Vaincre autour du monde
Philippe Jeantot, né le 8 mai 1952 à Tananarive, est un navigateur à la voile français et le créateur du Vendée Globe, course à la voile en solitaire autour du monde. Il fait partie de cette génération de coureurs qui a largement contribué au développement de l’activité nautique en France, qui a amélioré l’image de la voile et des chantiers français.
Alors que tous dans la maison de retraite s’apprêtent à célébrer dignement son centième anniversaire, Allan Karlsson, qui déteste ce genre de pince-fesses, décide de fuguer. Chaussé de ses plus belles charentaises, il saute par la fenêtre de sa chambre et prend ses jambes à son cou. Débutent alors une improbable cavale à travers la Suède et un voyage décoiffant au cœur de l’histoire du XXe siècle. Car méfiez-vous des apparences ! Derrière ce frêle vieillard en pantoufles se cache un artificier de génie qui a eu la bonne idée de naître au début d’un siècle sanguinaire. Grâce à son talent pour les explosifs, Allan Karlsson, individu lambda, apolitique et inculte, s’est ainsi retrouvé mêlé à presque cent ans d’événements majeurs aux côtés des grands de ce monde, de Franco à Staline en passant par Truman et Mao…
Rimbaud le fils
Pierre Michon n’est pas le biographe de Rimbaud. Il ne cherche à ajouter aucun chapitre, aucune ligne aux hagiographies et études existantes. Simplement, il enfile la personnalité du poète, se glisse dans l’intime de son écriture, tâchant de rejoindre, en définitive, la sienne. À coups de « on dit que » ou « on ne sait si », il parcourt, commente, hésite, rêve, abandonne, reprend l’aventure d’Arthur Rimbaud. Il ne donne aucune réponse, ne résout rien, mais s’interroge (en même temps qu’il interroge le jeune poète) : qu’est-ce qui pousse un homme à écrire ? À rechercher l’excellence ? Qu’est-ce qui fait soudain mûrir ses vers, « autant que s’il avait écrit d’un seul trait de plume La Légende des siècles, Les Fleurs du mal et La Divine Comédie » ? Le regard de Pierre Michon sur le « jeune versificateur bien doué, roué et hugolâtre » est délectable. Car il vibre de son désir de dire la genèse de sa propre écriture et, partant, de toute création.
La liste de Freud
1938 : l’Allemagne nazie s’apprête à envahir l’Autriche, les Juifs cherchent à fuir par tous les moyens.
Alors qu’on lui délivre des visas pour l’Angleterre, Sigmund Freud est autorisé à soumettre une liste de ceux qu’il souhaite emmener avec lui.
Figurent sur cette liste, entre autres, son médecin et ses infirmières, son chien, sa belle-soeur, mais pas ses propres soeurs. Tandis que le père de la psychanalyse finira ses jours à Londres, toutes les quatre sont déportées dans le Camp de Terezin.
Adolfina, la soeur préférée de Freud, âme sensible et douée, enfant mal aimée, femme condamnée à la solitude, raconte : l’enfance complice avec son frère adoré, ses aspirations dans cette Vienne de fin de siècle, pleine du bouillonnement artistique et intellectuel, son amour déçu pour un camarade d’université, l’éloignement d’avec son génie de frère, sa rencontre avec Klara Klimt dans un hôpital psychiatrique, son rêve de Venise, sa blessure familiale…
L’islam contre l’islam
Rien ne serait plus périlleux, aujourd’hui, que de décrypter les tumultes qu secouent le monde arabe par le prisme de l’opposition entre démocratie et dictature. Ce sont là des catégories qui, sans être dépourvues de pertinence, ne rendent pas compte d’une réalité fondamentale : l’antagonisme immémorial des sunnites et des chiites. C’est pourquoi, dans cet ouvrage, Antoine Sfeir a choisi de remonter aux sources historiques et théologiques de cette guerre de «l’islam contre l’islam», afin d’en mieux saisir les implications géopolitiques. De l’Iran à l’Egypte, du Qatar à la Syrie, du Maghreb à «l’Orient compliqué» ? et, surtout, du prophète Mahomet aux luttes de succession ouvertes par sa mort ?, il brosse une freque magistrale du monde arabe tel qu’il est, de ses «printemps» à ses éventuels automnes. Une exploration minutieuse et pédagogique qui, en brassant un immense passé, éclaire singulièrement notre présent.
