Retiens ma nuit
travers la liaison passionnée entre deux sexagénaires dans la bourgeoisie de Blois, l’histoire douce et cruelle d’une génération – les enfants paumés du baby-boom. Médecin de campagne, François promène sa langueur à l’ombre du château de Chaumont. Hélène dilue son désenchantement dans la galerie d’art qu’elle tient à Blois, au bord de la Loire. Ils ont tous deux passé la soixantaine, sont mariés, ont des enfants au bout du monde ou au bord du divorce, et des parents en EPAD ou au cimetière. Quand, à l’âge de tous les crépuscules, un amour printanier les surprend dans le huis clos de la bourgeoisie blésoise, ils s’y vouent corps et âme, dans une clandestinité qui les protège et les emprisonne. Sous la plume tendre et malicieuse d’un expert en nostalgies, l’histoire de leur liaison passionnée devient aussi celle, douce et cruelle, d’une génération – les enfants paumés du baby-boom.
Birdsong
‘The door of Sebastian Faulks’s fouth, most ambitious novel swings open quietly onto an airy domestic interior. We are in Amiens, where in 1910 a young Englishman without friends or family has taken a room. Stephen Wraysford has been sent by his employer to study the textile trade. His host, Azaire, is a prosperous manufacturer whose second wife Isabelle is a step-mother to adolescent children. As Stephen unpacks, listening to footsteps, shutters pushed back, voices from the garden, we are, in a few atmospheric pages, drawn as surely into the novel as he and Isabelle – all piled-up hair, pale skin, uneasy glances – are drawn into their haunting all-consuming love affair. Conducted in a half-forgotten room it is as inevitable as the pain which attends it, though the path Isabelle chooses is less predicable. What follows is anything but domestic. It is 1916. Stephen has become a lieutenant and France is a battlefield. The First World War is not exactly unvisited territory in fiction but Faulks’s possession of it is so passionate, so total, that it must surely rank as a tour-de-force, engrossing, moving and unforgettable. Stephen himself, lonely and brooding, is both charismatic and enigmatic. Some aspects of his character prove to be false trails, but he exercises fascination throughout, both on the reader and on his companions in the stinking claustrophobia of the trenches … So powerful is this recreated past that you long to call Birdsong perfect’
Vu de l’extérieur
Le couple, au bout d’un moment, c’est montrer aux autres que tout va bien.
Une carte d’identité du bonheur à exhiber pour faire râler tous ceux qui ne baisent plus, qui s’engueulent, qui ne paient plus les traites. C’est comme la belle voiture ou la raquette de tennis toute neuve, les enfants bien tenus ou les photos où tout le monde sourit. IL N Y A PAS DE SOLUTION.
Alors un jour, Doudou s’en va. Elle abandonne son mari, ses enfants, son joli pavillon pour prendre la route.
Un chagrin de passage
Cancer des poumons. Le médecin est formel. Dans six mois, Matthieu Cazavel – quarante ans, architecte – sera mort et enterré. Cruauté suprême, septembre a aujourd’hui des allures estivales et Paris resplendit. Dès cet instant, Matthieu décide de démêler l’écheveau de sa vie. Aussi se tourne-t-il naturellement vers les femmes qui ont peuplé » son existence : Sonia, sa ravissante et stupide maîtresse Hélène, l’épouse dont il s’est éloigné depuis longtemps; Mathilde, la seule femme qu’il ait vraiment aimée et qui pourra peut-être modifier la piètre image qu’il a soudain de lui-même.
Aimez-vous Brahms
Quarante ans. L’âge de la plénitude ? Françoise Sagan s’interroge, à travers le personnage de Paule. Paule est décoratrice, divorcée et vit seule. Elle est séduisante et pourtant son visage a perdu sa fraîcheur. Il a quelque chose de résigné. Elle aime Roger depuis six ans et résiste patiemment à ses infidélités. Elle est son point d’ancrage, elle le sait. Mais l’attente et la solitude l’éprouvent chaque jour davantage.
