldelgger et le Brésil moite et étouffant de Mato Grosso, Ian Manook, écrivain nomade, nous fait découvrir une Islande lumineuse, à rebours des clichés, qui rend plus noire encore la tension qu’en maître du suspense il y distille.
Askja
Dans le désert de cendre de l’Askja, au cœur de l’Islande, le corps d’une jeune femme assassinée reste introuvable. Près de Reykjavik, des traces de sang et une bouteille de vodka brisée au fond d’un cratère, mais là non plus, pas le moindre cadavre. Et dans les deux cas, des suspects à la mémoire défaillante. Ces crimes rappellent à l’inspecteur Kornelius Jakobson, de la police criminelle de Reykjavik, le fiasco judiciaire et policier qui a secoué l’Islande au milieu des années 70 : deux crimes sans cadavres, sans indices matériels, sans témoins, que des présumés coupables finissent par avouer sans pourtant en avoir le moindre souvenir. Après Heimaey, Ian Manook nous entraîne cette fois au cœur d’une Islande plus brute et plus sauvage, dans les rouages d’une machination politique qui révèle une toute autre facette de cette république exemplaire.
Parler ne fait pas cuire le riz
À bientôt quarante ans, Jeanne est au bout du bout du rouleau. Plus de mec, un travail qui ne rapporte pas un rond, des relations tendues avec sa mère et quelques kilos en trop, sa vie ressemble à un désastre. Afin de l’aider à faire le point, sa sœur lui offre une semaine de vacances. Mais pas pour se la couler douce, non, pour faire une cure de jeûne. Le pire cauchemar de Jeanne! Imaginer dire adieu au pain au chocolat du matin et à tous les gâteaux qu’elle avale compulsivement, c’est déjà une torture, alors huit jours de diète forcée, c’est au-dessus de ses forces. Et pourtant… C’est au fin fond du Pays basque que la retraite commence avec Myriam, spécialiste déjantée ès jeûnes, et son mari JP, baba cool à la masse. Au programme : yoga, randonnée et bouillons. Pour Jeanne, la semaine s’annonce longue, très longue. Franck, le neveu de Myriam, et son ami Gustave, appelés en renfort, l’aideront-ils à surmonter sa mauvaise humeur? Entre petites galères et grands moments de solitude, cette héroïne à l’humour décapant, irrésistiblement humaine, nous embarque dans une comédie jubilatoire.
Sur l’autre rive
Saint-Nazaire, ses chantiers navals, une forêt de silos et de grues, les marais et l’océan à perte de vue, un pont entre deux rives. Pour Franck Rivière, 21 ans, jeune espoir du football local, des rêves plein la tête, c’est aussi la fin du voyage : une chute de 68 mètres et son corps glacé repêché au petit matin. Tandis que le capitaine Marc Ferré doute de ce suicide, Julia, la soeur de Franck, brillante avocate « montée » à Paris, se heurte aux vérités d’une ville qui cache mal sa misère, ses magouilles et son pouvoir secret : que le bizness paie peut-être plus que le ballon rond, que Saint-Nazaire ne l’a jamais quittée, et qu’on n’enterre pas aussi facilement un amour d’adolescence. Roman d’atmosphère, peinture sociale saisissante d’une région déchirée, Sur l’autre rive est un récit aussi noir que sensible où se déploient la puissance romanesque et le style percutant d’Emmanuel Grand, l’auteur de Terminus Belz et des Salauds devront payer.
L’outsider
Le Diable peut avoir de nombreux visages. Et s’il avait le vôtre ? Le corps martyrisé d’un garçon de onze ans est retrouvé dans le parc de Flint City. Témoins et empreintes digitales désignent aussitôt le coupable : Terry Maitland, l’un des habitants les plus respectés de la ville, entraîneur de l’équipe locale de baseball, professeur d’anglais, marié et père de deux fillettes. Et les résultats des analyses d’ADN ne laissent aucun doute. Dossier classé. À un détail près : Terry Maitland a un alibi en béton. Et des preuves tout aussi irréfutables que les preuves qui l’accusent. Qui se cache derrière ce citoyen au-dessus de tout soupçon ?