Pour qu’il ne meure jamais
Après la mort par overdose de son fils unique, Julian, au Cambodge, Judith n’a qu’une obsession : faire payer le prix du sang à ses assassins. Et pour elle, les assassins, ce sont les mafias du Triangle d’or qui inondent de stupéfiants tout le Sud-Est asiatique. Mais comment cette femme seule pourra-t-elle relever pareil défi ? Comment cette biologiste de profession pourra-t-elle se muer en une guerrière impitoyable ? Sans l’appui providentiel d’un ami de longue date travaillant pour les services secrets, sa mission eût été impensable. Il lui donnera les moyens de recruter quatres mercenaires, aussi inattendus que pittoresques. Avec eux, et le concours d’ethnies opprimées de la région, elle va se lancer dans une traque qui l’amènera des bas-fonds de Phnom-Penh, aux casinos véreux de la frontière birmane, et dans tous les lieux interlopes qui bordent le Mékong. Grâce à ses compagnons, elle parviendra à s’infiltrer au cœur du dispositif ennemi, chez les mafieux les plus cruels du monde, là où aucune police n’a encore osé se risquer. Et pour cause…
Là-haut
Qui est Henri Lanvern ? Peut-être faudrait-il dire : qui était Lanvern… Car depuis ce soir de juin 78, où, lors du tournage d’un film qu’il devait signer, le cinéaste a annoncé à son équipe qu’il partait le lendemain vers le Laos chercher un ami de longue date, ancien d’Indochine comme lui, nul ne l’a revu, n’a recueilli le moindre écho de sa vie. Au devant de qui, au juste, se portait Lanvern ? De son frère d’armes Cao Ba Ky. Mais dans quelles circonstances, quelles conditions – et pourquoi ce silence? S’agirait il d’un meurtre longuement prémédité ou d’un kidnapping des nouveaux maîtres du Vietnam ?. Ou encore – à l’inverse – d’une fuite? Autant de questions qui jalonnent une recherche singulièrement chargée d’ombres et de brumes. Mais c’est une femme qui mène l’enquête et ce que femme veut… L’un après l’autre, le producteur, le colonel du S.D.E.G.E., le monteur, le prêtre breton qui a connu et` confessé Lanvern enfant finiront par livrer leur part de vérité de cette histoire dont la clé fondamentale, bien avant la découverte finale, pourrait avoir pour définition cette observation simple et superbe : « Un seul type bien, vraiment bien, et ça change tout. – Un seul! Une histoire haletante parfois énigmatique, parfois bouleversante, et constamment prenante par le poids de vérité humaine qu’elle impose dans le parcours de ce labyrinthe.
A demain ! En chemin vers ma liberté
«Merci à TF1 de m’avoir offert ces deux décennies magnifiques. C’est un métier magique et c’est un bonheur de l’avoir exercé ici. Je suis sûr qu’on se reverra très vite. Soyez aussi heureux que cela est possible. Et, comme on dit en Bretagne, À Dieu vat! » 20h35, 10 juillet 2008,conclusion du journal de 20 heures de TF1. Pendant vingt et un ans, Patrick Poivre d’Arvor a conclu son journal télévisé par: «À demain!» Désormais, la grand-messe du 20 heures sans «PPDA» ne sera plus jamais la même. Pourquoi TF1 s’est-elle séparée de son présentateur vedette? Comment la rupture a-t-elle été annoncée, vécue, jugée par le principal intéressé et par les téléspectateurs? Au terme de cet été où il a remis ses pas dans les traces séculaires des pèlerins de Compostelle, celui que près de dix millions de Français regardaient chaque soir sur le petit écran raconte ici son chemin de liberté.
De sang et d’ébène
Venise, un soir d’hiver. Un vendeur à la sauvette africain est assassiné au beau milieu de Campo San Stefano. Un groupe de touristes américains était sur la place, marchandant des contrefaçons de sacs de marque, mais personne n’a rien vu qui puisse aider la police. Le commissaire Brunetti est chargé de l’enquête et il a du mal à comprendre les raisons d’un tel crime : les immigrants sans-papiers vivent repliés sur eux-mêmes dans des squats insalubres, sans contact extérieur… Cela ressemble fort à un règlement de comptes au sein de la communauté et sa hiérarchie lui conseille de laisser tomber ses investigations. Mais Brunetti veut en avoir le cœur net. Il fouille les quelques affaires de la victime et dans une petite boîte, il retrouve des diamants bruts dissimulés dans du sel… Qui était réellement cet immigrant ? Et comment s’est-il retrouvé en possession d’un tel trésor ? Et pourquoi cherche-t-on à décourager le commissaire dans son enquête ? « Magnifiquement ciselé, ce polar vénitien frôle la perfection. » Le Nouvel Observateur (à propos de Mortes-eaux). « Les saveurs vénitiennes de Donna Leon constituent un régal aussi dépaysant que délétère. » Madame Figaro. « Avec cet art bien à elle, tout en subtilité, de laisser affleurer dans les dialogues un ton de comédie amère, […] ». Le Parisien
La mort blanche
Lorsque la voiture piégée explosa dans une rue de Dublin, John O’Neill vit mourir sa femme et ses deux fils par la faute d’un terroriste. Il était un génie, il devint le Fou. Il avait perdu toute raison d’exister sauf une, la vengeance : il allait faire partager sa souffrance par la Terre entière. Seul, dans son laboratoire de fortune, il fabriqua une arme bactériologique terrifiante, la peste blanche, qui tuait les femmes, toutes les femmes, sans remède.