Tout ce qu’il ne faut pas dire
Le 18 décembre 2013, ma vie a basculé. Moi, Bertrand Soubelet, général de corps d’armée, directeur des Opérations et de l’Emploi de la gendarmerie, j’ai été écarté pour avoir dit la vérité : la sécurité dans notre pays n’est pas assurée comme elle le devrait. Que s’est-il passé ? Au Palais-Bourbon, devant les députés, ce jour-là, j’ai expliqué, en toute franchise, les difficultés que rencontre la gendarmerie : six mille emplois supprimés, une procédure trop complexe, une justice sans moyens, des délinquants dans la nature malgré l’engagement des gendarmes et des magistrats, des coupables mieux considérés que les victimes. Pour avoir fait ce constat, le Premier ministre a demandé ma tête.
Les chaises
LE VIEUX : Il y avait un sentier qui conduisait à une petite place; au milieu, une église de village… Où était ce village ? Tu te rappelles ? LA VIEILLE : Non, mon chou, je ne sais plus. LE VIEUX : Comment y arrivait-on ? Où est la route ? Ce lieu s’appelait, je crois, Paris. LA VIEILLE : Ça n’a jamais existé, Paris, mon petit. LE VIEUX : Cette ville a existé puisqu’elle s’est effondrée.. C’était la ville de lumière puisqu’elle s’est éteinte, éteinte, depuis quatre cent mille ans… Il n’en reste plus rien aujourd’hui, sauf une chanson.
Les Célibataires
Premier roman d’Henri de Montherlant, de l’Académie Française, Les célibataires décrit les moeurs de ces vieux garçons et vieilles filles dans le Paris des années 1920. Paru en 1934, ce roman a d’abord été publié, sous forme de feuilleton, dans la Revue des Deux Mondes. Ayant reçu le Grand Prix de Littérature de l’Académie Française, ce roman s’éloigne des récits autobiographiques de ses débuts. Ainsi, on ne retrouve pas le même ton que dans Le songe et Les Bestiaires. Sexagénaire endurci, Monsieur de Coëtquidan a l’habitude, depuis 9 ans, de lire son journal à la lumière de la vitrine de la même boutique. Cette manie en dit long sur l’étrange description que livre ici Montherlant de ces vieux messieurs. Classique dans son écriture, l’auteur laisse ici place à une minutie de description et à une recherche solide dans sa peinture de la pluralité des caractères humains. C’est ce style que l’on retrouvera dans Les Jeunes Filles, antithèse s’il en est de ces Célibataires.
La face cachée de Margot
Margo Roth Speigelman, le nom aux six syllabes qui fait fantasmer Quentin depuis toujours. Alors forcément, quand elle s’introduit dans sa chambre, une nuit, par la fenêtre ouverte, pour l’entraîner dans une expédition vengeresse, il la suit. Mais au lendemain de leur folle nuit blanche, Margo n’apparaît pas au lycée, elle a disparu. Quentin saura-t-il décrypter les indices qu’elle lui a laissés pour la retrouver ? Plus il s’en rapproche, plus Margo semble lui échapper.
La France des villages
460 pages – Perchés, colorés, fortifiés, volcaniques ou encore souterrains, ces villages pittoresques sont l’image de la France. Une diversité unique au monde qui se traduit par une incroyable richesse de styles se rencontrant dans la plupart de nos terroirs au détour d’un lac, d’un champ, d’une forêt, d’un verger, d’un cours d’eau, d’une vallée montagnarde, d’un rang de vignes ou bien d’un bord de mer. Des plus remarquables aux plus surprenants, découvrez chacun de ces lieux, classés par thèmes et commentés par des légendes détaillées. Imprégnez-vous de l’ambiance que dégagent ces émouvants témoignages de l’architecture des différentes époques historiques. Illustré de 1001 photos, ce bel ouvrage visite ainsi plus de 300 localités, où gastronomie, traditions et festivités se perpétuent dans la bonne humeur. Rénovés et protégés, ces villages constituent d’exceptionnelles perles du patrimoine.
