Vamp in love – Saison 3
Vous cherchez l’âme sœur, un rencard, un partenaire pour la soirée ? Laissez-moi me présenter : Lil, pour vous servir. En plus d’être une vampirette aristo, sexy, et d’une beauté à couper le souffle, je dirige également l’agence de rencontres la plus en vue de Manhattan. Un business lucratif ? Pas encore. Disons que mes honoraires ne suffisent pas vraiment à couvrir mes factures de couturiers, créateurs. Eh, une femme d’affaires qui se respecte doit prendre soin de son look ! Heureusement, je viens d’avoir une idée de génie. Une télé locale s’apprête à diffuser la version new-yorkaise du Bachelor, où l’un des célibataires les plus courus de la ville rencontre 50 femmes triées sur le volet, toutes obsédées par le mariage. Et comme, à la fin, il n’en choisit qu’une, par ici les 49 autres. Mesdemoiselles, je vais vous le trouver, moi, votre prince charmant, votre homme idéal, l’objet de tous vos fantasmes ! À propos de fantasmes, j’ai un mauvais pressentiment concernant Ty. Oui, je parle bien de ce rustre qui ne s’est même pas donné la peine de me rappeler après notre nuit endiablée ! Je crains qu’il n’ait de gros ennuis. Et malgré ma folle envie de l’écharper, je sens déjà mes ailes frétiller pour voler à son secours. Belle, intelligente ET bienveillante. Que voulez-vous, on ne se refait pas.
Les visages
La plus grande œuvre d’art jamais créée dort dans les cartons d’un appartement miteux. Ethan Muller, un galeriste new-yorkais, décide aussitôt d’exposer ces étranges tableaux, qui mêlent à un décor torturé, d’innocents visages d’enfants. Le succès est immédiat, le monde crie au génie. Mais un policier à la retraite croit reconnaître certains visages : ceux d’enfants victimes de meurtres irrésolus.
Le soleil me trace la route
À 42 ans, on n?écrit pas ses mémoires. Cela tombe bien, Le soleil me trace la route, le premier livre de Sandrine Bonnaire, est tout sauf un ouvrage de souvenirs et d?anecdotes sur le beau métier d?actrice. Le soleil me trace la route a peut-être commencé à s?écrire naturellement il y a une vingtaine d?années, quand Sandrine Bonnaire rencontre le couple de journalistes Gaillac-Morgue pour un portrait destiné à paraître dans un magazine.Une amitié va naître, une confiance s?installe d?année en année entre ces trois personnes et, comme elle le dit elle- même drôlement, « à mi-parcours », et après avoir abordé la réalisation de Elle s?appelle Sabine, le documentaire consacré à sa s?ur, une envie est venue, soudaine, un besoin de profondeur.Sous la forme d?une conversation très libre, où l?on oublie rapidement les questions pour n?entendre que les réponses, Sandrine Bonnaire, qui d?ordinaire ne s?épanche jamais sur papier glacé, se confie, s?abandonne, au risque de l?incorrection, en préservant sa pudeur et son sourire dans toutes les situations et dans tous les événements.Le récit de son enfance en banlieue parisienne est un modèle du genre : famille nombreuse, mère et grand-mère fantasques, père ouvrier taiseux et adoré, tout ce petit monde, au bout de quelques pages, par la voix de Sandrine, devient le nôtre. Ainsi, quand elle aborde Pialat ou Sautet, Depardieu ou William Hurt, son premier mari, près de sa fille aînée, elle le fait avec le même ton, la même précision faussement désinvolte, l?air de rien, en donnant le sentiment et surtout la preuve de sa popularité, de son rejet des conventions et des codes intellectuels.Plus de vingt-cinq ans de carrière pour cette jeune femme qui débutait dans À nos amours à 16 ans, qui envisage aujourd?hui le tournage de son premier film de fiction, une femme libre, sans concessions ni entraves, dont on aimerait suivre la voix et les pas jusqu?au bout de la route.
Adieu Benjamin
Sophie commençait à prendre conscience de ce qui s’était passé. Elle ne reverrait plus jamais Benjamin, son petit frère qu’elle adorait. Comment surmonter un tel chagrin et aider ses parents à faire face ?
Heureusement, il y a Valentine, Betty, Simon et les autres… Et surtout Sophie elle-même.
Pour les 11-13 ans.
La jeune amante
Les hommes aiment-ils longtemps les femmes parfaites ? Sans doute pas… Les femmes parfaites sont-elles aveugles ? Oui ! Sinon comment expliquer qu’Irène ne se soit jamais aperçue de l’amour naissant entre Alex, son bel époux, et Nora, sa jeune nièce ? N’ait rien deviné, rien vu, rien compris de la passion qui se jouait sous ses yeux entre cet homme de quarante-trois ans et une ingénue de seize ans ?
Mirage
Dans la chaleur étouffante d’un Sahara de tous les dangers, passion, mensonges et trahisons. Et si l’amour n’était qu’un mirage ? Un voyage plein de rebondissements au coeur d’un Maroc inattendu, avec le plus captivant des guides : Douglas Kennedy. Robyn le sait, son mari Paul est loin d’être parfait. Artiste fantasque, insouciant, dépensier, ce jouisseur invétéré a du mal avec les limites du quotidien. Le couple s’aime encore mais la crise couve. Sans compter la question des enfants. Robyn en veut un, Paul est d’accord. Mais le temps presse, et rien ne se passe. Pourquoi pas un voyage au Maroc ? Changer d’air, prendre le temps de vivre, se redécouvrir, et faire enfin ce bébé qui leur manque tant. Sur place, la magie opère : Paul se remet à peindre et Robyn à espérer. C’est alors qu’une nouvelle tombe, un secret révélé, si lourd, si explosif qu’il dévaste tout. Et Paul disparaît.