Les enfants du fleuve
Un roman poignant sur l’amour fraternel et le poids des secrets trop longtemps gardés. Peu importe les chemins empruntés, le coeur se souvient toujours d’où l’on vient. Memphis, 1939. Par une nuit pluvieuse, Rill Foss, douze ans, et ses quatre frère et sœurs sont enlevés par des inconnus. Emmenés loin de la péniche familiale et des bords du Mississippi, jetés dans un orphelinat, les enfants réalisent bien vite qu’ils ne reverront plus leurs parents. La mystérieuse Société des foyers d’accueil du Tennessee vient de sceller leur sort à tout jamais. Caroline du Sud, de nos jours. Avery Stafford, jeune avocate épanouie à qui tout semble sourire, est de retour dans la ville de son enfance. Lors d’une visite à sa grand-mère, cette dernière tient un discours étrange qui remet en cause toutes ses certitudes. Quelle est vraiment l’histoire de sa famille ? D’où vient-elle ? Troublée, Avery commence à enquêter. » L’un des meilleurs livres de l’année. À ne pas manquer. » The Huffington Post. Un des best-sellers de 2017 selon The New York Times.
En cherchant des truffes avec son chien, un homme découvre des restes humains ensevelis. L’autopsie révèle qu’il s’agit d’un homme mort depuis une dizaine d’années, mais rien ne permet de déterminer son identité ou la cause du décès. L’inspecteur Wexford et son équipe se trouvent confrontés à un défi de taille quand ils découvrent la liste impressionnante des personnes disparues durant cette période. Leur tâche se complique lorsqu’un second corps est retrouvé sur le même site. Pour savoir si les deux affaires sont liées, l’inspecteur Wexford doit explorer le passé d’une petite communauté fermée, où chacun garde jalousement ses secrets et où les gens disparaissent sans traces, ni chair, ni sang…
La nuit de Maritzburg
En 1893, une entreprise indienne propose à Mohandas Karamchand Gandhi, tout jeune avocat, de se rendre en Afrique du Sud pour y défendre ses intérêts. Gandhi accepte. Il ne le sait pas encore, mais c’est le tournant de sa vie. Il découvre l’apartheid, l’humiliation, et se lance dans un combat acharné contre la discrimination dont sont victimes ses compatriotes indiens. C’est là qu’il expérimentera pour la première fois une arme redoutable : la résistance passive. Jour après jour, le petit avocat timide et si british, va se métamorphoser jusqu’à devenir le Mahatma, la Grande Ame. C’est aussi sur cette terre de violences qu’il rencontre Hermann Kallenbach, un architecte juif allemand, avec lequel s’instaure une relation hors du commun. Une intimité précieuse, intense, forte comme une passion, digne d’un amour vrai. Gilbert Sinoué dévoile un visage méconnu de Gandhi et nous fait découvrir comment ces vingt-trois années en Afrique du Sud ont fait du personnage l’adversaire le plus redoutable de l’occupant anglais.
Wash
Sa force, Wash la puise dans les voix de ses ancêtres africains ; dans les souvenirs de sa mère, Mena ; dans les rituels chamaniques auxquels elle l’a initié dans son enfance ; dans les talismans qu’elle lui a légués ; et aujourd’hui, dans ces instants volés le long de la rivière, auprès de Pallas, esclave elle aussi, métisse et guérisseuse. Sa force, c’est ce qui lui a permis de survivre. Aux humiliations de ses anciens maîtres, jaloux de sa capacité à endurer le pire sans jamais montrer sa douleur ; aux coups qui lui ont ôté un oeil ; au marquage au fer rouge, sur sa joue, de la lettre des fugitifs. Cette force, c’est ce qui l’aide à supporter que Richardson, son maître, pour sauver la plantation d’une ruine annoncée, l’utilise désormais comme étalon reproducteur. Qu’il le loue chaque vendredi aux propriétaires voisins pour féconder leurs esclaves. Et quand sa force vacille, Wash se raccroche à Pallas et l’écoute parler du lien qui unit maître et esclaves dans une toile d’araignée aussi fragile qu’inévitable.
Le livre secret de Dante
Septembre 1321, Dante Alighieri meurt de la malaria ; sa dépouille est couronnée de lauriers et le monde pleure le poète de génie. Giovanni, jeune médecin, disciple de l’auteur de la « Comédie », doute de cette version officielle. Tout le porte à croire que Dante a été empoisonné et la disparition des treize derniers chants du « Paradis » » ne fait que renforcer son intuition. Avec la fille du poète, sœur Béatrice, il décide partir à la recherche des feuillets disparus et de retrouver l’assassin. Guidés par les codes cachés de « La Divine Comédie », Giovanni et sœur Béatrice vont découvrir la face secrète du poète et se trouver au cœur d’enjeux et de questions qui les dépassent. Pourquoi Dante a-t-il dissimulé ses derniers chants ? Que contiennent-ils et pourquoi un ancien templier cherche-t-il à se les procurer ? Qui pouvait vraiment vouloir la mort de Dante ?
Le silence du ténor
Un père, une mère, six enfants. Avocat réputé, ténor du barreau de Beyrouth, le père plaide avec une rare éloquence. Dans l’exercice de sa profession, la parole est d’or. Son travail est sa vie. Il est craint, suit une discipline militaire, impose la gymnastique à ses enfants, les punit sévèrement lorsqu’ils transgressent les règles. Pourtant, derrière cette rigueur, se cache un homme affectueux, pétri d’humour, curieux de tout, à l’optimisme contagieux. Soudain, c’est le drame : le ténor est victime d’une attaque cardiaque. Il se retrouve sur une chaise roulante, privé de la parole qui a fait sa célébrité. Mais l’amour de sa famille et l’espoir vont l’aider à surmonter l’épreuve. Dans un style limpide, à travers des séquences tantôt émouvantes, tantôt cocasses, Alexandre Najjar rend ici au père un merveilleux et bouleversant hommage.