Je suis né un jour bleu
Ce témoignage est un voyage aux côtés d’un jeune homme aux capacités hors du commun. Comme le héros de Rain Man, Daniel Tammet est un autiste savant, un génie des nombres. Son cerveau lui permet d’effectuer des calculs mentaux faramineux en quelques secondes.
Pour lui, les nombres sont des formes et des couleurs. Il a ainsi mémorisé les 22 514 premières décimales du nombre pi, un exploit qui a nécessité plus de cinq heures d’énumération en public. Daniel est également un linguiste de génie : il parle sept langues et a appris l’islandais en une semaine.
L’histoire d’Eva
Les mémoires de la demi-sœur d’Anne Frank. Un récit bouleversant.Le témoignage bouleversant de la demi-sœur d’Anne Frank Mai 1944. Le jour de ses 15 ans, Eva Schloss, une camarade d’Anne Frank, jeune juive réfugiée aux Pays-Bas comme elle, est découverte par les nazis dans sa cachette d’Amsterdam. Elle est envoyée à Auschwitz avec toute sa famille. Eva et sa mère réchapperont de l’enfer, son père et son frère n’en reviendront pas.
La Mare au Diable
On l’appelait la mare au Diable, car ses brumes, le soir, égaraient les voyageurs. Perdus à leur tour, Germain, Marie et le Petit Pierre sont forcés d’y passer la nuit. Le laboureur et la jeune fille ont le cœur triste. Germain va chercher une épouse pour s’occuper de ses enfants orphelins de leur mère. À quoi bon se marier, pense-t-il, quand l’amour n’y est pas. Et Marie a quitté sa mère, ce matin, en larmes, pour se louer comme bergère à la ferme des Ormeaux, si loin. Seul, Petit Pierre, le fils de Germain, est heureux et confiant. De lui dépendra le sort de ceux qu’il aime tant.
Long week-end
Cette année 1987, une chaleur caniculaire s’abat sur la côte Est pendant le long week-end de Labor Day. Henry a treize ans, vit avec sa mère, ne supporte pas la nouvelle épouse de son père, aimerait s’améliorer au base-ball et commence à être obsédé par les filles.
Jusque-là, rien que de très ordinaire, sauf que sa mère, elle, ne l’est pas. Encore jeune et jolie, Adèle vit pratiquement retirée du monde et ne sort qu’en de rares circonstances. La rentrée des classes qui approche la contraint à conduire son fils acheter vêtements et fournitures au centre commercial.
Compromissions
Jeux, prostitution, trafic de drogue : pour les parrains mafieux, la Corse est le paradis des « affaires ». Mais pour qu’elles prospèrent comme ils l’entendent, ils ont besoin du plus grand laxisme administratif, doublé de la plus grande bienveillance policière et judiciaire. Ce qui explique, d’une part, les accointances du « milieu » avec des soutiens haut placés en métropole et, d’autre part, l’intrication du combat indépendantiste et des actions criminelles commanditées par des truands désireux d’asseoir leur mainmise sur l’île de Beauté. De la French Connection à l’assassinat du préfet Érignac, des bases africaines de la mafia corse aux cercles de jeu parisiens, l’enquête de Pierre Péan retrace la guerre ouverte entre hors-la-loi et tenants de l’ordre républicain qui sévit depuis les années 1930. Un vrai thriller où les cadavres des victimes de règlements de comptes tiennent lieu de marque-pages.
