Un roman pour ceux qui veulent savoir ce qu’il y a sous leurs pieds.
Avant cette sortie de classe, Keren et Nathan ne se connaissaient pas vraiment. Séparés de leur groupe, ils se retrouvent seuls dans le métro. Perdus puis traqués, ils s’enfoncent dans les profondeurs de Paris, au cœur d’un monde qu’ils n’auraient jamais dû découvrir…
Le premier tome d’une aventure haletante.
Un roman dans lequel l’univers de Jules Verne rencontre le XXIe siècle.
Pour tout savoir sur Sublutetia : http://www.sublutetia.com/blog
Psychanalyse des contes de fées
» Le Petit Chaperon rouge a été mon premier amour. Je sens que si j’avais pu l’épouser, j’aurais connu le parfait bonheur. » Charles Dickens. En reprenant cette citation, Bruno Bettelheim souligne à quel point le grand romancier avait compris l’importance capitale du conte de fées et le charme qu’il exerce sur nos premières années. Cette imagerie, mieux que tout le monde, » aide l’enfant à parvenir à une conscience plus mûre, afin de mettre de l’ordre dans les pressions chaotiques de son inconscient « . Tel est en effet le postulat de ce livre majeur oú Bettelheim nous éclaire sur la fonction thérapeutique des contes de fées sur l’enfant et l’adolescent jusqu’à la puberté. bien loin – contrairement à une idée reçue – d’être traumatisés, les jeunes auditeurs et lecteurs reconnaissent dans l’histoire une situation inconsciente ; ils y découvrent les épreuves à venir ; le roi et la reine sont les » bons » parents, la marâtre, la sorcière, l’ogre étant les images fantasmatiques des parents méchants et frustrants. Mais tout finit bien, par le succès et le réconfort : en s’identifiant au héros ou à l’héroïne, l’enfant exige cette fin heureuse, synonyme pour lui du bonheur possible. Grâce à cet ouvrage, illustré d’exemples d’un patrimoine sans âge, des Mille et Une nuits aux frères Grimm, de Cendrillon à Blanche-Neige et à La Belle au bois dormant, nous n’avons plus le même regard sur ces contes de fées qui offrent à l’enfant une chance de se comprendre mieux au sein du monde complexe qu’il va devoir affronter.
Mon amie Anne Frank
A PARTIR DE 10 ANS – Le 7 juillet 1942, Hannah Goslar sonne chez son amie Anne et découvre avec stupeur que la maison est vide. La famille Frank a quitté Amsterdam – sans doute pour se réfugier en Suisse, dit un voisin. À cause des lois anti-juives, le quotidien d’Hannah devient chaque jour plus difficile. Puis tout bascule une nuit de juin 1943, lorsque des soldats nazis frappent à sa porte…
L’île du crâne (1)
A PARTIR DE 10 ANS – David Eliot vient d’être renvoyé du collège et cette fois ses parents ont décidé de sévir ! Il se retrouve dans une école bien étrange, sur la sinistre île du crâne, au large de l’Angleterre. Très vite, il soupçonne le pire. Mais il est encore loin de la vérité…
Un baiser pour petit-ours
MAGNIFIQUES ILLUSTRATIONS – Petit-Ours a fait un très beau dessin. « Je suis enchanté de ce tableau », dit-il. « Je vais l’offrir à Grand-Maman. » Alors il le donne à la poule, qui va le transmettre à Grand-Maman. Et Grand-Maman donne un baiser à la poule pour Petit-Ours. Mais ce baiser a beaucoup de mal à arriver jusqu’à Petit-Ours.
Le Docteur Faustus
L’un des plus grands romans de Thomas Mann, composé aux Etats-Unis de 1943 à 1947, et dont la trajectoire trouve un écho flamboyant et tragique dans l’histoire contemporaine, le triomphe et l’apocalypse de l’Allemagne hitlérienne.
Brassant les mythes, renouant avec le démoniaque, paraphant son véritable testament spirituel d’artiste, Mann nous livre la biographie imaginaire d’un artiste qui, comme Nietzsche, braverait la folie pour porter la souffrance d’une époque dans son orgueil de créateur et, comme Schönberg, serait l’inventeur de la musique sérielle. » Jamais, disait-il, je n’ai autant aimé un personnage imaginaire. »
Nouvelles sous ecstasy
Certains territoires du cervelet et d’autres champs de la conscience sont restés inexplorés avant les années quatre-vingt et la découverte d’une nouvelle drogue, la MDMA, plus connue sous le nom d’ecstasy. Drogue dure, cette « pilule de l’amour » à effet rapide « avec une montée et une descente comme dans les montagnes russes » rend la vie des personnages de ce recueil de nouvelles parfois difficile : jouissive avant d’être sombre, heureuse avant d’être déprimante. On s’aime, on se déchire, on fait des choses folles comme voir le monde au bord du gouffre, oublier ses inhibitions et ses tabous… et puis… passer les bornes. Oui sans doute, sans doute, car voilà tout le talent de Beigbeder. Avec beaucoup d’humour et d’invention, il nous propose une réflexion sur l’amour et sur la folie, deux concepts aux multiples ramifications. Et avec toute l’affection dont il est capable, il partage le « trip » de ses personnages, nous offrant la possibilité d’hésiter : est-ce l’auteur qui écrit sous ecstasy ou le récit de la vie d’individus en plein envol ? Peut-être bien les deux, ce qui ne gâche en rien le plaisir de la lecture.