De beaux lendemains
Dans une bourgade au nord de l’état de New York, l’embardée d’un bus de ramassage scolaire a provoqué la mort de plusieurs enfants. Les réactions de la petite communauté sont rapportées par les récits que font quatre protagonistes : Dolorès Driscoll, la conductrice, solide et généreuse, choquée par ce qui ne pouvait lui arriver ; Billy Ansel, l’inconsolable père de deux enfants qui ont péri dans l’accident ; Michel Stephens, un avocat new-yorkais qui s’acharne à trouver des responsables ; Nicole Burnell, adolescente promise à tous les succès, qui a perdu l’usage de ses jambes et provoque un dénouement aussi amer qu’inattendu. Ces quatre témoignages – avec l’étonnante capacité qu’a Russell Banks de se mettre dans la peau de ses personnages et d’orchestrer leurs conduites en révélant la personnalité secrète des habitants, leurs douleurs, leurs frustrations, leurs égoïsmes, nous découvrent aussi le visage singulier d’une Amérique profonde. Il s’agit là, à n’en pas douter, d’un des plus forts romans de cet écrivain qui a maintenant conquis les États-Unis. De beaux lendemains a fait l’objet d’une adaptation cinématographique d’Atom Egoyan, qui a obtenu le grand prix du Festival de Cannes 1997.
La Cathédrale de la mer
Barcelone, XIVe siècle. La cité catalane s’enorgueillit d’un nouveau fleuron gothique : Santa Maria del Mar, la cathédrale de la mer, qui s’élève, pierre à pierre, vers un ciel sans nuages.
Du haut de ses huit ans, le jeune Arnau Estanyol contemple le chantier. À l’image de ce chef-d’œuvre en devenir, l’ascension de ce fils de paysan exilé, parti de rien, sera fulgurante.
Devenu consul et proche du roi, humaniste et philanthrope, il n’oubliera jamais que son destin est placé, depuis sa naissance, sous le signe des tragédies : l’ombre de la Sainte Inquisition plane sur ses ambitions, et la Grande Peste s’apprête s’abattre sur le nord de l’Espagne…
« Fureur et lumière, violences et amours, trahisons et rédemptions : le roman du Moyen Âge catalan mélange avec talent tous les ingrédients des grands récits picaresque. »
La Vie
La reine crucifiée
La reine crucifiée Elle s’appelle Inès de Castro. Il s’appelle dom Pedro, héritier de la couronne du Portugal. Ils ont vingt ans. Ils s’aiment. Nous sommes en 1340. Ils vont se retrouver pris au piège d’une effroyable machination, broyés entre raison d’État et raison du cœur. Du Portugal à la plaine vénitienne, de la Castille au palais des Papes, Gilbert Sinoué nous entraîne au cœur d’une fabuleuse fresque historique où la pureté des sentiments se heurte à la cruauté des temps, l’amour dévorant aux ambitions politiques. Entre fiction et réalité, tragédie et conspiration, il ressuscite, dans la lignée de L’enfant de Bruges, l’histoire célèbre et mythique d’une folle passion : celle de deux êtres que même la mort ne parviendra pas à séparer.
Disparu à jamais
Will a tiré un trait sur son frère. Onze ans après les faits, il le considère comme mort et continue d’occulter cette question lancinante : comment Ken a-t-il pu violer et assassiner leur voisine ? En fuite depuis le drame, l’adolescent meurtrier n’a plus donné signe de vie. Alors qu’il est toujours recherché par la police, le voilà qui refait surface. Au même moment, Sheila, la fiancée de Will, disparaît subitement. Comment croire à pareille coïncidence ?
Une irrépressible et coupable passion
Inspiré par un crime dont les détails à la fois salaces et macabres ont scandalisé l’Amérique de 1927, Ron Hansen nous livre un huitième roman époustouflant situé dans le New York effréné, jazzy et alcoolisé des Années folles. Où la voluptueuse et irrésistible Ruth Snyder, mère téméraire jusqu’à l’imprudence d’une fillette de neuf ans, est piégée par un mariage sans amour. Et parfois à ce point violent qu’elle n’a qu’une obsession : se débarrasser d’Albert, son mari. Pour arriver à ses fins, elle tisse peu à peu sa toile autour d’un élégant représentant en lingerie féminine, marié lui aussi. De lettres secrètes en rendez-vous torrides au Waldorf-Astoria, Ruth ensorcelle Judd Gray grâce à sa sensualité animale et l’amène, à force de caresses, là où elle le veut…
Puisant dans les minutes du procès, parmi les pages des tabloïds de l’époque et entre les lignes des journaux intimes des amants, Ron Hansen nous donne, par le biais de la fiction, les clés d’un des plus grands crimes passionnels de tous les temps. Ce meurtre fut aussi à la source du roman de James M Cain, Assurance sur la mort, du film éponyme de Billy Wilder, des deux versions du film Le facteur sonne toujours deux fois, sans oublier Ossessione de Luchino Visconti.