Henri IV, le passionné
Henri IV, a écrit lui-même à son sujet : « Les uns me blâment d’aimer trop les bâtiments et les riches ouvrages; les autres la chasse, les chiens et les oiseaux; les autres les cartes, les dés et autres sortes de jeux; les autres les dames et les délices de l’amour: les autres les festins, banquets et friandises; les autres les assemblées, comédies, bals, danses et courses de bagues… Mais aussi dirai-je que, ne passant pas la mesure, tout cela me devrait plutôt être dit à louange qu’à blâme! « D’ailleurs, je ferai voir à ces gens que je quitterais maîtresses, amours, chiens, oiseaux, brelans, bâtiments, festins, banquets et toutes autres dépenses de plaisir et de passe-temps, plutôt que je perde la moindre occasion et opportunité pour acquérir honneur et gloire. » Lorsque la nouvelle de sa mort tomba sur Paris, nous dit un témoin, elle éteignit « la lumière du plus grand roi de la terre et le meilleur ». En province, sur les chemins, des paysans hagards, les bras croisés, guettaient courriers et voyageurs susceptibles de leur donner quelques détails sur la « désastreuse nouvelle ». Lorsqu’ils apprirent que le « père du peuple n’était plus, ils se répandirent à travers champs, « comme brebis sans pasteur, ne pleurant pas seulement, mais criant et bramant comme forcenés ». Selon son habitude, André Castelot s’est rendu sur place afin de faire revivre celui qui fut peut-être le plus grand roi de notre Histoire et dont l’existence forme un extraordinaire roman.
Fuir la colline aux esclaves
Etats-Unis, 1791. Lavinia, jeune orpheline irlandaise, se retrouve domestique dans une plantation de tabac. Placée avec les esclaves noirs de la cuisine, sous la protection de Belle, la fille illégitime du maître, elle grandit dans la tendresse de cette nouvelle famille. Cependant, Lavinia ne peut faire oublier la blancheur de sa peau : elle pénètre peu à peu dans l’univers de la grande maison et côtoie deux mondes que tout oppose.
Mentir n’est pas trahir
Gladwyn Suter a tout pour être heureux. La plus belle épouse, le fils le plus facile, la plus jolie maison dans la plus paisible banlieue de Londres. De bons petits plats et une tête blonde à ébouriffer chaque soir en rentrant du bureau. Les douces séductions du train-train quotidien. Mais on mesure son bonheur une fois qu’on l’a perdu.
Et la force d’Aimer
Mona surgit un soir au bord du canal Saint-Martin, jolie fille seule, épuisée. Lorsqu’il la voit, Emmanuel, installé mais célibataire, séducteur mélancolique, lui offre l’hospitalité, sans vraiment savoir pourquoi. Quelle force l’amène à protéger et à cacher la criminelle en fuite, jugée pour le meurtre de Tom, son amant ? Quelle force habite Mona, capable après neuf ans de détention, après une évasion mystérieuse, de tenter l’impossible pour s’approcher d’Éveline, sa fille, jamais revue depuis sa naissance en prison ?
Les dieux ont soif
Histoire de l’ascension infernale d’Évariste Gamelin, jeune peintre parisien, engagé dans la section de son quartier du Pont-Neuf, Les dieux ont soif décrit les années noires de la Terreur à Paris, entre les ans II et III. Farouchement jacobin, fidèle entre les fidèles de Marat et Robespierre, Évariste Gamelin finira par être nommé juré au tribunal révolutionnaire. La longue et implacable succession des procès quotidiens de plus en plus expéditifs (à partir de la loi de prairial en particulier) entraîne cet idéaliste dans une folie qui le coupera de ses proches et précipitera sa propre chute à la suite de son idole Robespierre, au lendemain du 9 Thermidor.
1600 garçons et filles sans parents, enfants des rues, enfants de la misère, orphelins ou abandonnés, ont été arrachés à l’île de La Réunion où ils vivaient et transportés en France au cours des années 1960-1970, au nom de la raison d’Etat. Ce département français d’outre-mer cumulait les handicaps : une croissance exponentielle de sa population et un sous-développement alarmant. Devant l’urgence de la situation, les hommes politiques, sous la férule de Michel Debré, ont mis en ouvre une politique ambitieuse : un flot de crédits ont été débloqués qui, en l’espace d’une décennie, ont permis de rattraper un certain retard, et une politique volontaire de migration, considérée comme la panacée à l’explosion démographique, a été mise en place.
Fair Shot
Facebook co-founder Chris Hughes argues that the best way to fight income inequality is with a radically simple idea: a guaranteed income for working people, paid for by the one percent.