Un corps de rêve en 15 mn par jour
Finis les muscles mous et l’allure fatiguée ! Un programme d’entretien progressif de 15 minutes par jour pour retrouver un corps ferme, souple et tonique.
La Sultane du Caire
Quelle est cette femme, belle et sensuelle, qui en 1250, prend la tête de l’armée égyptienne et défait le roi français Saint-Louis, lors de la 7ème croisade ? Quelle est cette même jeune femme aux yeux d’émeraude, enlevée dans les steppes caucasiennes, vendue comme esclave au harem du prince héritier du califat de Bagdad, avant de finir Sultane d’Egypte et de Syrie ? Elle s’appelle Charajat ed-Or qui signifie « Arbre de pierre précieuses ». Elle est la seule femme de l’Histoire à avoir été élue Sultane, avec tous les attributs de pouvoirs des sultans masculins. Son règne marque également la mainmise des Mamelouks sur l’Egypte. En 1249, son mari, Sultan d’Egypte et de Syrie, petit neveu de Saladin trouve la mort. Elle cache son décès, prend la tête de l’armée mamelouke et capture Saint-Louis à la bataille de Mansourah. L’Egypte tout entière lui est reconnaissante. Elle fait alors assassiner l’héritier du trône et devient souveraine de l’Empire. Les autorités religieuses du Calife de Bagdad acceptent difficilement qu’une femme puisse régner sur une nation musulmane. Elle trouve une parade en épousant Aybak, le chef de l’armée mamelouke, dont elle est d’ailleurs amoureuse. Elle lui confie le pouvoir tout en continuant à gérer avec une grande sagesse les affaires de l’Etat. Mais son excessive fierté, conjuguée à son amour bafoué, aux trahisons et aux complots, ne peuvent qu’être annonciateurs d’un sombre avenir…
Ce que je crois
» Ce livre, écrit François Mauriac, ne s’adresse ni aux savants, ni aux philosophes, ni aux théologiens. j’ai voulu répondre le plus simplement possible à la question : » Pourquoi êtes-vous demeuré fidèle à la religion dans laquelle vous êtes né ? » C’était m’exposer à faire le jeu de l’adversaire. Le risque est à la mesure de la simplicité et de la naïveté qui m’auront tenu à genoux, durant toute ma vie, mais qui, de l’enfance à la vieillesse, m’auront permis de sentir, de toucher, de posséder un amour que je ne voyais pas. » Et il est vrai que la sincérité d’un tel ouvrage en fait un message bouleversant qui concerne tous les hommes.
Si François Mauriac y retrace son itinéraire spirituel, sans omettre les objections contre l’Eglise qu’il eut le plus de mal à surmonter (à dix-huit ans il faisait déjà ses délices d’Anatole France), il nous passionne par les confidences sur lui-même, sur sa famille et sur son enfance, à laquelle on sait avec quel plaisir il revient toujours. Mais, dépassant son cas personnel, il engage sa foi dans le siècle, et nous rappelle » qu’il n’est pas d’autre politique permise au chrétien que la recherche du royaume de Dieu et de sa justice. » Ouvrage pathétique, par la lutte qui se laisse voir à chaque page entre l’homme et le chrétien, l’homme qui avoue son » hédonisme inguérissable « , le chrétien qui se répète la parole de Saint Jean : » Et si notre cœur nous condamne, Dieu est plus grand que notre cœur « . Le Ce que je crois de François Mauriac parle à l’oreille de chacun de nous, et l’oblige au tête-à-tête avec sa propre conscience. Un grand livre : l’un des plus grands dans l’œuvre du grand écrivain.
La nuit du sérail
Aimée Dubuc de Riverie, cousine de la future impératrice Joséphine, naquit à la Martinique à la fin du XVIIIè siècle. Capturée par les pirates barbaresques à l’âge de quinze ans, offerte par le Dey d’Alger au Sultan de Constantinople, elle verra dès lors toute son existence se dérouler dans le Sérail. Favorite du vieux Sultan, amoureuse et aimée de son successeur, mère adoptive d’un troisième Sultan, elle détiendra un pou-voir occulte de plus en plus important. Rédigeant ses Mémoires alors que ses jours sont comptés, Aimée revit l’incroyable aventure de l’enfant qui croyait en son destin : comment l’adolescente réduite en esclavage devint, à travers l’amour et les larmes, une jeune femme passionnée puis une Sultane au sommet de la puissance dans le monde clos, violent, fastueux et fascinant de la cour de Turquie. Michel de Grèce, en donnant la parole à son héroïne, anime d’un souffle romanesque la parfaite reconstitution d’une vie hors du commun.
La perruque du Roi-Soleil
A PARTIR DE 3 ANS – Cléa, Medhi, Yoko et George ont un super-pouvoir : grâce à une phrase magique connue d’eux seuls, ils peuvent se transporter en un clin d’œil à l’époque de leur choix ! Aujourd’hui ; au temps de Louis XIV …
Un artiste du monde flottant
L’artiste, c’est Masugi Ono, vieux maître de l’art officiel nippon, narrateur de ce livre, et le monde flottant, c’est le quartier des plaisirs de la vie nocturne qu’il a beaucoup fréquenté au temps de sa jeunesse. Aujourd’hui, il tente de donner un sens à sa vie il dialogue avec ses contemporains, dans le Japon de l’immédiat après-guerre et interroge son passé. Grâce au ton insidieux et indéfinissable du narrateur, ce livre exerce un charme envoûtant sur le lecteur. Discret comme un film d’Ozu, ce roman ressemble à du Proust revu et corrigé par Kawabata, la modernité en plus.