Folle de douleur, terrifiée à l’idée de perdre celui qu’elle ne peut s’empêcher d’aimer, Robyn va se lancer à sa recherche. Une quête qui la conduira au bout d’elle-même.
Millénium 4 – Ce qui ne me tue pas
Elle est une hackeuse de génie. Une justicière impitoyable qui n’obéit qu’à ses propres lois. Il est journaliste d’investigation. Un reporter de la vieille école, persuadé qu’on peut changer le monde avec un article. La revue Millénium, c’est toute sa vie. Quand il apprend qu’un chercheur de pointe dans le domaine de l’intelligence artificielle détient peut-être des informations explosives sur les services de renseignements américains, Mikael Blomkvist se dit qu’il tient le scoop dont Millénium et sa carrière ont tant besoin. Au même moment, Lisbeth Salander tente de pénétrer les serveurs de la NSA. Dix ans après la publication en Suède du premier volume de Millénium, David Lagercrantz livre un thriller d’une actualité brûlante et signe les retrouvailles des personnages cultes créés par Stieg Larsson. La saga continue.
Techniques et pratique de la chaux
Matériau de base de l’artiste comme du maçon, la chaux est le liant de la construction le plus ancien ; il est aussi resté le plus traditionnel. La construction moderne l’avait délaissée, rompant de fait la transmission d’un savoir-faire qu’il a fallu patiemment redécouvrir et dont on trouvera le détail dans ce manuel. On y apprendra notamment comment fabriquer la chaux, quelles sont ses propriétés et comment mettre en oeuvre mortiers, enduits, stucs et peintures.
Les bienveillantes
En fait, j’aurais tout aussi bien pu ne pas écrire. Après tout, ce n’est pas une obligation. Depuis la guerre, je suis resté un homme discret ; grâce à Dieu, je n’ai jamais eu besoin, comme certains de mes anciens collègues, d’écrire mes Mémoires à fin de justification, car je n’ai rien à justifier, ni dans un but lucratif, car je gagne assez bien ma vie comme ça. Je ne regrette rien: j’ai fait mon travail, voilà tout; quant à mes histoires de famille, que je raconterai peut-être aussi, elles ne concernent que moi ; et pour le reste, vers la fin, j’ai sans doute forcé la limite, mais là je n’étais plus tout à fait moi-même, je vacillais, le monde entier basculait, je ne fus pas le seul à perdre la tête, reconnaissez-le.
Ennedi, un Eden au Sahara
Dans le massif de l’Ennedi, au nord du Tchad, rien n’a changé depuis 4 000 ans. Dans un décor grandiose de roches et de sable, de reliefs hallucinants (murailles de grés, gorges colossales, arches gigantesques), cette région témoigne du temps où le Sahara n’était pas un désert : peintures rupestres millénaires intactes, flore exceptionnelle (acacias en fleurs, palmiers), faune inattendue (crocodiles « reliques d’un âge d’or tropical », singes, oiseaux, etc) font de l’Ennedi un véritable sanctuaire sauvage. Cet éden saharien est aussi habité par les Bideyat, peuple nomade et pastoral, vêtu de couleurs éclatantes, qui appartient au vaste ensemble Toubou par leur physique, leur organisation matérielle et sociale. Si une telle vie est possible dans cette région, c’est grâce à la présence de l’eau : puits creusés par les Bideyat (ici l’eau est restée tout près de la surface et quelques mètres de corde suffisent pour la puiser) mais aussi de nombreux lacs et gueltas expliquent ce miracle de la vie ennedienne.
Broderie en relief
Richesse des thèmes : floraux (fleurs et feuilles…), petits insectes (papillons, libellules, coccinelles…), oiseaux (plumes et ailes…). 20 motifs à broder. 12 applications décoratives : la broderie peut être montée sur une bague, décorer un cadre à photo ou un flacon de parfum. Un ouvrage pratique. L’introduction fait le point sur le matériel nécessaire et explique dans le détail des différents points de broderie utilisés dans l’ouvrage. Chaque motif est précisément expliqué à l’aide de gros plans, de schémas et de gabarits.
L’insatiable homme-araignée
Cet album de vignettes cubaines est hanté par la faune haute en couleur de la rue, dans un mélange tropical de moiteur et de misère, de verve et de brutalité. Au sein d’un système corrompu, la survie à Cuba passe par l’érotisme et l’alcool. Insatiablement !
« On prend le café et je rentre en bus. Il est quatre heures de l’après-midi. Il fait chaud, les gens sont beaucoup plus énervés, et l’odeur d’aisselles plus intense. J’ai envie de me déconnecter. Je sors le magazine et essaie de lire Le Ténébreux Homme-Araignée. Impossible. Trop de personnes qui poussent, des pickpockets, un peloteur collant sa pine contre les femmes les plus fessues ».