The first half of Chris Hughes’s life played like a movie reel right out of the “American Dream.” He grew up in a small town in North Carolina. His parents were people of modest means, but he was accepted into an elite boarding school and then Harvard, both on scholarship. There, he met Mark Zuckerberg and Dustin Moskovitz and became one of the co-founders of Facebook.
In telling his story, Hughes demonstrates the powerful role fortune and luck play in today’s economy. Through the rocket ship rise of Facebook, Hughes came to understand how a select few can become ultra-wealthy nearly overnight. He believes the same forces that made Facebook possible have made it harder for everyone else in America to make ends meet.
To help people who are struggling, Hughes proposes a simple, bold solution: a guaranteed income for working people, including unpaid caregivers and students, paid for by the one percent. The way Hughes sees it, a guaranteed income is the most powerful tool we have to combat poverty and stabilize America’s middle class. Money—cold hard cash with no strings attached—gives people freedom, dignity, and the ability to climb the economic ladder. A guaranteed income for working people is the big idea that’s missing in the national conversation.
This book, grounded in Hughes’s personal experience, will start a frank conversation about how we earn in modern America, how we can combat income inequality, and ultimately, how we can give everyone a fair shot.at awakens in us a sense of what the novel can achieve, confront, and even heal.
Truth & Beauty
En Anglais – Ann Patchett and the late Lucy Grealy met in college in 1981, and, after enrolling in the Iowa Writers’ Workshop, began a friendship that would be as defining to both of their lives as their work. In Grealy’s critically acclaimed memoir Autobiography of a Face, she wrote about losing part of her jaw to childhood cancer, years of chemotherapy and radiation, and endless reconstructive surgeries. In Truth and Beauty, the story isn’t Lucy’s life or Ann’s life but the parts of their lives they shared. This is a portrait of unwavering commitment that spans twenty years, from the long winters of the Midwest to surgical wards to book parties in New York. Through love, fame, drugs, and despair, this is what it means to be part of two lives that are intertwined–and what happens when one is left behind.
Un amour à Auschwitz
Voici le récit, vrai, d’un amour révélé au coeur de la pire des nuits, celle d’Auschwitz. Un amour qui s’est voulu victorieux de la guerre, de l’horreur, de l’enfer. Un amour demeuré toutefois inaccompli sous la fatalité de l’Histoire.
C’est une pièce sur le travesti et la séduction, sur les erreurs de la passion, dues à la vanité, à la légèreté, à la coquetterie, à l’amour-propre. Pour vaincre les ennemis de son amour, l’héroïne mène sur trois fronts trois intrigues de séduction. Mais le sentiment véritable est toujours victorieux, car il est dévouement lucide à autrui. Le triomphe est celui de l’amour vrai sur le faux. Au centre de la pièce, un admirable dialogue entre un homme amoureux qui refuse d’aimer et une jeune fille qui brûle d’admiration pour cet homme déchiré.
Facteur risque
Un homme de 28 ans victime d’une fracture de la jambe ; une femme de 36 ans souffrant d’une rupture de ligament.
Morts dans les 24 heures.
Terreur à l’Hôpital général de Manhattan : des patients pour la plupart jeunes et en bonne santé meurent sans raison apparente après une intervention bénigne.
Laurie Montgomery et Jack Stapleton, les deux enquêteurs médicaux de Vector, privilégient vite la piste d’un serial killer médical. Le médecin en chef de l’hôpital, qui s’est pris d’amitié pour Laurie et a appris qu’elle est porteuse d’un marqueur génétique du cancer du sein, insiste pour l’opérer. Mais ne risque-t-elle pas ainsi de devenir la prochaine victime ?
Une fois encore, Cook mêle science et suspense en un thriller aussi criant de vérité que la une d’un magazine d’actualité.
L’une voilée, l’autre pas
Le voile est-il compatible avec le principe de laïcité ? Est-il le signe d’une crispation identitaire, d’un refus d’intégration ? L’exclusion des femmes voilées en France est-elle au contraire révélatrice d’une vision encore colonialiste qui donnerait au « foulard islamique » un sens et des objectifs qu’il n’a pas ou qu’il n’a pas toujours ? À ces questions de plus en plus présentes dans les écoles, les lieux de travail, les cités, on a souvent répondu par des arguments passionnels, des slogans et des oukases. Mais qui a véritablement sollicité le témoignage des musulmanes, qui s’est inquiété de leurs motivations profondes pour porter le voile ou pour le refuser ?