L’agneau
Xavier s’apprête à entrer au séminaire ; dans le train qui l’y mène, il fait la connaissance de Jean de Mirbel, trentenaire dévoyé sur le point de divorcer : cette rencontre bouleversera à jamais l’existence des deux hommes… L’Agneau, publié en 1954, est l’une des œuvres les plus fascinantes de François Mauriac. Dans la lignée de Dostoïevski et de Camus, l’écrivain s’interroge sur le Mal, en mettant en scène la souffrance et la mise à mort d’un être innocent. Rien n’est plus irrespirable et plus bouleversant que ce texte où s’affrontent sans merci l’espoir et l’angoisse de l’homme, portés à leur paroxysme par la concision d’un style effilé comme une lame.
La chatte
Lorsque débute leur vie commune, Alain et Camille sont deux amis d’enfance que tout en apparence rapproche mais que leurs secrètes rêveries divisent. » Mon mariage, reconnaît Alain, contente tout le monde et Camille, et il y a des moments où à me contente aussi, mais… » Ce qu’Alain aime en Camille, c’est une beauté idéalisée faite d’immobilité et de silence. Aussi est-il déconcerté par son exubérance. Comme l’arrivée d’une saison nouvelle, la découverte de leur intime division le met à la merci d’autres rêves. Et c’est alors que le drame se noue. La chatte Saha sera désormais pour Alain la chimère sublime qui domine sa vie et pour Camille la rivale détestée contre laquelle aucun procédé n’est trop brutal.
Fantômes vampires, zombis, banshees, croque-mitaines… Les morts vivants se multiplient. Car une catastrophe frappe le Disque-Monde : la Mort est porté disparu (oui, la Mort est un mâle, un mâle nécessaire). Plus moyen de défunter correctement. Fini le repos éternel et bien mérité ! Il s’ensuit un chaos général tel qu’en provoque toujours la déficience d’un service public essentiel. Et pendant ce temps-là, dans les champs d’une ferme lointaine, un étrange et squelettique ouvrier agricole manie la faux avec une rare dextérité. La moisson n’attend pas…
Il faut tenter de vivre
« Dans les temps qui avaient précédé notre rencontre, je m’étais représenté Sandrine Broussard d’une manière très subjective, sur la base de ce qu’on me racontait. A vrai dire, peu m’importait de savoir si j’étais près de la vérité ou non. Je faisais évoluer la jeune femme sur une orbite éloignée de Bonnie Parker, où elle gravitait comme un astre de faible brillance, et je l’imaginais de taille moyenne, blonde, mignonne, pareille à Faye Dunaway dans le film.Sandrine était la portion incongrue de mon univers, différente de tout, rétive aux classements. » Lorsque le narrateur croise enfin Sandrine Broussard il est happé par ce personnage magnétique, son exact contraire. La jeune femme va lui raconter ses vies multiples et tumultueuses, faites d’arnaques et de clandestinité. Mais au plus profond d’elle-même, elle aspire à ne plus être une « passagère clandestine » et à retrouver une place dans ce monde. Pour « tenter de vivre », il faut abandonner plusieurs « moi » derrière soi. Le peut-on ? Et quel est le prix à payer pour sortir du tunnel ?
Trilogie 93
Trilogie 93, l’édition collector suivie de Ultra Noir, trois nouvelles d’Olivier Norek pour la première fois réunies. Vous allez vivre à travers ces pages ce que d’autres, flics, criminels, victimes, ont vécu en réalité. Vous allez découvrir un univers dont vous n’imaginiez pas la violence. Vous n’êtes pas un simple lecteur, vous êtes un membre de l’équipe. TROIS ENQUÊTES ULTRARÉALISTES, PARFOIS RÉELLES, ÉCRITES PAR UN CAPITAINE DE LA PJ. UNE IMMERSION TOTALE DOPÉE À L’ADRÉNALINE.
Chamans, mystiques et médecins
Sudhir Kakar, psychanalyste indien d’obédience freudienne, a été notamment formé aux États-Unis. Il propose dans cet essai – dont l’originalité tient au biculturalisme de son auteur – une comparaison entre les concepts et les pratiques de « guérison » dans les traditions culturelles indiennes et occidentales. Ce livre est le fruit d’un passionnant travail sur le terrain, en inde. Le lecteur est entraîné à partager cette expérience vécue auprès des guérisseurs tantriques, des chamans, des gourous, etc. Un des intérêts de l’approche de Sudhir Kakar est de faire apparaître dans l’examen minutieux de ces diverses pratiques thérapeutiques orientales et occidentales la nécessité d’une doctrine, quelle qu’elle soit, et parallèlement de rappeler que la rencontre personnelle soignant/soigné fonde la vérité des thérapies d’ici ou d’ailleurs. Sudhir Kakar, loin d’établir une hiérarchie entre les diverses pratiques thérapeutiques et théories qu’il présente, s’attache à dégager sous tant de manifestations de « la maladie mentale » une sorte d’universalité psychologique et à repérer des traits communs dans les méthodes de guérison, tout en respectant les particularismes des démarches.