Mille femmes blanches
En 1874, à Washington, le président Grant accepte la proposition incroyable du chef indien Little Wolf : troquer mille femmes blanches contre chevaux et bisons pour favoriser l’intégration du peuple indien. Si quelques femmes se portent volontaires, la plupart viennent en réalité des pénitenciers et des asiles… l’une d’elles, May Dodd, apprend sa nouvelle vie de squaw et les rites des Indiens. Mariée à un puissant guerrier, elle découvre les combats violents entre tribus et les ravages provoqués par l’alcool. Aux côtés de femmes de toutes origines, elle assiste à l’agonie de son peuple d’adoption…
« Un roman splendide, puissant et engagé » – Jim Harrison.
L’amour dans le sang
« L’amour dans le sang », ou l’incroyable histoire d’une femme qui a tant aimé la vie qu’elle eut besoin d’un autre cœur. A 15 ans, Anne-Charlotte Pascal quitte brutalement une vie d’adolescente insouciante pour devenir Charlotte Valandrey, l’héroïne éclatante du film « Rouge baiser ». Vingt ans plus tard, à l’hôpital de la Salpétrière, on lui greffe un nouveau cœur. C’est cet itinéraire que la comédienne raconte ici, la gamine espiègle étouffée par une vie bourgeoise qui ne lui ressemble pas, la jeune fille entrée de plein fouet et sans aucune prévention dans le tourbillon du succès, les coulisses sans pitié du monde du cinéma et de la télé, enfin la jeune femme au cœur trop tendre, en quête éperdue d’amour. Une existence romanesque, faite de rencontres essentielles, de rendez-vous ratés, d’amours passionnées, de difficultés à s’aimer, à aimer, de démesure humaine, trop humaine, d’une envie de vivre ‘malgré tout’, de trouver un nouveau souffle. Dans un style direct et sans concessions, ce livre raconte l’histoire d’une renaissance. Plus qu’un témoignage, c’est une véritable leçon d’amour et de vie.
Le temps est assassin
Eté 1989, la Corse, presqu’île de la Revellata, entre mer et montagne. Sur cette route de corniche, au-dessus d’un ravin de vingt mètres, une voiture qui roule trop vite et bascule dans le vide. Une seule survivante : Clotilde, quinze ans. Ses parents et son frère sont morts sous ses yeux. Eté 2016. Clotilde revient pour la première fois sur les lieux de l’accident, avec son mari et sa fille adolescente. Elle veut profiter des vacances, pour exorciser le passé.
C’est au camping dans lequel elle a vécu son dernier été avec ses parents que l’attend une lettre de sa mère. Vivante ?
C’était ainsi
A l’âge de six ans, le jeune Lobsang, fils de seigneur et de dame Rampa, entendait son avenir de la bouche d’un très célèbre astrologue du Tibet. » L’existence la plus dure que j’ai eu à prédire « , déclarait le vieil homme. Et à disait vrai… Lobsang Rampa raconte ici son apprentissage des arts et des secrets initiatiques des lamas tibétains, puis ses études de médecine en Chine.
Récits tirés de l’histoire de Rome
Voici les Gaulois à l’assaut de la Ville éternelle, les éléphants d’Hannibal venus de la puissante Carthage, César trahi par les siens, l’esclave Spartacus luttant pour libérer ses compagnons d’infortune, l’empereur Néron emporté par sa folie mégalomane. Un passionnant roman d’aventures doublé d’une riche initiation à la civilisation romaine.
Avec tout ce qu’on a fait pour toi
Journal d’une adolescente en détresse, à Versailles, en 1951. Depuis la mort de sa soeur, renversée sous ses yeux par un tramway, May n’a plus goût à la vie. Elle programme son suicide pour son quinzième anniversaire. Autour d’elle, personne n’est en mesure de l’aider. Sa famille part à la dérive : folie d’une mère, insouciance d’un frère, absence d’un père Mais l’écriture, qu’elle découvre en tenant son journal, lui fait entrevoir d’autres horizons et ranime en elle la flamme de l’espoir. May choisira finalement de vivre…
Les orphelines (5) – En fuite
Orphelines, Janet, Crystal, Brenda et Rebecca sont toujours restées solidaires. Cette solidarité résiste aux brimades et humiliations dont elles font l’objet dans un foyer d’accueil. Mais un jour, elles ne peuvent plus les endurer et décident de fuir. Une épique traversée des Etats-Unis, semée d’embûches, commence.
Les orphelines (4) – Rebecca
Son père l’ a abandonnée à sa naissance ; sa mère, qui a sombré dans l’alcool et la drogue, se retrouve en prison.
A douze ans, Rebecca ne peut vivre seule et est recueillie par son oncle et sa tante.
L’oncle Reuben est un homme injuste et violent, qui la traite comme une domestique et n’hésite pas à la frapper.
Certes, la tante Clara est une brave femme, mais trop terrorisée par son mari pour prendre la défense de Rebecca.
Quant à Jennifer, sa cousine, d’un an son aîné- c’est une vraie peste. Finalement, cette » vie de famille » est un enfer qui ne vaut guère mieux que l’orphelinat.