Erotique du cimetière
FRANÇAIS, 218pp, nombreuses photographies de sculptures funerarias.SOBRE l’auteur : André Chabot, les cimetières de spécialiste et l’art funéraire. Photographe, artiste, journaliste, urnes de créateurs et des pierres tombales. André Chabot est un artiste français né en 1941 à Saint- Etienne et présenté comme un nécropolitain walker. Son travail pour plus de 30 années consacrées à la mort. Le photographe, qui ramasse les tombes en noir et blanc, des mausolées, tombes, cénotaphes et les catacombes. Un grand voyageur, était un superbe tombes de mémoire photographiques, des cimetières dans le monde entier. Ses photographies de monuments, plus de 160 000 par jour, un fonds et sont cosmopolites en constant développement. Artiste crée des installations où le tombeau parle et porte le cercueil revisité ses fantasmes. Professeur émérite de lettres, écrivain, journaliste, André Chabot discute mort dans tous ses aspects. Conception et monuments urnes , installé trois de ses créations dans le cimetière du Père- Lachaise à Paris. Environ 600 pièces, dont plus de 90 expositions personnelles, marquent son cours en Allemagne, Belgique, Canada, Croatie, Espagne, États-Unis, France, Pays-Bas, Italie, République tchèque, Slovénie, Suisse Bosnie.
Elle voulait juste être heureuse
Il l’a quittée la semaine dernière. Plus exactement le mardi soir de la semaine dernière à vingt et une heure quinze. La nuit d’avant, ils ont fait l’amour trois fois. Lorsqu’ils se sont couchés, vers minuit, un peu avant que le réveil ne sonne, vers six heures trente, et au milieu de la nuit, mais comme elle n’a pas allumé la lumière, elle ne sait pas très bien quand exactement. Comme ça, elle dirait vers trois ou quatre heures du matin. En fait, ce n’est pas très important. Dans les mois noirs et les nuits blanches qui suivirent, elle se demandera longtemps comment un homme peut faire l’amour trois fois dans la nuit à une femme qu’il va quitter le lendemain. Peut-être justement parce qu’il sait qu’il va la quitter. Lui jurera que non, la veille, il ne savait pas.
Théâtre complet – Tome II
La puissance comique de l'œuvre d'Aristophane, seul vestige de l'ancienne comédie athénienne, et l'éternelle actualité des thèmes de ses pièces (critique de la guerre et des «marchands de canons», satire du monde politique et de ses démagogues…) ont fait admettre depuis longtemps son théâtre parmi les chefs-d'œuvre ; mais encore faut-il pouvoir lire Aristophane. Cette nouvelle traduction des onze pièces qui nous restent de lui, très fidèle à la lettre même du texte grec, respecte aussi leur forte inscription dans la vie quotidienne athénienne, en évitant autant que possible les transpositions trop faciles.
Théâtre complet – Tome I
Ce recueil contient les pièces suivantes:
1 – AMPHITRYON
L'intrigue se déroule en Grèce, à Thèbes, où Amphitryon est à la tête d'une armée. Jupiter décide de prendre son apparence pour séduire son épouse, Alcmène. Il est pour ce faire secondé par Mercure, qui a pris les traits de Sosie, l'esclave d'Amphitryon et Alcmène.
2 – LA COMÉDIE DES ÂNES
Un vieillard, qui a un fils amoureux, voudrait bien aider celui-ci de son argent, mais il est soumis au pouvoir absolu de son épouse; aussi a-t-il fait verser à son esclave favori, Léonidas, l'argent que l'on avait porté à Sauréa, pour payer des ânes.
La vénus d’Ille
Une beauté merveilleuse. Un corps parfait, des contours si purs, des formes exquises et voluptueuses. Mais un visage. Un visage où l’incroyable beauté le dispute au dédain, à l’ironie, à la froide cruauté. C’est Vénus sortie de terre, l’idole redoutable et magnifique. Éternelle. Fascinante. À quoi songeait l’impétueux jeune homme en lui passant l’anneau nuptial ? Le malheureux ! Quel infernal hymen vient-il de sceller ? Car c’est elle l’épousée. Elle qui viendra réclamer son dû le soir des noces !
Le sage se moque des visions et des apparitions surnaturelles. Le raisonneur fait fi des mises en garde, il se rit de prétendus fantômes et des récits à dresser les cheveux sur la tête. Quelle erreur ! Quelle redoutable erreur. Une Vénus en bronze a été découverte dans la petite ville d’Ille. Cette étonnante statue, d’une étrange beauté, hante les imaginations, déchaîne les passions, alors que se préparent les noces du jeune Alphonse et de Mlle de Puygarrig. Est-elle une bienveillante représentation de la déesse de l’Amour comme l’affirment les archéologues ? Est-elle maléfique comme le prétendent les habitants du village ? Les curieuses inscriptions gravées sur son socle apporteront-elles une réponse aux mystérieux événements qui bouleversent la région ? Bibliocollège propose : le texte intégral annoté, des questionnaires au fil du texte, des documents iconographiques exploités, une présentation de Mérimée et de son époque, un aperçu du genre de la nouvelle fantastique, un groupement de textes : La statue animée.