Retour à Roissy – Un voyage sur le RER B
Mai 2017, entre l’élection présidentielle et les législatives, une sociologue et un photographe se mettent en route, sac au dos, pour un voyage le long de la ligne B du RER, de Roissy à Saint-Rémy-lès-Chevreuse. Ils reviennent sur les pas de François Maspero et Anaïk Frantz qui, trente ans plus tôt, alors que la France découvrait le » mal des banlieues « , allaient voir la » vraie vie » autour de la capitale. Ce livre est le récit de leur traversée de territoires injustement réduits à des poncifs sur le béton, la pauvreté, l’islam ou l’insécurité. Des agriculteurs chinois installés à quelques kilomètres de l’aéroport de Roissy, des familles turques pique-niquant dans un parc un dimanche ensoleillé, des commerçants sikhs proposant l’hospitalité de leur lieu de culte, des catholiques polonais réunis après la messe du dimanche, un rappeur s’opposant à son père congolais sur l’héritage colonial, des résidents de quartiers pavillonnaires jouxtant les tours d’habitat social… Au fil de ces rencontres apparaît une mosaïque méconnue, travaillée par l’histoire, la mondialisation et les ancrages locaux. Se dessine aussi peu à peu un paysage urbain où la nature s’obstine et qui ne cesse d’affronter les multiples tentatives de mise en ordre engagées depuis plus d’un siècle, dont le Grand Paris, annoncé sur des panneaux de chantier omniprésents, trace aujourd’hui le nouvel horizon.
The Animalies
Dans une petite ville paumée du Kentucky, une improbable complicité se noue entre cinq excentriques. Opal, octogénaire lubrique en bottes de cow-boy. De soixante-douze ans sa cadette, Ember, bassiste surdouée aux pulsions destructrices. La satanique Aurora, bombe frigide qui ne prend son pied qu’à la batterie. Ray, Irakien efféminé à la recherche du soldat qu’il a blessé pendant la guerre du Golfe. Enfin, le charismatique Luster, poète afro-américain,éternel incompris qui gagne sa vie comm commissaire de piste dans un cynodrome. Tous ont une passion, la musique, et un rêve conquérir le monde avec leur groupe totalement déjanté, The Anomalies.
Le chat Zen
Détachés, indépendants, élégants, philosophes sûrement, et si les chats, mieux que quiconque, nous ouvraient la voie du zen ?
Kwong Kuen Shan, artiste chinoise, présente ici quarante de ses plus belles aquarelles, associées à des proverbes chinois, des enseignements de la tradition zen, ainsi que des citations de Confucius.
Outlander – Le cercle des sept pierres
Avec ce recueil, Diana Gabaldon ajoute sept pierres à son grand-oeuvre. Lord John Grey sera sur tous les fronts : de la bataille de Québec au poste de gouverneur de la Jamaïque, en passant par La Havane pour voler au secours de sa mère. Maître Raymond arpentera les rues sombres de Paris tandis qu’on découvrira, entre autres, l’histoire mouvementée de la famille MacKenzie durant la Seconde Guerre mondiale. Pour finir, retour en France avec Jamie Fraser et Ian Murray, qui, dans leur jeunesse, ont endossé le costume de mercenaires… Des nouvelles inédites dans l’univers d’Outlander, qui se lisent indépendamment et nous entraînent à travers le monde!
Le liseur du 6h27
Employé discret, Guylain Vignolles travaille au pilon, au service d’une redoutable broyeuse de livres invendus, la Zerstor 500. Il mène une existence maussade mais chaque matin en allant travailler, il lit aux passagers du RER de 6h27 les feuillets sauvés la veille des dents de fer de la machine. Dans des décors familiers transformés par la magie des personnages hauts en couleurs, voici un magnifique conte moderne, drôle, poétique et généreux : un de ces livres qu’on rencontre rarement.
Soufi libéral, prince de l’islam, héros de la résistance algérienne, Abd el-Kader fut aussi un franc-maçon favorable au progrès. En cela, il reste une énigme de l’histoire. Alors que le monde musulman préfère nier son affiliation à la maçonnerie, Thierry Zarcone démêle le vrai du faux et revisite, à la lueur de nouvelles sources arabes et occidentales , l’histoire secrète de l’émir et le rôle joué par son fils aîné et ses descendants dans la construction d’un mythe. Car si le souvenir de Abd el-Kader a perduré dans la confidence de certaines loges du Caire, de Tunis, de Dakar et de Paris qui portent son nom, son grand retour dans le débat sur l’islam de France, le Jihadsime ou la laïcité nous engage à découvrir l’homme derrière le mystère
Les descendants
Matthew King est un homme riche. Il est l’un des héritiers de la famille royale hawaïenne – une royauté purement honorifique – et se trouve à la tête de nombreuses terres sur l’île. Sa vie personnelle, elle, est sur le point d’être bouleversée. Ses deux filles sont hors de contrôle : Scottie, dix ans, est insolente et exige une attention constante ; Alex, dix-sept ans et ancien mannequin, est déjà droguée. Joanie, l’épouse de Matt, était une femme magnifique, charismatique et audacieuse, jusqu’à son accident en bateau de course. Elle est dans le coma mais bientôt, conformément au souhait de Joanie, les appareils seront débranchés. Les King n’imaginent pas leur vie sans elle, et pourtant la tristesse se mêle à un étrange sentiment de liberté et à une exacerbation des sentiments qui leur fait perdre tous leurs repères. Avant d’honorer la volonté de Joanie, Matt doit réunir ses amis et sa famille afin qu’ils puissent lui dire adieu, une tâche ingrate rendue plus difficile encore lorsqu’il découvre qu’une personne n’est pas au courant de son état : l’homme avec qui Joanie avait une aventure, et peut-être aussi le seul homme qu’elle ait jamais aimé. En proie à des émotions contradictoires, Matt part alors à la recherche de l’amant de sa femme avec ses filles … Raconté par Matt à la première personne, Les Descendants est un magnifique roman familial. Au travers de cette voix d’une sincérité et d’une lucidité remarquables, Kaui Hart Hemmings dissèque les liens affectifs d’une plume tranchante et mélancolique à la fois. Son roman est un vrai bonheur de lecture.