Globalia
Une démocratie compartimentée, régie par un calendrier où chaque jour a sa valeur, habillée de bulles de verre, assurant une température agréable et idéale toute l’année ; des indicateurs au service d’une protection sociale où dominent psychologues et officiers ; la volonté de faire perdurer les existences ; une prospérité ad vitam aeternam pour tous et tout le monde au pas. En somme, en apparence ça pourrait aller plus mal ! Seulement voilà, ce monde nouveau, calibré, mesuré, étudié, encadré est bien ennuyeux. On y bannit le passé, on y surveille la pensée, on contrôle les sorties du territoire, on montre du doigt les réfractaires. Tel est le prix et le revers de l’uniformisation. Un prix difficilement supportable pour Baïkal Smith qui tenterait bien l’aventure ailleurs, avec ses risques et périls. Globalia vaut donc bien Big Brother et 2004 revêt des allures de 1984. Sur les traces d’Orwell, mais pleinement inscrit dans son temps, Jean-Christophe Rufin épingle les travers de nos modernités, en proie aux totalitarismes.
Promenons-nous dans ce bois
L’arrivée de la star du polar allemand !Un camping-car prend feu en pleine nuit, au milieu de la forêt. À l’intérieur : un homme carbonisé. Le commissaire Bodenstein et sa collègue Pia Sander découvrent vite qu’il s’agit d’un meurtre, bientôt suivi par d’autres, dans la même petite ville. Des gens sans histoires, qui de toute manière n’avaient plus longtemps à vivre. Quel intérêt de les supprimer maintenant ? L’enquête ramène les deux inspecteurs quarante ans en arrière, à l’été 1972, lorsque le meilleur ami de Bodenstein, Artur, disparut sans laisser de traces. Un traumatisme d’enfance dont le commissaire ne s’est jamais remis, et une histoire que beaucoup auraient préféré oublier. Un lien semble exister entre les meurtres récents et la disparition de ce petit garçon, jamais élucidée. Visiblement, le meurtrier n’a pas fini de faire taire ceux qui pourraient parler. Pour l’arrêter, un seul moyen : découvrir ce qui s’est vraiment passé à l’époque, là-bas, dans ce bois?
Lumière noire
472 jours : c’est le temps qu’a passé Flora aux mains de son bourreau. 472 jours plongée dans un abîme de ténèbres, à n’espérer qu’une chose : survivre. Sortie miraculeusement de cette épreuve, elle cherche depuis à retrouver une existence normale. Pourtant, les murs de sa chambre sont tapissés de photos de filles disparues. Quand, à la recherche de l’une d’elles, Flora se fait de nouveau kidnapper, le commandant D.D. Warren comprend qu’un prédateur court les rues de Boston, qui s’assurera cette fois que Flora ne revoie jamais la lumière… Après le succès du Saut de l’ange, Lisa Gardner, l’un des grands noms du thriller psychologique, se met dans la peau d’une femme pourchassée par son passé, dans une enquête qui nous confronte aux plus insoupçonnables déviances humaines.
Lettres de sang
Hubert Hutchinson Alden Jr., businessman milliardaire, a tout pour lui : une femme superbe, un fils de huit ans qu’il adore, et une fortune qui ne cesse de croître. Assurer le bien-être des plus riches… Mais cette vie parfaite vole en éclats lors d’une nuit d’horreur, quand il découvre la tête décapitée de son chauffeur dans un sac sur lequel sont inscrites, en lettres de sang, les initiales de son fils. Peu après, ce dernier est enlevé… Jusqu’au jour où frappe un ennemi invisible ! À New York, seul un corps d’élite tel le NYPD Red, qui protège les rich and famous, est à même de « traiter » une telle affaire. Mais Zach Jordan et sa partenaire Kylie MacDonald – son ex-petite –, deux enquêteurs aguerris, sont loin de se douter du piège que leur a tendu le criminel…
La reine des pluies
Pâques 1974. Kate Carrington, alors âgée de douze ans, se retrouve orpheline en Afrique, continent méconnu et envoûtant. Ses parents, Sarah et Michael, deux missionnaires australiens, ont été assassinés dans la brousse, en Tanzanie, près de la frontière rwandaise. Puis vint le retour vers cette Australie qu’elle ne connaissait pas encore, la vie dans les pensionnats de la mission, ses études d’infirmière. Surtout s’endurcir, devenir imperméable aux autres pour ne plus souffrir. Mais voilà qu’emménage une mystérieuse voisine, femme âgée qui passe son temps autour d’un feu de camp dans son jardin, en compagnie d’une chèvre. Peu à peu les deux femmes se lient d’amitié et la vieille dame étrange et solitaire fait de surprenantes révélations à Kate sur son passé et la flamboyante reine des pluies…
Le berceau du monde
Essie a quitté l’Angleterre pour suivre son mari Ian Lawrence, éminent paléoanthropologue, dans un campement au cœur de la brousse tanzanienne. Là, sur les bords du lac Natron, les Lawrence recherchent, depuis des générations, les traces d’une civilisation primaire. Un jour, à la suite d’une rencontre avec le chef de la discrète tribu nomade des Hadzas, la jeune chercheuse se voit confier une étonnante mission : veiller sur Mara, une petite orpheline de quelques semaines, pendant les trois mois de la saison sèche. Rentrée au camp, Essie s’affole : elle qui n’a jamais voulu être mère, pourra-t-elle subvenir aux besoins du nourrisson ? Sans parler des conséquences de l’arrivée de Mara sur son couple, sur sa carrière, sur ses liens avec les autres Tanzaniens, qui semblent mal accepter la présence d’une petite Hadza à leurs côtés. Trois mois. Rien à l’échelle d’une vie, d’une civilisation, mais bien assez de temps pour bousculer le monde d’Essie et la forcer à questionner son rapport à l’amour, à la vie. Qu’adviendra-t-il de la jeune femme et de la fillette lorsque reviendront les pluies ?