La théorie des nuages
Il est question de nuages et Virginie Latour commence à comprendre. Elle comprend qu’au début du dix-neuvième siècle quelques hommes anonymes et muets, disséminés dans toute l’Europe, ont levé les yeux vers le ciel. Ils ont regardé les nuages avec attention, avec respect même ; et, avec une sorte de piété tranquille, ils les ont aimés. Akira Kumo est un couturier japonais. Il collectionne les livres consacrés aux nuages. Pour classer sa bibliothèque, il engage Virginie Latour, une jeune femme, à qui il raconte des histoires de chasseurs de nuages. Celle de Luke Howard qui inventa leurs noms, celle de Richard Abercrombie qui fit le tour du monde pour voir s’ils étaient partout identiques, d’autres encore, aussi surprenantes que le jeu des nuées.
Le rouquin de Lartigue
A partir de 9 ans – Vers 1830, Pierrou, un jeune berger de douze ans se trouve mêlé aux événements qui opposent les habitants de la montagne ariégeoise à l’Administration des Forêts.
Les montagnards connaissent plus d’un tour pour échapper aux poursuites des gardes forestiers, des gendarmes et de la troupe qui leur interdisent de ramasser du bois et de faire paître leur petit bétail dans la forêt… Pierrou et les siens arriveront-ils à récupérer les troupeaux bloqués par les soldats ?
Diane lanster
Une étrange maladie de peau qui lui livre bataille depuis qu’il est né, la polio qui le laisse infirme et claudiquant depuis l’enfance, et toutes les frustrations qui s’en suivent, Thierry n’a pas eu l’existence facile. Un don, cependant, qu’il a rageusement développé en rééduquant lui-même sa main malhabile : le dessin. Mais quand il se retrouve élève dans un atelier, à dix-huit ans, un autre péril le menace : le cours est mixte. Diane, sa blondeur, sa beauté, ses jupes écossaises et ses attentions, voici une calamité nouvelle à quoi il n’est guère préparé. Rien de plus équivoque, en vérité, que l’intérêt dont on le dorlote, toujours aux frontières de la B.A. et de la pitié. Les rencontres quotidiennes, les promenades, les dimanches à la campagne, les vacances à Porquerolles, le concours des Arts déco passé ensemble, tout est prétexte à nourrir des illusions, même quand Nadine, amie de Diane, et Noël, ex-« protecteur » de Thierry au lycée, viennent compliquer jusqu’au tragique, le plaisir doux-amer de l’amour mal partagé. Deux ans après il se souvient et raconte à Diane comment il l’a aimée. Corrosive et grinçante, l’ironie de Jean-Didier Wolfromm colore ce roman d’une cruauté singulière ; le talent y décape les lieux communs. Après tout, pourquoi les handicapés physiques seraient-ils bons ? Mais au-delà de l’âcreté du ton, voulue, défensive, on entend aussi le chant d’une tendresse, le silence des aveux, la romance pudique, vibrante, d’une passion comme on n’en rencontre plus guère. Classique autant qu’insolite, {Diane Lanster} est en effet le portrait d’une certaine génération bourgeoise, peut-être l’une des dernières. Presque un livre d’histoire en somme, si l’on écrivait celle des sentiments.
Stendhal le bonheur vagabond
Jean Lacouture, l’un des meilleurs biographes français contemporains, propose ici un portrait insolite d’Henri Beyle, dit Stendhal. C’est le Beyle voyageur, l’écrivain de génie parc ourant l’Europe, de la Prusse à l’Italie, dans le sillage de la Grande Armée napoléonienne. Ce voyageur-là, qui n’a pas trente ans et qu’on n’appelle pas encore Stendhal va de découverte en découverte et d’amours passionnées notamment pour la belle Mina de Griesheim, en découverte de Mozart qui est pour lui la quintessence de l’âme du Nord». Dans un livre précédent, «Montaigne à cheval, Jean Lacouture avait mis pareillement ses pas dans ceux de l’auteur des Essais et enthousiasmé de très nombreux lecteurs, en France comme à l’étranger. C’est peu de dire, en effet, que Stendhal fut l’un des écrivains français les plus passionnément voyageurs. Grâce à son cousin Daru, futur ministre de Napoléon, il découvre très jeune l’Italie pour laquelle il s’enthousiasme et s’engage dans les dragons.
La dernière tribu
Pourquoi le corps d’un homme, assassiné il y a deux mille ans au Tibet, se retrouve-t-il aujourd’hui dans un temple shintoïste de Kyoto ? Pourquoi tient-il dans sa main le fragment d’un manuscrit de Qumran ? Qui avait intérêt à ce qu’on le découvre là ?
Chargé par les services spéciaux israéliens d’élucider le mystère, Ary Cohen se retrouve lancé dans la mission la plus périlleuse qui lui ait jamais été confiée. Thriller autant qu’aventure spirituelle, « La dernière tribu » explore les arcanes du judaïsme et du bouddhisme tibétain et japonais. Érudition, intelligence, invention: avec le talent d’une grande romancière et le sens de l’intrigue d’un maître du suspense, l’auteur de Qumran et du Trésor du Temple joue avec les textes sacrés, les religions, l’Histoire et le temps.
Une vie exemplaire
Jeune cardiologue éminent, père de deux adorables petites filles, le docteur Jeremy Balint est un homme qui a réussi sa vie. D’autres que lui, apprenant que leur femme dévouée les trompe depuis des années avec un collègue, se laisseraient emporter par la rage. Pas Jeremy Balint. Jeremy Balint va prendre son temps, car Jeremy Balint est un sociopathe. Avec méthode et patience, il va organiser l’élimination de son rival. Et ce n’est que le début. De nombreux romans mettent en scène des psychopathes, mais jamais un écrivain n’était parvenu à nous plonger avec autant d’acuité dans les arcanes de leur esprit. Jeremy Balint ne nous cache rien. Ne nous épargne rien. Il ne voit tout simplement pas le mal comme nous.