Y a pas d’embouteillage dans le désert
Moussa Ag Assarid est né au nord du Mali vers 1975, de parents nomades. Le jeune Touareg part pour la France un jour de 1999, et troque les dromadaires de son enfance pour notre mode de vie. Il raconte alors sa découverte de la France avec un regard étonamment pur, une justesse d’esprit et une finesse d’intelligence incroyables. Il est à la fois émerveillée et étonnée de ce pays, de sa nature, de ses habitants, de ses habitudes, de tout ce que nous ne voyons plus à force de le côtoyer, d’en user ou d’en abuser.
Réparer les vivants
Le coeur de Simon migrait dans un autre endroit du pays, ses reins, son foie et ses poumons gagnaient d’autres provinces, ils filaient vers d’autres corps ». « Réparer les vivants » est le roman d’une transplantation cardiaque. Telle une chanson de gestes, il tisse les présences et les espaces, les voix et les actes qui vont se relayer en vingt-quatre heures exactement. Roman de tension et de patience, d’accélérations paniques et de pauses méditatives, il trace une aventure métaphysique, à la fois collective et intime, où le coeur, au-delà de sa fonction organique, demeure le siège des affects et le symbole de l’amour.
L’enfant de la jungle
A l’âge de cinq ans, Sabine débarque en Papouasie occidentale (Indonésie) avec ses parents missionnaires allemands, sa soeur et son frère. Deux ans plus tard, la famille s’installe auprès d’une tribu, les Fayou, qui vit encore à l’âge de pierre, en pleine jungle, dans la ‘Vallée Perdue’. Lorsque Sabine découvre la jungle, c’est le coup de foudre. Elle apprend à chasser, à grimper aux arbres, à nager dans des fleuves grouillant de crocodiles. Elle sait tuer des araignées venimeuses avec son arc et allumer un feu sans allumettes.
La Philatélie
175 pages – Etat quasi neuf – Histoire, nature, sciences, arts… La philatélie est comme une immense encyclopédie où tous les thèmes se côtoient. C’est aussi un voyage dans le temps et dans l’espace, et une passion dévorante. Mais, comment se retrouver dans ce dédale lorsque l’on sait que 15 000 timbres sont émis chaque année à travers le monde ? Très pédagogique et largement illustré, ce livre s’adresse aux amateurs, collectionneurs débutants ou expérimentés. Il présente les différentes catégories de timbres et spécialisations (monographie, thématique, maximaphilie marcophilie…), et aborde des questions plus techniques comme la préparation, le classement et la conservation des timbres. Il sensibilise également le philatéliste à la valeur des timbres et le guide afin d’éviter les déconvenues (faux, trucages, falsifications…). Un ouvrage de référence, méthodique et fourmillant d’anecdotes, pour découvrir pas à pas l’univers de la philatélie, mais aussi ses coulisses… par deux philatélistes chevronnés, Serge Renaudeau et Pierre Kohler.
Tous les secrets de Paris
Les travaux d’Haussmann ont remodelé de fond en comble la physionomie de Paris, l’urbanisme des années soixante et soixante-dix a défiguré quelques-uns de ses sites les plus admirables. Il ne subsiste, hormis ses grands monuments, que peu de traces visibles de ce qu’était la capitale voici 150 ans. Mais il reste des lieux dont la bizarrerie donne des ailes à l’imagination, des stations de métro fantômes, des cimetières où se perpétuent d’étranges rites.
Je voulais retrouver ma mère
C’est un jour comme un autre dans la vie de Saroo. Le garçon, âgé de cinq ans, est dans une gare du fin fond de l’Inde en train de ramasser quelques pièces lorsqu’il monte dans un train à quai. Le lendemain, Saroo se réveille à Calcutta. Dans l’immense ville, il est complètement seul, sans aucun papier. Il est recueilli par un orphelinat où, quelques mois plus tard, un couple d’Australiens va l’adopter. Saroo grandit, mais, depuis l’Australie, il pense toujours à sa famille biologique.