Troisième jeunesse
À 79 ans, Alexandre déprime dans une luxueuse maison de retraite, entre les sosies de chanteurs morts, les quizz du soir et les tournois de tennis virtuels. Trois rencontres inattendues vont bouleverser sa vie. Pour la première fois, Alexandre va éprouver un frisson délicieux : l’urgence de vivre. Il prend alors une décision qui changera la fin annoncée de son histoire. » Vieillir avec humour et indépendance, quel défi ! «
Mardi 19h soir
Elynn est assez jeune pour avoir la vie devant elle. Pourtant, elle a souvent le sentiment que ses rêves sont de plus en plus loin derrière. Entre son couple qui végète et la réalité quotidienne de son métier d’infirmière, la jeune femme a l’impression de faire du sur-place dans un horizon sans intérêt. Comment en est-elle arrivée là ? Qu’est devenue l’enfant pleine d’envies qu’elle était ?
Cherchant à bousculer sa routine, Elynn s’inscrit dans un club de sport. De rencontres inattendues en expériences inédites, ce simple rendez-vous va vite se révéler essentiel et déclencher d’imprévisibles réactions en chaîne. Elynn et ses nouvelles amies vont peu à peu trouver les moyens de forcer les verrous qui les entravaient. La cage ne résistera pas longtemps…
Des matins heureux
La rencontre de trois destins malmenés : Elsa, Marie et Guillaume. Leur point commun : aucun d’eux ne dort la nuit. La vie de quartier les fera se croiser et se recroiser, au détour de la merveilleuse pâtisserie de Raphaël, d’un Lavomatic, d’une annonce sur Leboncoin….
La part des anges
Lisa a perdu le goût de vivre depuis la mort accidentelle de son fils. Avec son mari et sa fille, elle quitte Paris pour s’installer dans une ferme isolée au fin fond du Périgord, La Part des Anges, dans l’espoir de se reconstruire. En vain… Jusqu’au jour où Lisa découvre, niché dans le grenier de la vieille bâtisse, le journal d’Alice qui a vécu à La Part des Anges quatre-vingts ans auparavant. Page après page, Alice y raconte toutes les épreuves que la Seconde Guerre mondiale lui a fait traverser, de son mari déporté en Allemagne aux pires souffrances qu’elle a dû endurer pour assurer la sauvegarde de sa famille. Deux âmes égarées vont ainsi se rencontrer à l’abri des murs de ce lieu mystérieux. Devant le courage d’Alice, Lisa trouvera-t-elle la force de se reconstruire ? Deux époques, deux femmes, une leçon de vie et d’espoir.
Toutes les couleurs de la nuit
Le diagnostic est irrévocable. D’ici trois semaines, Vincent aura perdu la vue. Confronté à son destin, ce prof de tennis de trente-cinq ans qui avait tout pour être heureux expérimente le déni, la colère et le désespoir. Comment se préparer à vivre dans l’obscurité ? Sur qui compter ? Alors que le monde s’éteint petit à petit autour de lui et que chaque minute devient un parcours d’obstacles, il se réfugie à la campagne où il renoue avec ses souvenirs d’enfance. Les mains plongées dans la terre, Vincent se connecte à ses sens, à l’instant présent et aux autres. Il tente de gagner le match de sa nouvelle vie. C’est l’histoire lumineuse d’une renaissance, d’une transmission familiale et d’un amour hors normes. Une immersion sensorielle dans un univers méconnu.