La mauvaise vie
Vingt-quatre heures de la vie du personnage inventé par Frédéric Mitterrand et qui lui ressemble singulièrement. À chaque étape de sa journée, il se demande s’il ne fait pas fausse route. S’interroge sur l’abîme séparant la mauvaise vie qu’il mène, d’une autre, qui aurait pu s’accomplir. Pourquoi vouloir à tout prix reconstituer un simulacre de famille? Perdre son temps à faire de la radio alors qu’on est doué pour l’écriture ? Devenir spécialiste des princes et des princesses alors qu’on se passionne pour les peuples opprimés? Et puis il y a les nuits qui, elles aussi, ne devraient pas être celles ce qu’elles sont. Au fil de ces réflexions, le personnage regarde en arrière, et retrouve des moments de son enfance. L’autobiographie la plus juste n’est-elle pas celle de la vie qu’on aurait dû mener? Un homme se penche sur son passé. Le passé ne lui renvoie que les reflets d’une mauvaise vie, bien différente de celle qu’évoque sa notoriété. Autrefois on aurait dit qu’il s’agissait de la divulgation de sa part d’ombre ; aujourd’hui on parlerait de coming out. Il ne se reconnaît pas dans ce genre de définitions. La mauvaise vie dont il évoque le déroulement est la seule qu’il ait connue. Il l’a gardée secrète en croyant pouvoir la maîtriser. Il l’a racontée autrement à travers des histoires ou des films qui masquaient la vérité. Certains ont pu croire qu’il était content de son existence puisqu’il parvenait à évoquer la nostalgie du bonheur. Mais les instants de joie, les succès, les rencontres n’ont été que des tentatives pour conjurer la peine que sa mauvaise vie lui a procurée. Maintenant cet homme est fatigué et il pense qu’il ne doit plus se mentir à lui-même pour tenter d’obtenir que la vie qui lui reste ne soit pas aussi mauvaise. Mais il ne sait pas ce qu’il résultera de cet effort.
Prayer
Gil Martins, an agent with the FBI’s Domestic Terrorism Unit in Houston, confronts the violence generated by extremism within our nation’s borders every day. He sees hatred and destruction wrought by every kind of “ism” there is, and the zealots who kill in their names. Until now, he has always been a part of the solution—however imperfect—a part of justice. But when Gil discovers he played a key role in wrongly condemning an innocent man to death row, it shakes his faith—in the system, in himself, and in God—deeply. It even estranges him from his wife and son. Desperate, Gil offers up a prayer. To know God is there, not through a sign or physical demonstration but through the strength to cope with his ever-growing, ever-creeping doubts. His problems become more than personal as things heat up in Houston. A serial killer terrorizing the morally righteous turns out to have religious motivations, upping the case from homicide to domestic terrorism. A number of prominent secular icons die or are grievously injured abruptly and under suspicious circumstances, the latest of which is a New Atheist writer who’s fallen into an inexplicable coma. Left and right, it seems Gil can’t escape the power of God and murder. As Gil investigates both cases, he realizes that there may be a connection—answering his prayers in a most terrifying way.
La cuisine régionale , Les pays de Loire
Françoise Burgaud est auteur d’ouvrages pratiques et traductrice. Elle écrit également sous le pseudonyme Françoise Touraine.
Le roman de Renart
Renart, rusé, habile et surtout beau parleur, a plus d’un tour dans son sac lorsqu’il s’amuse à piéger Ysengrin, le loup sot et glouton. Tiécelin le corbeau, Chantecler le coq, Dame Pinte la poule. Mais, las d’être dupés par ce goupil malicieux, les animaux lui complotent à leur façon une drôle de surprise ! Rira bien qui rira le dernier !
Le vœu du paon
A partir de 11 ans
Découvrez la quête passionnée d’un jeune garçon à la recherche de ses parents et de son identité… Une aventure médiévale pleine d’émotion.
Les pérégrinations de Grillot l’enfant trouvé et de Jordi le jongleur qui parcourent le pays d’Oc au Moyen Âge, de château en château, pour distraire nobles seigneurs et gentes dames. Au travers d’une évocation historique, la quête passionnée d’un enfant à la recherche de ses parents et de son identité.
Comment sauver (vraiment) la Sécu
Après s’être attaqué aux retraites, le gouvernement français a annoncé une réforme de l’assurance maladie, dont le déficit devient insupportable : les dépenses augmentent trop vite et le vieillissement de la population va aggraver la situation. Toutes les solutions proposées visent à transformer l’usager de soins en un consommateur de marchandises, sous prétexte de le responsabiliser. Le privé est toujours plus efficace que le public : voilà l’évidence. C’est en fait l’inverse qui est vrai, comme le montre, preuves à l’appui, Philippe Pignarre dans ce livre remarquablement documenté — notamment à partir du contre-exemple du système de santé privé américain, plus cher et moins efficace qu’en Europe. Le déficit de la « Sécu » est en effet bien plus le résultat d’une offre de soins toute-puissante, dont l’industrie pharmaceutique est le meilleur exemple, que d’un dérèglement des patients qui n’a jamais été sérieusement démontré. Pourquoi les nouveaux médicaments, dont on ne sait même pas s’ils sont plus efficaces, sont-ils jusqu’à cent fois plus chers que les médicaments de référence qui ne sont plus protégés par un brevet ?Pour Philippe Pignarre, il ne s’agit donc pas de défendre la Sécurité sociale telle qu’elle est, car elle est devenue une assurance tous risques pour des fournisseurs privés comme l’industrie pharmaceutique. Il faut la remettre au service des patients en s’intéressant à la manière dont ils peuvent jouer un rôle dans l’invention et la diffusion de nouvelles thérapeutiques. Face à l’offensive du « privé », il faut redonner toute sa dynamique au public.