Un amoureux pour Loulou
A partir de 8 ans – La Saint Valentin est le dernier des soucis de Loulou. Pire que cela, elle a horreur de l’amour et des cartes postales en forme de cœur. Mais au cours d’un week-end en Bourgogne avec ses parents, elle fait la connaissance de François. Lui fera-t-il changer d’avis ?
L’éducation sentimentale
De 1840 à 1867, la vie fait L’Éducation sentimentale de Frédéric Moreau et de toute une jeunesse idéaliste qui a préparé dans la fièvre la révolution de 1848. Le roman s’ouvre sur des rêves exaltés et s’achève sur la médiocrité des uns et des autres. Entre temps, la vie s’est écoulée autour de Frédéric, qui semble n’avoir pas plus participé aux mutations de son temps qu’à l’édifice de sa propre destinée potentielle. Au cours de cette existence, Madame Arnoux, dont les apparitions sont autant de surgissements mystiques, tient lieu au jeune homme d’absolu insaisissable.
Les nuits fauves
Il a 30 ans. Il aime des garçons ; Samy, à moitié voyou ; Jamel, fils de l’Islam et de Coca-Cola. Et les corps anonymes qui s’emparent de lui dans les rites pervers des nuits fauves. Il aime des filles de passage. Et Laura. Il veut tout. Ou peut-être rien. Il est séropositif. Lâcheté ou panique, il ne l’a pas dit à Laura, la première fois qu’ils ont fait l’amour. Il l’a peut-être contaminée. Elle a 17 ans. Elle l’aime, sans mesure, jusqu’à la folie, usant de tout pour ne pas le perdre : prières, violences, mensonges, chantages.
Pasta party
Faites-vous plaisir ! Lasagne au parmesan, Tortelli jambon-ricotta, Cannelloni aux épinards…. Entrez en cuisine et lancez-vous dans des recettes généreuses et gourmandes qui sauront ravir les papilles de vos convives !
L’évidence de l’après-vie
Y a-t-il une vie après la vie ? Dans L’évidence de l’après-vie, deux personnalités incontournables du sujet, Eben Alexander et Raymond Moody, nous livrent leurs réflexions, expériences dans un entretien de plus de deux heures. Eben Alexander, rendu célèbre par son livre La Preuve du paradis, raconte son histoire, ponctuée des questions et réflexions de Raymond Moody, mondialement connu pour avoir le premier évoqué la possibilité d’une vie après la vie.
De récentes études démontrent que croire en l’existence de l’au-delà stimule les défenses immunitaires, améliore le pronostic des maladies liées au stress, et augmente l’espérance de vie. Et si nous avions d’ores et déjà en notre possession suffisamment d’éléments rationnels et scientifiques pour pouvoir prétendre que l’au-delà existe ? Et si ces preuves étaient au nombre de sept ? Sept phénomènes déroutants et difficilement contestables ? Et si après la lecture de cet ouvrage vous n’étiez plus tout à fait comme avant ?
Meurtres pour mémoire
Texte intégral & Dossier – Un roman policier pour les élèves de Troisième
Dossier pédagogique de Sharmila Marius-Beaumont.
Le 17 octobre 1961, dans le contexte troublé de la guerre d’Algérie, une manifestation se tient à Paris et se heurte à une sanglante répression. Dans une rue déserte, un homme tombe, assassiné. L’inspecteur Cadin est chargé de l’enquête. Mais, au fil des pages, les découvertes font ressurgir des moments, bien refoulés, de l’histoire de France.
Belle de candeur
La secrète popularité de ce roman érotique écrit à la fin de la dynastie Minc ne s’est, semble-t-il, jamais démentie, comme en témoignent les nombreuses listes de proscription de « livres obscènes » où il figure en bonne place. L’action se déroule dans un passé lointain, dans ce que l’on appelle la « période des Printemps et des Automnes » (722-481 av. J.C). L’Histoire sert de cadre à une intrigue qui, en dépit de son caractère « résolument pornographique » – écrivait R. van Gulik à propos de ce livre – est soigneusement agencée et se fonde sur les enseignements des vieux manuels du sexe taoïstes.