La cour des grandes
Elles sont quatre, elles veulent tout, leur vie est un roman. De leurs cahiers de tests de collégiennes à leurs plannings surbookés, Mathilde, Alice, Lucie et Eva sont entrées sans s’en rendre compte dans la cour des grandes. Héroïnes made in France, elles ne rêvent plus de prince charmant, de robe meringuée et d’alliances. Elles n’en ont plus le temps. Crèche, école, courses, vie sexuelle, carrière, enfants malades, premières rides et corps qui fout le camp, elles tentent de maîtriser le tourbillon qui les emporte depuis qu’elles ont dit oui. Dans un Paris de comédie romantique, ces équilibristes à l’aube de la quarantaine rient, galèrent, aiment et espèrent, car au fond leur vie ne fait que commencer.
L’embarras du choix
Quelle a été votre dernière décision ? Quels ont été vos choix de vie importants ? Nous sommes toutes et tous confrontés à l’embarras du choix ! Ce livre vous plongera directement dans le mariage d’Emma et de Julien. Elle doit dire OUI… bien sûr, puisque toute l’assemblée est suspendue à ses lèvres. Sauf que… un malheureux contretemps va emmener Emma dans un film intérieur dont elle est l’héroïne, et qui va lui faire vivre un hypothétique avenir, complètement irréel et fantasmé… Cette incursion dans son imaginaire lui apportera-t-elle la réponse à la question que le prêtre vient de lui poser ?
Se le dire enfin
De retour de vacances, sur le parvis d’une gare, Édouard laisse derrière lui sa femme et sa valise. Un départ sans préméditation. Une vieille romancière anglaise en est le déclic, la forêt de Brocéliande le refuge. Là, dans une chambre d’hôtes environnée d’arbres centenaires, encore hagard de son geste insensé, il va rencontrer Gaëlle la douce, son fils Gauvain, enfermé dans le silence d’un terrible secret, Raymond et ses mots anciens, Adèle, jeune femme aussi mystérieuse qu’une légende. Et Platon, un chat philosophe. Qui sont ces êtres curieux et attachants ? Et lui, qui est-il vraiment ? S’il cherche dans cette nature puissante les raisons de son départ, il va surtout y retrouver sa raison d’être.
• Pénélope à la plage, A. Gutman et G. Hallensleben• Armeline Fourchedrue, Q. Blake• Rita et Machin, J.-P. Arrou-Vignod et O. Tallec• Lise et Bébélune, E. Chichester Clark• Je veux ma maman !, T. Ross• Meg et la momie, H. Nicoll et J. Pienkowski• La reine BonBon, A. Sanders• Le Monstre poilu, H. Bichonnier et Pef• Boucle d’or et les trois ours, T. Ross• Le jardin de Princesse Camomille, de Hiawyn Oram et Susan Varley• Madame Piquedru la blanchisseuse, B. Potter• Belle la Coccinelle, A. Krings• S.M.A.C.K., C. McNaughton• N’aie pas peur !, J. Willis et T. Ross• Irène la courageuse, W. Steig.
J’aime les histoires : une collection pour découvrir le plaisir de lire, de raconter et d’écouter… Des recueils magnifiquement illustrés avec un système de picto qui permet à l’enfant ou à ses parents de bien choisir l’histoire, selon la thématique ou le temps de lecture. Une très belle collection à découvrir tout de suite ! Et si on lisait une histoire ? Avec des princesses rebelles ou trop coquettes, des fées gloutonnes ou un peu tombées sur la tête, des chevaliers très courageux ou carrément peureux, avec des trolls ou des dragons tout feu tout flamme, choisis les personnages que tu veux pour ton histoire du soir ! Un ingénieux système de pictos permet de faciliter le choix de l’histoire pour les enfants et les parents, selon 4 grands thèmes : – des histoires de princes et de princesses qui font rêver – des histoires de fées, de sorcières et de lutins pour nous enchanter – des histoires de trolls et de dragons qui nous font rire ou trembler – des histoires de chevaliers et de dragons qui font des duels endiablés 5 minutes, 10 minutes ou 15 minutes : un réveil mentionne combien de temps dure l’histoire.
Perles de rocaille fantaisie
Colliers élastiques, fleuris, tressés ou multirangs, clowns joyeux, poissons multicolores, insectes fabuleux… Ce livre fourmille d’idées et d’astuces pour créer tout en vous amusant des parures assorties et des figurines originales et inédites. Entrez dans le monde enchanteur des perles de rocaille, découvrez les différentes techniques et les matériaux les plus inattendus pour concevoir une multitude de modèles uniques en leur genre !