Elégie pour un Américain
De retour à New York après l’enterrement de leur père, dans le Minnesota, Erik Davidsen, psychiatre divorcé, et sa sœur, Inga, veuve dévastée et récente d’un écrivain célèbre, découvrent la lettre qu’une femme a jadis adressée au disparu et par laquelle ils apprennent que leur père aurait naguère été impliqué dans une mort mystérieuse. Dès lors, dans une Amérique toujours traumatisée par les événements du 11 Septembre survenus quatre ans plus tôt, tous les personnages qui gravitent autour de la famille Davidsen vont, de proche en proche, être amenés à se confronter à la part la plus opaque de leur être.
Conjuguant la mémoire de l’immigration et le thème du secret de famille, et affrontant, entre ombre et lumière, les ambiguïtés de toute transmission, et la difficulté pour tout individu de réinventer sa vie, Siri Hustvedt écrit ici le roman compassionnel de l’inconscient d’une Amérique déchirée entre l’apparente infaillibilité de ses mythologies fondatrices et la profondeur des désarrois qui l’habitent aujourd’hui.
Une nuit particulière
J’avais envie d’amour. Envie d’une grande nuit d’amour. D’une rencontre. De ce moment étrange, poétique parfois, qui change le cours de l’eau d’une vie. Je voulais comprendre jusqu’où l’on peut aimer, jusqu’où l’on peut aller vers l’autre et ressentir que chaque pas est un choix. Je rêvais d’entendre à nouveau quelques airs d’opéra, des arias de douleur et de beauté, et retrouver ces hommes et femmes capables de se jeter dans le vide par amour. Parce que c’est vivre sans amour qui est l’enfer. » Elle s’appelle Aurore. Et pourtant c’est au crépuscule qu’elle rencontre Simeone, un soir d’automne, à Paris, aux abords du local d’un groupe de parole. Elle quitte une réunion, lui arrive pour la suivante. Il attend, l’observe, intrigué, mais c’est elle qui s’adresse à lui. Le temps d’une cigarette, la conversation s’engage. Après trente ans d’amour fou, Aurore sait qu’elle va être quittée par son mari. Simeone a la gorge mangée par un crabe, il lui reste peu de temps à vivre, il refuse de lutter et sa femme a peur. Alors les deux inconnus s’avancent ensemble dans une nuit qui ne ressemblera à nulle autre, des rues de Paris à un bar de nuit, d’une chambre d’hôtel à un aller-retour en taxi vers Roissy et une évasion vers les rivages de l’aube. Première ou dernière nuit, tous deux l’ignorent. Ils ne sont sûrs que d’une chose : au matin, après cette bouleversante nuit d’amour, rien ne sera plus jamais comme avant. Car l’amour ne s’écrit jamais à l’avance. Romanesque, poétique, fulgurant : un magnifique roman d’amour.
Comment font les gens ?
Anna, la narratrice de ce roman aux allures de Mrs Dalloway contemporain, est éditrice sous les ordres d’une dictatrice, se débrouille comme elle peut avec la vie, c’est-à-dire plutôt mal. Elle résiste. Elle endigue. Elle encaisse. Elle se souvient, surtout. Coincée entre une mère féministe mais atteinte d’une forme de joyeuse démence, trois filles à l’adolescence woke, un mari au sourire fuyant et à la tenue fluo, un cordon sanitaire d’amies qui sonnent le tocsin des SMS et des apéros SOS « burn out », Anna pourrait crier, comme on joue, comme on pleure, « Arrêtez tout ! », mais ça ne marche qu’au cinéma. Comment font les gens ? Pourquoi ne remarquent-ils pas les « pigeons dégueulasses aux ventres de pamplemousse » ou la mélancolie fêlée d’une voisine de comptoir ? Il y a du Virginia Woolf déjanté dans ce roman de la charge mentale, mais il y a aussi du Françoise Sagan : chaque phrase vise juste, replie le présent déceptif sur le passé enchanté.
Reine de cœur
En 1939, Jun est étudiant au Conservatoire de Paris. Mais le conflit sino-japonais le contraint à rentrer au Japon. En quittant la France, il laisse derrière lui son grand amour, sa « reine de coeur », la jeune Anna. L’épreuve de la guerre sera d’une violence monstrueuse. Des années plus tard, Mizuné, une jeune altiste parisienne, découvre un roman qui lui rappelle étrangement le parcours de ses grands-parents, Jun et Anna, qu’elle n’a jamais connus. Bouleversée par la guerre et la folie des hommes, leur histoire d’amour, si intimement liée à la musique, pourrait bien trouver un prolongement inattendu. Le passé récent du Japon et les atrocités commises au nom de la grandeur nationale, la musique vécue comme ce que l’humanité porte en elle de meilleur, la transmission du passé malgré les silences familiaux, l’amour de la langue française : dans ce roman à la fois émouvant et captivant, Akira Mizubayashi continue d’explorer les thèmes qui lui sont chers.