De 1840 à 1867, la vie fait L’Éducation sentimentale de Frédéric Moreau et de toute une jeunesse idéaliste qui a préparé dans la fièvre la révolution de 1848. Le roman s’ouvre sur des rêves exaltés et s’achève sur la médiocrité des uns et des autres. Entre temps, la vie s’est écoulée autour de Frédéric, qui semble n’avoir pas plus participé aux mutations de son temps qu’à l’édifice de sa propre destinée potentielle. Au cours de cette existence, Madame Arnoux, dont les apparitions sont autant de surgissements mystiques, tient lieu au jeune homme d’absolu insaisissable.
Les enfants du Graal
1244. Tandis que fume encore le bûcher de Montségur, deux enfants, réchappés du massacre des Cathares, s'enfuient sous la protection de Guillaume de Robrouck, le moine flamand qui les a pris en pitié. D'implacables ennemis les traquent, représentant des puissances colossales, ramifiées en tous les pays – Templiers, Dominicains, « Assassins » de l'Orient – tandis que Saint Louis, l'empereur Frédéric II et le Pape Innocent IV s'affrontent dans un conflit dont l'enjeu est rien moins que l'hégémonie européenne… Or les deux enfants sont porteurs d'un secret susceptible de bouleverser les trônes et les pouvoirs. Dans leurs veines coule un sang qui les voue à réconcilier un jour Islam et Chrétienté. Ils incarnent – au sens premier du mot – le légendaire Graal…
Un groupe de randonneurs s’apprête à attaquer l’ascension du Kilimandjaro. Cinq Américains accompagnés d’un guide et d’une trentaine de porteurs. Rita, Shelly, Grant, Mike, et Jerry veulent se prouver à eux-mêmes ou au reste du monde, qu’ils sont capables de grimper jusqu’au sommet mythique de l’Afrique. Ils ne tardent pas à se rendre compte que la randonnée est loin d’être une partie de plaisir… Dave Eggers, auteur du Grand Quoi (prix Médicis étranger 2009) signe une nouvelle haletante, dans laquelle l’angoisse et l’absurdité des hommes croissent à mesure que le sommet approche.
Secondes chances
En Irlande et en Nouvelle-Zélande, de nos jours. Par une nuit d’hiver, la campagne néo-zélandaise est troublée par une scène dramatique : un hélicoptère emmène à l’hôpital un petit garçon de cinq ans. Son état inspire les plus grandes inquiétudes. Pour tous, il s’agit d’un terrible accident Le petit Finn a souvent fait des crises de somnambulisme, cette fois, il a chuté du balcon. Mais sa mère, Martha, cache quelque chose. Elle sait ce qui s’est réellement passé cette nuit-là. Mais elle se l’est juré, elle ne dira rien.
Lavina
Dans l’Amérique tourmentée de Martin Luther King, la haine est partout, mais les liens du cœur surpassent parfois ceux du sang. Un jour d’été, la mort de Lavina laisse deux orphelins : Billy Ray, son fils, et Mary Jacob, la fille mal-aimée de ses patrons qu’elle chérit comme sa propre enfant. Trente ans plus tard, tous deux sont de retour dans leur ville natale, chacun en quête de vérité… Un roman âpre, puissant et courageux dont les personnages vous hanteront longtemps.
Fleurs sauvages
Glasgow, 1929. Beattie Blaxland avait des rêves. De grands rêves. Elle imaginait une vie faite de mode et d’étoffes. Ce dont elle n’avait jamais rêvé, en revanche, c’est de tomber enceinte de son amant, un homme marié, à la veille de son dix-neuvième anniversaire. Londres, 2009. Emma Blaxland-Hunter vivait son rêve. Danseuse étoile au London Ballet, elle avait tout… jusqu’au jour où elle a tout perdu.