10 histoires pour mes 10 ans
10 histoires pour s’évader et frémir de peur : ce jour à, Michel contre le dragon… et un CD pour chanter, danser et faire la fête.
Tome 1 – Manhattan girls
Vous êtes traquée par les paparazzi parce que vous êtes la fille d’un super top model ? Vous rêvez de fuir Manhattan parce que tous les hôtels fashion à la ronde appartiennent à votre père ? Vous voulez chanter vos propres chansons alors que l’icône pop du moment est votre mère ? Bienvenue dans l’enfer du glamour, des fêtes qui tournent mal et des gaffes qui font le tour de YouTube !
L’Odyssée
« Vous avez le choix : Ulysse ou le Cyclope. Vous choisissez Ulysse. Au péril de votre vie, après dix années de combats, vous avez pris la ville de Troie. C’est votre surnom : « preneur de Troie ». Sur le chemin du retour, vous avez perdu nombre de vos compagnons. Les uns, le Cyclope les a engloutis. Les autres se sont noyés. Ils ont mangé les Vaches du Soleil, en dépit de vos recommandations. Ils ont goûté à des fruits étranges qui procuraient l’oubli. Ils ont fait l’expérience de vivre en cochons. Mais vous, Ulysse, vous avez dû lutter.Vous avez percé l’oeil du Cyclope, le fils de Poseidon. Vous n’aviez pas le choix. De là vient l’acharnement de Poseidon à vous nuire. Pauvre Ulysse, incapable de profiter de l’immortalité toute proche que Calypso vous offre sur un plateau en or. Courage, les déesses vous protègent, et la terre n’est plus très loin !Vous aurez bientôt l’âge de Télémaque, celui d’Ulysse, puis celui de Laërte : déjà vous savez que votre vie s’est jouée quelque part entre Troie et Ithaque. »
Le jardin de Badalpour
A quinze ans, l’héroïne de ce livre comprend qu’elle a tout perdu : ses parents, son nom, son pays et jusqu’à son âge. De Selma, sa mère, la descendante des sultans, morte à Paris dans la misère, elle ne sait presque rien. Quant à son père, si sa famille adoptive lui dit qu’il était le radjah de Badalpour, d’autres murmurent qu’il s’agissait d’un Américain.Zahr se battra pour retrouver ses racines. Elle reverra son père, croira retrouver sa famille dans cette Inde musulmane qui d’emblée l’a conquise… jusqu’au moment où son univers s’écroule à nouveau et où il lui faut fuir.Après le best-seller De la part de la princesse morte, où revivait la figure de sa mère, c’est à son ascendance paternelle que Kenizé Mourad a consacré ce bouleversant roman, qui nous entraîne du quartier Latin des années soixante au mystérieux jardin du palais décrépit de Badalpour.Kenizé Mourad a écrit un grand roman, si l’on veut bien considérer qu’un romancier est celui qui invente avec ses souvenirs.Fabrice Gaignault, Elle. Il existe en Inde, dans l’enceinte du palais décrépit du défunt radjah de Badalpour, un petit jardin où une jeune occidentale vient régulièrement se ressourcer, car Zahr, fille de sultane et descendante d’un des derniers souverains de Constantinople, est aussi fille de radjah, et donc de cette terre indienne. Son histoire est celle d’une femme qui, en venant au monde, a tout perdu: son nom, son prénom, son âge, son pays, ses parents _ sa mère, ayant fui l’Inde, l’a confiée avant de mourir à une famille adoptive. Une fois adulte, Zahr se lance dans la quête désespérée de sa véritable identité sans laquelle elle a l’impression de ne pouvoir commencer à vivre. A vingt et un ans, après bien des années de recherches, elle retrouvera son père et son pays. Elle découvrira une famille déchue depuis l’indépendance de l’Inde, une communauté musulmane minoritaire et persécutée. Ses habitudes d’occidentale choquent et lui valent maintes rebuffades. En outre, elle n’est qu’une femme et, à ce titre, n’a guère de droits. Mais elle a enfin trouvé le bonheur d’avoir une famille et un père qu’elle adule. Jusqu’à ce que son univers s’écroule à nouveau et qu’elle soit obligée de tout quitter. Vingt ans plus tard elle revient et, après bien des luttes, finit par comprendre que ces » appartenances » auxquelles chacun s’accroche ne sont en fait que des béquilles qui aident à tenir debout, des barrières qui limitent, souvent même des oeillères qui aveuglent. A présent, libérée de ses fantômes, Zahr pourra-t-elle partir vers d’autres horizons, légère, enfin prête à danser sa vie? Kénizé Mourad a été journaliste et a travaillé pendant douze ans comme grand reporter spécialisé dans les affaires du Moyen-Orient et du sous-continent indien. Elle a consacré à l’histoire de sa famille, il y a dix ans, un célèbre roman: De la part de la princesse morte (Laffont), qui s’est vendu à plusieurs millions d’exemplaires. Le jardin de Badalpour est le second volet de cette saga familiale.