Qui sait
« J’attends que quelque chose se passe. Je crains, à tout moment, que ça ne fonctionne pas, qu’il y ait un problème, un chaînon manquant. Je ne vois pas comment cette opération pourrait se dérouler sans encombre. J’ai pris un numéro à l’entrée du service état civil, j’ai pris aussi mon air le plus désinvolte, comme si cela m’arrivait tous les mardis, d’aller me faire faire une identité. »
Avant d’être enceinte, Pauline ne s’était jamais posé la question de ses origines. Et puis cela devient crucial. Elle sonde alors le sens des mystérieux prénoms secondaires qui figurent sur sa carte d’identité : Jeanne, Jérôme, Ysé. Fantaisie et drame, fantasme et réalité se mêlent dans ce récit envoûtant, qui nous conduit tour à tour sur les traces d’une aïeule aliénée, d’un ami de la famille disparu et d’une héroïne de fiction. Avec Qui sait, Pauline Delabroy-Allard signe un deuxième roman virtuose, ode à la toute-puissance de l’imagination et de la littérature.
Les amies
« Séductrices, elles souhaitent faire tomber les barrières. Passer leur vie bourgeoise au napalm. Faire éclater la norme. Elles veulent vivre mille vies et ont du mal à considérer que la nourriture bio et les objets connectés suffisent au bonheur. Elles refusent la limitation de l’amour à la tendresse conjugale. En fait, ces femmes sont des grands hommes, selon la formule consacrée. »
Voici l’histoire d’un trio amical flamboyant saisi à deux moments de son existence. Dans un premier tableau, à Djerba, Armelle, Rim et Anna, mères épuisées approchant de la quarantaine, partent à l’assaut de leur jeunesse perdue. Au bord de la piscine de leur hôtel, elles rêvent ensemble d’amour et d’aventure. Lorsqu’elles se retrouvent trois ans plus tard sur une île au large de Morlaix, elles ne parlent plus la même langue. Leurs désirs sont désaccordés, et les tensions montent sous la lumière blanche du grand phare. Que reste-t-il de nos amitiés ? Avec ce roman tour à tour hilarant et grave, Nolwenn Le Blevennec dessine les contours de ce lien si précieux.
Désir noir
« Un après-midi d’automne, assise à la terrasse d’un café, je listais avec mon éditeur des idées de chapitre pour Les 8Sept Péchés capitaux du rock, titre de mon premier livre. “Bertrand Cantat.” Un coup de vent glacé m’a fait frissonner. Ou était-ce ce nom, évocateur de mort et de violence ? Dans mon souvenir, le chanteur de Noir Désir s’était disputé avec sa petite amie, l’actrice Marie Trintignant, un été, en Lituanie. Il lui avait donné une gifle, sa tête avait heurté un radiateur, hémorragie cérébrale, elle n’avait pas survécu. C’était un accident, mais il relevait bien de la colère, puisqu’il était l’issue tragique d’une bagarre. En rentrant chez moi, j’ai commencé par rechercher des articles de presse relatant l’affaire. Les titres ont défilé. Je cliquais, lisais, ou plutôt dévorais les informations. Je m’étais totalement trompée. La mort de Marie Trintignant n’était pas un accident. Et si elle n’était pas la seule victime ? »Vingt ans après la mort de Marie Trintignant, Anne-Sophie Jahn mène l’enquête sur une tragédie que l’on n’appelait pas encore féminicide.
Un fugitif à Walden
En 1845, Samuel Long, jeune esclave noir d’une vingtaine d’années, réussit à s’enfuir de la plantation de son maître, en Virginie. Après avoir emprunté, le « chemin de fer souterrain » – maillage de personnes qui, depuis les États du Sud, aident les esclaves en fuite à rejoindre le Canada, il arrive au lac Walden et se lie avec le cercle des philosophes transcendantalistes : Henry David Thoreau, Ralph Waldo Emerson, Nathaniel Hawthorne, William Lloyd Garrison et bien d’autres. À leurs côtés, il va alors tenter de se (re)construire et d’apprivoiser sa nouvelle condition d’homme libre. Mais cette rencontre est également la confrontation de deux mondes : celui de Samuel Long fait de souffrance et de révolte, et celui des intellectuels blancs qui, s’ils soutiennent l’abolition de l’esclavage, se retrouvent néanmoins enferrés dans leurs propres privilèges et contradictions. S’en dégagent des portraits étonnants, et surtout très sensibles, de Henry David Thoreau et de ses confrères, à travers le regard de Samuel.
13 à table !
13 à table ! propose ses meilleurs souvenirs de vacances…
En 2014, les éditions Pocket s’associent avec toute la chaîne du livre afin de proposer un ouvrage publié au profit des Restaurants du Cœur. Le projet est entièrement bénévole1
Tonino BENACQUISTA
Françoise BOURDIN
Marina CARRÈRE d’ENCAUSSE
Jean-Paul DUBOIS
François d’EPENOUX
Karine GIEBEL
Marie-Hélène LAFON
Alexandra LAPIERRE
Cyril LIGNAC
Agnès MARTIN-LUGAND
Étienne de MONTETY
François MOREL
Romain PUÉRTOLAS
Tatiana de ROSNAY
Leïla SLIMANI
Une dernière danse
Derrière les tours majestueuses de l’Alhambra, les ruelles de Grenade résonnent de musique et de secrets. Venue de Londres pour prendre des cours de danse, Sonia ignore tout du passé de la ville quand elle arrive. Mais une simple conversation au café El Barril va la plonger dans la tragique histoire de la cité de Garcia Lorca et de la famille qui tenait les lieux.