Le jour où son professeur de gymnastique découvre par hasard les marques qu’elle porte sur le corps, Rebecca ose parler. Le tribunal pour enfants décide alors de la placer dans une maison d’accueil. Où elle fait la connaissance de Janet, de Crystal et de Brenda, dont la vie juqu’à présent n’a pas été plus drôle que la sienne.
Les orphelines (3) – Brenda
Pamela et Peter Thompson voulaient adopter une fillette. Elancée, dotée d’un jolie teint, cheveux blonds et yeux bleus.
Tout le portrait de Pamela. Leur objectif : la présenter à des concours de beauté pour qu’elle remporte un jour le titre de Miss America que Pamela a raté de peu, quelques années plus tôt. Une sorte de revanche en somme.
Alors ils sont allés dans un orphelinat comme on va dans un magasin de jouets et ils ont choisi Brenda. Le physique correspondait à leurs souhaits; le moral, ils se faisaient fort de le façonner.
Cours de maintien, esthéticienne, leçons de piano, vêtements hors de prix. Pamela s’en donne à coeur joie, rectifie, estompe, rembourre. Elle n’avait pas prévu, que la jolie petite poupée se rebellerait : Brenda déteste le piano et les franfreluches. Sa passion, c’est le base-ball -sport pour lequel elle est très douée-, mais qui ne fait pas partie des critères de sélection pour une raine de beauté.
Les orphelines (2) – Crystal
Crystal a treize ans. Née de père inconnu, fille d’une malade mentale, elle est pupille de l’Etat. Avec un tel dossier, elle n’a pas le droit de faire la difficile. Aussi, lorque Karl et Thelma lui affirment qu’ils vont la rendre heureuse et gommer en un rien de temps toutes les cicatrices laissées par ce passé douloureux, elle accepte de jouer le jeu, même si leur optimisme la laisse sceptique.
Leur objectif à tous les trois est simple : former une vraie famille. Discuter, dîner, faire les courses, regarder la télévision, être heureux ensemble. Simple, mais pas si facile quand on n’a pas l’habitude du bonheur.
La confiance et l’amour ne se décrètent pas, ils s’inspirent. Tranquillement, jour après jour, avec des ratés, des reculs et des compromis. Karl et Thelma sont pleins de bonne volonté et Crystal si avide de tendresse que leur tentative devraient réussir. Mais le destin s’acharne sur Crystal, comme pour la punir d’une faute qu’elle n’a pas commise.
Les orphelines (1) – Janet
Quand Céline et Sanford Delorice se présentent à l’orphelinat et décident d’adopter Janet, elle n’ose y croire.
Elle, l’adolescente frêle et timide dont personne ne voulait, va vivre dans cette somptueuse villa, aura une immense chambre pour elle seule. Elle croit rêver. Un rêve qui bientôt devient cauchemar : Céline, ancienne danseuse étoile, est désormais clouée dans un fauteuil roulant. Grâce à Janet, elle va pouvoir vivre par procuration, concrétiser ses espoirs déçus. » Tu seras danseuse étoile, ma fille. Danser, c’est s’envoler dans l’espace tel un papillon.
S’enivrer de la musique, des applaudissements, de la gloire. » Mais danser, c’est muscler et assouplir un corps rebelle. Le forger, en faire un instrument parfaitement maîtrisé. Au prix d’un entraînement impitoyable et de mille souffrances, jusqu’à l’épuisement. Janet est prête à tous les sacrifices pour se faire aimer de sa nouvelle famille. Mais satisfaire une mère aussi exigeante n’est pas tâche facile.
Les romans de Virginia C. Andrews se sont vendus à des millions d’exemplaires et ont été traduits en seize langues. Après sa mort, sa famille, s’inspirant de l’extraordinaire créativité de la romancière et travaillant en étroite collaboration avec un écrivain de talent, a lancé de nouveaux cycles V. C. Andrews. Avec Janet voici le premier volet d’une série inédite, Les orphelines.
Mes pas vont ailleurs
Mai 1919. Victor Segalen est retrouvé mort, couché dans un petit bois, au cœur du Finistère. Partant du mystère qui entoure la mort de Segalen, suicide ? accident ?, Jean-Luc Coatalem suit les empreintes de l’écrivain-voyageur, breton, comme lui, Brestois, aussi. Militaire, marin et poète, auteur d’une œuvre labyrinthique que, de son vivant, personne n’aura soupçonnée. En 1903, Segalen pélerine sur les traces de Gauguin, aux îles Marquises. En 1905, à Djibouti, sur celles de Rimbaud. En 1909, il traverse la Chine, en jonque, en train et à cheval, et il recommencera. En 1910, il se risque dans le dédale de la Cité interdite de Pékin, derrière un séduisant jeune homme, espion et amant de l’impératrice. Puis il réside seul à Hanoi, rêve au Tibet, et achète son opium. Il meurt à quarante et un ans, dans la forêt légendaire du Huelgoat, un Shakespeare à la main, la jambe entaillée, au-dessus d’un Gouffre, loin de son épouse et de cette autre femme qu’il aime. Revisitant l’œuvre de Segalen, les lettres à ses deux amours, ses nombreux voyages, Coatalem fait apparaître les résonances, nombreuses, la complicité littéraire et l’écrivain compagnon, composant par ces prismes mêlés, le roman de sa vie, au plus près d’un Segalen vivant et vibrant.