La trahison des dieux
Le récit légendaire de la guerre de Troie ressuscité par l’auteur des Dames du Lac. La princesse Cassandre, fille du roi Priam, prêtresse du temple d’Apollon, a vu l’inexorable avenir : Hector tué par Achille, les Grecs vainqueurs après des années de siège, la ville à feu et à sang, en expiation de l’enlèvement d’Hélène. Mais comment détourner la marche du destin, comment surmonter l’aveuglement et l’inconséquence des hommes ? Écartelée entre l’obéissance aux dieux et ses liens avec les humains, Cassandre assistera désespérée à l’accomplissement de la volonté divine. Passions amoureuses, fracas des batailles, héroïsme et violence des combats singuliers, intrigues de palais : l’épopée ancienne devient ici un fabuleux roman historique au rythme haletant, aux couleurs somptueuses. Ce roman a été publié précédemment dans la même collection sous le titre : La Trahison des dieux.
Lady scarface
Elles sont meurtirères, frondeuses, séductrices, esprits rebelles et libres, elles ont choisi d’être des Lady Scarface, à la vie à la mort… De la naissance des bordels de Chicago à celle d’Hollywood, Diane Ducret nous plonge dans l’intimité des » fiancées de la poudre « , les femmes du clan d’Al Capone et autres gangsters qui ont fait trembler le monde. Elles s’appellent Mae alias » Madame Capone « , Ada et Mina Everleigh, les » Impératrices du vice « , Margaret Collins, » la fille au baiser mortel « , Louise Rolfe, » L’alibi Blonde « , Thelma Todd, » la fiancée de la poudre « , Virginia Hill, » la sulfateuse » ou Bonnie Parker, » la Juliette au revolver » : elles sont les compagnes d’infortune comme de gloire, de whisky et de fêtes interminables d’Al Capone, Bugsy Siegel, Lucky Luciano… Traquées par le patron du FBI J. Edgar Hoover, muses de la prohibition, elles n’ont rien à envier aux hommes en matière de crime, les talons haut en prime. Avec le brio qui la caractérise, Diane Ducret raconte autant d’histoires qui font l’histoire du crime, abordant toujours l’univers du crime dans la lignée de son best-seller « Femmes de Dictateur ».
La Martinique, « perle des Antilles », a su développer son tourisme tout en préservant sa vocation agricole primordiale, ses activités de pêche et ses savoir-faire traditionnels. Fruits et légumes (ananas, corossol, igname, dachine, patate douce…) ; poissons et fruits de mer (requin, lambi, tazard, z’habitant…) ; aromates (cannelle, oignon-pays, vanille…) ; pâtisseries (bracelet rose, cheval au galop, galette moussache, potin, robinson …) : le luxuriant département français d’outre-mer offre ainsi une diversité de produits de terroir savoureux, odorants et colorés que les Martiniquais accommodent selon un art culinaire héritier de plusieurs traditions, pour obtenir des mets aux mille parfums. Dans ce guide, découvrez ou redécouvrez ces délicieux trésors de la gastronomie créole : féroce de morue à l’avocat, matoutoucrabe, soufflé de papayes vertes, rougail de tomates, sans oublier les célèbres punchs dont la réputation a depuis longtemps traversé les mers. Autant de recettes gourmandes, clairement expliquées, que cet ouvrage vous invite à garder vivantes et à savourer.
La tragédie des siècles
Le livre que chacun devrait au moins une fois votre vie lire. Le livre La Grande Controverse, de l’auteur américain d’Ellen White Gould, la série la dernière partie dramatique jamais. Dans ce livre, vous apprendrez tout sur l’histoire du christianisme de la destruction de Jérusalem à la 70e Vous apprendrez intéressants faits historiques sur les réformateurs comme John Wycliffe, Jean Hus, Jérôme, Luther, William Miller. Renseignez-vous sur les conflits du bien et du mal, ce qui se passe sur notre planète, et ce qui nous attend. Vous allez apprendre des faits intéressants au sujet de la pénétration dans la fausse doctrine de l’Eglise, l’influence de la papauté dans le monde. Ce livre se penche sur l’avenir, afin que vous puissiez lire les événements que nous sommes toujours en attente.