Soixante-dix ans plus tôt, le café abrite les Ramirez : trois frères qui n’ont rien d’autre en commun que leur amour pour leur sœur, Mercedes. Passionnée de danse, la jeune fille tombe bientôt sous le charme d’un gitan guitariste hors pair. Mais tandis que l’Espagne sombre dans la guerre civile, chacun doit choisir un camp. Et la fratrie va se déchirer entre résistance, soumission au pouvoir montant, ou fuite.
Happée par ce récit de feu et de sang, Sonia est loin d’imaginer à quel point cette histoire va bouleverser sa propre existence…
Diplômée de littérature anglaise de l’université d’Oxford, Victoria Hislop vit entre l’Angleterre et la Crète, et parle français couramment. Best-seller international, vendu à plus de deux millions d’exemplaires dans le monde, son premier roman L’Île des oubliés n’a pas quitté les classements des meilleures ventes depuis sa sortie en France, avec 400 000 lecteurs conquis, et a été couronné par le prix des lecteurs du Livre de Poche.
Ceux qu’on aime
Une odyssée familiale puissante et passionnante.
Le grand retour de Victoria Hislop à la saga historique.
Athènes, milieu des années 1940. Récemment libérée de l’occupation allemande, la Grèce fait face à de violentes tensions internes. Confrontée aux injustices qui touchent ses proches, la jeune Themis décide de s’engager auprès des communistes et se révèle prête à tout, même à donner sa vie, au nom de la liberté. Arrêtée et envoyée sur l’île de Makronissos, véritable prison à ciel ouvert, Themis rencontre une autre femme, militante tout comme elle, avec qui elle noue une étroite amitié. Lorsque cette dernière est condamnée à mort, Themis prend une décision qui la hantera pendant des années.
Au crépuscule de sa vie, elle lève enfin le voile sur ce passé tourmenté, consciente qu’il faut parfois rouvrir certaines blessures pour guérir….
Une passionnante fresque familiale.
Mon carnet de gratitude – Livre neuf
Dans le carnet de gratitude vous trouverez une méthode simple et structurée pour développer une attitude positive en vous encourageant à valoriser vos émotions positives.
Le soleil des rebelles
Le jeune prince Marcus est encore un enfant lorsqu’il assiste impuissant au massacre de toute sa famille.
Marcus ne doit son salut qu’à la jeune Eloisa, fille d’Agnete, la lavandière du village qui l’accueillera sous son toit pour l’élever comme s’il était son fils.
Luca di Fulvio retrace l’ascension paradoxale d’un petit prince qui va devoir apprendre dans la douleur comment devenir un homme.
Un chemin de tables
Brasserie parisienne, restaurant étoilé, auberge gourmande, bistrot gastronomique, taverne mondialisée, cantine branchée, Mauro, jeune cuisinier autodidacte, traverse Paris à vélo, de place en place, de table en table. Un parcours dans les coulisses d’un monde méconnu, sondé à la fois comme haut-lieu du patrimoine national et comme expérience d’un travail, de ses gestes, de ses violences, de ses solidarités et de sa fatigue. Au cours de ce chemin de tables, Mauro fait l’apprentissage de la création collective, tout en élaborant une culture spécifique du goût, des aliments, de la commensalité. A la fois jeune chef en vogue et gardien d’une certaine idée de la cuisine, celle que l’on crée pour les autres, celle que l’on invente et que l’on partage.
Rendez-vous à Gibraltar
Cristina Sánchez Pradell, flic à Marviña, dans la région de Malaga, est de garde cette nuit-là. Quand la police est appelée pour un cambriolage, elle accepte de remplacer l’un de ses collègues, jeune père impatient de rentrer chez lui. Sans imaginer un seul instant qu’en mettant les pieds à La Paloma, ce quartier à la vue imprenable sur la Méditerranée où de riches expatriés se sont bâti de luxueuses villas, sa vie va basculer irrémédiablement et qu’elle va désormais craindre sans relâche non seulement pour sa vie, mais pour ceux qui lui sont chers, son fils Lucas, Antonio son mari, et sa tante Ana, aveugle et sourde. Tandis que John Mackenzie, un policier écossais réputé pour son flair autant que pour son caractère exécrable, est détaché sur l’affaire où des compatriotes sont impliqués, le paysage paradisiaque de ces confins du continent européen se peuple de sourdes menaces. Après les Hébrides, Peter May s’empare d’une autre région qui lui est chère, celle qui, à l’extrême sud de l’Espagne, voisine avec Gibraltar, infime possession britannique dans la péninsule Ibérique. Son flic au visage pâle s’y confronte au masque féroce d’une certaine Europe.
Crime et déluge
Le bonheur conjugal est de courte durée pour Agatha, une fois de plus délaissée par son mari. Punition divine, un véritable déluge s’abat sur la région, plongeant le petit village de Carsley sous les eaux. C’est le moral dans les chaussettes et sous une pluie torrentielle qu’Agatha aperçoit le corps sans vie d’une jeune femme en robe de mariée, un bouquet à la main, flottant dans la rivière. Pour noyer son chagrin, Agatha n’a qu’une solution : se jeter à corps perdu dans une nouvelle enquête…
Le bruissement du papier et des désirs
1837, île du Prince-Édouard, au large du Canada. Marilla Cuthbert, 13 ans, mène une vie tranquille dans le cadre enchanteur de la campagne, avec ses parents et son frère aîné, Matthew. À la mort brutale de sa mère adorée, Marilla se jure de veiller toujours sur son père et son frère. Cette décision va entraîner sa vie entière. Désormais, elle se consacrera aux autres. Sacrifiant son amour pour John Blythe, elle décide de se battre auprès des plus démunis, les orphelins en particulier. Visionnaire, elle se révolte contre les mœurs de son temps et rejoint les rangs d’anciens esclaves affranchis afin que soit abolie la traite des Noirs. Mais ce combat pour la liberté a un prix : l’hostilité croissante de l’ordre établi. Chaque jour qui passe fait courir à Marilla un danger sans cesse plus grand. Le récit d’une femme libre qui s’engage pour le bonheur des autres.