Touriste
Certains veulent faire de leur vie une œuvre d’art, je compte en faire un long ouvrage. Je n’ai pas l’intention de me proclamer explorateur. Je ne veux ni conquérir les sommets vertigineux, ni braver les déserts infernaux. Je ne suis pas aussi exigeant. Touriste, ça me suffit. Le touriste traverse la vie, curieux et détendu, avec le soleil en prime. Il prend le temps d’être futile. De s’adonner à des activités non productives mais enrichissantes. Le monde est sa maison. Chaque ville, un évocation.
Si aimée, si seule
Diva est une grande star du cinéma et du théâtre. Née dans une modeste famille du Sud, cette belle brune conquiert rapidement la gloire. Mais plus la comédienne accumule l’argent et les honneurs, plus la femme se retrouve seule. Diva, dévorée par son travail, se laisse bientôt aller à de multiples aventures amoureuses : les unes avec des gens de son métier, d’autres sordides ou condamnées d’avance. Un grand amour domine la vie de Diva : celui qu’elle voue à David Sullinger, metteur en scène de génie. Le couple s’adore, se quitte, se retrouve, à la joie des gaz’ et s à scandale.
Adieu l’amour
Tous ceux qui connaissent La Maison de Jade, en reconnaîtront le théâtre dans Adieu l’amour: la rupture amoureuse. J’ai en fait voulu répondre à une question qui m’a si souvent été posée : comment un homme peut-il se conduire si cruellement avec une femme qui l’aimait trop, mais que lui aussi aimait ? Adieu l’amour donne la version de l’homme. Mais aussi une suite possible: ce qui se passe quand un homme jeune quitte une femme plus âgée que lui pour se marier et avoir des enfants. Ce qui se passe aussi quand une épidémie soudaine – le Sida -vient imposer sa loi et son ordre à l’échange amoureux.
Si je vous dis le mot passion…
Si je leur dis le mot passion, chacun ou chacune de ces gens de haut bord me répond par le mot amour. N’y aurait-il que ça au cœur de l’homme, au vôtre, au mien : le désir amoureux, l’amour toujours ? Et sous sa forme la plus extrême, ravageuse, délétère parfois qu’est la passion ? Certains, pourtant, élargissent leur quête jusqu’à serrer entre leurs bras une passion que je ne dirais pas plus haute -rien n’est plus haut que l’amour humain – ni plus épurée – rien n’est plus pur que l’amour vrai -, mais plus universelle.
On m’appelle Tamanoir
A partir de 13 ans – Le tamanoir est un mammifère qui se nourrit de fourmis. Chacun ses goûts. Thesi préfère les gâteaux. Et son surnom de Tamanoir, c’est à son physique qu’elle le doit: son nez (qui pointe) et son menton (qui fuit) la font ressembler à l’animal en question. Thesi a malheureusement hérité la tête de son père. En outre elle plaît aux profs : c’est un crime grave. La classe se déchaîne. Thesi devient l’ennemi publique numéro 1. Et comme un ennui n’arrive jamais seul, voilà que débarque le garçon à qui elle a envoyé sa photo – ou plutôt, ce qu’elle a fait passer pour sa photo. Ah, vraiment, il tombe bien, celui-là !
Un crime en Hollande
Livre en mauvais état. Quand Maigret arriva à Delfzijl, une après-midi de mai, il n’avait sur l’affaire qui l’appelait dans cette petite ville plantée à l’extrême nord de la Hollande que des notions élémentaires.
Un certain Jean Duclos, professeur à l’université de Nancy, faisait une tournée de conférences dans les pays du Nord. A Delfzijl, il était l’hôte d’un professeur à l’Ecole navale, M. Popinga. Or, M. Popinga était assassiné et, si l’on n’accusait pas formellement le professeur français, on le priait néanmoins de ne pas quitter la ville et de se tenir à la disposition des autorités néerlandaises.
4e de couverture
Quand Maigret arriva à Delfzijl, un après-midi de mai, il n’avait sur l’affaire qui l’appelait dans cette petite ville plantée à l’extrême nord de la Hollande que des notions élémentaires.
Un certain Jean Duclos, professeur à l’université de Nancy, faisait une tournée de conférences dans les pays du Nord. A Delfzijl, il était l’hôte d’un professeur à l’Ecole navale, M. Popinga. Or, M. Popinga était assassiné et, si l’on n’accusait pas formellement le professeur français, on le priait néanmoins de ne pas quitter la ville et de se tenir à la disposition des autorités néerlandaises.
Source : Pocket
C’était tout, ou à peu près. Jean Duclos avait alerté l’université de Nancy, qui avait obtenu qu’un membre de la Police Judiciaire fût envoyé en mission à Delfzijl. La tâche incombait à Maigret. Tâche plus officieuse qu’officielle et qu’il avait rendue moins officielle encore en omettant d’avertir ses collègues hollandais de son arrivée. Par les soins de Jean Duclos, il avait reçu un rapport assez confus, suivi d’une liste des noms de ceux qui étaient mêlés de près ou de loin à cette histoire. Ce fut cette liste qu’il consulta un peu avant d’arriver en gare de Delfzijl.