Hello, Plum !
A soixante-dix ans passés, Pelham Grenville Wodehouse (1881-1975), auteur de plus de cent ouvrages romanesques, reconnu comme le repère le plus stable du fameux humour anglais, passe enfin aux aveux. Censé répondre aux questions d’un journaliste indiscret, il glisse rapidement sur sa vie privée pour mieux s’adonner à la digression, art dans lequel il excelle. Il sautille allègrement de la presse aux romans policiers, en passant par les chiens, Shakespeare, les chauffeurs de taxi, Hollywood, le ramassage des escargots, etc. Ces propos sans importance et reconnus d’utilité publique sont dédiés à tous les inconditionnels du loufoque.
La croix des Assassins
Une nouvelle race de tueurs a vu le jour. Des initiés qui ne connaissent plus la douleur, ni physique ni morale. Des élites, patrons de multinationales et hommes politiques, qui ont abandonné toute humanité pour s’emparer du pouvoir suprême. Ce sont les membres de la loge Kadosh Kaos. Ce sont des « Assassins… » Quand la franc-maçonnerie découvre l’existence de cette loge sauvage, le commissaire Antoine Marcas est choisi pour infiltrer ce groupuscule qui ne cesse de s’étendre. Mais ce que Marcas ignore, c’est qu’il va devoir affronter un terrible secret séculaire que se sont disputé les Templiers et la secte musulmane des Assassins. Jamais une mission n’aura mené le frère Marcas aussi loin. Car il devra, lui aussi, accepter de suivre la « Croix des Assassins… »
L’enfant de la mer
L’enfant à la peau argentée, déposé par la mer sur la plage de Cap de Chien, n’est pas un enfant comme les autres. Ses mains et ses pieds sont palmés, et il a une nageoire dans le dos… Tant que les villageois accepteront Fado parmi eux, ils ne manqueront de rien : la mer leur’ offrira de quoi vivre. Mais qu’arrivera-t-il si l’enfant de la mer est un jour rejeté ?
Nomade j’étais
Dans ses années africaines, Isabelle sera confrontée à de multiples épreuves ; la médiocrité du frère aimé Augustin ; son mariage avec un spahi algérien ; le procès ignoble qui l’expulse d’Algérie et la sépare de son mari. Mais elle revient vers la terre élue et, dès lors, entre en nomadisme comme on entre en religion. C’est à Aïn Sefra, où elle était en reportage, qu’elle trouva la mort un après-midi d’octobre 1904, engloutie dans les eaux d’un oued… Grâce au jeune lieutenant Paris, qui entreprendra de fouiller les décombres boueux, ses manuscrits parviendront jusqu’à nous.
Un terrain de basket-ball dans la jungle des Philippines ; une statue de la liberté à Taïpei ; des camions livrant du Coca-Cola dans les rues de Lahore ; un campus Rockefeller à l’université de Lyon ; un McDonald’s à Alexandrie : autant de signes de la dimension planétaire de l’empreinte états-unienne. Nés au XVIIIe siècle, et ayant connu un développement extraordinairement rapide, les États-Unis sont sans doute le premier pays, dans l’histoire contemporaine, à avoir eu à la fois l’ambition et les moyens de rayonner à l’échelle de la planète et de la reconfigurer, tant sur le plan économique que politique ou culturel. Y sont-ils parvenus ? Du cinéma à l’exportation de la démocratie en passant par la consommation de masse ou la peinture abstraite, Ludovic Tournès offre la première analyse totale du processus d’américanisation. Examinant son évolution et ses transformations, mais aussi ses limites, aux États-Unis comme ailleurs, depuis plus de deux siècles, il renouvelle notre compréhension d’un phénomène bien plus complexe qu’il n’y paraît. Ludovic Tournès est professeur d’histoire à l’université de Genève. Il a publié de nombreux ouvrages, parmi lesquels New Orleans Sur Seine. Histoire du jazz en France (Fayard, 1999), L’Argent de l’influence. Les fondations américaines et leurs réseaux européens (Autrement, 2010), ou encore Les États-Unis et la Société des Nations (1914-1946) : le système international face à l’émergence d’une superpuissance (Peter Lang, 2015).