City of God
In the Agbogbloshie slum, in Accra, Ghana, one of the most toxic places on earth thanks to industial waste and pollution, three friends confront life armed with projects and illusions, and three missionaries take on the challenge of human environmental transformation.
1Q84 – Livre 3 : Octobre-Décembre
La nouvelle édition événement de l’un des plus grands succès d’Haruki Murakami ! Parue pour la première fois en France en 2011, une des œuvres les plus cultes de l’auteur, une odyssée initiatique entre deux mondes parallèles, une atmosphère aussi étrange qu’envoûtante pour un roman double qui rassemble toutes les obsessions du maître. Le Livre 3 fait entendre une nouvelle voix, celle d’Ushikawa. Et pose d’autres questions : quel est ce père qui sans cesse revient frapper à notre porte ? La réalité est-elle jamais véritable ? Et le temps, cette illusion, à jamais perdu ? Sous les deux lunes de 1Q84, Aomamé et Tengo ne sont plus seuls. Tengo est un génie des maths, apprenti-écrivain et nègre pour un éditeur qui lui demande de réécrire l’autobiographie d’une jeune fille échappé ç la secte des Précurseurs. Il est aussi régulièrement pris de malaises lors desquels il revoit une scène dont il a été témoin à l’âge d’un an et demi. Les deux jeunes gens sont destinés à se retrouver mais où ? Quand ? En 1984 ? Dans 1Q84 ? Dans cette vie ? Dans la mort ?
Entebbé, les secrets du raid israélien
Voici le récit de la prodigieuse aventure du raid israélien sur Entebbe, l’histoire secrète de l’opération Tonnerre, de sa préparation à sa fantastique exécution. Ce livre révèle tout : comment les terroristes s’emparèrent de l’Airbus et comment ils moururent, comment les otages supportèrent ces six jours d’enfer dans la vieille aérogare d’Entebbe, quel fut le véritable rôle d’Amin Dada et de son armée, comment le conflit entre le Premier ministre israélien et son ministre de la Défense faillit faire annuler le raid, comment trois avions « Hercules » se faufilèrent pendant 4000 km, échappant aux radars ennemis en sur-volant des territoires hostiles, comment Amin Dada reposait paisiblement dans son palais tandis que l’aéroport était en feu, les chasseurs détruits et les otages envolés.
La cause du peuple
Pourquoi, depuis quarante ans, la France traverse-t-elle une crise politique, sociale et morale sans précédent ? Comment sont advenus le règne de l’idéologie, le déni du réel, la trahison du peuple par les élites ? Et nous faut-il nous résigner au déclin ? Pour répondre à ces questions cardinales et découvrir le pouvoir de l’intérieur, voici le livre tant attendu de Patrick Buisson, le conseiller privilégié et controversé de Nicolas Sarkozy à la présidence de la République. Une chronique riche en révélations parfois cruelles et souvent cocasses sur les coulisses de l’Elysée. Une analyse aiguë, puisant dans l’histoire, chez Saint-Simon et Tocqueville comme chez Péguy et Bernanos, des contresens et des dérives de la classe dirigeante actuelle.
Vacances secrètes
A partir de 8 ans
Vincent a vécu une enfance heureuse à la « Marotte », une vieille demeure campagnarde. Quand ses parents décident de vendre la propriété, il part s’y installer clandestinement pour un dernier été… Mais il est découvert par Claire, la fille des nouveaux propriétaires…
Castro est mort
Pourquoi va-t-on à Cuba ? Pour le soleil ? Le rhum ? Les Chevrolet d’époque ? Pour la magie de la salsa et de la rumba ? Pour la barbe de Fidel et le cigare du Che ? Sans doute un peu pour tout ça, et le narrateur de ce livre n’échappe pas à la règle. Lorsque son avion atterrit à l’aéroport José Marti, la température extérieure est de 27°C, c’est le printemps, et il pense bien poser le pied au Paradis. Au même moment pourtant, La Havane est le théâtre d’une importante répression policière. Des dizaines de dissidents sont arrêtés, mis au secret et en moins d’une semaine condamnés à de très lourdes peines de prison. Parmi eux, Juan Valero, qui après avoir été l’un des fils adulés de la Révolution, est peu à peu devenu la figure exemplaire de l’opposition et l’ennemi à abattre. À travers son histoire, ce sont les cinquante dernières années de l’île qui défilent, rythmées par les ultimes tours de chant des papys de la musique cubaine : Célia Cruz, Compay Segundo ou encore Ibrahim Ferrer. Didier Goupil est l’auteur de plusieurs romans aux éditions du Serpent à plumes, dont les remarqués Femme du monde et Le Jour de mon retour sur Terre.