Gnomes de Troy (Tome 4) – Trop meugnon
Braillards, puants et mignons, ils sèment la tempête à travers le paisible village de Glinin. Retrouvez le petit Lanfeust, Cixi la peste, C’ian la gentille, Bastor qui est très fort et Staga qui est très intelligent dans une avalanche de gags drôles et méchants mais toujours touchants, pour notre plus grand bonheur !
Tout va très bien, madame la comtesse !
La comtesse Maria Vittoria dal Pozzo della Cisterna est effondrée : elle a dû se séparer de la quasi-totalité de ses domestiques et la voilà réduite à faire ses propres courses au supermarché. Tout ça à cause d’un fils, beau comme un dieu et bête comme une huître, qui a jugé malin d’offrir le dernier joyau familial à une starlette décérébrée. Pour sortir de ce pétrin, il va falloir faire preuve d’imagination…
Les jeux de garçons
Alors que la jeune et jolie factrice parisienne Providence Dupois s’apprête à partir en Afrique chercher ce qu’elle a de plus précieux au monde, un volcan islandais se réveille, paralysant l’ensemble du trafic aérien européen. D’aéroports en monastères, commence alors pour elle le plus haletant et le plus prodigieux des voyages.
L’amour donne des ailes. Êtes-vous prêt à vous envoler ?
De battre la chamade
En commençant son internat de médecine à Brest, Marie-Lou est très vite happée par le tumulte de l’hôpital. Un concentré d’humanité où les rencontres, les émotions, les disparitions aussi, font grandir, mûrir. Plus qu’un apprentissage, c’est une prise de conscience, sur soi et sur le monde. C’est là que bat le coeur de la vie. Côté sentimental, les choses ne sont pas moins compliquées. Comment retenir l’instable et insaisissable Matthieu dans ses filets ? Lui qui a dû mettre la médecine entre parenthèses pour retrouver son père disparu ? On retrouve l’énergie et la fraîcheur de l’auteur des Yeux couleur de pluie et de Entre mes doigts coule le sable dans ce roman du quotidien mouvementé de Marie-Lou et Matthieu. Un chassé-croisé amoureux sans répit, un portrait sans fard du monde hospitalier, des histoires d’amitié, beaucoup de résilience pour une vraie surprise.
Le point de rencontre
C’est l’heure du grand départ. Ruth n’a jamais quitté le cocon familial ni son doux confort occidental. Mais Euan, son mari, a trouvé un poste au Bahreïn. Une nouvelle aventure qu’ils vont vivre en famille, avec leur bébé. Une fois installée dans leur ghetto pour expatriés, Ruth déchante. Car l’inconnu se trouve, en fait, sous son propre toit. Son mari n’est pas celui qu’elle croyait. Il les a emmenés dans ce pays pour accomplir une mission dangereuse, pour lui, et pour eux. Bouleversée et isolée, Ruth essaie de se concentrer sur sa petite fille. Mais le voisinage avec une adolescente étrange et la rencontre de Farid vont la pousser à explorer ses propres zones d’ombre…
Un doux pardon
Hannah Farr est une personnalité en vue de La Nouvelle-Orléans. Animatrice télé, son émission quotidienne ‘The Hannah Farr Show’ est suivie par des milliers de fans. Côté coeur, elle file depuis deux ans le parfait amour avec Michael Payne, le maire de la ville. Mais sa vie toute tracée va être bousculée par deux petites pierres… Ces ‘pierres du pardon’ connaissent un immense succès aux États-Unis. Le concept est simple : si vous avez quelque chose à vous faire pardonner, il suffit d’envoyer une lettre d’excuses à la personne que vous avez blessée, accompagnée de deux pierres. Si cette dernière accepte vos excuses, elle vous renvoie l’une des deux pierres. Bien inoffensives à première vue, celles-ci vont toutefois forcer Hannah à replonger dans son passé, celui-là même qu’elle avait soigneusement mis de côté depuis de nombreuses années, et toutes les certitudes de sa vie vont être balayées comme un château de cartes… Est-il encore temps de changer le destin ? Après le succès international de Demain est un autre jour, Lori Nelson Spielman revient avec un roman empreint de la même originalité. Malicieux et tendre, ce livre possède tous les ingrédients irrésistibles des feel-good books : entre humour et profondeur, l’héroïne nous entraîne sur la voie de l’optimisme !
L’homme qui rêvait d’enterrer son passé
Quoi qu’il arrive, quoi qu’il fasse, Nathan est poursuivi par le souvenir de la pire nuit de sa vie : lors d’une fête organisée par son employeur de l’époque, une jeune femme a disparu. Seuls lui et Bob, une vieille connaissance, savent ce qui s’est passé, et tous deux ont juré qu’il en serait toujours ainsi.
Des années plus tard, par une nuit pluvieuse, Bob est à la porte de Nathan avec de terrifiantes nouvelles. Face à un Bob méconnaissable et dangereusement déterminé à faire voler en éclats leur serment, Nathan est prêt à aller loin, très loin, pour protéger le monde qu’il s’est soigneusement construit…