Cluedo : Meurtre à Noël
C’est toi le héros ! Pour Noël, le Docteur Lenoir t’a invité dans un luxueux hôtel d’altitude, avec tous les membres de sa société. Mais la fête tourne court quand ton hôte est retrouvé mort dans son bureau fermé de l’intérieur… Comment cela est-il possible ? Ce mystère serait-il lié à la légende locale de la Dame Blanche ? Isolés par une tempête de neige, vous ne pouvez pas appeler la police. Alors, en amateur de romans policiers, tu n’hésites pas une seule seconde à mener toi-même l’enquête ! Tu es prêt ? A toi de jouer !
Si tous les dieux nous abandonnent
Violence, cruauté, trahison : rien ne leur sera épargné.Céline est une jeune femme en fuite. Léopold, un vieux monsieur qui ne tient plus à la vie que par habitude. Quant à Josselin, il ne s’agit en fin de compte que d’un idiot qui se croit très malin.Le destin de ces trois personnages va se trouver lié de manière inattendue et impitoyable.Un dieu malfaisant aurait-il décidé de s’amuser avec leur existence, comme un fou qui jouerait aux dés ?Malgré leurs défauts, malgré leurs maladresses, Céline, Léopold et Josselin nous touchent comme nous toucheraient des amis, des semblables, des frères. Ce qui leur arrive pourrait tout aussi bien nous arriver. Si tous les dieux nous abandonnent, il nous faudra continuer à vivre seuls, pauvres humains.
Cache-cache
Peppa va-t-elle trouver la nouvelle cachette de son frère ? Rejoins Peppa et apprends avec elle à compter jusqu’à trois en anglais !
A toi le Japon !
Savez-vous que le mot Japon signifie « pays du soleil levant » ? Que les mangas se lisent de droite à gauche ? Ou ce que Tsubaki fait après l’école ? Avec À toi le Japon !, Masayuki et Tsubaki vous font partager leur mode de vie et leur culture. Ce documentaire de 40 pages organisé en doubles thématiques entraîne le lecteur à la découverte de l’archipel nippon.
500 questions de la cavalière
Comment les chevaux communiquent-ils entre eux ? Pourquoi faut-il éviter de leur donner du sucre ? A quel rythme faut-il les panser ? Comment choisir un mors ? Comment devient-on éleveur ? Organisé en 5 grandes parties (connaissance du cheval, vie quotidienne, soins, pratique de l’équitation, compétitions), ce livre répond à toutes les questions que les cavalières débutantes ou plus expérimentées peuvent se poser. L’indispensable pour tous les fans d’équitation !
Tales from the Arabian nights
The original concept is most likely derived from a pre-Islamic Persian prototype that probably relied partly on Indian elements, but the work as we have it was collected over many centuries by various authors, translators and scholars across the Middle East and North Africa. The tales themselves trace their roots back to ancient and medieval Arabic, Persian, Indian, Egyptian and Mesopotamian folklore and literature. In particular, many tales were originally folk stories from the Caliphate era, while others, especially the frame story, are most probably drawn from the Pahlavi Persian work Hazār Afsān. Though the oldest Arabic manuscript dates from the 14th century, scholarship generally dates the collection’s genesis to around the 9th century. Some of the best-known stories of The Nights, particularly « Aladdin’s Wonderful Lamp », « Ali Baba and the Forty Thieves » and « The Seven Voyages of Sinbad the Sailor », while almost certainly genuine Middle-Eastern folk tales, were not part of The Nights in Arabic versions, but were interpolated into the collection by its early European translators.
This book chronicles the unforgettable account of one of the most severe child abuse cases in California history. It is the story of Dave Pelzer, who was brutally beaten and starved by his emotionally unstable, alcoholic mother: a mother who played tortuous, unpredictable games–games that left him nearly dead. He had to learn how to play his mother’s games in order to survive because she no longer considered him a son, but a slave; and no longer a boy, but an « it. » Dave’s bed was an old army cot in the basement, and his clothes were torn and raunchy. When his mother allowed him the luxury of food, it was nothing more than spoiled scraps that even the dogs refused to eat. The outside world knew nothing of his living nightmare. He had nothing or no one to turn to, but his dreams kept him alive–dreams of someone taking care of him, loving him and calling him their son.
Quatre nouvelles réalistes sur l’argent
Entre 1830 et 1884, le rapport des hommes à l’argent bascule. De la généreuse insouciance de Mimi Pinson aux calculs mesquins des bourgeois fin de siècle, que s’est-il passé? Quatre écrivains majeurs du XIXe siècle éclairent de leur lucidité parfois féroce l’évolution d’une société soumise au règne de l’argent.