L’opus Dei
Ses détracteurs parlent de sainte mafia ou encore de maçonnerie blanche. Et dans le Da Vinci Code, l’Opus Dei est présenté comme une organisation machiavélique n’hésitant pas à tuer pour protéger les mystères gardés par le Vatican. Mais qu’en est-il au juste ? Journalistes, nous avons voulu découvrir le vrai visage de l’Œuvre de Dieu, cette institution de l’Église catholique dont le fondateur, l’Espagnol Escrivá de Balaguer, a été canonisé en 2002. Malgré le refus de ses responsables de nous ouvrir leurs portes, nous avons enquêté pendant deux ans à Paris, en Espagne et en Angleterre, recueillant de nombreux témoignages d’anciens membres. Au cours de notre immersion dans l’histoire, la doctrine et la structure de cette organisation repliée sur elle-même, nous avons pu constater que son emprise sur ses membres est préoccupante et qu’elle poursuit une réelle quête de pouvoir la menant à entretenir des rapports étroits avec différents milieux décisionnaires, telles les universités ou les entreprises. Aujourd’hui, forte de la sanctification de son fondateur, l’Opus Dei s’organise et progresse à la façon d’un mouvement puissant et secret au coeur même de l’Église catholique. Son objectif est clair : faire triompher l’occident chrétien. Par tous les moyens ?
Françoise
Et si Françoise Giroud était encore plus grande que sa légende ? Plus riche, plus complexe, plus intéressante que l’image d’Epinal de la jeune femme talentueuse qui devint la première journaliste de son temps ?La trajectoire, on la connaît : engagée par Hélène Lazareff à la création de Elle puis cofondatrice de L’Express, et enfin chroniqueuse au Nouvel Observateur, l’ex script-girl de Jean Renoir avait le sens des phrases assassines : la griffe sous le sourire enjôleur. Compagne et complice de Jean-Jacques Servan-Schreiber, farouche opposante à la guerre d’Algérie, amie fidèle de Mendès France et de Mitterrand, celle qui « inventa » la Nouvelle Vague et roulait en décapotable fut une grande amoureuse, aimant le plaisir autant que le devoir. Femme politique, cette fille d’immigré turcs ne passa jamais son bac, mais devint Secrétaire d’Etat à la condition féminine sous Giscard d’Estaing. Travailleuse acharnée, élégante en diable, éprise de liberté, c’était une visionnaire, qui incarna la naissance de la femme moderne.Mais on découvre ici que ce tempérament passionné a aussi ses zones d’ombre – expérience de la trahison, coup de folie passionnelle, tentative de suicide, mort d’un fils. Et si une phrase de sa mère, sur son lit de mort, avait déterminé sa trajectoire et son destin ?A travers le portrait d’une femme d’exception, c ‘est une époque de feu que ressuscite ici Laure Adler : un temps, pas si lointain, où l’on savait encore se battre pour des idéaux.
Le tarbouche
C’est au Caire que se déroulent les aventures de la famille Batrakani : l’enseignement français des Jésuites, la récitation de Michel devant le Sultan, la reprise du commerce familial par Edouard, les amours adultères de Georges et de Maguy. Impressionné par la figure de Georges, son grand-père, Charles raconte avec affection et nostalgie l’époque où l’on portait le tarbouche. Reconstituant l’histoire d’une famille chrétienne dans l’Égypte du mandat britannique, ressuscitant des personnages qui campent avec une liberté superbe à la jointure de l’Orient et de l’Occident, Le Tarbouche nous restitue le charme troublant d’une époque disparue. Une douceur des choses, un raffinement exquis s’y mêlent au tragique d’une Histoire pleine de bruit et de fureur. On y croise le roi Farouk au volant d’une voiture de sport, la tante Maguy qui collectionne les amants et fascine ses jeunes neveux, l’oncle usurier porté sur la bonne chère, l’étrange Edouard obsédé par la démographie au point de compter lui-même les habitants du Caire, tant et tant d’autres. La figure de Georges Batrakani, le fabricant de tarbouches, le patriarche, tonitruant, tyrannique et généreux, domine l’ensemble. Le Tarbouche procède de cette littérature qui dépayse et rend heureux, et dont on rêve ensuite.
Possession
Lorsque le professeur Roland Mitchell tente, en 1986, de reconstituer la relation entre les poètes victoriens Randolph Henry Ash et Christabel LaMotte, il met le doigt dans un engrenage de passions et d’intérêts qui s’avèrent dépasser très largement le cadre de ses recherches. Une étrange assemblée de chasseurs et de personnages en quête d’auteurs entreprend alors de faire la lumière sur ces amours clandestines. Entre rétention de documents et viol de sépulture, secrets bien gardés et enveloppes cachetées, contention d’esprit tout universitaire et conspiration de confédérés, le roman d’A. S. Byatt séduit avant tout par son aspect de très convaincant pastiche de la littérature du XIXe siècle. Il est quelquefois des lectures qui font palpiter : Possession appartient à cette catégorie.