Cupidon a des ailes en carton
Vendu sans bandeau – Meredith aime Antoine. Éperdument. Mais elle n’est pas prête. Comédienne en devenir, ayant l’impression d’être encore une esquisse d’elle-même, elle veut éviter à leur histoire de tomber dans les mauvais pièges de Cupidon. Alors, il lui faut se poser les bonnes questions : comment s’aimer mieux soi-même, aimer l’autre à la bonne distance, le comprendre, faire vivre la flamme du désir ? Meredith pressent qu’avec ce qu’il faut de travail, d’efforts et d’ouverture, on peut améliorer sa capacité à aimer, son » Amourability « . Son idée ? Profiter de sa prochaine tournée avec sa meilleure amie Rose, pour entreprendre une sorte de « Love Tour ». Un tour du Moi, un tour du Nous, un tour de l’Amour. Aussi, afin de se préparer à vivre pleinement le grand amour avec Antoine, elle doit s’éloigner. Prendre le risque de le perdre pour mieux le retrouver. Ils se donnent 6 mois et 1 jour. Le compte à rebours est lancé, rythmé par les facéties de Cupidon. Meredith trouvera-t-elle ses réponses avant qu’il ne soit trop tard ?
Cupidon a des ailes en carton
Meredith aime Antoine. Éperdument. Mais elle n’est pas prête. Comédienne en devenir, ayant l’impression d’être encore une esquisse d’elle-même, elle veut éviter à leur histoire de tomber dans les mauvais pièges de Cupidon. Alors, il lui faut se poser les bonnes questions : comment s’aimer mieux soi-même, aimer l’autre à la bonne distance, le comprendre, faire vivre la flamme du désir ? Meredith pressent qu’avec ce qu’il faut de travail, d’efforts et d’ouverture, on peut améliorer sa capacité à aimer, son » Amourability « . Son idée ? Profiter de sa prochaine tournée avec sa meilleure amie Rose, pour entreprendre une sorte de « Love Tour ». Un tour du Moi, un tour du Nous, un tour de l’Amour. Aussi, afin de se préparer à vivre pleinement le grand amour avec Antoine, elle doit s’éloigner. Prendre le risque de le perdre pour mieux le retrouver. Ils se donnent 6 mois et 1 jour. Le compte à rebours est lancé, rythmé par les facéties de Cupidon. Meredith trouvera-t-elle ses réponses avant qu’il ne soit trop tard ?
La prochaine fois
Parti à la recherche d’un tableau mystérieux, Jonathan croise la route de Clara.
Tous deux sont convaincus de s’être déjà rencontrés. Mais où et quand ?
À Londres, il y a plus d’un siècle…
Le quatrième roman de Marc Lévy entraîne ses lecteurs de Saint-Pétersbourg à Boston, de Londres à Florence et Paris, dans une histoire où amours et énigmes défient le temps.
La vie est un roman
POUR LUI, TOUT EST ÉCRIT D’AVANCE
POUR ELLE TOUT RESTE À ÉCRIRE
« Un jour d’avril, ma fille de trois ans, Carrie, a disparu alors que nous jouions toutes les deux à cache-cache dans mon appartement de Brooklyn. »
Ainsi débute le récit de Flora Conway, romancière renommée à la discrétion légendaire. La disparition de Carrie n’a aucune explication. La porte et les fenêtres de l’appartement étaient closes, les caméras de ce vieil immeuble new-yorkais ne montrent pas d’intrusion. L’enquête de police n’a rien donné.
Au même moment, de l’autre côté de l’Atlantique, un écrivain au cœur broyé se terre dans une maison délabrée.
Lui seul détient la clé du mystère. Et Flora va le débusquer.
Un appartement à Paris
Le nouveau thriller de Guillaume Musso !
« L’art est un mensonge qui dit la vérité… »
Paris, un atelier d’artiste caché au fond d’une allée verdoyante.
Madeline l’a loué pour s’y reposer et s’isoler.
À la suite d’une méprise, cette jeune flic londonienne y voit débarquer Gaspard, un écrivain misanthrope venu des États-Unis pour écrire dans la solitude. Ces deux écorchés vifs sont contraints de cohabiter quelques jours.
L’atelier a appartenu au célèbre peintre Sean Lorenz et respire encore sa passion des couleurs et de la lumière. Terrassé par l’assassinat de son petit garçon, Lorenz est mort un an auparavant, laissant derrière lui trois tableaux, aujourd’hui disparus. Fascinés par son génie, intrigués par son destin funeste, Madeline et Gaspard décident d’unir leurs forces afin de retrouver ces toiles réputées extraordinaires.
Mais, pour percer le véritable secret de Sean Lorenz, ils vont devoir affronter leurs propres démons dans une enquête tragique qui les changera à jamais.
Guillaume Musso signe un thriller addictif et envoûtant porté par des personnages profondément humains. Une plongée vertigineuse dans le monde mystérieux de la création.