Paix et chatiment
L’auteur livre le récit inédit de l’attitude équivoque des puissances démocratiques face à une justice internationale émergente, pourtant présentée comme premier acte de concret, depuis Nuremberg, de leurs engagements à faire reculer la barbarie. A l’occasion de l’affaire Milosevic, elle ouvre pour la première fois les portes interdites du Tribunal pénal international de La Haye et des chancelleries occidentales. Les révélations sur le procès Milosevic servent de toile de fond à une descente dans les coulisses les plus sombres de la haute politique et de la justice internationale. Ce récit expose au grand jour les méthodes brutales que les grandes puissances sont prêtes à utiliser, loin des regards indiscrets, pour atteindre leurs objectifs sur la scène internationale. Un dossier à charge qui viole la loi du silence en identifiant et citant ses principaux protagonistes pour appuyer ses incroyables révélations.
What the body remembers
Out of the rich culture of India and the brutal drama of the 1947 Partition comes this lush and eloquent debut novel about two women married to the same man. Roop is a young girl whose mother has died and whose father is deep in debt. So she is elated to learn she is to become the second wife of a wealthy Sikh landowner in a union beneficial to both. For Sardaji’s first wife, Satya, has failed to bear him children. Roop believes that she and Satya, still very much in residence, will be friends. But the relationship between the older and younger woman is far more complex. And, as India lurches toward independence, Sardarji struggles to find his place amidst the drastic changes.
Notre part des ténèbres
La nuit du 31 décembre, Gary et les autres membres de l’atelier de recherche mécanique de Mondial Laser, une entreprise de pointe vendue à l’Inde par un fonds spéculatif américain, prennent possession d’un navire de luxe, le Nausicaa. A bord, les actionnaires du fonds et leurs invités célèbrent au champagne une année de bénéfices records. Tandis que la fête bat son plein – bal masqué, orchestre, caviar – le Nausicaa est détourné.
Ivanhoé (deuxième partie)
A partir de 11 ans
Accompagné du vaillant archer Locksley, le légendaire Robin des Bois, le roi Richard Cœur de Lion donne l’assaut au château de Torquilstone où Ivanhoé, blessé, est retenu prisonnier. Bientôt, le jeune chevalier maniera de nouveau la lance et l’épée : mais ce sera pour tenter de sauver du bûcher une innocente jeune fille qui a placé en lui son dernier espoir…
Les chevaux de Saint-Marc
Guillaume d’Amiens est un preux chevalier, un tournoyeur qui en est à son quatre-vingt-dix-neuvième tournoi. Ces affrontements, au cours desquels se heurtent les meilleurs, sont aussi leur gagne-pain. A la fin du tournoi, le vainqueur se paie sur les vaincus. Un jour, Guillaume entend un homme qui prêche la quatrième croisade. C’est Foulques, curé de Neuilly, célèbre pour son éloquence. Le chevalier décide de tout quitter et de participer à l’aventure. Il se croise, laissant derrière lui son pays, sa famille et une jeune fille délicieuse. La croisade tourne mal dès le commencement. Pour transporter l’armée, on passe un accord avec le doge de Venise. La Sérénissime fournira les nefs et les galères. Les croisés perdent beaucoup de temps à chercher l’argent du voyage sans y parvenir et doivent traiter un marché avec le doge qui détourne leur mission en les lâchant sur une proie qu’il convoite, Constantinople. S’y trouvent les quatre magnifiques chevaux de bronze doré que celui-ci rêve de voir orner sa ville à la basilique Saint-Marc. La capitale de l’empire d’Orient sera prise en 1204 au prix d’une tuerie et de pillages. Guillaume participe à tous ces événements dont Jean Diwo tire un vrai roman de chevalerie qui recrée un épisode de l’histoire, mélange d’héroïsme et de cruauté. Le chevalier fera aussi la conquête d’une princesse qu’il ramène en même temps que les chevaux de Saint-Marc. Pourra-t-il oublier la France et son grand amour ?
Les dames du Faubourg
Faubourg Saint-Antoine. Jean Diwo y est né et il raconte le fabuleux roman de cette grande artère parisienne où les chariots de l’Histoire n’ont cessé de rouler. Abbesses de Saint-Antoine-des-Champs, artisans, nobles, bourgeois, tous sont soudés par l’amour du bois, matériau noble et magique. Un roman chargé d’amour, de drames et de joies, parce que les hommes et surtout les dames du Faubourg ne sont pas moroses.
L’amour d’une honnête femme
Les femmes occupent le premier plan de ce recueil de nouvelles. Dans ces huit récits prenant place au Canada entre les années 1940 à 1960, la vie quotidienne d’une mère, d’une fille, d’une épouse, ou encore d’une amante, bascule, provoquant des bouleversements irrémédiables. Comme Flora, dont le futur mari s’entiche de sa sœur. L’amour, la maternité, l’incommunicabilité entre les êtres sont les trames qui traversent les décennies et relient ces femmes entre elles.
Tante Nell est revenue toute pâle du marché. Elle a entendu deux hommes discuter des listes hebdomadaires qui recensaient les victimes. Il paraît que la semaine dernière, sept cents personnes sont mortes de la maladie. La peste s’est donc bel et bien installée à Londres. Une longue discussion a eu lieu à la maison, et je vais devoir partir pour Woolwich avec tante Nell. J’ai refusé de m’en aller sans mon chien et Papa a cédé. Au moins Poppet apportera un peu de joie à la ferme. On m’a envoyée me renseigner sur les horaires de départ des péniches, mais quelque chose m’a arrêtée en chemin : une croix rouge était peinte sur une porte de la rue voisine. Au-dessus de la croix était écrit : “Dieu aie pitié de nous.”»